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  • Plaza Cinéma club au Plaza Athénée et Cinéma Paradiso Louvre 2025 : vivez le cinéma et l'été à Paris dans des lieux d'exception !

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    Aujourd'hui, j'avais envie de vous parler de ces deux évènements qui satisferont ceux pour qui le cinéma est un rendez-vous avec un film, mais aussi avec un lieu particulier, et un moment singulier. La sélection est dans les deux cas particulièrement judicieuse, et ravira les cinéphiles...mélomanes et gastronomes. En bonus, je vous propose aussi deux critiques de films projetés dans chacun de ces programmes, In the mood for love de Wong Kar-wai et Casino Royale de Martin Campbell. L'un de ces deux évènements porte en plus le nom du chef-d'oeuvre de Giuseppe Tornatore. De quoi achever de vous convaincre de céder à la tentation...!

    1/2 CINEMA PARADISO LOUVRE DU 2 AU 5 JUILLET 2025

    Ainsi, du 2 au 5 juillet 2025, vous pourrez profiter de Cinema Paradiso Louvre, quatre soirées gratuites mêlant des concerts live, de la gastronomie, du patrimoine et des projections dans le cadre majestueux de la cour carrée du Louvre. La sélection de films est particulièrement attractive. Je vous recommande d'autant plus de vous inscrire que cet évènement est gratuit, uniquement sur invitation, avec une loterie ouverte depuis le 4 juin.

    Chaque soir, la cour Carrée du Louvre se métamorphose en salle de cinéma à ciel ouvert. Face à un écran monumental de vingt mètres, le public est invité à vivre une projection dans un cadre exceptionnel, rythmée par des concerts live, une offre food & drinks qualitative et une scénographie immersive.

    Imaginé en 2013 par Nathanaël et Elisha Karmitz, dirigeants de mk2, Cinéma Paradiso célèbre l’art sous toutes ses formes, avec une ambition constante : créer l’émerveillement par le cinéma. Chaque édition propose un dialogue inédit entre cinéma et fête, dans des lieux iconiques. Cet été, mk2 organisera également un Cinéclub Paradiso à La Seine Musicale, en collaboration avec le Département des Hauts de Seine, du mardi 15 au vendredi 18 juillet 2025. Informations et inscriptions sur mk2-festivalparadiso.com/

    LE PROGRAMME

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    Le MERCREDI 2 JUILLET

    19H30 – Ouverture des portes

    21H00 – DJ-Set de Piu Piu

    22H20 – Présentation du film par la réalisatrice Sofia Coppola et Lily Bloom

    22H45 – Projection de Virgin Suicides (1999) de Sofia Coppola

    LE JEUDI 3 JUILLET

    19H30 – Ouverture des portes

    20H45 – Concert surprise annoncé prochainement

    22H25 – Présentation du film

    22H50 – Projection de In the Mood for Love (2000) de Wong Kar-Wai

    LE VENDREDI 4 JUILLET

    19H30 – Ouverture des portes

    20H30 – Concert scène émergente, en partenariat avec le CNM :Asfar Shamsi (Le FAIR)

    Sam Sauvage (Le Chantier des Francos)

    Tuerie (Prix Joséphine)

    22H10 – Présentation du film

    22H35 – Projection de Twin Peaks: Fire Walk With Me (1992) de David Lynch

    LE SAMEDI 5 JUILLET

    19H30 – Ouverture des portes

    19H45 – DJ-Set du Fip Squad

    20H40 – Concert de Juniore, Une Sélection Fip

    22H10 – Présentation du film par Kleber Mendonça Filho

    22H35 – Avant-première de L’Agent secret (2025) de Kleber Mendonça Filho

    Chaque projection sera précédée d’une introduction exclusive par des personnalités du monde du cinéma, pour une immersion totale dans les univers des films. Ces avant-séances, d’une quinzaine de minutes, seront animées par Lily Bloom, journaliste pour TROISCOULEURS (partenaire média de l’événement) et présentatrice du Cercle Cinéma sur Canal+. Et pour ouvrir cette 5ème édition de la plus belle des manières, Sofia Coppola sera présente pour introduire elle-même la projection de son film culte Virgin Suicides. Le festival se clôturera en présence de Kleber Mendonça Filho, venu accompagner l’avant-première exceptionnelle de son film L’Agent secret doublement primé au Festival de  Cannes 2025 (prix d’interprétation masculine et prix de la mise en scène).

    Du MERCREDI 4 JUIN À 12H au MERCREDI 25 JUIN À 12H : inscriptions pour la loterie.

    Chaque participant doit s’inscrire en ligne sur le site mk2-festivalparadiso.com/louvre, dans la limite de deux places adultes (+de 18 ans) et deux places enfants (- de 18 ans) par soirée.

    Trois tirages au sort auront lieu les :

    11 JUIN - 18 JUIN - 25 JUIN

    Je vous recommande tout particulièrement la soirée Wong Kar Wai. Je vous propose ainsi ma critique de In the mood for love ci-dessous.

    CRITIQUE de IN THE MOOD FOR LOVE de WONG KAR-WAI

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    « J’aime le secret. C’est, je crois, la seule chose qui puisse nous rendre la vie mystérieuse ou merveilleuse. » (Oscar Wilde).

    Le jour où je revois ce film dans sa version restaurée, dehors, le ciel verse des larmes intarissables. Comme étreint d’une inconsolable mélancolie ou de secrets suffocants, de ceux qui à la fois accablent mais (trans)portent aussi. L’ambiance parfaite pour se plonger dans celle du film qui, plus que tout autre, a une « gueule d’atmosphère », celui qui immortalise et sublime l’impalpable. Le secret. Les émotions. La mélancolie.

    La dernière fois que j’avais revu  In the mood for love, c'était il y a quelques années, dans un cinéma d’art et essai de Saint-Germain-des-Prés, dans le cadre d’un festival. Le son grésillait. Les images balbutiaient. Cette fois, je le revois dans son éclatante magnificence. Merci à The jokers films pour le lien grâce auquel j’ai pu le revoir dans cette version restaurée 4K, initialement prévue pour le Festival de Cannes 2020 dans le cadre de Cannes Classics, dont la sortie avait été repoussée au 2 décembre 2020 avant d'être à nouveau repoussée au 10 février 2021.

    A partir d’un schéma conventionnel (Hong Kong, 1962, deux voisins, Su -Maggie Cheung- et Chow -Tony Leung-, découvrent que leurs époux respectifs entretiennent une liaison, s’éprennent peu à peu l’un de l’autre mais préfèreront renoncer à leur amour plutôt qu’à leurs idéaux), Wong Kar-wai a réalisé un poème lyrique, une peinture impressionniste éblouissante. A l’image de celles qui dictent les conduites de chacun dans ce Hong Kong des années 1960, les conventions ne sont en effet ici qu’apparences. Tout est dans les silences, les non-dits, les regards, les gestes, les mouvements des corps. Et dans l’atmosphère musicale qui cristallise les sentiments retenus des personnages, leurs frémissements fiévreux, l’intransmissible incandescence d’un amour implicite et ainsi sublimé par un entremêlement de gravité et de flamboyance.

    L’enfermement de Su est suggéré par des tenues qui emprisonnent son corps. La passion, contenue, est reflétée par leurs teintes chatoyantes auxquelles fait écho le décor rouge de l’hôtel qui, lui, contraste avec les couleurs ternes des couloirs exigus et presque insalubres de l’immeuble où ils se croisent tout d’abord. L’hôtel, avec ses tentures rouges, ressemble à un décor irréel (un décor de cinéma) dans lequel flotte une Su aux allures de star hollywoodienne. C’est d’ailleurs là qu’ils écrivent des feuilletons de chevalerie et rejouent la scène de rupture avec l’époux de Su que l’on ne voit d’ailleurs jamais à l’écran (pas plus que la femme de Chow), laissant la réalité à l’extérieur. Rappelant un des premiers plans dans un des appartements : une nature morte et sa copie conforme, annonciateur de ce jeu de recréation (récréation) de réalité.

    Tiré d’un film de Seijun Suzuki, le Yumeji’s Theme de Shigeru Umebayashi exacerbe la sensualité de leurs chassés-croisés, complainte troublante, obsédante, languissante et magnétique. Lorsqu’ils s’évitent dans le passage étroit éclairé par un lampadaire tel un projecteur de cinéma braqué sur leurs déambulations quasi fantasmagoriques, la caméra qui avance doucement, voluptueusement, caresse la tristesse rêveuse de leurs visages, leurs pas dansants et indolents, leurs rares mots échangés qui résonnent comme un poème ( «  J'étais libre et je voulais entendre votre voix »), les volutes de fumée de cigarettes, rubans fugaces qui s’élancent comme des pensées insoumises, la pluie qui tombe inlassablement et les enferme tels les barreaux d’une prison de rêves, le long couloir rouge avec ses rideaux dans lesquels s'engouffre le vent. La moiteur et la chaleur semblent sortir de l’écran pour nous emporter dans cette valse étourdissante. Chaque bruit recèle la sensualité qu’ils cadenassent. La pluie. La radio (souvent des opéras adaptés de classiques de la littérature abordant des amours interdites et des rendez-vous secret). Les étoffes. Les talons. Et leurs regards qui, en s’évitant, semblent réclamer un enlacement interdit, un interdit que symbolisent aussi ces tenues (cravates, robes) et le cadre toujours étroit (bureau, couloir, chambre, ruelle) qui les enserrent. Le ralenti et la musique ensorcelante qui les accompagnent lorsqu’ils se croisent et évitent trop soigneusement de se frôler suffisent à nous faire comprendre les sentiments exaltés qui les envahissent malgré l’étroitesse des conventions. La musique latinoaméricaine dont le fameux “ Quizás, Quizás, Quizás ” de Nat King Cole évoquent aussi des amours regrettées ou impossibles. Sans compter « I’m in the Mood for Love » qui ne figure cependant pas dans le film. La musique est là pour traduire l’indicible et en exalter la puissance magnétique.

