Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L'affiche du Festival de Cannes 2017 : Claudia Cardinale à l'honneur !

    affichecannes2017.jpg

    Crédit de l’affiche

    Bronx (Paris). Photo : Claudia Cardinale © Archivio Cameraphoto Epoche/Getty Images

    L’agence Bronx (Paris) / www.bronx.fr signe l’affiche du 70e Festival de Cannes.

    L’identité visuelle a été créée par Philippe Savoir (Filifox) / www.filifox.com.

    Cette édition 2017 du Festival de Cannes s'annonce décidément joyeuse, festive, audacieuse, étincelante ( rouge et or), virevoltante, glamour si on en croit la sublime affiche de cette année mettant en scène une Claudia Cardinale libre et rayonnante, après les annonces concernant la maîtresse des cérémonies (Monica Bellucci) et le président du jury (Pedro Almodovar). Nous connaitrons le programme de cette édition anniversaire du festival lors de la conférence de presse officielle du 13 avril, sur les Champs-Elysées.

    Le festival a ainsi choisi "cette comédienne aventurière, cette femme indépendante, cette citoyenne engagée. La politique d’ouverture et d’accueil va souffler cette année, comme chaque année, sur la Croisette, pendant 12 jours d’images d’un monde qui ose se dire, se montrer, se regarder."

    Voilà ce qu'a déclaré Claudia Cardinale:


    « En plus d’être honorée et fière d’avoir été choisie pour porter les couleurs de la 70e édition de Cannes, commente Claudia Cardinale, je suis très heureuse du choix de cette photo. C’est l’image même que je me fais de ce Festival : un rayonnement. Cette danse sur un toit de Rome, c’était en 1959. Nul ne se souvient du nom du photographe, je l’ai oublié aussi. Mais cette photo me rappelle mes débuts, et une époque où je n’aurais jamais imaginé me retrouver un jour monter les marches du plus célèbre palais du cinéma. Joyeux anniversaire ! »

    Ci-dessous, mes photos de l'inoubliable projection du "Guépard" en version restaurée, dans le cadre du Festival de Cannes.

    cardinale.jpg

    cardinale2.jpg

    Vous pourrez bien entendu suivre le festival en direct sur mes blogs Inthemoodforcinema.com, Inthemoodforfilmfestivals.com et Inthemodforcannes.com et sur mes réseaux sociaux:

    Twitter: @Sandra_Meziere / @moodforcannes

    Instagram: @sandra_meziere

    Facebook : http://facebook.com/inthemoodforcannes

  • Ouverture de la billetterie du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017

    deau2017.jpg

    Comme chaque année, vous pourrez bien entendu suivre ici en direct le Festival du Cinéma Américain de Deauville auquel j'ai le plaisir d'assister depuis une vingtaine d'années et que je me réjouis de vous faire partager sur mes blogs cinéma depuis 2003. Le CID vient d'ouvrir sa billetterie avec, en plus, de nouveaux forfaits vous permettant de profiter pleinement du festival. Je vous laisse les découvrir. Vous trouverez le communiqué de presse ci-dessous. Et pour vous donner envie de venir, cliquez ici pour retrouver mon compte rendu de l'édition 2016 du festival.

    Les amoureux du Cinéma attendent la rentrée avec impatience, pour se donner rendez-vous au Festival du Cinéma Américain de Deauville. La billetterie est officiellement ouverte pour la 43e édition qui se déroulera du 1er au 10 septembre 2017. Les festivaliers vont pouvoir découvrir les nouveaux PASS soirée, réserver simplement et rapidement en ligne et rejoindre les stars du cinéma américain… une bonne raison pour prolonger les vacances d’été ! 
     

    Cette année, le Festival propose des PASS Soirée en semaine.
    Le PASS Brasserie Chic inclut l’accès Tapis Rouge, la projection d’un film en avant-première, en place réservée, en présence des Jurys du Festival et de l’équipe du film, et le dîner dans l’une des brasseries de Deauville.
    Resort Barrière Deauville, partenaire historique du Festival, complète les offres avec les PASS Escapade, comprenant également les nuits aux hôtels Barrière Le Normandy Deauville, le Royal Deauville ou l’hôtel du Golf Deauville.  

