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  • Mon nouveau roman "La Symphonie des rêves" (Éditions Blacklephant - 26/10/2023) : présentation

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    Je suis particulièrement heureuse de vous dévoiler la couverture et la quatrième de couverture de mon nouveau roman intitulé La Symphonie des rêves, publié par les Éditions Blacklephant, disponible en librairie à partir du 26 octobre 2023, et dès à présent en précommande, en librairie et sur les plateformes. Ce roman, comme le personnage qui figure sur cette photo, regarde vers la lumière, vers l'horizon, vers l'ailleurs. Il vous fera ainsi voyager en France, en Grèce et en Italie. Découvrez la page des Editions Blacklephant consacrée à La Symphonie des rêves, ici.
     
    Mon premier roman, qui évoquait un deuil insurmontable, était une plongée dans un gouffre infernal. Celui-ci, au contraire, chemine de l’ombre vers la lumière.
     
    J’ai commencé à écrire ce roman pendant le deuxième confinement, avec pour objectifs de m'évader, de me griser d’espoirs extravagants, de donner envie de croire en des émotions qui égarent parfois et enfièvrent et transportent. 
    J’espère que ce roman sera cela aussi pour vous : une échappée belle, une fugue joyeuse, une invitation à l'audace de rêver.
     
    Cette consolante contrée qu’est la musique, qui bouscule et relie ici les destins de mes personnages, a suscité l’idée de ce roman dans lequel il est aussi beaucoup question de cinéma, forcément. Il vous conduira ainsi notamment au Festival de Cinéma et de Musique de Film de La Baule et au Festival de Cannes.
     
    Pourquoi écrit-on ? 
    Pourquoi s'obstiner à lutter contre le silence, ses doutes et ses maux?
    À vouloir dompter les phrases et des destinées fictives ? 
    Je ne cesserai de m’interroger sur cette légitimité, en revanche pas sur ma passion viscérale et vitale pour l’écriture, en revanche pas sur cette nécessité impérieuse de raconter et entrelacer des destins, d’esquisser des âmes ébréchées, de jongler avec les mots, d'insuffler de la beauté dans la laideur, de tenter de me faufiler dans des interstices de vérité à travers la fiction. 
     
    Je remercie l'équipe de ma nouvelle maison d'édition pour l’écoute, la confiance, l’enthousiasme, la bienveillance. Je suis heureuse que le coup de foudre ait été réciproque. Pour faire retentir cette Symphonie, je n'aurais pu trouver mieux que Blacklephant éditions  dont les valeurs s'accordent si bien avec ce roman qui aspire à exalter la force des rêves.

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    Je vous donnerai prochainement les dates des séances de dédicaces en librairies et salons du livres. Vous pouvez d'ores et déjà noter celle de la Fnac de Laval le samedi  4 novembre 2023 à 15h et à la Librairie du Marché de Deauville pendant les vacances de Noël (date précisée prochainement).
    J'espère que cette Symphonie résonnera en vous…
  • J'ai testé pour vous la brasserie LES VAPEURS à Trouville : mon avis

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    Il y a des restaurants, brasseries ou parfois cafés dont la renommée est telle que, dès l’énoncé de leur nom, vous les associez à la localité dans laquelle ils se trouvent, à l’attractivité de laquelle ils contribuent d’ailleurs aussi. C’est le cas, par exemple, de Sénequier à Saint-Tropez.

    C’est aussi le cas des Vapeurs à Trouville. Pour moi les Vapeurs, c’est d’abord cette brasserie où, dès mes premiers festivals du cinéma américain de Deauville, j’entendais dire que Spielberg ou d’autres aux noms aussi prestigieux, à chacune de leur escale au festival, s’y faisaient emmener après une séance. C’est aussi le souvenir d’un mémorable déjeuner avec ma grand-mère, lors d’un de mes tout premiers festivals du cinéma américain de Deauville il y a une vingtaine d’années (cf In the mood for Deauville, le blog que je consacre à Deauville et principalement au Festival du Cinéma Américain).

    Pour une raison que j’ignore, je n’y suis jamais retournée depuis. Peut-être parce que, parfois, je préfère ne pas toucher aux souvenirs de crainte de les ternir. Peut-être parce que j’ai mes habitudes de l’autre côté de la Touques.