    Les ellipses permettent au spectateur de laisser libre cours à son imagination. Rarement une histoire d’amour avait été racontée avec autant de pudeur, de nuance, d’élégance. Il y en a d’autres bien sûr : Sur la route de Madison (dans lequel là aussi chaque geste est empreint de poésie, de langueur mélancolique, des prémisses de la passion inéluctable et dans lequel les souvenirs de Francesca Johnson et Robert Kincaid se cristalliseront aussi au son de la musique, le blues qu’ils écoutaient ensemble, qu’ils continueront à écouter chacun de leur côté, souvenir de ces instants immortels), les films de James Ivory pour l’admirable peinture des sentiments contenus, Casablanca (avec cette musique, réminiscence de ces brefs instants de bonheur à Paris, entre Rick et Ilsa, à La Belle Aurore, ces souvenirs dans lesquels le « Play it again Sam » les replonge lorsque Illsa implore Sam de rejouer ce morceau aussi célèbre que le film : « As time goes by »), les films de Truffaut, les films de Sautet où la pluie là aussi rapproche les êtres….

    Chow raconte à Ah Ping qu'autrefois quand on voulait préserver un secret, on creusait un trou dans un arbre, on y racontait le secret puis on bouchait le trou avec de la terre, ce qui le scellait à jamais. Le film s’achève ainsi à Angkor Vat au moment de la visite de De Gaulle au Cambodge, en 1966, une visite que couvre Chow. Le rêve est terminé. La réalité, factuelle, implacable, reprend ses droits. C’est pourtant là, dans le cadre du plus grand monument religieux au monde (dont l’étendue contraste avec l’étroitesse des lieux où se croisaient Chow et Su) que, selon une ancienne coutume, Chow va confier son secret dans le trou d'un mur et le boucher avec une poignée de terre. Le titre chinois du film veut dire « Le temps des fleurs ». Un temps décidément éphémère. C’est à la radio que Su écoutait la chanson « Age of bloom » de  Zhou Xuan à laquelle le film emprunte ce titre.

    « Il se souvient des années passées comme s'il regardait au travers d'une fenêtre poussiéreuse, le passé est quelque chose qu'il peut voir, mais pas toucher. Et tout ce qu'il aperçoit est flou et indistinct. » Du passé ne subsistent alors que des élans mélancoliques et des mots confiés à la pierre.

    Avec cette atmosphère sensuelle, ensorcelante, languissante, Wong Kar-wai a fait de son film une œuvre inclassable et novatrice, intemporelle et universelle. Alors, quand cette rêverie cinématographique s’achève, on quitte à regrets l’atmosphère enchanteresse de cette valse d’une suavité mélancolique à la beauté douloureuse des amours impossibles, cette longue parabole amoureuse qui nous laisse le souvenir inaltérable d’un secret brûlant, et de notes qui s’envolent comme les volutes de fumée qui nous enveloppent dans leur ruban soyeux.

    Wong Kar-wai a mis deux ans à achever In The Mood For Love, travaillant comme à son habitude sans script et s’inspirant des rushes déjà tournés pour bâtir la structure du film. « In the mood for love » a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2000. Tony Leung avait alors reçu le Prix d’Interprétation masculine Christopher Doyle, Mark Lee Ping-bing et William Chang avaient remporté le Prix Vulcain remis par la Commission supérieure technique de l’image et du son.

    Et pour terminer comme j’ai commencé, une citation, de Balzac cette fois extraite de La peau de chagrin :

    « Pour juger un homme, au moins faut-il être dans le secret de ses pensées, de ses malheurs, de ses émotions. Ne vouloir connaître que l’homme et les évènements c’est de la chronologie ».

    Pour prolonger les plaisirs cinématographiques estivales, retrouvez également, ici, mon article sur la programme cinéma du rooftop du MK2 Hôtel Paradiso.

    2/2  PLAZA CINEMA CLUB DU 29 JUIN AU 6 JUILLET 2025

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    Crédit Photos ©BobyAllin

    Là aussi il s'agit d'une programmation particulièrement enthousiasmante ! Pour la 4ème édition, le programme du Plaza Cinéma Club a de quoi réjouir les cinéphiles !

    Vous pourrez découvrir ces films dans la cour jardin du célèbre palace. Suite au succès des éditions précédentes, la Cour Jardin du Plaza Athénée se transforme de nouveau en cinéma
    en plein air, cette fois-ci pour 8 dates, du 29 juin au 6 juillet 2025.

    Chaque soir, les menus seront adaptés à la thématique des films projetés et seront servis au rythme des scènes, le tout ponctué de surprises tout au long de la dégustation. Ce voyage gourmand et cinématographique promet une expérience hors du temps.

    Dimanche 29 juin 2025

    Indiana Jones et la Cité de l'Arche Perdue de Steven Spielberg 1h55

    Seriez-vous prêt à manger l’Idole, le Médaillon ou l’Arche ? Le premier périple d’Indiana à travers le monde et ses découvertes culinaires... Attention aux dattes empoisonnées !

    Prix par personne : 290 € TTC

     

    Lundi 30 juin 2025

    Sabrina  de Billy Wilder– 2h07

    Le voyage d’Audrey Hepburn pour apprendre la cuisine à Paris : soufflé et romantisme au programme.

    Prix par personne : 290 € TTC

     

    Mardi 1er juillet 2025

    Casino Royale de Martin Campbell– 2h18

    Caviar, vodka martini et tout l’univers du premier James Bond incarné par Daniel Craig, entre Bahamas, Monténégro et Venise.

    Prix par personne : 340 € TTC

     

    Mercredi 2 juillet 2025

    Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet– 2h02

    Plongez dans le Paris de Montmartre, ses plats canailles et une certaine idée de Paris avant Emily, dans les pas d’Amélie.

    Prix par personne : 290 € TTC

     

    Jeudi 3 juillet 2025

    Astérix et Obélix, Mission Cléopâtre de Alain Chabat– 1h52

    Plats gaulois, romains et égyptiens sont à l’honneur le long du Nil. Serez-vous sur la liste ? Regardez à Jules, peut-être !

    Prix par personne : 290 € TTC

     

    Vendredi 4 juillet 2025

    Le Seigneur des Anneaux, La Communauté de l'Anneau de Peter Jackson– 2h58

    Un anneau pour les gouverner tous. Balade culinaire en Terre du Milieu, entre Mordor, petits plats de Hobbit et bière du Comté. Vous ne passerez pas !

    Prix par personne : 310 € TTC

     

    Samedi 5 juillet 2025

    Le Parrain 2 de Francis Ford Coppola– 3h22

    Le retour des plats de la famille Corleone, voyageant entre les époques et les pays : New York, Cuba, le lac Tahoe et la Sicile. Quel goût aura le baiser de la mort de Michael ?

    Prix par personne : 310 € TTC

     

    Dimanche 6 juillet 2025

    Le Sens de la Fête de Eric Toledano et Olivier Nakache– 1h56

    Notre quotidien au Plaza Athénée brillamment mis en scène entre loup, agneau et fraisier ! Et évidemment, nous allons sortir les feuilletés !

    Prix par personne : 290 € TTC

     

    Informations Pratiques

    Plaza Cinéma Club

    La Cour Jardin de l’Hôtel Plaza Athénée

    25, Avenue Montaigne (Paris 8ème).

    Du 29 juin au 6 juillet 2025 à partir de 20h30

    Lien de réservation : La Cour Jardin Events

    Pour ma part, si j’y allais, j’hésiterais certainement entre la fantaisie poétique et réjouissante de Jean-Pierre Jeunet, le chef-d’œuvre de Francis Ford Coppola, la comédie romantique et jubilatoire de Billy Wilder, le film tendrement désopilant de Toledano et Nakache, et le thriller de Martin Campbell (dont je vous propose ma critique ci-dessous)… Sans doute choisirais-je Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain pour la délicieuse alliance de fantaisie cinématographique et gastronomique que la soirée promet…

    Accueil dans la Cour Jardin à partir de 20h30 - Placement à 21h30 et début de la projection à 21h45.

    Un casque audio sans fil sera fourni à tous les participants.

    Les films seront diffusés en version originale et sous-titrés en français ou anglais selon la langue.

    Accessible aux enfants à partir de 12 ans.

    Une coupe de champagne, l’eau et les boissons chaudes sont inclus dans le prix du menu.

    Réservations obligatoires - Places limitées

     

    CRITIQUE de CASINO ROYALE de Martin Campbell (Dîner du 1er juillet)

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    Que n'a-t-on pourtant pas entendu lors de ce choix de Daniel Craig pour incarner James Bond et lorsqu'il a été annoncé qu'il succèderait à Pierce Brosnan, un choix (après plus de 200 comédiens auditionnés !), il est vrai, plutôt osé tant son physique et son jeu contrastent voire tranchent avec ceux de ses prédécesseurs : Pierce Brosnan, Sean Connery, Roger Moore, Timothy Dalton, George Lazenby. Sixième à incarner James Bond depuis 1962, Daniel Craig est le premier à sortir du personnage du svelte dandy au sourire ravageur et carnassier, aussi collectionneur des gadgets dernier cri que des James Bond girls.