    BILLETTERIE :
    PASS FESTIVAL
    (10 jours) | 160€ ; 110€ tarif réduit (hors séances rouges)
    PASS JOURNÉE (1 jour) | 35€ ; 16€ tarif réduit (hors séances rouges)
    PASS SOIRÉE BRASSERIE CHIC* | 120€ (valable une soirée du 3 au 7 septembre inclus)
    PASS ESCAPADE à DEAUVILLE* | à partir de 399€ / 2 pers. (valable une soirée du 3 au 7 septembre inclus)

  • Le 70ème Festival de Cannes sur mon blog "In the mood for Cannes 2017" (Inthemoodforcannes.com)

    cannes44.png

    IMG_7672.JPG

    Comme chaque année, pour tout savoir sur le Festival de Cannes, c'est sur mon blog consacré à celui-ci, Inthemoodforcannes.com, que cela se passe, alors que l'accréditation vient de m'être délivrée pour la 17ème année consécutive. Pour retrouver les premiers éléments concernant cette 70ème édition, rendez-vous sur "In the mood for Cannes" en cliquant ici, en attendant la conférence de presse du 13 avril. Vous pourrez également y trouver tous mes bons plans et notamment toutes les bonnes adresses pour profiter au mieux du festival et de votre séjour, et bien sûr de nombreuses archives.

    IMG_7680.JPG

  • Nouvelle critique de mon premier roman "L'amor dans l'âme" coup de coeur sur un blog !

    chronique6.png

    C'est décidément Noël tous les jours en ce moment. Après la critique élogieuse du blog littéraire canadien "Les mille et une pages de LM" samedi (à retrouver ici), c'est cette fois le blog Sweety & Honey Addictions​ qui fait part de son enthousiasme pour mon premier roman. Extrait : « Grande amatrice de cinéma et du festival de Cannes, je me suis lancée dans la lecture de ce roman avec un grand plaisir. J'ai été un peu perturbée au début avec la chronologie, les retours dans le temps mais on s'y fait très vite et surtout on s'attache très vite à Blanche et à Julien.
    Blanche est à fleur de peau, elle se bat pour se reconstruire après un décès. Je me suis beaucoup retrouvée en elle. Elle est sensible, fragile et émouvante. Son histoire m'a bouleversée...
    En parallèle de cette belle histoire, on découvre son histoire familiale. Sandra Mézière décrit avec des mots simples mais forts cette relation père/fille et j'avoue que j'ai eu plusieurs fois les larmes aux yeux en les lisant. Je crois que cet amour filial est mon moment préféré dans le livre car il est fort et réel.
    Ce roman est humain, simple, doux, plein d'espoir et de désillusions... Mais il parle aussi des rêves, de la poursuite des rêves et qu'il faut y croire, croire en soi.
    J'ai eu un vrai coup de cœur pour cette histoire et pour Blanche car elle m'a rappelé, malgré la fin tragique de sa vie, que croire en ses rêves était important mais surtout qu'il faut profiter un maximum des gens qu'on aime. »Une chronique à lire en entier, ici.
  • Une nouvelle critique élogieuse de mon roman "L'amor dans l'âme"

    Quel plaisir de voir que mon roman continue à vivre sa vie, de recevoir quotidiennement des messages de lecteurs et de lire des articles comme celui-ci ! Quand un roman est aussi personnel, cela touche forcément, profondément...

    Cliquez ici ou sur l'image pour lire cette chronique d'un blog littéraire canadien consacrée à mon roman "L'amor dans l'âme".

    chronique.png

    Lien permanent Imprimer Catégories : ACTUALITE D'AUTEURE Pin it! 0 commentaire
  • Reflets du cinéma francophone en Mayenne du 10 au 21 mars 2017 : programme

    reflets2.jpg

    Pour leur 21ème édition, après les reflets du cinéma japonais en 2015  et les reflets du cinéma américain indépendant en 2016, le festival mayennais Les Reflets (organisé par l'association Atmsophères 53) est cette année consacré au cinéma francophone. Pour une fois c'est d'un festival "à domicile" dont je vous parle puisque celui-ci se déroule en partie dans ma ville natale (retrouvez d'autres clichés de celle-ci sur le blog que je lui consacre Inthemoodforlaval.hautetfort.com), la splendide ville de Laval.

    laval120.jpg

    lavalphoto4.png

    lavalr20.png

    Photos de Laval ci-dessus prises via mon compte Instagram @sandra_meziere

    Avec ces films qui vous emmèneront en Belgique, au Québec, bien sûr en France mais aussi sur le continent africain, selon les termes du Président de l'association, ce festival aspire avant tout à rester "fidèle à sa vocation : dévoiler les territoires de la cinéphilie et défendre une idée ouverte de la culture."

