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  • Palmarès du Festival International du Film Fantastique de Gérardmer 2010

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    Le jury longs métrages de la 17è édition du Festival International du Film Fantastique de Gérardmer, présidé par John McTiernan et composé de Valérie Benguigui, Douglas Buck, Stanislas Merhar, David Moreau, Xavier Palud, Anne Parillaud, Linh-Dan Pham et Florent Emilio Siri a remis les prix suivants :

    GRAND PRIX - BEST FILM

    THE DOOR (Die Tür) de/by Anno SAUL (Allemagne/Germany)

    PRIX DU JURY - JURY PRIZE

    MOON de/by Duncan JONES (Royaume-Uni/United Kingdom)

    Le jury de la critique, composé de 5 journalistes, a décerné son prix à:

    PRIX DE LA CRITIQUE - CRITICS' PRIZE

    MOON de/by Duncan JONES (Royaume-Uni/United Kingdom)

    Le jury jeunes, composé de lycéens de la Région Lorraine, a décerné son prix à:

    PRIX DU JURY JEUNES DE LA REGION LORRAINE - STUDENTS' PRIZE

    POSSESSED (Bulshin Jiok) de/by LEE Yong-ju (Corée du sud/South Korea)

    PRIX DU PUBLIC - L'EST REPUBLICAIN-VOSGES MATIN - AUDIENCE AWARD

    51 RUE DES ORMES (5150 Elm's way) de/by Eric TESSIER (Canada)

    PRIX DU JURY SYFY UNIVERSAL - SYFY UNIVERSAL JURY PRIZE

    LA HORDE de/by Yannick DAHAN & Benjamin ROCHER (France)

    Le jury courts métrages de la 17è édition du Festival International du Film Fantastique de Gérardmer, présidé par Xavier Gens et composé de Mélanie Bernier, Grégory Fitoussi et Reda Kateb a décerné son prix à:

    GRAND PRIX DU COURT METRAGE - BEST SHORT FILM

    LA MORSURE de/by Joyce A. NASHAWATI (France)

    PRIX DU MEILLEUR INEDIT VIDEO parrainé par Mad Movies - BEST DIRECT TO VIDEO FILM

    INSIDE (From Within) de/by Phedon PAPAMICHAEL (Etats-Unis/USA)

  • Inthemoodforcinema vous invite au Festival du Film Asiatique de Deauville 2010!

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    Prochainement, vous aurez la possibilité de gagner votre pass pour le Festival du Film Asiatique de Deauville qui aura lieu du 10 au 14 mars prochain. 40 pass seront mis en jeu sur ce blog. Comme toujours vous retrouverez toutes les informations concernant ce festival sur In the mood for Deauville et sur inthemoodforcinema. Je vous en dis très bientôt davantage sur ce concours exceptionnel. Pour ma part, je n'ai pas encore tranché entre partir (comme chaque année depuis ma participation à son jury de cinéphiles en 2005) au Festival du Film Asiatique de Deauville ou au Forum International Cinéma et Littérature de Monaco qui, cette année, se déroulent en même temps. A suivre!

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DU FILM ASIATIQUE DE DEAUVILLE 2010 Pin it! 0 commentaire
  • Concours: 10x2 places pour "Ninja assassin" de James McTeigue

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    Je vous propose aujourd'hui de gagner votre invitation pour deux pour le film "Ninja assassin" qui sort en salles le 10 février prochain. Cette fois, pas de torture pour vos neurones, juste une question de rapidité puisque les 10 premiers à m'envoyer leurs coordonnées postales à inthemoodforcinema@gmail.com avec, comme intitulé de l'email "Concours Ninja assassin" recevront ces places.

    Synopsis:  Raizo, jeune ninja orphelin, a été entraîné à tuer par le clan Ozunu. Après l'exécution de son seul ami, Raizo est soudainement en proie au doute, et quitte alors le clan afin de préparer sa vengeance... Des années plus tard, à Berlin, Raizo tombe sur l'agent d'Europol Mika Coretti qui, après avoir levé le voile sur une affaire politique mettant en cause une mystérieuse organisation asiatique, est devenue la cible du clan Ozunu. Traqués, tous deux se lancent dans une dangereuse course-poursuite...

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  • Avant-première-Critique de « A single man » de Tom Ford avec Colin Firth, Julianne Moore…

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    Los Angeles, en 1962. Depuis qu'il a perdu son compagnon Jim (Matthew Goode) dans un accident, George Falconer (Colin Firth), professeur d'université Britannique, se sent incapable d'envisager l'avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie Charley (Julianne Moore), George essaie en vain de « vivre comme avant ». Une série d'évènements et de rencontres vont l'amener à décider s'il peut y avoir une vie après Jim.