    James Bond (Daniel Craig donc) qui vient d'obtenir le double zéro, c'est-à-dire le permis de tuer, doit ici affronter le puissant banquier privé du terrorisme international, surnommé Le Chiffre (Mads Mikkelsen). Pour le ruiner et démanteler son immense réseau criminel, James Bond doit le battre lors d'une partie de poker au Casino Royale.  C'est la très mystérieuse et sublime Vesper (Eva Green), attachée au Trésor britannique qui l'accompagne afin de veiller à ce qu'il prenne soin de l'argent britannique avec lequel il va jouer. Mais rien ne va se passer comme prévu, James Bond va en effet devoir faire face à une situation qui va le rendre inhabituellement vulnérable...

    Ce 21ème James Bond est l'adaptation du premier opus écrit par Ian Fleming en 1953 et son adaptation signe aussi le vrai retour à l'univers de Fleming. Rien à voir donc ici avec la version parodique de 1967 également intitulée Casino Royale.

    Dès les premiers plans, nous sommes plongés dans un univers brutal, au rythme effréné, aux scènes aussi spectaculaires que trépidantes avec dès le départ une course poursuite avec paroxysme sur grue vertigineuse puis une seconde dans un aéroport. Changement de décor avec l'arrivée au Casino Royale du Montenegro après une jouissive joute verbale entre Bond et Vesper.

    Ce film est une réjouissance et une surprise continuelles d'abord avant tout dues au scénario de Robert Wade et Neal Purvis magistralement réécrit par Paul Haggis (notamment scénariste de Million Dollar baby et Mémoires de nos pères, réalisateur de Collision et Dans la vallée d'Elah) alternant intelligemment les scènes d'action pure, de suspense (aussi bien dans les scènes d'action que celles de poker, véritable combat intellectuel), de romance mais aussi les décors aussi exotiques les uns que les autres des Bahamas à Venise.

    C'est un Bond, à la fois amoureux et donc vulnérable mais aussi plus violent, viril et glacial, plus sombre et plus musclé qui use de son « permis de tuer ». Daniel Craig lui apporte une dureté, une intensité, une classe inédites et à côté de lui les précédents acteurs l'ayant incarné font bien pâle figure. Certains ont été à l'époque décontenancés par ce James Bond qui a perdu certaines caractéristiques qui contribuaient à sa spécificité : il n'utilise (temporairement) plus ou si peu de gadgets, a perdu une partie son flegme et son humour britanniques (même si les dialogues et le détachement dont il sait toujours faire preuve dans les situations les plus dramatiques ou face à M sont particulièrement savoureux), et se rapproche davantage de Jason Bourne que du héros de Ian Fleming dans ses précédentes adaptations même si la situation le fera évoluer vers davantage de raffinement. Il a aussi su s'adapter à l'époque complexe dans laquelle il vit, l'ennemi n'étant plus le bloc soviétique, fin de la guerre froide oblige, mais les financiers du terrorisme international. On assiste ainsi à une véritable surenchère : dans les scènes d'action (leur nombre et leur aspect spectaculaire), dans leur violence (Bond est soumis à la torture), dans le nombre de plans, mais aussi dans le nombre de lieux, James Bond nous embarquant ainsi aux Bahamas, en République Tchèque, à Venise, à Madagascar, en Ouganda, au Montenegro. C'est aussi d'ailleurs pour cela qu'on se rue dans les salles à chaque nouveau volet : pour ce  voyage auquel il nous invite, il nous emmène ailleurs dans tous les sens du terme et de ce point de vue aussi ce James Bond est particulièrement réussi.

    Mais le principal atout qui sans doute ralliera ceux qui juste-là étaient allergiques à son univers, c'est le duo qu'il forme avec Vesper, un duel sensuel qui apporte beaucoup de piquant à l'intrigue, et plus d'humanité au personnage de Bond, aussi brutal soit-il.  Mystérieuse, impertinente, voire arrogante mais aussi vulnérable, Vesper lui ressemble trop pour qu'il lui reste insensible. Certaines scènes rappellent ainsi certains drames romantiques parmi les meilleurs ( la musique - de David Arnold- rappelle celle d' Out of Africa et les dernières scènes à Venise font penser à Titanic ) et contrebalancent ainsi cette nouvelle brutalité.  Et cette alliance du romanesque avec l'univers sombre et brutal de ce James Bond donne un résultat aussi étonnant que détonant, à la fois moderne et complexe à l'image de Bond et Vesper, un film au rythme haletant qui sait aussi prendre le temps des dialogues et de l'émotion.

    Eva Green est aussi pour beaucoup dans cette réussite, incarnant à la perfection et avec beaucoup de classe ce premier amour de Bond à l'esprit vif, à la vulnérabilité touchante et à l'arrogance mystérieuse. Face à eux Le Chiffre incarne « le méchant » qui ne cherche plus à dominer le monde.

    La réalisation de Martin Campbell (qui avait déjà réalisé Golden Eye) est d'une efficacité redoutable et la musique du chanteur américain Chriss Cornell (ancien leader du groupe « Soundgarden ») qui interprète You know my name, la chanson-phare de Casino Royale achève d'en faire une réussite totale.

    Ajoutez à cela un brillant retournement final, et vous obtiendrez un film sombre, spectaculaire, réjouissant, haletant dont vous avez l'impression que le terme jubilatoire a été inventé pour le qualifier.  2H20 dont je vous garantis que vous ne les verrez pas passer et après lesquelles vous n'aurez qu'une envie : refaire le voyage ou voir la suite des aventures de ce Bond écorché vif, trahi, et avide de vengeance.

    James Bond confirmera ensuite son entrée dans cette nouvelle ère avec Quantum of Solace que je vous recommande également même s'il n'a pas atteint la perfection du genre que représente Casino Royale.

  • Les projections Rooftop de l'Hôtel Paradiso - Cinéma Hôtel MK2 : le programme

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    Crédits photo - Hôtel Paradiso MK2

    Alors qu'aura bientôt lieu le Cinéma Paradiso Louvre 2025 (bel évènement qui allie gastronomie, cinéma, patrimoine et musique, dans la cour carrée du Louvre, je vous en parle longuement, ici), MK2 est aussi à l'origine d'une programmation qui devrait également illuminer votre été de cinéphile, à l'Hôtel Paradiso. Un hôtel dont le nom fait référence à ce petit bijou de film de Giuseppe Tornatore qu'est Cinema Paradiso, sublimé par la musique de Morricone, c'est déjà un encouragement à découvrir les lieux !

    Quelques mots sur l'Hôtel Paradiso...le rêve hôtelier de tout cinéphile puisqu'il s'agit du premier cinéma-hôtel. Situé à Paris, c’est un lieu unique au monde où le cinéma est un art de vivre. À deux pas de la place de la Nation, les 34 chambres et deux suites cinéma ont été imaginées pour être le meilleur endroit où visionner un film. Elles sont toutes équipées d’un vidéoprojecteur laser, d’un écran de 3 mètres de large et se métamorphosent en quelques secondes en salles de cinéma. 

    Dans toutes les chambres, vous pouvez ainsi retrouver une programmation de films et de séries, sélectionnés pour vous par les équipes de mk2 et du magazine Trois Couleurs parmi toutes les meilleures plateformes de contenus disponibles : MyCanal, OCS, mk2 Curiosity, Netflix, Prime Video, Carlotta Films, Mubi, Arte… Vous pouvez également découvrir les films à l'affiche dans les deux salles de projections des suites cinéma.

    Tous les dimanches, à 21h30, le Rooftop de l'Hôtel Paradiso se transforme en salle obscure à ciel ouvert. Un cocktail à la main, au coucher du soleil, vous pourrez vous installer face à une curation de films signée mk2... C'est l'adresse parfaite pour finir le week-end en beauté, la tête dans les étoiles et les pieds sur les toits de Paris.

    Le programme est particulièrement réjouissant. Je vous invite à le découvrir ci-dessous, et à retrouver en bas de cet article, ma critique d'un des films proposés, Les Amours imaginaires de Xavier Dolan.

    Le dimanche 15 juin à 21h30
    Charade
    de Stanley Donen
    (1963, 120min, VOSTFR) 

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    Le dimanche 22 juin à 21h30
    Les Amours imaginaires
    de Xavier Dolan
    (2010, 101min, VF) 

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    Le dimanche 29 juin à 21h30
    Holiday
    de Guillaume Nicloux
    (2010, 90min, VF) 

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    Le dimanche 6 juillet à 21h30
    Sur la route
    de Walter Salles
    (2012, 140min, VOSTFR) 

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    Le vendredi 13 juin à 21h

    DJ Set du FIP Squad

     Au coucher du soleil, avec tout Paris en toile de fond, le FIP Squad prendra le contrôle du Rooftop pour un DJ Set.

     

    Informations pratiques 

    Rooftop Paradiso, Hotel Paradiso, 135 bd Diderot, 75012 Paris

    Le Rooftop est ouvert tous les jours, entrée libre sans réservation (sous réserve de disponibilité) hormis pour les projections du dimanche soir où la réservation est obligatoire. 

    Du lundi au jeudi de 16h à 23h30.
    Du vendredi au dimanche de 14h à 00h00.