    Cette 21ème édition aura lieu du 10 au 21 mars 2017.

    Le festival  innove cette année avec un site internet sur lequel vous pourrez retrouver toutes les informations au jour le jour mais aussi le programme complet et les informations pratiques.

    Au programme de cette édition, comme chaque année des avant-premières de longs-métrages, des rétrospectives ("Police" de Pialat, "Comment j'ai tué ma mère" de Xavier Dolan...) des courts-métrages, des conférences, des ciné-concerts, des expositions, une table ronde professionnelle mais aussi cette année une rétrospective Abel et Gordon, un focus Raoul Peck, un coup de projecteur sur l'actrice Solène Rigot,  des cartes blanches (au Festival Premiers Plans d'Angers, à l'ACID...), des raretés du cinéma francophone, les états du Français (sélection de films mettant l’accent sur le français et les langues nationales ou régionales, le français et ces langues pouvant être présents sous forme de réminiscences tels des marqueurs d’histoires communes.), des films d'ici (La catégorie Films d’ici présentent des productions locales. Ce sont des films réalisés et/ou produits dans l’Ouest : en Mayenne, en Pays-de-la-Loire, en Bretagne)...

    L'ouverture du festival aura lieu ce vendredi 10 mars, à 20H, au Cinéville de Laval avec la comédie dramatique "Grand froid" de Gérard Pautonnier, une adaptation du roman de Joël Egloff avec, notamment : Jean-Pierre Bacri, Olivier Gourmet, Arthur Dupont, Sam Karmann...

    La projection aura lieu en présence du réalisateur, de Sam Karmann, acteur, et de Laurent Thurin-Nal, photographe de plateau.

    En voici le synopsis qui promet un film noir et burlesque : Une petite ville perdue au milieu de nulle part, en plein cœur de l’hiver. Un commerce de pompes funèbres agonise lentement, au grand désespoir du patron de l’entreprise, Edmond Zweck. L’entreprise ne compte plus que deux employés : Georges, le bras droit de Zweck, et Eddy, un jeune homme serviable, mais encore novice dans le métier. Un beau matin, pourtant, un mort, enfin, pour de bon. Et l’espoir renaît. Eddy et Georges sont chargés de mener ce défunt jusqu’à sa dernière demeure. Mais à la recherche du cimetière qui s’avère introuvable, le convoi funéraire s’égare et le corbillard perd la famille qui suivait. Le voyage tourne au désastre.

    -Dans le cadre des cartes blanches, ne manquez pas, notamment :

    -"Paris la Blanche " de Lidia Terki (carte blanche au Festival Premiers Plans d'Angers, un film qui fut également projeté et primé au Festival du film de Saint-Jean-de-Luz dans le cadre duquel je l'ai découvert).

    parisla.jpg

    Sans nouvelles de son mari parti travailler en France dans les années 70, Rekia (Tassadit Mandi), quitte le village de Kabylie où elle vit. Elle traverse l’Algérie, la France et les banlieues parisiennes pour ramener Nour (Zahir Bouzerar) au village. Mais l’homme qu’elle finit par retrouver dans un foyer d’anciens travailleurs immigrés à la retraite a changé. Son héros, l’ancien combattant des maquis, celui qui était revenu au village pour la dernière fois il y a quatre ans, est devenu un étranger.