    Toujours est-il que ce midi de mars 2018, de passage à Deauville (photo ci-dessus devant l’hôtel Barrière Le Normandy), notamment pour Normandes en tête mais aussi pour renouveler mon partenariat avec le CID pour le prochain Festival du Cinéma Américain (je vous l’annonce en avant-première, à nouveau, je vous ferai gagner des pass pour le festival sur In the mood for Deauville, In the mood for cinema et In the mood for film festivals) je l’ai franchie, la Touques, et j’ai même franchi le seuil des Vapeurs.

    L’accueil est affable. Le décor est délicieusement intemporel et me donne l’impression de remonter le temps. Au mur, des lithographies ou des affiches joyeusement absurdes, décalées. L’ambiance est celle de ces brasseries d’antan où le temps semble s’écouler avec plus de douceur et de légèreté et cela me procure l’impression d’être plongée dans cette atmosphère des brasseries que j’aime tant, celle qui me rappelle le film Garçon de Claude Sautet, comme si l’ombre d’Yves Montand, si vivante et facétieuse, planait là aussi.

    La carte est une autre agréable surprise : du fait maison, des produits dont la traçabilité est clairement indiquée, un approvisionnement seulement en poissons frais et sauvages, des viandes de bœuf certifiées de race Normande et d’origine Normande.

     

    En plat, j’ai choisi la Suggestion du Chef, les St-Jacques grillées beurre blanc, légères, onctueuses, délicieuses.

    Pour le dessert, le choix était cornélien devant toutes ces pâtisseries maison toutes plus tentantes les unes que les autres !

    J’avoue avoir longuement hésité entre les profiteroles et leur chocolat maison et la tarte Normande aux pommes servie chaude avec de la crème de Normandie avant d’opter pour le Paris Brest tandis que mon acolyte a choisi la tarte au citron. Des desserts gourmands et là aussi délicieux !

    Le restaurant Les Vapeurs propose tout ce qu’on attend d’une excellente brasserie, de la qualité dans les produits sélectionnés, de la variété, de la générosité dans l’atmosphère et dans l’assiette. En plus d’un excellent déjeuner, j’ai passé un moment savoureux hors du temps, comme une Madeleine de Proust… Je vous recommande donc vivement Les Vapeurs. Et c’est certain, désormais je m’aventurerai plus souvent de l’autre côté de la Touques et j’y retournerai !

    (Photos ci-dessous prises à Trouville, aux Cures Marines de Trouville ou depuis les Cures Marines de Trouville, je vous en parle bientôt à nouveau…)

    Retrouvez également cet article sur Inthemoodforhotelsdeluxe.com, Inthemoodfordeauville.com, et Inthemoodforluxe.com.

  • Mes bonnes adresses à Deauville (version 2016): hôtels, restaurants, terrasses, salons de thé etc

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    Suite à l’article du magazine ELLE de la semaine du 24 juillet 2015 dans lequel je vous livrais mes bonnes adresses à Deauville et comme je n’avais malheureusement pas pu toutes les y faire figurer, j’avais décidé, en août 2015, de vous livrer ici à nouveau un article complet avec mes bonnes adresses deauvillaises (restaurants, cafés, terrasses, hôtels, boutiques, salons de thé etc). Comme il y a constamment beaucoup de nouveautés et de rénovations à Deauville (a fortiori cette année 2016!), j’ai décidé de compléter chaque année cet article. En voici donc la version 2016 avec quelques nouveautés comme Les Manoirs de Tourgéville ou mon avis sur le Normandy suite à ses rénovations, les anciens commentaires ont également été mis à jour. De nouvelles photos viennent également les compléter. De quoi vous aider à passer le meilleur week-end possible à Deauville ou même un séjour plus long, par exemple pour le 42ème Festival du Cinéma Américain que je vous ferai bien entendu suivre ici en direct comme chaque année  du 2 au 11 septembre et pour lequel je vous fais d’ores et déjà gagner vos pass ainsi que vos invitations pour la cérémonie de clôture, ici.