    Pour en savoir plus : https://www.mk2hotelparadiso.com/fr 

    CRITIQUE - LES AMOURS IMAGINAIRES de XAVIER DOLAN

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    La rencontre de ces amours imaginaires (présenté à Cannes dans la section « Un Certain Regard ») fut aussi pour moi celle avec l’univers de Xavier Dolan.

    Francis (Xavier Dolan) et Marie (Monia Chokri) sont tous deux amis et épris du même jeune homme rencontré lors d’une soirée, Nicolas (Niels Schneider), et tous les deux bien déterminés à le conquérir, analysant, interprétant, scrutant obsessionnellement le moindre geste ou comportement de leur (obscur) objet du désir.

    Dès les premiers plans se dégage de ce film un charme irrésistible et surtout un ton, un style qui font souffler un vent d’air frais et revigorant sur le cinéma. Xavier Dolan est un vrai cinéphile et son film regorge de références cinématographiques   (entre les ralentis langoureux et poétiques à la Wong Kar Waï, les couleurs chatoyantes et la fantaisie jubilatoire à la Almodovar,  les plans de dos à la Gus Van Sant, les références à la Nouvelle Vague, au Mépris de Godard, un trio à la Jules et Jim de Truffaut ou encore des confessions face caméra qui rappellent Woody Allen) mais aussi picturales (Boticelli, Michel Ange) ou littéraires (Musset…).

    Que de brillantes références me direz-vous.  Tout cela aurait pu donner un film présomptueux mais Xavier Dolan, d’une part, a su assimiler toutes ces références pour créer son propre univers et d’autre part, y apporter une légèreté masquant savamment la mélancolie sous-jacente (que ne faut-il pas avoir souffert en amour pour faire preuve d’une telle maturité et clairvoyance  à seulement 21 ans!), que ce soit par les dialogues, légèrement précieux, souvent hilarants, toujours caustiques ou le jeu des comédiens (à commencer par celui du personnage qu'il incarne mais surtout celui de Monia Chokri absolument irrésistible).

    La caméra de Xavier Dolan est au plus près des visages, ignorant le plus souvent le cadre spatial à l’image de cet amour obsédant qui rend Marie et Francis aveugles au monde qui les entoure. La mise en scène non seulement épouse le propos du film mais devient un élément scénaristique : puisque Marie et Francis se « font des films » (l’un se prenant pour James Dean, l’autre pour Audrey Hepburn), et sont enivrés par leur fantasmagorie amoureuse, par ce destructeur et grisant vertige de l’idéalisation amoureuse, le film en devient lui-même un  vertige fantasmatique. Cette soirée aux images syncopées rappelle ce vertige à la fois grisant et déstabilisant, ce manège qui rend si floue la frontière entre enchantement et désenchantement, rêve et illusion. Marie et Francis sont amoureux d’une chimère, d’une image,  d’un idéal, d’une illusion, de l’amour même qui prend ici les traits d’un bellâtre ambigu aux allures de Dieu Grec. L’histoire de notre trio est entrecoupée de « témoignages » face caméra de style documentaire de victimes d’illusions amoureuses, là aussi irrésistibles.

    Xavier Dolan a aussi en commun avec quelques uns des plus brillants réalisateurs auxquels il se réfère une bande originale particulièrement soignée, à l’image du film, mêlant modernité, et titres plus anciens, et musique classique : de Dalida qui reprend « Bang Bang » à Indochine jusqu’à « The Knife », « Fever Ray », « Vive la fête » en passant par Bach qui rappelle mélodieusement la douleur de ces irrépressibles et irrationnels élans amoureux, de ces amours qui rongent et enragent.

    Xavier Dolan est un véritable chef d’orchestre qui mêle les couleurs, les références les arts, un prodige du cinéma (à la fois monteur, scénariste, producteur, acteur, s’occupant aussi des costumes) faisant à la fois preuve de l’inventivité et de l’audace de sa jeunesse mais aussi d’une étonnante maturité. Déclaration d’amour au cinéma, déclaration de désespoir d’un amoureux désillusionné sous des allures de fable burlesque et hilarante, Les amours imaginaires est un film mélancoliquement caustique.

    Xavier Dolan signe là une fantasmagorie pop, poétique sur la cristallisation amoureuse, sur les illusions exaltantes et destructrices, sublimes et pathétiques : un film enivrant et entêtant comme un amour imaginaire… sans les effets secondaires. À prescrire donc et à très haute dose !

    À lire aussi : ma critique de Juste la fin du monde de Xavier Dolan.

  • CONCOURS - Gagnez un séjour de rêve pour 2 au Novotel Thalassa Dinard

     

    Je suis vraiment ravie de pouvoir vous proposer ce concours pour un séjour de rêve dans un hôtel splendide  pour lequel je vous ai récemment fait part de mon enthousiasme, un hôtel situé en Bretagne (ce qui est aussi un atout indéniable, non ?) : le Novotel Thalassa Dinard. Je profite du Festival du Film Britannique de Dinard qui aura lieu cette semaine et en direct duquel je serai pour lancer ce concours dans cet établissement d’exception, véritable oasis de bien-être et de sérénité.

    Je remercie le Novotel Thalassa Dinard pour ce beau partenariat qui permettra à l’un d’entre vous de remporter un séjour pour deux d’une valeur de 466€ par personne (soit 932 euros) pour une chambre côté jardin, pour deux nuits en chambre et petits déjeuners avec, en plus, 3 soins par personne et par jour (Escale Océane). Bref, le séjour idéal pour vous ressourcer et profiter des bienfaits de la mer et de la Bretagne !

    Avant de vous poser quelques questions qui vous permettront peut-être de remporter ce séjour  dans un lieu idyllique (retrouvez le concours en bas de cet article),  je publie à nouveau ci-dessous l’article sur mon séjour qui vous donnera une idée des multiples atouts de cet établissement, l’adresse idéale pour découvrir Dinard et Saint-Malo sur lesquels, depuis l’hôtel, vous aurez une vue à couper le souffle.

    Dinard. Prononcez le nom de cette sublime ville bretonne et s’enclenche pour moi la valse des souvenirs sur la Côte d’Emeraude, la si bien nommée. Souvenirs d’enfance. Mais aussi souvenirs du Festival du Film Britannique où je retourne régulièrement depuis ma participation à son jury en 1999 (retrouvez ici le texte que j’avais écrit dans le livre anniversaire du festival Flashback). Une nouvelle de mon recueil de 16 nouvelles sur les festivals de cinéma Les illusions parallèles (Editions du 38) se déroule même dans le cadre de ce festival et j’avais eu le plaisir de le dédicacer en 2016 dans le très belle librairie Nouvelles impressions de Dinard. Retrouvez aussi mes nombreux articles sur le Festival du Film Britannique sur mon blog cinéma Inthemoodforcinema.com. Vous l’aurez compris : en bref, j’aime Dinard !


    Ci-dessus, en dédicace à la librairie Nouvelles impressions de Dinard.

    A l’invitation du Novotel Thalassa de Dinard, j’ai eu le plaisir de (re)découvrir cet établissement où j’étais allée à ses débuts et qui, depuis et a fortiori ces derniers temps, a su si bien évoluer et se transformer. L’hôtel se situe ainsi entre le Mont St Michel et le Cap Fréhel aux portes de St Malo et du golf de St-Briac. Un emplacement idyllique pour les amoureux de la région et pour ceux qui souhaiteraient avoir un chaleureux port d’attache afin de la découvrir.

    Dès l’accueil, vous saisit une impression de bien-être et de sérénité, rares, qui ne se démentira pas de tout le séjour. Devant l’hôtel se situe une belle fontaine qui déjà vous invite à la détente. Dès que vous franchissez l’entrée du parking (gratuit), la végétation luxuriante vous enveloppe et vous embarque. L’accueil à la réception est particulièrement affable et souriant. Une belle exposition dans le hall agrémente joliment les lieux. Dès le hall, l’espace, l’ouverture sur la mer avec les grandes baies vitrées, les ascenseurs habillés de trompe-l’œil évoquant la côte d’Emeraude, invitent à la détente et à l’évasion.

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  • Tourisme - 4 hôtels de luxe testés pour vous : le Lutetia Paris, Les MGallery by Sofitel aux Sables d'Olonne et à La Rochelle, et l'Atalante à l'île de Ré

    Avant de reprendre enfin le fil de mes articles consacrés au cinéma et à mon actualité de romancière, je vous renvoie vers les liens vers mes articles consacrés à quatre établissements que j'ai eu le plaisir de tester et/ou visiter. De quoi vous trouver de belles destinations pour ce mois d'août à Paris, La Rochelle, l'île de Ré ou encore les Sables d'Olonne.

    Cliquez sur  les images pour lire le ou les articles qui vous intéressent.

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  • Hôtel Barrière Le Majestic Cannes : l'adresse de rêve où séjourner pendant le Festival de Cannes 2018

     

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    A moins d’un mois du 71ème Festival du Film de Cannes qui aura lieu du 8 au 19 mai et alors que vient d’être annoncée la sélection officielle de cette édition 2018 (retrouvez-la, détaillée, dans mon article à ce sujet, ici), je vous emmène aujourd’hui rêver un peu dans le plus beau palace de la Croisette et celui qui est à mon avis l’endroit idéal pour séjourner pendant le festival :  le fastueux hôtel Barrière Le Majestic.

