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Cinéma - Page 261

  • Palmarès du Festival du Film Romantique de Cabourg 2008

    cabourg2008JJJJ.jpgVoici le palmarès du 22ème Festival du Film Romantique de Cabourg dont le jury était cette année présidé par Jean-Pierre Denis. "In the mood for cinema" n'était pas présent au festival cette année. Vous pouvez néanmoins retrouver sur ce blog mes comptes-rendus des éditions 2005 et 2007 de ce festival:

    -Compte-rendu du Festival du Film Romantique de Cabourg 2005

    -Compte-rendu du Festival du Film Romantique de Cabourg 2007

    Site officiel du Festival du Film Romantique de Cabourg

     PALMARES COMPLET DU 22ème FESTIVAL DU FILM ROMANTIQUE DE CABOURG

    - Swann d'or de la meilleure actrice : Laetitia Casta pour NES EN 68

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    - Swann d'or du meilleur acteur : Patrick Bruel pour UN SECRET (Un film que je vous recommande de nouveau vivement, voir ma critique en cliquant ici)

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    - Swann d'or de la révélation féminine : Anne Marivin pour BIENVENUE CHEZ LES CH’TIS (dommage que ce formidable festival ait lui aussi décidé de surfer sur la déferlante Ch’tis plutôt que de mettre en lumière une actrice dans un vrai rôle et qui l’aurait un peu moins été)

    - Swann d'or de la révélation masculine: Yannick Renier pour NES EN 68

    Long Métrage :

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    - Grand Prix du festival : A CASA DE ALICE de Chico Teixeira (film brésilien, sortie le 18 juin)

    - Prix du jury Jeunesse : CHERRY BLOSSOMS de Doris Dörrie

    Court Métrage:

    - Meilleur réalisateur : Samuel Tilman pour VOIX DE GARAGE

    - Meilleure actrice : Julie Gayet dans S’ELOIGNER DU RIVAGE de Xabi Molia

    - Meilleur acteur : Dominique Wittorski dans 6EME CIEL de Caroline Guth

    Nouvelle distinction créée en 2008, prix "Premiers rendez-vous" pour une première apparition à l'écran dans une production française:

    - Actrice: Constance Rousseau dans TOUT EST PARDONNE de Mia Hansen-Love

    - Acteur: Emile Berling dans LES HAUTS MURS de Christian Faure

    Deauvillehhh.jpgProchain festival de cinéma à suivre sur mes blogs: le 34ème  Festival du Cinéma Américain de Deauville en direct sur "In the mood for Deauville".

    Le festival aura lieu du 5 au 14 septembre prochain.

    Nous savons pour le moment seulement que Carole Bouquet en sera la présidente, succédant ainsi à André Téchiné.

  • "Sagan" de Diane Kurys: le beau nom grave de tristesse...

    sagan.jpg« Il est plus urgent de vivre que de compter » et « Je voudrais avoir dix ans, je voudrais ne pas être adulte. Voilà. » . Ces deux citations de Sagan et les premières lignes de « Bonjour Tristesse » (« Sur ce sentiment inconnu, dont l’ennui, la douceur m’obsèdent, j’hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse ») donnent le ton de ce que fut la vie de Françoise Sagan anciennement Quoirez ( elle  prit un pseudonyme à la demande de son père et en raison des éventuelles assimilations avec celui de l’héroïne de « Bonjour tristesse »). Entre désir effréné et capricieux de vie et solitude mélancolique et accablante de l’écrivain, entre les caprices du « charmant petit monstre », et « bleus à l’âme » de la femme à la vie tumultueuse, ce biopic mêle intelligemment les mots mélodiques de l’écrivain à son existence savamment dissonante et tourbillonnante, son ivresse de vivre, grisante puis destructrice, à celle d'écrire, la solitude dans la multitude.

    Pitch:

    En 1958, Françoise Sagan n'a pas 30 ans. Ses premiers romans l'ont rendue riche et célèbre. Elle mène une vie légère et tapageuse, entourée de sa bande d'amis : Chazot, Bernard Franck, Florence Malraux. Le 8 août de cette année-là, au casino de Deauville, elle mise ses derniers jetons sur le 8 et rafle la somme de 8 millions de francs avec laquelle, quelques heures plus tard, elle achète la maison qu'elle a louée pour l'été près d'Honfleur. Sans l'avoir prémédité, elle devient propriétaire et jure que personne, jamais, ne viendra la déloger de cet endroit. Pourquoi 40 ans plus tard, n'est-elle plus que l'invitée des lieux ? Quels événements la jeune prodige de la littérature a-t-elle traversé pour se retrouver ruinée et loin de tous ceux avec qui elle a brûlé ses années ?

