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Cannes - Page 7

  • Jour J - Rentrée littéraire - Mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" en librairie

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    Voilà, c’est le jour J ! Quelques mois après la publication de mon roman « L’amor dans l’âme » sort aujourd’hui mon recueil de nouvelles « Les illusions parallèles » (également aux Editions du 38). Certaines nouvelles ont été écrites il y a un peu plus de trois ans, d’autres ont été achevées il y a deux mois, et sont donc très ancrées dans l’actualité. Le dénouement de chaque nouvelle mais aussi la dédicace du roman vous en diront plus sur le choix de ce titre. Ce fut en tout cas jubilatoire pour moi de jongler avec les mots et la réalité, avec les lieux, les styles et les atmosphères, les films aussi, pour finalement obtenir ces 16 histoires. J’espère que ce recueil vous embarquera aussi dans ses différents univers, qu’il vous fera rêver, voyager, frissonner, réagir.

    Ces quelques mots de mon éditeur publiés sur la quatrième de couverture du recueil vous donneront peut-être envie de le lire : « Les personnages qui déambulent entre ces pages, passant allégrement d’un côté à l’autre du grand écran, sont criants de justesse à défaut d’humanité pour certains, et passent des rêves qu’il faut vivre envers et contre tout aux amours manquées, aux désillusions secrètes ou aux frustrations qui peuvent faire basculer le destin. Des textes magnifiques et romanesques, passionnés, d’une écriture délicate et néanmoins incisive, dans lesquels Sandra Mézière fait parfois cruellement tomber les masques et dévoile sans concession l’envers du décor. »

    Ces 16 histoires sont aussi des déclarations d’amour au cinéma et aux festivals qui ont changé le cours de ma vie et dont je vous ai souvent parlé sur ce blog. Elles vous emmèneront dans les festivals de cinéma suivants : Deauville (Festival du Cinéma Américain – 2 nouvelles-), Cannes -3 nouvelles-, Monaco (Festival Cinéma et Littérature), Dinard (Festival du Film Britannique), Paris (Champs-Élysées Film Festival), Cabourg (Festival du Film Romantique), La Baule (Festival du Cinéma et Musique de Film), Annonay (Festival International du Premier Film), Lyon (Festival Lumière), Saint-Jean-de-Luz (Festival International du Film), Beaune (Festival International du Film Policier) et même à la cérémonie des César !

    La quatrième de couverture vous en dira plus sur le ton et le sujet…

    Pour les Deauvillais et ceux qui seront au Festival du Cinéma Américain de Deauville : la librairie « Jusqu’aux lueurs de l’aube » à Deauville vient d’en commander quelques exemplaires et vous devriez l’y trouver dès demain. Une séance de dédicaces sera peut-être mise en place pendant le Festival du Cinéma Américain, c’est encore en discussion. Pour les Lavallois, vous le trouverez dans quelques jours à la librairie MLire où je ferai aussi une rencontre dédicaces, et vous pouvez bien sûr dès à présent le commander dans ces librairies. Plusieurs séances dédicaces dans des festivals de cinéma que j’affectionne se mettent aussi en place, ce dont je me réjouis également. Je vous en dirai bientôt plus.

    Vous pouvez aussi bien sûr l’acquérir directement chez mon éditeur, ici,  http://www.editionsdu38.com/catalogue/litt%C3%A9rature-page-38/les-illusions-parall%C3%A8les/    (en papier ou numérique), mais aussi sur Amazon (https://www.amazon.fr/illusions-parall%C3%A8les-Sandra-M%C3%A9zi%C3%A8re-ebook/dp/B01KORIAJ6/ref=pd_rhf_dp_p_img_1?ie=UTF8&psc=1&refRID=BF0Y8ZC1K9JEA1HHSS3S ) ou sur les principales plateformes de vente en ligne, ou le commander dans votre librairie fétiche, où qu’elle soit. Les avis sont toujours les bienvenus, directement ou, mieux encore, sur Babelio, Fnac, Amazon etc. Le dossier de presse est aussi disponible sur demande en MP pour ceux qui voudraient en savoir plus.