    J'ai abordé ce film sans en avoir vu la bande annonce, sans en connaître le sujet. Tout juste savais-je que le styliste Tom Ford en était le réalisateur, scénariste et producteur. En quelques secondes, en quelques plans, j'étais dans l'ailleurs universel de cet homme singulier, porté par le charme ensorcelant de l'univers visuel de Tom Ford. Un univers d'une rare élégance, tantôt sombre, tantôt lumineux à l'image des variations de couleurs sur lesquelles influe l'humeur de George (et par lesquelles Tom Ford a eu la judicieuse idée de remplacer le monologue intérieur du roman de Christopher Iserwood « Un homme au singulier » dont il s'est inspiré pour ce film ).

    L'intrigue se déroule en une journée, une journée à l'issue de laquelle George a décidé de se suicider. Le compte à rebours est lancé. Quelques heures pendant lesquelles chaque minute compte plus que toute autre. Ou le présent prend toute sa douloureuse et belle signification. Ou la beauté des choses simples de la vie prend une toute autre dimension. La beauté des visages et des corps. La beauté des fleurs. La beauté des objets. La beauté des regards. Ceux des autres ou celui apposé sur le monde qui les et nous entoure.

    Les ralentis langoureux, la musique languissante (de Shigeru Umebayashi  mais aussi de  Abel Korzeniowski) nimbent ce single man, ce et ceux qui l'entourent d'une sensualité et d'une poésie envoûtantes qui rappellent celles de Wong Kar Wai (référence assumée puisque Shigeru Umebayashi est son compositeur). La solitude de George (mais aussi celle de Charley), la menace d'une guerre nucléaire en pleine crise des missiles de Cuba, la destinée de cette journée fatale renforcent la beauté fugace de chaque instant et de chaque rencontre. A l'image des personnages, nous sommes immergés dans la beauté sensuelle de l'instant.  Chaque rencontre évoque la beauté évanescente du possible, d'un désir.

    A single man est le film d'un artiste, et cela saute aux yeux dès les premiers plans. Un artiste, qu'il soit styliste ou cinéaste, est en effet quelqu'un qui vous embarque dans son univers qui lui ressemble et le singularise tout en apportant à cette histoire singulière des accents d'universalité. Le deuil, la solitude, le temps qui passe, autant de sujets universels en plus de la beauté plastique pleinement assumée qui rend caduque toute critique de superficialité puisque cette beauté devient argument artistique. Que ce soit celle de Julianne Moore, désespérément glamour ou des jeunes hommes à la beauté fatale ou trompeusement lisse (à l'image du film) que croise George. Que ce soit celle d'un plan de regards, ceux que George croise ou celui de l'affiche de « Psychose ».

     Tom Ford y apporte son style, de la classe, une incontestable élégance  pour nous faire appréhender la beauté du monde, un monde entre la ravageuse sensualité de Gucci et la sobre élégance de Saint-Laurent pour lesquels Tom Ford a travaillé. La sublime photographie  d'Eduard Grau, la musique et les costumes évidemment soignés complètent le tableau et la reconstitution subtile et magnifiée d'une époque.

    Un (premier) film incontestablement personnel d'une touchante et rare naïveté, un voyage sensoriel et sensuel d'un pessimisme lumineux et d'une beauté sombre, élégante, troublante avec comme guide l'excellent Colin Firth (qui a reçu pour ce film la Coupe Volpi de l'interprétation masculine au dernier Festival de Venise). Laissez-vous (em)porter... vous ne le regretterez pas !

    Sortie en salles : 24 février 2010

  • 27ème Festival International du Premier Film d'Annonay

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    Je vous ai déjà parlé à maintes reprises de ce festival depuis ma participation à son jury de cinéphiles en 2007 (cliquez ici pour lire mon compte rendu du Festival International du Premier Film d'Annonay 2007), un festival que je ne peux que vous inciter à découvrir pour sa convivialité, la richesse de sa programmation, pour ses premiers films parmi lesquels se cachent souvent des pépites, pour ses passionnés organisateurs...

     Au programme de cette édition 2010 qui se déroule du 29 janvier au 8 février:  une programmation sous le signe des "Rêves et cauchemars" ("Armacord", "Brazil", "Duel", "La Cité des enfants perdus", "La Science des rêves", "Le labyrinthe de Pan"...); huit premiers longs-métrages de fictions de nationalités différentes; un jury de cinéphiles sélectionnés en France mais aussi (et pour la première fois) en Angleterre, Allemagne, Italie, lequel sera présidé par la réalisatrice Aurélia Georges; une leçon de cinéma de Jean-Pierre Jeunet ce samedi; une journée spéciale en compagnie du réalisateur Jean-Pierre Améris; une sélection consacrée à Jonathan Zaccaï également invité au festival...

    Pour en savoir plus: le site officiel du Festival International du Premier Film d'Annonay

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 2 commentaires
  • Avant-première – Critique de « L’Arnacoeur » de Pascal Chaumeil

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    Voilà un film dont le synopsis, le casting et l'ambition étaient pour le moins séduisants et que j'attendais avec impatience...trop sans doute.