    En 17 Festivals de Cannes couverts du premier au dernier jour (notamment sur mon blog consacré au Festival de Cannes "In the mood for Cannes"), j’ai eu l’occasion d’expérimenter toutes sortes d’hôtels cannois  (du plus au moins luxueux) et toutes sortes de restaurants sur la Croisette. J’ai ainsi choisi de vous parler aujourd’hui de l’un de ces hôtels cannois, celui que j’affectionne plus que les autres, le palace qui  sert aussi de cadre à mon premier roman, « L’amor dans l’âme » (Editions du 38), un roman dont l’intrigue se déroule au cœur du Festival de Cannes. Les passages qui se déroulent à l’hôtel Majestic ont ainsi pour décor son restaurant Le Fouquet’s,  le hall mais aussi  la somptueuse suite Mélodie inspirée du film de Verneuil Mélodie en sous-sol (mes photos souvenirs ci-dessous, encore merci à l’équipe de l’hôtel pour l’écho donné à mon roman et pour les photos réalisées dans la suite lors du Festival de Cannes 2017).

    Ci-dessus, publication de la page officielle de l’hôtel Barrière Le Majestic pendant le Festival de Cannes 2017.

    Ci-dessus, photos personnelles avec mon roman « L’amor dans l’âme » dans la suite Mélodie de l’hôtel Barrière Le Majestic.

    Si j’avais une baguette magique, c’est sans aucun doute en effet l’Hôtel Barrière Le Majestic que je choisirais pour séjourner pendant le festival, en raison de ses multiples atouts (que je vous présente ci-dessous) notamment de sa proximité avec le palais des festivals (c’est le palace le plus proche du palais) qui en font le lieu  de séjour rêvé pour les festivaliers, et bien sûr en raison de l’accueil et du service, toujours irréprochables dans les hôtels Barrière, comme ce fut par exemple le cas  lors de mon séjour de 10 jours à l’hôtel Barrière Le Royal de Deauville pendant le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017 (mon article, ici).

    Photo ci-dessus à l’hôtel Barrière le Royal de Deauville lors du Festival du Cinéma Américain 2017 © Dominique Saint

    Si je n’ai jamais séjourné au Majestic, j’y ai tant de souvenirs glanés au fil de mes 17 festivals de Cannes (comme ci-dessous en 2009 lorsque j’avais gagné le prix L’Oréal du meilleur blog, le hall a changé depuis mais est toujours aussi splendide) que je peux vous en parler comme si tel avait été le cas… Né en 1926, le Majestic n’a cessé de s’embellir et s’agrandir. Le 1er février 1926, l’Hôtel Majestic voit le jour : 250 Chambres avec Salles de bain, des salles de réception décorées par le peintre Francis di Signori, l’un des artistes les plus en vue de l’époque, des escaliers monumentaux en marbre de Carrare, un dallage en marbre rouge des Pyrénées, matériau précieux et lumineux… L’hôtel, déjà, est somptueux. En 1999, 40 nouvelles chambres voient le jour ainsi qu’une piscine moderne et raffinée parée de mosaïques réalisées par les verriers de Murano, un jardin terrasse et, directement sur la Croisette, une série de boutiques de luxe. La deuxième aile voit le jour en 2010 après un chantier colossal de plus de quatre ans.

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    L’hôtel , à l’image de sa plage dont je vous parlerai plus bas, se situe à la fois en plein centre de Cannes et un peu en retrait de son agitation.  Il est également situé sur la Croisette et à deux pas des boutiques de la rue d’Antibes, du port et du Suquet. Son concierge clefs d’or répondra à vos demandes avec affabilité et professionnalisme remarquables (je peux en témoigner).

    L’hôtel Le Majestic Barrière est aussi affilié aux Leading hôtels of the world, ce qui est aussi un indéniable gage de qualité. Le Majestic a reçu de nombreux prix et distinctions. Elu tour à tour « Luxury Hotel » aux « World Luxury Hotel Awards », « Best Hotel », « Hotel Best Architecture » et « Best resort Hotel » aux « International Hotel Awards » de Londres… Nommé « Meilleur Hôtel de bord de mer » au monde en 2012, il a reçu en 2015 les « Best Hotel France » et « Best Convention Hotel France » aux « International Hotel Awards ».

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    A fortiori pendant le festival, il est impossible de ne pas avoir le regard attiré par son entrée majestueuse qui est alors d’autant plus spectaculaire que, souvent, des studios américains rivalisent d’imagination pour la mettre en scène. Chaque année, plus de cinquante chambres deviennent ainsi des bureaux éphémères. L’hôtel affiche complet plusieurs mois à l’avance. Cela n’empêche pas certains de débarquer au dernier moment, comme cet Américain qui, en 1983, posa ses valises devant la loge, au plus fort du Festival. Lucien Barrière en personne lui céda son appartement privé. Il faut dire que l’homme en question se nommait… Paul Newman !

      La magie du Festival se vit tout au long de l’année grâce à une remarquable collection de plus de 2 500 clichés. Retraçant soixante ans de Festival, ces murs d’images donnent à voir les plus grands talents d’Hollywood (Al Pacino, Robert de Niro, Steven Spielberg…) et les monstres sacrés du cinéma français : Alain Delon, Jean-Paul Belmondo, Romy Schneider, Catherine Deneuve.  Pendant les douze jours du Festival, Le Majestic multiplie également les chiffres records : 14 000 serviettes de bain, 15 000 draps et 8 000 peignoirs,  16 000 savonnettes, 1000 litres de bain moussant, 8 000 roses déposées par les femmes de chambre dans les chambres,  500 pantalons et chemises à nettoyer et repasser par jour, •des effectifs qui passent de 350 à 700 personnes,  25 000 repas servis au restaurant ou dans les réceptions privées,  15 % de la recette annuelle de l’hôtel en matière de restauration, 2 tonnes de homard, 3 de poisson, 40 de fruits et légumes, 160 000 oeufs, 50 kilos de caviar, 350 kilos de foie gras et 800 de langoustes,  18 500 bouteilles de vin, dont plus de la moitié de champagne.

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    Une fois l’entrée franchie, vous découvrirez un hall aux proportions vertigineuses qui n’en reste pas moins particulièrement élégant, cosy et chaleureux. Si le luxe est présent, il est toujours synonyme de chic et jamais d’ostentation. En 2016, le Majestic Cannes a ainsi vu son décor évoluer et plusieurs de ses lieux emblématiques une nouvelle fois sublimés par les plus grands noms de la décoration.  La nouvelle décoration du lobby du Majestic, dévoilée à l’occasion du Festival de Cannes 2016, est assurée par les plus grands noms du monde de l’architecture : le Cabinet Danan s’est inspiré de Jacques-Emile Ruhlmann, l’un des acteurs principaux du style Art Déco des années 1920 – 1930. La lustrerie du hall et de la conciergerie a été confiée à la «poétesse de la lumière», Sylvie Maréchal.

    Le choix de chambres et suites est tellement pléthorique qu’il faudrait être particulièrement difficile pour ne pas trouver son bonheur. Dans la suite Mélodie précédemment évoquée,  dans laquelle fut tourné le film de Verneuil en 1963, vous pourrez profiter de la terrasse panoramique sur la Méditerranée mais aussi du service d’un Majordome dédié et d’un accueil Top VIP. Tels Jean Gabin et Alain Delon dont les portraits surmontent la tête de lit, vous serez ainsi la star de la Suite Mélodie. La superbe fenêtre en demi-lune qui s’étend du sol au plafond, la salle de bain de marbre rose et l’accès illimité au Centre de remise en forme et à l’Espace sensoriel avec sauna, hammam et douche expérience du Spa Diane Barrière sublimeront votre séjour. Un bijou de 150 m² lové sous la coupole Est. Comme en témoigne ma photo ci-dessous, la vue y est réellement à couper le souffle et même délicieusement vertigineuse !

    Ci-dessus, photo personnelle.

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     Ci-dessus, photos officielles de l’hôtel.
     
     
    Parmi les nombreuses chambres et suites proposées, j’ai également un faible pour la récente suite Michèle Morgan qui, comme la précédente, enchantera les amoureux du septième art.  La Suite Michèle Morgan, d’une superficie de 85m2, offre 2 chambres à coucher avec leurs salles de bains en marbre privatives, séparées par un agréable et spacieux salon central. Une suite créée à l’image de l’inoubliable interprète du Quai des brumes qui l’a inspirée: lumineuse et d’un chic intemporel. « J‘ai créé une suite à l’image de l’immense artiste qui l’a inspirée : lumineuse, d’un chic intemporel… » a ainsi déclaré la décoratrice Chantal Peyrat qui, au printemps 2017, a signé l’atmosphère de la Suite Michèle Morgan.
     
     
    Photos ci-dessus issues du site officiel de l’hôtel.
     

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    Autre suite de rêve,  particulièrement glamour et élégante, la suite Christian Dior : somptueux appartement de 450 m² avec une terrasse à 180° sur la Méditerranée. La magnifique Suite Christian Dior reprend les codes de la célèbre maison de couture parisienne. Vous pourrez apprécier la préciosité de la décoration inspirée de celle du 30 avenue Montaigne et les prestations haut de gamme des lieux. Majordome aux petits soins, délicate parure de linge brodé, home cinéma dernier cri et somptueuse salle à manger Louis XVI : rien ne manque ! Chaque détail des deux Suites qui composent ce vaste appartement est soigné. La terrasse panoramique et l’accès gratuit au Centre de remise en forme et à l’Espace sensoriel avec sauna, hammam et douche expérience du Spa Diane Barrière ajoutent au plaisir de ces lieux enchanteurs.
     
     
     
     
    Photos ci-dessus issues du site officiel de l’hôtel.
     