    La réalisatrice qui a monté son film en 4 ans après de nombreuses difficultés était « intéressée par la mythologie à l’envers », « le voyage de Pénélope à l’envers », « Pour moi c’était plus un film sur le sacrifice que sur l’immigration », « J’avais envie de parler de ceux qui restent qui attendent », « J’ai voulu faire une utopie ». Pour nous faire éprouver l’importance cruciale de ce périple, la réalisatrice suit son héroïne depuis son départ de l’Algérie jusqu’à ses retrouvailles avec son mari, sa caméra ne la quittant presque jamais et elle aurait d’ailleurs eu tort de nous en priver tant la comédienne (qui a reçu le prix d’interprétation féminine à Saint-Jean-de-Luz, un prix qu’elle mérite amplement, le film a également reçu le prix France Bleu du long-métrage) crève littéralement l’écran et a fait fondre le cœur des festivaliers lors de la remise des prix où elle a lu un beau poème sur le déracinement. L’humanité qui se dégage de ces personnages, la tendre empathie avec laquelle les filme la réalisatrice procurent à ce film d’une belle utopie une douceur salutaire et un idéalisme revigorant. C’est avant tout un sublime portrait de femme amoureuse, déterminée, mais aussi le portrait de déracinés, celui de son mari, et ceux qui jalonnent la route de l’héroïne dans un Paris solidaire (très beau personnage de Karole Rocher). Et surtout ce film recèle le plus beau des témoignages d’amour : laisser la personne qu’on aime libre de ses proches choix. Face à la volcanique Tassadit Mendi, Zahir Bouzerar impose sa placide mélancolie. Un duo attachant plein d’émotion contenue qui saisit le spectateur au dénouement de ce film pudique et tendre. Lors de la clôture du Festival de Saint-Jean-de-Luz, en recevant son prix, Tassadit Mendi a magnifiquement parlé de son rôle, elle « qui ne devait pas faire ce film et qui a remplacé une comédienne qui s’est désistée 10 jours avant le début du tournage » et qui a été « émue par l’abnégation, le sacrifice, l’amour inconditionnel pour son mari et la sagesse » de son personnage.

    -"La jeune fille sans mains" de Sébastien Laudenbach (carte blanche à l'ACID)

    En des temps difficiles, un meunier vend sa fille au Diable. Protégée par sa pureté, elle lui échappe mais est privée de ses mains. Cheminant loin de sa famille, elle rencontre la déesse de l’eau, un doux jardinier et le prince en son château. Un long périple vers la lumière…

     

    jeunefille2.jpg

    Son réalisateur a expliqué porter ce projet depuis 15 ans. : « Ce qui me touchait c’était la trajectoire de cette jeune fille qui doit apprendre à s’isoler pour exister pleinement pour être entière. » Rarement un film aura accordé autant de confiance au spectateur et cela fait un bien fou à l’heure où, y compris dans les émissions (pseudo)politiques, règne la dictature de l’émotion pour attirer les spectateurs. Sébastien Laudenbach a fait le choix inverse : esquisser plutôt que de dessiner ou imposer, faire confiance à l’intelligence et à l’imaginaire du spectateur, accorder une large place au son, aussi. Et le résultat est d’une beauté inouïe et renversante. « Je n’ai pas écrit de scénario ni de story board. J’ai improvisé en faisant 10 à 15 secondes par jour. En le faisant, je me rendais compte que c’était singulier et peut-être novateur. », « Je suis allé sur Allociné en collant les voix des bandes annonces sur les dessins. » a-t-il également raconté pour expliquer le choix d’Anaïs Demoustier dont la voix douce, ensorcelante et déterminée colle parfaitement au personnage. « On ne doit pas faire des films adaptés aux enfants c’est aux enfants de s’adapter au monde. J’aime l’idée qui il y a des trous, des incertitudes, du mystère » a également déclaré le réalisateur  et c’est ce mystère et ces incertitudes que le film exalte également qui contribuent aussi à en faire un moment d’une grâce ensorcelante mais aussi à édulcorer la cruauté ou à l’intensifier, selon la force de l’imaginaire du spectateur. Ce conte à la fois sombre et lumineux est un moment de poésie et de magie rare dont le trait aérien possède la grâce d’un tableau de Matisse. Une non voyante est ainsi intervenue à la fin de la séance pour déclarer : « par des sons vous avez réussi à faire parler les couleurs ».