    En attendant, « L’amor dans l’âme » poursuit sa route (et vous pouvez bien sûr toujours le commander chez mon éditeur, à la Fnac, chez Amazon, ou en librairie).

    Merci à Numilog pour ces très beaux visuels pour la sortie (site sur lequel vous pourrez aussi trouver la version numérique).

  • Rentrée littéraire 2016: en prestigieuse compagnie...

    Merci à Numilog pour cette promotion de mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" en excellente compagnie.... En précommande dès à présent, ici, chez mon éditeur.

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  • Littérature - LES ILLUSIONS PARALLELES en précommande chez mon éditeur!

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    Comme je vous le disais il y a quelques jours, mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" sortira le 22 août prochain. Pour les impatients, sachez qu'il peut d'ores et déjà être précommandé directement chez mon éditeur Les Editions du 38, en papier ou numérique, en attendant d'être disponible à la commande dans toutes les librairies ou directement sur internet sur les sites habituels (Amazon etc) ...

    Pour le commander dès à présent sur le site de mon éditeur, cliquez ici.

  • Quatrième de couverture du recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" (en librairie le 22 août)

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    Alors que les premières séances de dédicaces en festivals de cinéma commencent à se mettre en place (je vous en dirai bientôt plus, mais je suis impatiente!), après avoir dévoilé en avant-première la couverture , voici aujourd'hui la quatrième de couverture de mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles", prochainement publié.

    Pour le commander en librairie ou en ligne, je vous rappelle qu'il faudra attendre la sortie, le 22 août.

    En attendant, l'aventure de mon roman "L'amor dans l'âme" continue. Toutes les informations sur le roman sont ici: http://www.editionsdu38.com/catalogue/littérature-page-38/l-amor-dans-l-âme/

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  • Critique de LA FORÊT DE QUINCONCES de Grégoire Leprince-Ringuet

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    J’ai vu ce film (sorti en salles le 22 juin 2016) il y a une dizaine de jours après l’avoir manqué lors du dernier Festival de Cannes dans le cadre duquel il était présenté en avant-première et en séance spéciale. Cette critique ne sera donc pas aussi précise que le film l’aurait mérité mais basée sur les impressions et émotions que ce film m’a laissées. Et quelles impressions ! Et quelles émotions ! De la colère d’abord : parler de Camping (contre lequel je n’ai rien de particulier mais qui a monopolisé l’antenne comme si c’était le seul film actuellement à l’affiche), c’est vendeur sans doute mais pourquoi a-t-on si peu entendu parler de ce premier long-métrage, si fort, si brillant et si singulier et qui a sans aucun doute beaucoup plus besoin de visibilité ? De l’enthousiasme et de l’admiration ensuite : pour l’inventivité, l’audace, la maturité, l’univers de Grégoire Leprince-Ringuet qui signe ici son premier long-métrage en tant que metteur en scène et qui, je l’espère, en réalisera ensuite beaucoup d’autres.

    Ondine (Amandine Truffy) et Paul (Grégoire Leprince-Ringuet) se sont aimés. Quand elle le quitte, il jure qu'il n'aimera plus. Pour se le prouver, il poursuit la belle Camille, qu'il compte séduire et délaisser. Mais Camille (Pauline Caupenne) envoûte Paul qu'elle désire pour elle seule. Et tandis qu'il succombe au charme de Camille, Paul affronte le souvenir de son amour passé.