    Difficile aussi de ne pas succomber au charme de la suite Majestic Barrière : le luxe à son paroxysme avec cette suite située au 7ème étage, la plus somptueuse suite d’Europe dit-on. Elle possède ainsi une piscine chauffée à contre-courant en apesanteur sur une terrasse de 150 m² !  Ambiance yachting et vue spectaculaire sur la mer garanties. Confort et raffinement ultimes sur 450 m² avec un Majordome à votre service.  Egalement à disposition : un vaste dressing, un home cinéma avec écran motorisé de 3×2 mètres, une sublime salle à manger en chêne blanc et acajou, un espace fitness avec une douche expérience et un Majordome dédié. Vous pourrez aussi profiter d’une vue vertigineuse sur le Palais des Festivals et des Congrès, les îles de Lérins et l’Estérel. Une sublime oasis de paix et d’évasion, réalisée par l’architecte français Pascal Desprez.
     
     
     
     
    Photos ci-dessus issues du site officiel de l’hôtel.
     
    Bien sûr, les chambres plus « classiques » n’en sont pas moins luxueuses et singulières, comme la chambre Deluxe ville ci-dessous, de 25 m5. Vous n’aurez ainsi que l’embarras du choix parmi les 349 chambres et suites que compte l’hôtel.
     
     Photo ci-dessus issue du site officiel de l’hôtel.
     
    Parmi les multiples atouts de l’hôtel Barrière Le Majestic, celui-ci devrait ravir les cinéphiles (et me ravit en tout cas !) : l’hôtel dispose en effet d’une somptueuse Cinémathèque et même désormais d’un ciné-club. La Cinémathèque Diane peut ainsi contenir 35 personnes maximum. Un vaste choix de DVD vous est proposé par la Conciergerie… Films d’aventure, romantiques, pour enfants, blockbusters, en plusieurs langues ou sous-titrés : vous n’aurez que l’embarras du choix. L’Hôtel Le Majestic propose tous les dimanches soir le “Barrière Ciné-Club”. Une belle occasion de finir le week-end sur une note glamour en version grand écran, confortablement assis dans les fauteuils en velours, accompagné d’une coupe de Champagne et d’un mélange salé. Voilà ce à quoi vous donne accès cette offre à 35 euros par personne : accès à la projection privée, coupe de Champagne servie dans la salle de projection, accompagnée d’un mélange salé, visite d’une des cinq suites signatures. Le rêve ! Sur réservation uniquement. Le prochain ciné-club vous permettra de (re)découvrir The Revenant (2015) de Alejandro González Iñárritu avec Leonardo DiCaprio, Tom Hardy et Domhnall Gleeson dont vous pouvez retrouver ma critique détaillée, ici. Exceptionnellement,  vous pourrez visiter la Suite Michèle Morgan à cette occasion.
     
     
    Comme tout palace digne de ce nom, le Majestic vous propose un vaste choix de restauration. Le Fouquet’s est un peu ma Madeleine de Proust puisque j’y fêtais autrefois chaque année mon anniversaire qui a la bonne idée de tomber toujours pendant le festival du film. Je garde ainsi l’inénarrable souvenir d’un dîner lors duquel est arrivé dans la salle du Fouquet’s Pedro Almodovar et ses actrices qui venaient d’obtenir le prix d’interprétation féminine pour l’ensorcelant Volver en 2006 et qui étaient venus patienter là avant le dîner de clôture. De concert, la salle les avait applaudis. Et je me souviens encore avec émotion de la tape bienveillante de Pedro Almodovar sur le dos de mon père.
     
    Je suis retournée y déjeuner en mai dernier. Le service y était absolument parfait et d’une rare et exceptionnelle amabilité.

    Ci-dessus, publication du compte Instagram du Majestic. lors du Festival de Cannes 2017

     Le Fouquet’s Cannes cultive l’esprit brasserie de son prestigieux modèle parisien. À la carte, élaborée en collaboration avec Pierre Gagnaire (comme au Royal Barrière de La Baule où la cuisine est là aussi réellement excellente comme je vous le racontais, ici), des plats “canailles” réunissent célèbres gourmets et stars gourmandes. Vous pourrez par exemple opter pour la formule du midi : suggestion du chef ou choix d’un plat signalé sur la carte , le plateau de pâtisserie Fouquet’s (une pâtisserie au choix) et un café Grande Réserve. Le tout pour 32 euros par personne. Tous les jours au déjeuner de 12h00 à 16h00 du lundi au vendredi. Vous pourrez aussi choisir le menu Pierre Gagnaire,  tous les soirs, à 68 euros. Pour ma part, j’avais opté pour le Fish and chips. Un régal !
     
     
     
     Photos personnelles du déjeuner au Fouquet’s.
     
     
     
    Vous pourrez également opter pour le restaurant La petite maison de Nicole où les saveurs méridionales et les crustacés, notamment, sont à l’honneur.  Là, vous pourrez profiter des Soirées Musique Live ( tous les jeudis, vendredis et samedis soir), de l’ambiance musicale 100% Années 80 ( tous les mercredis soir -hors période de congrès-) avec entrée, plat, dessert, un verre de vin et 1/2 bouteille d’eau pour 52€ prix net par personne. Vous pourrez également profiter de la Formule du jeudi ( soirée musique live autour d’un dîner à partager-hors période de congrès-). Vous pourrez alors choisir 6 saveurs à partager, un dessert au choix, 1/2 bouteille d’eau minérale et  1/2 bouteille de vin par personne (59€ prix par personne, à partir de 2 personnes).
     
    Photo ci-dessus issue du site officiel de l’hôtel.
     
    Petite parenthèse pour vous recommander aussi l’excellent restaurant de plage de l’hôtel Barrière Le Gray d’Albion (photos ci-dessous), située non loin du Majestic.
     
     
     
    L’hôtel Majestic vous propose également 3 bars : la Rotonde Veuve Clicquot, le bar galerie du Fouquet’s, et la terrasse piscine.
     

    Photo ci-dessus de la plage Majestic issue du site officiel de l’hôtel.

    Autre atout de l’hôtel : sa sublime plage aménagée. C’est là que chaque année est célébré le début du festival mais aussi le clôture et, à chaque fois, l’élégance est au rendez-vous lors de fêtes auxquelles Gatsby le Magnifique n’aurait rien eu à envier. C’est sur la plage que se trouve désormais le BFire by Mauro Colagreco où vous pourrez déguster la délicieuse cuisine au feu de bois du chef. Vous pourrez aussi y rester alanguis sur un transat ou profiter de ses multiples activités nautiques.

    C’est là, sur la plage du Majestic, que se tiendra la Welcome Party du Festival de Cannes du mercredi 9 mai et, le lendemain, la soirée d’ouverture du Marché du Film. Bien d’autres événements leur succèderont jusqu’au bouquet final : le Dîner du Palmarès, organisée le samedi 19 mai, dont le menu est signé Pierre Gagnaire qui, le reste de l’année, supervise la carte des Fouquet’s. 650 invités se régaleront de mets imaginés par celui que ses pairs ont élu « le meilleur chef du monde ».

     

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    Vous pourrez aussi profiter de la splendide piscine extérieure chauffée à 27 degrés toute l’année.

    Photo ci-dessus issue du site officiel de l’hôtel.

    Vous pourrez également profiter du fitness center où vous pourrez notamment bénéficier d’une remise en forme personnalisée. Autre remarquable atout de l’hôtel : son Spa Diane Barrière dans un cadre au luxe infiniment zen avec stimulation multisensorielle, parcours personnalisés ou modelage sur-mesure. Vous pourrez profiter de 450 m² dédiés à votre seul bien-être. Vous pourrez savourer la signature du Spa Diane Barrière, associé à 2 marques reconnues de l’univers du bien-être: Biologique Recherche et son approche clinique du soin esthétique et LIGNE ST BARTH dont les soins vous transportent dans la douceur de vivre du monde Caraïbe.  Vous pourrez vous abandonner à des soins holistiques personnalisés, conçus pour détendre, restaurer et élever le corps, l’âme et l’esprit… Vous pourrez également opter pour un soin seconde peau,  un massage Chill Out avec des coquillages chauds ou faire appel à l’expertise d’un coach. Le Spa Diane Barrière c’est aussi un Espace Fitness avec cours collectifs et appareils cardio – musculation, 4 cabines de soins dont une double, une cabine coiffure ainsi qu’un Espace Sensoriel avec sauna et hammam. (Espace Sensoriel, accès libre et gratuit – Ouvert tous les jours de 9h00 à 20h00.)

    Je vous laisse découvrir le site officiel, l’excellent compte instagram et la page Facebook de l’hôtel qui vous réservent bien d’autres surprises. Par exemple, vous découvrirez que sur le toit du Majestic, au 7ème étage, sont installées des ruches, dont le miel multifleurs est utilisé pour la création des cocktails. Vous découvrirez également les nombreuses nouveautés 2018 du Spa et du fitness Center.

    Quelques clichés supplémentaires sur le ponton de la plage Majestic et en mer lors du tournage de Télématin réalisé lors du Festival de Cannes 2017.

    Cliquez ici pour revoir l’émission Télématin en direct de Cannes –

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    Comme chaque année, c’est l’agence ADR qui s’occupera de la plage Majestic pendant le festival. Voici le décor de la plage Majestic 71 en avant-première.
     