    « Sagan » devait initialement être un téléfilm pour France 2, et au regard de sa qualité Luc Besson a décidé d’en acquérir les droits pour Europacorp et de le sortir sur grand écran. Il est d’ailleurs amusant ( ?) de constater que ce téléfilm est de bien meilleure qualité que nombre de films sortis sur les écrans, que sa réalisation relativement effacée sied finalement bien au sujet, la vie de Sagan était en effet déjà suffisamment riche d’artifices (dans tous les sens du terme) pour qu’il ne soit pas nécessaire d’en ajouter avec la caméra même si l’on peut trouver dommage qu’un film conformiste narre la vie d’une écrivaine, d’une femme qui l’était si peu.

     Le début, très elliptique, épouse pourtant son rythme de vie : une profusion de plans brefs reflète sa frénésie et son urgence de vivre, son goût pour les fêtes, la vitesse, l’alcool déjà. Elle dépensait en effet (usait et absusait de) tout sans compter: l'argent, notamment au jeu, l'alcool, la drogue, la vie même. Puis le (télé)film s’attache à un sujet essentiel : la solitude de l’écrivain, ses gouffres insolubles.  Les mots de l’écrivain en voix off et cette petite musique inimitable qui l’ont rendue célèbre bercent le film et nous envoûtent.

    Passionnée et lâche, égoïste et généreuse, séductrice et introvertie, toutes les contradictions et les ambiguïtés de l’écrivain et de la femme Sagan imprévisible avec ses fêlures inhérentes, ses histoires amoureuses féminines et masculines, son goût immodéré et périlleux pour la vitesse, sa fragilité à fleur de peau…, bref toute sa vie est retracée à la lueur de cette solitude incurable qui la terrassera.

     Contrairement à l’image que certains pourraient avoir d’elle, Sagan n’était pas sinistre et le film ne l’est pas non plus (même s’il ne nous épargne pas ses démons entre cocaïne et morphine, alcool et jeu, avec ses dettes conséquentes sans non plus s’y appesantir), et est même émaillé de scènes burlesques touchantes notamment lorsqu’elle est avec Peggy Roche (Jeanne Balibar remarquable) avec qui elle formait un couple et ici un duo irrésistiblement drôle. L'humour n’a jamais porté aussi bien son nom de "politesse du désespoir" dont Sagan semble être l'incarnation.

    Le premier grand atout du film ce sont donc ces mots qui chantent mélancoliquement, mélodieusement. Le second c’est évidemment Sylvie Testud qui ne joue pas mais EST Sagan. La ressemblance physique, gestuelle est confondante sans qu’un maquillage outrancier ait été nécessaire comme dans un film récent multi oscarisé, césarisé et dont vous savez (peut-être) ce que je pense.  Elle a adopté le phrasé si particulier de Sagan, enfantin puis « onomatopéesque » (cela faisait longtemps que je n’avais pas –ab-usé de néologismes-), son regard tour à tour boudeur, frondeur, évasif, dissimulé, sa mèche de cheveu triturée,  mais aussi sa démarche, apprenant la « langue » Sagan avec autant d’application que le Japonais pour « Stupeur et tremblements ».  Le troisième c’est cette "politesse du désespoir" qui donne au film ce ton hybride qui reflète probablement la personnalité complexe de l’écrivain. Le film n’est en effet jamais complaisant : ni son peu de goût pour la maternité ni ses lâchetés ne nous sont épargnés et c’ est ce qui nous la rend d’autant plus humaine, attachante.

    brahms.jpgCes éléments en font un téléfilm d’une grande réussite et un "plutôt  bon film" qui reflète néanmoins une nouvelle fois la frilosité des chaînes de télévision qui investissent de plus en plus dans des biopics qui ne présentent donc aucun risque  s’assurant ainsi une part d’audience avec ces sujets « rassurants » par leur écho médiatique et la personnalité de ceux qu’ils mettent en scène qui susciteront forcément la curiosité du public.

    Mais ne boudons pas notre plaisir car d’une part « il est plus urgent de vivre que de compter »… et, d’autre part, étant une inconditionnelle des livres de Sagan, ce (télé)film m’a donnée envie de relire encore et encore « Aimez-vous Brahms », « Chagrin de passage », « De guerre lasse », « Bonjour tristesse » et de découvrir ceux que je ne connais pas encore (les livres de Sagan ne sont pas forcément faciles à trouver, celle-ci étant morte ruinée, endettée, la réédition avait été bloquée)…

    « Aimez-vous Brahms… » un titre avec ses points de suspension, en forme d’invitation poétique et sensuelle qui pourrait déjà résumer son œuvre à la fois contemporaine et intemporelle et qui, j’espère, donnera envie à ceux qui ne la connaissent pas encore de découvrir cette oeuvre, empreinte de liberté, de mélancolie, de cynisme, d’oisiveté,  de solitude ravageuse à l’image de la  vie intense et tumultueuse de son auteur.