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    J’ai personnellement testé toutes les adresses figurant dans cet article, la grande majorité à Deauville et deux ou trois à Trouville. Il en manque quelques-unes que je n’ai pas encore eu le temps de tester et au sujet desquelles je ne manquerai pas de vous donner mon avis suite à mes prochains tests. Il y a notamment la Folie Douce qui remplace l’ancien restaurant « Les 3 mages » repris par le Groupe Barrière mais aussi le restaurant  « Le Bougnat »,  le restaurant « La Villa Gabrielle », le restaurant « Au Bureau », et le restaurant gastronomique de la rue Gambetta, parmi d’autres. Ci-dessous, vous ne trouverez que les établissements que je vous recommande. Je ne vous recommande en revanche pas la Pizzeria Santa Lucia ni le salon de thé Yvonne, les deux pour une propreté et une amabilité relatives, et des goûts pas forcément au rendez-vous…, mettre des photos de personnalités au mur ne suffit pas à garantir la qualité d’un établissement et à excuser d’être désagréable avec le client (sans compter une bouteille d’eau renversée). Les bonnes adresses sont suffisamment nombreuses à Deauville pour ne pas perdre votre temps dans des établissements qui ne méritent pas le déplacement…

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    Ma rencontre avec Deauville et son Festival du Cinéma Américain il y a…23 ans  a été un vrai coup de foudre qui a changé le cours de mon existence… Un recueil de nouvelles sur le cinéma dont deux se déroulent au Festival du Cinéma Américain de Deauville (qui sera publié aux Editions du 38 en septembre 2016, le même éditeur qui a publié mon roman « L’amor dans l’âme » qui comprend d’ailleurs un chapitre clef à Deauville), après 7 blogs dont un sur Deauville, Inthemoodfordeauville.com,  après 3 participations à ses jurys de festivals (un presse et deux de cinéphiles ), et 23 festivals du cinéma américain et une bonne dizaine du Festival du Film Asiatique plus tard, je crois suffisamment bien connaître les lieux pour vous livrer mes bons plans (vous pouvez aussi suivre ma page Facebook consacrée à Deauville, ici).

     

     

    Deauville est une ville à la fois calme et (très) animée (je suis chaque jour impressionnée par les multiples activités qui y sont proposées tout au long de l’année sans parler d’évènements nationaux ou internationaux comme le G8 en 2011), une ville idéale autant pour se distraire que pour se reposer. Bien que la connaissant par cœur le charme opère. A chaque fois.

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    Je ne connais pas d’endroits, ou si peu, dont la beauté soit aussi agréablement versatile, dont les couleurs et la luminosité lui procurent une telle hétérogénéité de visages. Loin de l’image de 21ème arrondissement de Paris à laquelle on tendrait à la réduire (qu’elle est aussi, certes), ce qui m’y enchante et ensorcelle se situe ailleurs : dans ce sentiment exaltant que procurent sa mélancolie étrangement éclatante et sa nostalgie paradoxalement joyeuse. Mélange finalement harmonieux de discrétion et de tonitruance. Tant de couleurs, de visages, de sentiments que j’éprouve la sensation de la redécouvrir à chaque fois. Bien sûr, je la préfère très tôt le matin, mystérieuse, presque déserte, qui émerge peu à peu des brumes et de l’obscurité nocturnes, dans une âpre luminosité qui se fait de plus en plus évidente, incontestable et enfin éblouissante. Ou le soir, quand le soleil décline et la teinte de couleurs rougeoyantes, d’un ciel incendiaire d’une beauté insaisissable et improbable et que je m’y laisse aller à des rêveries et des espoirs insensés.

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    A l’image des êtres les plus intéressants, Deauville ne se découvre pas forcément au premier regard mais se mérite et se dévoile récompensant le promeneur de sa beauté incendiaire et ravageuse aux heures les plus solitaires, avec des couleurs aux frontières de l’abstraction, tantôt oniriques, tantôt presque inquiétantes.

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    Alors, pour en profiter pleinement, je vous conseille donc de loger sur place. Voici mes conseils pour les hôtels pour différents budgets et toutes mes bonnes adresses pour profiter au mieux de  votre séjour.

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    Les photos de cet article sont issues de mon compte Instagram @sandra_meziere sur lequel vous pourrez retrouver d’autres photos de Deauville et notamment de la Solitaire du Figaro qui partait de Deauville dimanche dernier.