    Seuls les prénoms des personnages, à la lecture du pitch officiel, auraient peut-être pu me donner un indice sur le caractère poétique de ce film mais ayant préféré, comme souvent, en savoir le moins possible avant de le voir en salles, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que les dialogues étaient (brillamment) écrits en vers. J’ai d’abord cru que le réalisateur avait utilisé les vers d’auteurs célèbres (les références et les influences surtout, revendiquées, sont multiples : Grégoire Leprince-Ringuet revendique ainsi l'influence de Paul Valéry, Baudelaire, Racine, Corneille, Molière, Aragon et Supervielle) mais ma surprise fut d’autant plus grande et agréable en découvrant que le jeune cinéaste en était l’auteur et le seul auteur du scénario.

    Ce dernier s'est ainsi basé sur ses propres poèmes pour écrire le scénario de son film. Voilà qui nous charme d’emblée comme Paul l’est par les deux femmes entre lesquelles son cœur balance. Certains dialogues débutent en prose pour s’achever en vers ou inversement si bien que ce qui aurait pu sembler incongru paraît naturel. La beauté de la langue française en est sublimée et magnifie les échanges entre les personnages. Au lieu d’en faire un film empesé ou suranné, cela démontre au contraire toute la modernité de la poésie, sa force, sa volupté, sa richesse aussi. La caméra, loin d’être statique, virevolte souvent autour des personnages, vibrant de concert avec leur fougue. Les mots s’enchaînent et nous hypnotisent comme une mélopée enchanteresse et magnétique. Et le sortilège par lequel Camille envoûte Paul agit aussi sur le spectateur…

    Le film regorge de trouvailles à l’exemple de son titre, La Forêt de Quinconces se référant à toutes les voies qui s’offrent au personnage principal,  droites et infinies. Le destin. La chance. Les choix. Voilà des thèmes qui ne déplairaient pas à Woody Allen surtout que les quartiers du Nord et de l’Est de Paris, filmés sous des angles inhabituels, font parfois ici penser à New York.

    Le film est aussi empreint d’onirisme et de fantastique, notamment par le biais d’un clochard (excellent Thierry Hancisse) un rôle pour lequel Grégoire Leprince-Ringuet s’est inspiré des personnages de clochards dans Les Portes de la nuit de Carné ou à Faust dans le film de René Clair La Beauté du diable. Deux films magnifiques que je vous recommande au passage.

    Une scène surprenante et ensorcelante, à l’image de tout le film d'ailleurs, mérite à elle seule le déplacement. Du métro à des rues sombres puis à un couloir jusqu’à une scène de théâtre et ses coulisses, Paul suit Camille, danse avec elle (moment hors du temps, scène parfaitement chorégraphiée, d’une force redoutable, sur la musique de Tchaïkovski), puis lui déclare sa flamme dans les coulisses... et du début à la fin de la scène, magistralement et intensément filmée, jouée, dansée, le spectateur retient son souffle. De ces échanges, dansées et parlées, se dégage un magnétisme fulgurant. Sans aucun doute une des plus belles scènes vue au cinéma cette année.

    Grégoire LePrince-Ringuet a débuté au cinéma à 14 ans dans Les Egarés de Téchiné (pour lequel il fut nommé comme Meilleur jeune espoir masculin). Il a étagement été chanteur au sein du chœur de l’Opéra de Paris. Ces expériences et cette précocité ont sans aucun doute enrichi son expérience puis son film. Vous l’avez peut-être également vu dans  Les Chansons d’amour de Christophe Honoré (avec une nouvelle nomination aux César à la clef) puis dans La Belle personne du même réalisateur qui était une transposition moderne de la Princesse de Clèves, un mariage habile de classicisme et de modernité par lequel Grégoire Leprince-Ringuet a peut-être aussi été influencé pour cette première réalisation. En 2010, il était en compétition officielle à Cannes avec La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier et hors compétition dans L' Autre monde de Gilles Marchand.