    Hôtel Majestic Barrière
    10 Boulevard de la Croisette, 06400 Cannes
  • Mon avis sur l'Hôtel Barrière Le Royal de Deauville : séjour de rêve pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017

    Photo ci-dessus © Dominique Saint

    Je vous ai souvent parlé ici de l’Hôtel Barrière Le Royal de Deauville, mon adresse deauvillaise de prédilection, où j’ai eu l’occasion de séjourner à plusieurs reprises mais toujours seulement trois ou quatre jours. Si je vous en parle à nouveau aujourd’hui, c’est parce que, en septembre dernier, à l’occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville (dont vous trouverez mon compte rendu cinématographique complet et détaillé, ici), mais aussi à l’occasion de la dédicace de mes livres Les illusions parallèles et L’amor dans l’âme (Editions du 38) à l’hôtel Barrière Le Normandy  voisin (mon article sur l’hôtel Normandy est à retrouver ici), en partenariat avec la formidable librairie de Deauville Jusqu’aux lueurs de l’aube, également pendant le festival ( hôtel et festival qui sont le cadre de plusieurs passages des livres en question ), j’ai eu l’immense plaisir d'être invitée 15 jours au Royal. Petite parenthèse pour vous annoncer que ma prochaine séance de dédicaces aura lieu au prestigieux Salon du Livre de Paris en mars 2018.

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    Dire que ce séjour à l’Hôtel Royal fut idyllique est un euphémisme tant tout fut absolument parfait ! Une véritable parenthèse de sérénité. Rarement un hôtel a aussi bien porté son nom tant j’ai été reçue comme une véritable princesse. Et c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de vous en parler à nouveau aujourd’hui pour partager avec vous ce séjour inoubliable qui vous donnera peut-être envie à votre tour de découvrir cet hôtel mythique et d’y vivre une expérience hors du temps. Peut-être cela vous donnera-t-il aussi une idée pour la Saint-Sylvestre si vous n’avez encore rien de prévu ou bien une idée de cadeau de Noël comme un séjour ou un soin dans son splendide nouveau Spa Diane Barrière.

     

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    J’avais aussi envie de partager avec vous les nombreux clichés que j’ai réalisés pendant mon séjour  qui fut un joyeux tourbillon et ceux réalisés par le photographe Dominique Saint (également auteur des photos des quatrièmes de couverture de mes livres) qui a eu la gentillesse de me proposer une séance photos dans l’hôtel.

    Photos ci-dessus © Dominique Saint

    Après mon article consacré à l’hôtel Royal Barrière de La Baule (à retrouver ici), le mois dernier, c’est donc au Royal de Deauville que je vous emmène cette fois-ci. En préambule, je tiens à remercier tout particulièrement le Directeur de l’hôtel Cyril Casabo qui est pour beaucoup dans le caractère convivial et chaleureux des lieux (et qui vous parlera avec passion de cet hôtel où il a depuis toujours rêvé de travailler) et qui contribue à ce que cet hôtel ait tant d’habitués qui le choisissent plutôt qu’un autre. Je remercie aussi tout particulièrement les chefs de réception adjoints, M.Sagot  et Mme Matter pour leur accueil ainsi que le Directeur d’exploitation M.Franck Louâpre et toute l’équipe du Royal qui a été aux petits soins…

     

    Deauville (ville à laquelle je consacre un autre blog, Inthemoodfordeauville.com) est à jamais pour moi le lieu où fut exacerbée ma passion pour le cinéma et le lieu qui changea le cours de ma vie, lors de mon premier Festival du Cinéma Américain de Deauville, il y a …25 ans déjà. Je n’ai jamais cessé d’y retourner depuis. L’hôtel Royal, lié pour moi a tant de souvenirs, représente la quintessence de Deauville.  Et c’était indéniablement l’endroit idéal pour profiter au mieux du 43ème Festival du Cinéma Américain de Deauville (mon 25ème donc !).

    C’est Nathalie Ryan, architecte d’intérieur et décoratrice, qui a notamment créé la somptueuse suite Dior à l’Hôtel Majestic à Cannes, qui s’est chargée de la décoration avec pour credo de « respecter et conserver l’âme historique des bâtiments, avec  leurs codes, leurs caractères, en insufflant un décor d’aujourd’hui, authentique. » La décoration du lobby, d’un rouge là aussi chaleureux et étincelant, vous donne envie de ne plus le quitter, surtout que la luminosité et l’atmosphère varient au gré des heures, entre cocooning et ambiance lounge, élégante et romantique le soir avec, en plus, une excellente bande sonore.

    L’hôtel 5 étoiles a tout du palace qu’il incarne et qu’il avait vocation à être dès sa construction, la preuve: il fait aussi partie de la chaîne Leading Hotels of the World qui compte ce qu’il y a de mieux dans l’hôtellerie mondiale.

    L’hôtel compte 217 chambres et 30 suites et dispose d’un restaurant, le Coté Royal  mais aussi d’un bar où vous pourrez vous restaurer, L’Etrier.

    Bâti il y a plus de cent ans, le Royal a ainsi su s’adapter au fil du temps, se moderniser tout en conservant son luxe et son charme d’antan, bien loin des hôtels standardisés sans âme qui fleurissent un peu partout.

    Au Royal rien ne manque et avec le rythme trépidant du festival, je n’ai même pas eu le temps de profiter de tout et notamment pas de son  nouveau Spa Diane Barrière. Le centre de yoga Tigre Yoga club propose ainsi des cours de yogas, méditation de pleine conscience, arts énergétiques et cours de Pilates. Le Tigre Yoga Club est un concept unique; à la fois club de bien-être, institut de soins et concept store dédié au wellness. Y sont pratiqués techniques de pointe de soins et massages du concept Aerial Wellbeing for the Future™ . Ce lieu réunit des soins raffinés, efficaces, consacrés à la beauté et au bien-être : manucures et pédicures, épilations à la cire douce et endermologie corps et visage .

    Au Royal, vous trouverez aussi hammam, sauna, solarium, piscine privée (extérieure mais chauffée à 28 degrés et très agréable) et centre de fitness… Vous pouvez même y louer gratuitement des vélos et profiter du magnifique salon Jacques Dessange situé au deuxième étage ! Les beaux jours, vous pourrez aussi profiter des buffets autour de la piscine.

    A proximité immédiate de l’hôtel, Deauville et ses environs proposent aussi de nombreuses activités sportives et de plein air : golf, thalassothérapie (de l’autre côté de la rue), tennis, équitation, sports nautiques, casino (juste à côté)… et bien sûr, les planches où vous pourrez profiter de la beauté lunatique et du cadre revigorant et enchanteur de ce lieu deauvillais emblématique  sans compter les nombreuses activités à Deauville, toute l’année. Vous pourrez aussi aller à pied à l’hippodrome.

    La chambre, réellement splendide qui m’a été attribuée (au 4ème étage les deux premiers jours puis la 612 au 6ème étage le reste du séjour, je vous la recommande !) bénéficiait d’une vue à couper le souffle sur Deauville (je n’ai pas été avare de photographies de cette vue tant elle est sublimement changeante au gré du temps et des heures de la journée) et d’un décor princier avec, pour agrémenter le séjour, toutes les petites attentions qui distinguent un bel hôtel d’un hôtel de luxe et, pour couronner le tout, une splendide salle de bain (avec douche et baignoire), véritable havre de bien-être et de luxe.

    Ma photo ci-dessous a eu le deuxième prix du concours Instagram Barrière de cet été.

    Petit souvenir du room service avant la dédicace… Là aussi service et présentation absolument parfaits.

    L’accueil et le service ont d’ailleurs été irréprochables de l’arrivée au départ. A tous les niveaux, des femmes de chambre à la direction en passant par le bar, la conciergerie et la réception, l’amabilité était remarquable. J’ai réellement eu l’impression d’être à la maison pendant 15 jours.

     

    Chaque matin, avant d’aller aux projections,  le petit déjeuner était un moment précieux avec un large choix de produits frais mais aussi des crêpes, pancakes,  et tout ce dont vous rêvez pour le petit déjeuner. Là aussi, l’accueil et le service ont été (pardon pour la redondance) parfaits.

     

    Que vous soyez clients ou non de l’hôtel, vous pourrez bien sûr aussi profiter du bar et de sa carte, riche en produits de qualité et qui vous permettra de vous restaurer dans un cadre agréable.

    A noter: les amis à quatre pattes des clients sont particulièrement bien reçus et choyés avec, là aussi, de délicates attentions.

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    Vous l’aurez compris, je vous recommande le Royal, fastueux et majestueux hôtel, sans la moindre réserve. Un hôtel qui a une âme et qui est le lieu idéal qui vous permet de profiter de celle de Deauville dans des conditions de rêve. Ci-dessous, ma notation détaillée de l’hôtel et d’autres conseils pour profiter au mieux de l’hôtel avec des photos de mes précédents séjours.

    A noter : le Royal est actuellement fermé. L’Hôtel Barrière Le Royal Deauville réouvrira ses portes les week-ends à partir du 31 mars jusqu’à la réouverture totale le 27 avril 2018.
    L’Hôtel sera ouvert pour la Saint-Sylvestre du 29 décembre 2017 au 1er janvier 2018.

    Notation de l’hôtel Royal Barrière par Inthemoodforhotelsdeluxe.com

     

    Situation de l’hôtel: Idéale, en plein cœur de Deauville, à deux pas du centre, du casino, de la plage, du centre de thalassothérapie, juste en face du CID où se déroule le festival, bref, le meilleur emplacement de la ville.