    Les hôtels

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  • Le Festival International du Film Culte de Trouville-sur-Mer créé par Karl Zéro en juin 2016

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    Juste après le Festival du Film de Cabourg  qui aura lieu du 8 au 12 juin 2016 et qui célèbrera cette année ses 30 ans, presque trois mois avant le Festival du Cinéma Américain de Deauville et le Festival Off Courts de Trouville, voilà un nouveau festival sur la côte normande qui devrait ravir les cinéphiles et dont vous pouvez d'ores et déjà découvrir la magnifique affiche ci-dessus.

    La 1ère édition de ce Festival au concept original se déroulera ainsi du 16 au 19 juin prochain à Trouville-sur-mer.  Région culte s’il en est à l’écran (“Un singe en Hiver“, “Un homme et une femme“, etc…), le choix de Trouville-sur-Mer s’est imposé d’emblée.  ! Comme le souligne Karl Zéro, fondateur du Festival, « Un film devient culte lorsque le public le désigne comme tel. C’est pour cela que notre jury - qui sera constitué uniquement de personnalités… cultes -sera à l’image des spectateurs auxquels nous dédions ce Festival : des gens venus de tous les horizons, pas que des « professionnels de la profession ». Le culte, c’est le trait d’union entre le populaire et le visionnaire. Notre ambition est d’installer de façon pérenne ce nouveau rendez-vous pour permettre de mettre en lumière davantage de talents, d’audaces, de tons, d’univers dans autant de films sélectionnés parce qu’ils sont inattendus et originaux.»

    Pour sa 1ère édition, le Festival  décernera les prix  suivants :

    Dans le cadre de la Compétition, les prix seront attribués à des films   inédits :

      Le Grand Prix du Film Culte de l’Année 2016 qui auréolant une œuvre lui permettra de se distinguer avant même sa sortie en salles, afin de trouver ainsi plus sûrement son public. 

     Le Prix « Aldo Maccione » du Meilleur Réalisateur qui prouvera qu’il suffit parfois de faire un petit pas de côté - comme Aldo dans sa célèbre démarche - pour changer l’angle d’une histoire, et lui donner un relief particulièrement novateur.

    Ces deux films seront élus par le Jury parmi sept films inédits présentés dans le cadre de la Compétition, et présentés sur la scène du Festival par leurs réalisateurs/acteurs.

    Dans le cadre de la Rétrospective, le public peut voter sur le site internet  www.festivaldufilmculte.com ou sur la page Facebook «  Festival International du film Culte » pour élire parmi trente œuvres son film culte préféré. 

    La liste des trente films établie par le comité du festival : 

    Battle Royal - C'est Arrivé Près de Chez Vous -  Citizen Kane - Elephant Man - Festen - Fight Club - Forest Gump – Freaks - La cité de la peur - La Haine  - La Nuit des Morts Vivants - L'Aventure c'est l'Aventure - Le fabuleux destin d'Amélie Poulain - Le gendarme de St Tropez - Le Père Noël est une Ordure - Le Silence des Agneaux - Le voyage de Chihiro - Les Demoiselles de Rochefort - Les Galettes de Pont-Aven - Les Tontons Flingueurs - Massacre à la Tronçonneuse – Matrix - Old Boy - Projet Blair witch – Psychose - Pulp Fiction – Scarface - Tenacious D - The Big Lebowski - Usual suspect. ! Prix décernés dans le cadre de la rétrospective :

     Le  Prix du Film Culte Vintage du Public décerné par le vote des internautes  qui récompensera l’œuvre élue par les spectateurs comme étant la plus culte de la liste des trente films proposés. 

    Le Prix “Georges Marchais“, en hommage au plus grand acteur comique du vingtième siècle sera décerné par le Jury. 

    En parallèle des projections, le public pourra participer à plusieurs master-class et conférences sur le thème du culte, afin de rencontrer les réalisateurs, acteurs, producteurs et  distributeurs des films projetés.

     Deux expositions, de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé et du Studio Harcourt, ainsi qu’un concert de musique de films cultes, interprétés sur des instruments-jouets par le Quatuor Playmobil, viendront encadrer le Festival.

    Vous pourrez également suivre le festival sur twitter (@fifculte), sur instagram ( @festivaldufilmculte), et sur Facebook (https://www.facebook.com/FIFCT).