    - "Compte tes blessures" de Morgan Simon

    Vincent (Kevin Azaïs) n’est pas arrivé au tiers de sa vie qu’il a déjà tatoué la moitié de son corps et endurci sa voix avec son groupe de post-hardcore. Depuis la mort de sa mère, il partage son existence entre Bastille et Porte de Clignancourt, entre un boulot de perceur qui ne l’enchante guère et un père poissonnier (Nathan Willcocks) qui tente de refaire sa vie avec une femme plus jeune (Monia Chokri). Et ça le rend malade.

    cp.jpg

    Du premier au dernier plan (et quel dernier plan, sublime, poignant, d’une force bouleversante !), le spectateur retient son souffle et ne quitte pas Vincent que la caméra suit, enferme, ne lui et nous laissant pas de répit.  Tout semble pouvoir basculer d’un instant à l’autre dans la tragédie, la violence. Le film doit beaucoup à ses trois personnages principaux, riches de leurs contradictions, de leurs fêlures, de leurs blessures masquées. Lors du débat après le film à Saint-Jean-de-Luz, Morgan Simon a déclaré « Ce qui m’a intéressé : ce sont les liens complexes qui unissent les personnages ». Ce sont en effet ces liens, troubles et chargés de non dits, qui rendent ce film plus palpitant qu’un thriller.  Le personnage de Vincent (interprété par Kevin Azaïs, magistral) est riche de ses touchantes contradictions : il crie et exulte sur scène, il proclame ses blessures sur son corps et dans sa musique mais il est incapable d’affronter son père (Nathan Willcocks qui en impose) et de les lui livrer. C’est un enfant en quête désespéré d’amour qui joue aux adultes face à des adultes eux-mêmes en perte de repères. L’affrontement entre le père et le fils se réalisera de manière totalement  inattendue, lors d’une scène qui aurait pu être glauque ou totalement absurde. Morgan Simon, par son talent, indéniable, en fait un moment d’une force rare. Un film d’une douceur brute et sensuelle,  d’une intensité unique, dans lequel la caméra épouse la douleur sourde des personnages et dont chaque plan est un coup au cœur. Tout simplement brillant. Et poignant. Et au dénouement le plus beau plan de ce festival qui symbolise aussi parfaitement ce qu’est ce festival. A voir aussi pour la lumineuse Monia Chokri qui parachève cet impressionnant trio d’acteurs, toujours sur le fil, mais d’une justesse rare. Sélectionné à l’Atelier de la Cinéfondation à Cannes, à Emergence et au Jerusalem International Film Lab, « Compte tes blessures » est le premier long-métrage de Morgan Simon et, espérons-le, le premier d’une longue série.

    -Le documentaire "Voyage à travers le cinéma français" de Bertrand Tavernier.

    Les Avant-premières du festival Reflets du cinéma

    1:54
    En amont du fleuve
    Grave
    Grand Froid
    Insoumise
    Félicité
    Paul à Québec
    Orpheline
    N’importe qui
    Les mauvaises herbes
    L’oeil du cyclone
    Bienvenue au Gondwana
    Sage femme
     
    Paris la Blanche
     

    Cliquez ici pour télécharger la liste complète des films projetés dans le cadre du festival.

    Dans le cadre du festival, vous pourrez notamment croiser:

    Réalisateurs/trices :

    Dominique Abel et Fiona Gordon (Paris, Pieds Nus)
    François Bégaudeau (N’importe qui)
    Wissam Charraf (Tombé du ciel)
    Robert Coudray (J’demande pas la lune, juste quelques étoiles) Patrick Dumont (La porte d’Anna)
    Pierre Guicheney (Osun Osogbo)
    Marion Hänsel (En amont du fleuve)
    Akihiro Hata (À la chasse) (Sous réserve)
    Gérard Pautonnier (Grand froid)
    Emmanuel Parraud (Sac la mort)
    Morgan Simon (Compte tes Blessures)
    Xavier Séron (Je me tue à le dire)
    Lidia Terki (Paris la blanche)

    Acteurs/trices

    Benoît Van Dorslaer (Insoumise)
    Sam Karmann (Grand Froid)
    Solène Rigot ( L’effet aquatique, Tonnerre, Orpheline, À la Chasse)
    Nathan Willcocks (Compte tes blessures)
    Kaou Langouet (Suite armoricaine)

    Scénariste, Ecrivain

    Joël Egloff (Grand Froid, L’Etourdissement)

    Photographe

    Laurent Thurin-Nal, photographe de plateau (Paris Pieds Nus et Grand Froid)

    Compositrice, interprète, chanteuse

    Mesparrow (Grand Froid)

    ...