    Fort de ces belles expériences, dans La forêt de Quinconces, il excelle autant devant que derrière la caméra, déclamant les vers avec un naturel déconcertant. Une mention spéciale pour Pauline Caupenne qui crève littéralement l’écran, passionnée comme Carmen. Et quand elle dit :

    Ma présence seule abolit le délire dont je te dote

    Je suis le mal et l’antidote

    ...il nous est bien difficile de ne pas la croire. C'est là toute la puissance commune du cinéma et de la poésie que de nous faire croire à l'impossible.

    Arthur Teboul, le leader de Feu Chatterton, fait également ici ses débuts au cinéma, dans un dénouement très réussi. La bande originale du film a d’ailleurs été composée par Clément Doumic, autre membre de Feu Chatterton, avec  une couleur électro. La musique joue d’ailleurs un rôle central, qu’elle soit classique ou plus moderne (ce qui ne veut d’ailleurs rien dire, la musique classique apportant ici aussi beaucoup de modernité, Tchaikovski mais aussi Debussy).

    Vous l’aurez compris, je suis tombée littéralement sous le charme de ce conte moderne, de ce ballet fiévreux fiévreux, aux frontières du fantastique et pourtant ancré dans la réalité, d’une inventivité rare porté par des comédiens au talent éclatant, par des contrastes judicieux (entre les formats qui changent au fil du film mais aussi entre le jour et la nuit, l’extérieur et l’intérieur, la force et la douceur). Dix jours après l'avoir vu, je souhaite ardemment revoir ce film pour en savourer chacun de ses dialogues et m'attarder sur chacune de ses trouvailles. Il m'a aussi donné envie de relire Baudelaire et Racine.  Les moments de poésie sont trop rares pour s’en priver et ce film rend un sublime hommage à sa puissance émotionnelle ! En tout cas, sans aucun doute : un cinéaste est né. Et ce serait bien dommage de passer à côté. J'attends d'ores et déjà son prochain film avec impatience mais, en attendant, allez vous perdre dans La Forêt de Quinconces, je vous garantis que vous ne regretterez pas cette promenade poétique, palpitante et envoûtante.

  • Suivez-moi aussi sur Instagram: @sandra_meziere

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    Alors que certains sont déjà passés depuis longtemps à Snapchat (qui, je l'avoue, ne m'intéresse absolument pas), je commence vraiment à me prendre au jeu d'Instagram. Si au départ je publiais avec parcimonie, c'est aujourd'hui devenu un réflexe quotidien et un vrai plaisir que d'essayer de sublimer les photos.

    Vous y trouverez surtout des photos de festivals de cinéma, de villes comme Laval, Deauville, Paris, La Baule etc, des restaurants, des hôtels, et parfois des informations comme des affiches de festivals ou de films.

    Je vous invite donc à me suivre sur Instagram (@sandra_meziere ou http://instagram.com/sandra_meziere) où vous êtes pour l'instant beaucoup moins nombreux à me suivre que sur twitter...alors je vous y attends!

    Retrouvez quelques photos récentes extraites de mon compte Instagram ci-dessus.

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  • Mon interview sur le blog BeautyClap

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    Avant de vous parler de ces 5 jours mémorables au Festival de Cabourg, et parce que, avec cette tragique actualité, il fait bon rester la tête dans les étoiles et prolonger la parenthèse enchantée, avant de vous livrer mon compte rendu du festival mais aussi de vous parler d'une belle actualité littéraire, de deux séjours presse dans de formidables hôtels et d'un concours exceptionnel pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville, je vous propose de retrouver mon interview sur l'excellent blog sur lequel "la beauté fait son cinéma", un blog dans les coulisses des tournages et de la beauté "Beauty Clap". Je vous y parle de mes marques et adresses fétiches et je remercie encore ici sa fondatrice et rédactrice pour ce très beau coup de projecteur. Cliquez ici ou sur l'image ci-dessus pour accéder à l'article sur le blog Beauty Clap.

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    (Photo ci-dessus, copyright Isabelle Vautier, tapis rouge lors de la clôture du Festival du Film de Cabourg)