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    Classification officielle de l’hôtel: 5 étoiles

    Classification de l’hôtel par la rédaction d’Inthemoodforhotelsdeluxe.com : Label inthemoodforluxe

    Nombre de chambres: 217 chambres et 30 suites

    Chaînes hôtelières auxquelles appartient l’hôtel:  Barrière,Leading Hotels of the World

    Adresse de l’hôtel:

    Boulevard Cornuché – BP 74400 – 14804 Deauville

    Pour contacter l’hôtel – service Réservation:

    +33(0)970 809 555

    Site internet de l’hôtel

    Page Facebook de l’hôtel

    -Dates de séjour:

    Septembre 2017

    -Service (1M à 5M):

    5M. Rien à redire. Service digne d’un palace, parfait du début à la fin du séjour.

    -Amabilité (1M à 5M):

    5M. Service affable et personnalisé que ce soit à la réception, ou dans le restaurant, au bar, dans les étages. Là aussi amabilité « palace ».

    -Propreté (1M à 5M):

    5M. Rien à redire.

    -Loisirs/Animations (1M à 5M):

    5M. Comme précisé plus haut, en plus des services que propose l’hôtel, l’hôtel est situé au cœur de toutes les activités de la ville. Vous n’aurez que l’embarras du choix.

    -Situation (1M à 5M):

    5M. Idéale.

    -Décoration (1M à 5M):

    5M. Joliment sobre et élégante dans les chambres rénovées, particulièrement chaleureuse dans les parties communes, le tout créant une atmosphère cosy propice à la détente.

     

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    Photos ci-dessus prises dans la suite Johnny Hallyday.

     

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    Photos ci-dessus prises dans la suite Amicalement vôtre.

    -Confort de la chambre (1M à 5M):

    5M. Rien ne manque. Salle de bain particulièrement agréable et vue exceptionnelle et idyllique pour les chambres vues mer au décor somptueux, élégant, cosy, chaleureux.

    -Equipements de l’hôtel (1M à 5M):

    5M. Rien ou presque ne manque.

    -Originalité- Le(s) plus qui fait/font de cet hôtel un établissement   « in the mood for luxe » (1M à 5M):

    5M.

    Son emplacement

    L’accueil, irréprochable, remarquable, personnalisé.

    La gastronomie

    Sa piscine extérieure

    Rapport qualité/prix (1M à 5M) : 4M

    -Inconvénient(s) de cet hôtel :

    Je n’en vois pas…

    Atouts de cet hôtel:

    – l’amabilité

    – l’emplacement

    -la décoration

    -la piscine extérieure

    -le buffet de petit déjeuner

    -la vue depuis les chambres côté mer

    -le bar très agréable

    -Recommanderiez-vous cet hôtel (Oui ou Non):

    Oui. Sans hésiter.

    -Conseil(s) aux futurs clients :

    Avant la rénovation complète de l’hôtel, choisissez plutôt une chambre rénovée, vue mer et à un étage élevée si vous voulez bénéficier de la vue à couper le souffle immortalisée sur mes photos. De l’autre côté, la vue sur Deauville et la campagne n’en est pas moins très belle aussi, seulement moins spectaculaire.

    -Bilan et appréciation globale (1M à Label intemoodforluxe):

    Label inthemoodforluxe

  • Festival de Deauville 2017 : Offre « Escapade Festival du Cinéma Américain de Deauville » au sein des Hôtels Barrière

    Je ne pouvais pas ne pas vous parler de cette offre des Hôtels Barrière pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville puisque je serai présente au Festival de l’ouverture à la clôture pour la 24ème année consécutive (je le couvrirai notamment sur mon blog consacré au festival « In the mood for Deauville » sur lequel vous pouvez d’ores et déjà trouver de nombreuses informations sur cette édition 2017) et puisque ces hôtels sont pour moi indissociables de ce festival pour lequel ils sont des écrins de prestige. Ils servent d’ailleurs aussi de cadres à certaines nouvelles de mon recueil « Les illusions parallèles »  (publié par Les Editions du 38) que j’aurai le plaisir de dédicacer pendant le festival dans l’un de ces hôtels le 3 septembre  (mais chut je ne vous en dis pas plus pour l’instant sur ce bel évènement dont je me réjouis tout particulièrement, j’y consacrerai un article lorsque ce sera officiel).

    Après avoir parcouru une grande partie des principaux festivals de cinéma de France et de Navarre, Deauville reste le plus cher à mon cœur, celui que je vous recommande sans aucune réserve. J’en profite pour vous rappeler que je vous fais actuellement gagner des pass pour le 43ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, ici, et prochainement des invitations pour la clôture du festival.

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     A l’occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017, les hôtels Barrière se mettent aux couleurs du festival et déroulent le tapis rouge. Avec l’offre “Escapade Festival” le Resort Barrière Deauville propose à ses clients un séjour glamour pour vivre cette 43ème edition dans la plus américaine des stations balnéaires françaises.

    Vous trouverez ci-dessous les liens vers mes articles consacrés à chacun de ces hôtels, ce qui vous permettra d’effectuer votre choix. A vrai dire, je les connais tous particulièrement bien et je vous les recommande tous, que ce soit le glamour étincelant du prestigieux Royal, le charme ravageur et cosy du légendaire Normandy, ou le majestueux hôtel du Golf situé dans un écrin de verdure. En tout cas, quel que soit celui que vous choisirez, je vous le garantis : le service personnalisé et le luxe seront au rendez-vous.

    Mon avis sur l’hôtel Normandy Barrière  : cliquez ici pour lire mon article détaillé 

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    Mon avis sur l’hôtel du Golf de Deauville : cliquez  ici pour lire mon article détaillé 

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    Mon avis sur l’hôtel Royal Barrière de Deauville : cliquez ici pour lire mon article.

    Retrouvez également mes séances mode au Royal, en cliquant ici pour la première.

    Cliquez ici pour découvrir la seconde séance mode au Royal.

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    Sur la terrasse de l’Hôtel Royal Barrière de Deauville.

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    Devant le restaurant (éphémère) Fouquet’s de l’Hôtel Royal Barrière de Deauville.

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    Devant l’entrée de l’hôtel Royal Barrière de Deauville.

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    De ma suite Amicalement vôtre de l’hôtel Barrière Le Royal de Deauville.

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    Vue depuis ma suite de l’hôtel Royal.

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    Ma splendide suite Amicalement vôtre.

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    La salle de bain avec baignoire et douche.

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    Vue depuis la suite Amicalement vôtre.

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    Dans la suite Amicalement vôtre.

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    Vue sur le CID depuis la suite Amicalement vôtre.

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    La piscine de l’hôtel Royal.

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    Au bar de l’hôtel Royal.

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    Dans la suite Amicalement vôtre.

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    Au bord de la piscine de l’hôtel Royal.

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    Vue depuis la suite Amicalement vôtre.

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    L’ “Escapade Festival” invite curieux et passionnés de cinéma à vivre un séjour pétillant au milieu des stars et du scintillant. Disponible dans les trois hôtels du Resort Barrière Deauville : Le Normandy, Le Royal, et L’Hôtel du Golf, cette offre invite les clients à dormir dans le plus somptueux des décors de cinéma pour s’éveiller avec un petit déjeuner gourmet et débuter une journée au rythme des émotions du septième art.

    Grâce au “Pass VIP accès aux projections”, les clients des hôtels Barrière ont accès à toutes les séances (hors séance rouge) données au Centre International de Deauville, au Théâtre du Casino Barrière Deauville et au Cinéma Le Morny.  Avec le “Pass VIP soirée”, les hôtes accèdent au festival par le Tapis Rouge, ont une place réservée pour la séance du soir et la visionnent avec une coupe de champagne. Vous trouverez toutes les informations sur le festival sur mon blog consacré à celui-ci Inthemoodfordeauville.com

    Informations pratiques :

    Offre valable pour des séjours du dimanche 3 au jeudi 7 septembre 2017, selon disponibilités de l’offre et conditions de l’offre.

    Prépaiement par carte bancaire de la totalité du séjour débité lors de la réservation ; non modifiable et non remboursable, même en cas d’annulation.

    La réservation du séjour doit être faite au moins 3 jours avant la date de votre arrivée pendant le Festival du Cinéma Américain.

    Au-delà de ce délai, les réservations ne seront plus possibles. Les dates indiquées sont des dates d’arrivées.

    Le “Pass VIP accès journée le lendemain” est valable pour une personne et comprend le badge “journalier” avec accès aux projections en journée au Centre International de Deauville et au Casino Barrière Deauville. Les badges journaliers sont à récupérer au Centre International de Deauville, valables uniquement pour les projections du lendemain – non modifiable.

    Le “Pass VIP soirée” est valable pour une personne et comprend la soirée VIP Festival au Centre International de Deauville avec accès VIP au Festival par le Tapis Rouge, cocktail, Champagne avant la projection, projection du soir en places réservées dans l’Auditorium Michel d’Ornano, le Catalogue officiel offert.

    Les “Pass VIP soirée” sont remis au Centre International de Deauville et utilisables uniquement pour la projection du soir même – non modifiable.

    À partir de 479€ la nuit à l’Hôtel Barrière Le Royal Deauville *****

    À partir de 479€ la nuit à l’Hôtel Barrière Le Normandy *****

    À partir de 399€ la nuit à l’Hôtel Barrière L’Hôtel du Golf Deauville ****

    Plus d’informations sur le site des hôtels Barrière, ici.

    Retrouvez également cet article sur Inthemoodfordeauville.com, Inthemoodforluxe.com et Inthemoodforhotelsdeluxe.com.