    Informations pratiques

    Cliquez ici pour retrouver toutes les informations pratiques

    Vous pourrez acquérir un pass nominatif à 65 € (avec photo) valable pour tous les films des Reflets dans toutes les salles partenaires.

    Retrouvez également la rubrique "Actualités" du festival et la page Facebook pour en savoir plus.

    Cliquez ici pour connaître l'agenda complet du festival.

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 0 commentaire
  • Un samedi soir à la Librairie du Cinéma du Panthéon

    dedi16 (2).png

    dedi3.png

    dedi12.png

    dedi4.png

    dedi13.png

    dedi14.png

    dedi15.png

    dedi20.png

    dedi19.png

    dedi6.png

    Cela aurait pu être une scène d'un film de Claude Sautet. Ces films que j'aime tant. Qui nous font aimer la vie. Qui nous rappellent qu'il suffit parfois d'un moment, d'un regard, d'une rencontre, ou de la pluie battante, à la fois effrayante et rassurante, de l'autre côté de la vitre, pour nous donner le sentiment, à l'abri du fracas,  que tout soudainement est plus mélodieux, vibrant, vivant, intense. Intérieur soir. Dehors, la pluie donc. Ce n'était pas dans un café comme dans les films de Sautet mais dans une librairie et la pluie était bel et bien là pour exacerber la force de l'instant, pour souligner l'amitié indéfectible de "Vincent, François, Paul et les autres", pour donner plus de sel aux "choses de la vie".  Cette librairie, c'est celle que je préfère. La Librairie du Cinéma du Panthéon, juste au-dessus du cinéma éponyme et du discret, voire secret, Salon de thé décoré par Catherine Deneuve, entre la Sorbonne et le Panthéon.

    Le rendez-vous était donné à partir de 17H. 17H10, une seule personne. La crainte irrationnelle que ce soit la seule... Et puis, par je ne sais quel tour de magie, en une fraction de seconde, une joyeuse cacophonie. De belles rencontres. Des retrouvailles réjouissantes. D'amicales surprises. Des lecteurs ayant même déjà lu les livres venus me rencontrer. De passionnants échanges. Et beaucoup d'émotions. La crainte de faire attendre (certains se sont beaucoup amusés de me voir constamment m'excuser). Le plaisir de voir des amis et/ou lecteurs se rencontrer, sympathiser, échanger mais aussi de les voir découvrir avec bonheur cette magnifique librairie. Et pour moi le sentiment d'avoir vécu une soirée hors du temps à ne pas le voir défiler jusqu'à ce que le libraire éteigne les lumières car l'heure de fin initialement prévue était largement dépassée...

    Merci à tous ceux, nombreux, qui ont bravé les éléments pour venir (et la présence de chacun m'a profondément touchée), à ceux qui n'ont pu venir tout en me laissant un sympathique message, et au libraire pour son accueil enthousiaste et particulièrement chaleureux mais aussi pour la belle mise en avant des livres dans la librairie. Mon roman "L'amor dans l'âme" est en rupture de stock à la Librairie du Cinéma du Panthéon mais peut bien sûr toujours y être commandé (et sera bientôt à nouveau disponible dans les rayons). Quant au recueil "Les illusions parallèles", il en reste encore quelques exemplaires.

    Ci-dessus quelques clichés de la soirée. Pour ceux avec les invités, rendez-vous sur mon compte Facebook privé et personnel.

    livre,littérature,paris,librairie du cinéma du panthéon,dédicace,l'amor dans l'âme,les illusions parallèles,editions du 38, rencontre dédicace, cinéma, film, cinéma du Panthéon, Paris, librairie, festival de cinéma, Cannes, Deauville, Dinard, La Baule, Lyon, Festival de Cannes, César