    Le synopsis d'abord : Alex exerce une profession singulière, briser des couples en séduisant la femme du duo, mais comme Alex a une éthique, uniquement si cette dernière est malheureuse. Une éthique à laquelle il dérogera pourtant en acceptant un nouveau contrat donc la cible s'appelle Juliette, jeune héritière libre et indépendante qui, dix jours plus tard, doit épouser un séduisant jeune homme dont elle est amoureuse. Dix jours pour que l'arnacoeur accomplisse sa mission a priori impossible, avec l'aide de ses deux acolytes, sa sœur et son beau-frère.

    Le casting : Vanessa Paradis (Juliette), Romain Duris (Alex), Julie Ferrier (Mélanie, la sœur d'Alex), François Damiens (Marc, le mari de Mélanie), Helena Noguerra (Sophie, l'amie d'enfance de Juliette), Andrew Lincoln (Jonathan, le futur mari de Juliette)

    L'ambition : réaliser une comédie romantique à l'américaine...mais en France, enfin presque, plus précisément à Monaco.

    L'idée de ce mélange de James Bond et d'Arsène Lupin voire de Jim Phelps du cœur, briseur de couples,  est brillante et réjouissante, légèrement politiquement incorrecte. Le rythme est soutenu et cela dès le pré-générique inspiré des comédies américaines. Vanessa Paradis est lumineuse avec ce qu'il faut d'énergie et de mystère, et de classe à la Audrey Hepburn. Romain Duris est charmant et convaincant rappelant ses meilleurs rôles chez Klapisch. Leur couple est une belle idée.  Helène Noguerra est délicieusement vulgaire. Julie Ferrier aussi drôle que touchante et son couple avec François Damiens est savoureusement décalé.

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    Mais...

    Mais à force de vouloir faire « à la manière de » cet arnacoeur en a oublié l'essentiel, trouver sa propre voie, sa propre identité pour se fondre dans un modèle. Comme dans toute comédie romantique à l'américaine qui se respecte les décors se doivent d'être spectaculaires et chics. Quoi de mieux donc que Monaco ? Oui mais tout dépend de la manière dont on filme la principauté dont on voit ici davantage les immeubles que le bleu scintillant de la Méditerranée. Comme dans toute comédie romantique qui se respecte, il doit y avoir une scène de danse...ici empruntée à un autre film ( « Dirty dancing ») qui devient même un élément de l'intrigue. Dommage que le glamour ne soit pas assumée et qu'elle ne soit pas filmée avec la même légèreté que celle dont font preuve les deux danseurs (Romain Duris est ici aussi impressionnant pour les cascades que pour la danse, à n'en pas douter il serait très doué dans les films d'action).

    Et puis surtout le film penche davantage du côté de la comédie que du romantisme, avec des « gags » parfois un peu trop récurrents (ah ce personnage de gros balourd ignare que j'ai l'impression d'avoir vu dans 50 comédies françaises) venant systématiquement briser l'émotion naissante.

    Mais ce qui m'a le plus dérangée, c'est la naïveté du personnage féminin incarné par Vanessa Paradis qui est décrite comme « très intelligente » et qui à aucun moment ne met en doute la sincérité d'Alex. Son amour pour Jonathan semble finalement assez superficiel et les obstacles entre elle et Alex finalement trop minces pour créer un vrai suspense. Même si le principe d'une comédie romantique est d'en deviner d'avance l'issue heureuse, il est bien d'avoir un peu l'illusion de croire que ce n'est pas gagné d'avance.

    Malgré tout, même s'il manque cette petite étincelle qui s'appelle la magie, le charme de cet Arnacoeur agit, il nous embarque dans sa séduisante légèreté et nous fait adhérer à la beauté lumineuse et au talent indéniable de son duo de protagonistes, nous divertit à un rythme soutenu... et probablement ai-je tort d'en exiger davantage, d'autant qu'il s'agit là du premier long-métrage d'un réalisateur provenant de la publicité et du sitcom...Il est d'ailleurs fort probable que cet Arnacoeur sera le succès comique du printemps et plus probable encore que les Britanniques et les Américains en feront un remake. Et avec la plume magique d'un Richard Curtis cet Arnacoeur pourrait devenir une référence...

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    Sortie en salles: le 17 mars 2010

  • Forum International Cinéma et Littérature de Monaco 2010: premières informations

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    L'an passé, lauréate d'une sélection organisée conjointement par l'agence Rumeur Publique et Commeaucinema.com , j'étais invitée au Forum International Cinéma et littérature de Monaco (cliquez ici pour lire mon compte rendu du Forum International Cinéma et Littérature de Monaco 2009), voici les premières informations concernant l'édition 2010 qui aura lieu du 12 au 14 mars:

    -Jean-Christophe Grangé sera le parrain du 4ème concours de pitchs

    -Olivier Marchal sera le président du jury du meilleur roman adaptable

    -Kathy Bates succèdera à Laura Morante au poste de présidente d'honneur. Le Festival lui rendra par ailleurs hommage et cette dernière recevra un prix pour l'ensemble de sa carrière lors de la cérémonie de clôture.