    Remarque : "Sagan" sera diffusé par France 2 dans 3 mois en format téléfilm de 3 heures. (la version filmique n’en dure que deux)

    Sandra.M

  • "In the mood for Cannes" lauréat du concours de blogs du Festival de Cannes 2008

    Majestic 006.JPGPour la deuxième année consécutive, L'Oréal, partenaire officiel du Festival de Cannes depuis 11 ans organisait un concours de blogs consacrés au Festival de Cannes.

    Après avoir été élu blog du jour les 15, 16, 21 et 23 Mai 2008, mon blog "In the mood for Cannes" consacré aux Festivals de Cannes 2007 et 2008 vient d'être élu meilleur blog du Festival de Cannes par le jury.

     Je serai donc invitée au Festival de Cannes 2009 dans des conditions forcément ludiques et singulières et même "féériques" selon la gagnante de la première édition du concours Linda Chea.

    Je suis ravie que ma passion, dévorante, pour le cinéma ait séduit le jury et me permette de revenir au Festival pour la 9ème année consécutive, dans des conditions exceptionnelles, en tout cas inédites, 9 ans après ma sélection au prix de la jeunesse.

     A suivre sur "In the mood for Cannes" dans 11 petits mois! Pour en savoir plus sur ce concours, rendez-vous sur le site de L'Oréal Cannes (http://www.loréalcannes.fr , rubrique "blogreporters").

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  • Avant-première: "Sans Sarah, rien ne va" de Nichollas Stoller,...?!...

    806839730.jpgEn voyant le titre de cette note, ou plutôt le titre du film qui sert de titre interrogatif, exclamatif, suspensionnel (cela ne se dit pas je sais, mais je suis d’humeur inventive aujourd’hui) à cette note, vous vous demanderez sans doute si le soleil cannois ne m’a pas trop tapé sur la tête (ce serait difficile, encore aurait-il fallu que soleil vraiment il y eut) ou si une overdose de films sinistres, réalistes n’a pas eu raison de mon discernement cinématographique. Que nenni ! Rien de tout cela. Seulement vous le savez, je ne recule devant aucun sacrifice pour informer mon éminent lectorat, et quand la Paramount m’a gentiment (gentiment même si je ne suis pas naïve et sais bien qu’il ne s’agit pas là de philanthropie, gentiment écrivais-je parce que lors de leur précédente invitation pour « Jeux de dupes » de George Clooney, je n’avais pas été particulièrement élogieuse) invitée et proposé de m’alanguir  à nouveau dans les moelleux fauteuils rouges de sa salle de projection privée, n’étant sans doute pas aussi incorruptible que j’aimerais l’être, je n’ai pas su résister malgré le titre du film qui n’était pas vraiment une promesse de bonheur cinéphilique, mais le cinéphile se doit d’être curieux et de passer outre les préjugés…. Tout cela pour reculer le moment d’en venir à ce qui devrait être le sujet de cette note. Alors, le synopsis :

    Peter Bretter (Jason Segel) va de galère en galère... Non seulement, il n'arrive pas à percer comme musicien, mais sa petite amie Sarah Marshall (Kristen Bell) (Russell Brand), star du petit écran, vient de le larguer. Désespéré, il décide de se rendre à Hawaï pour se changer les idées. Mais une fois sur place, il est plongé en plein cauchemar : son ex est descendue dans le même hôtel que lui... accompagnée de son nouveau petit ami, chanteur de rock à succès.
    Peter tentera de noyer son chagrin dans les cocktails et de se consoler auprès de Rachel (Mila Kunis), une ravissante employée de l'hôtel...

    Dans l’une des premières scènes du film, Sarah annonce à Peter (Jason Segel qui joue le désappointement avec une outrance consternante ou qui force l’admiration) qu’elle va le quitter alors que ce dernier est dans le plus simple appareil. Le ton, plutôt graveleux, est donné même si qualifié d’humour noir dans le dossier de presse (ses auteurs ne doivent pas connaître Edouard Baer, vous avez raison, il faut que je revienne de Cannes, enfin). Les frères Farrelly sont les maîtres du genre, mordant, et d’ailleurs ce film présente quelques similitudes avec leur dernier (« Les femmes de ses rêves ») qui, s’il n’est pas leur meilleur, reste au-dessus de cette Sarah sans qui rien ne va.

    Son réalisateur annonce très modestement avoir voulu réaliser « la première comédie sentimentale catastrophe ». De catastrophe à catastrophique il n’y a que quelques lettres que ma conscience artistique m’empêche de franchir. Il est facile d’être sarcastique me direz-vous mais comme dans toute personne (mais si) dans tout film il doit bien en ressortir quelque chose de bon (mais si, si) : la dérision sur l’univers de la télé ( on se moque ici notamment de séries comme Les Experts) sans doute dont le film qui n’est pas à une contradiction près adopte le style formel ( le non style formel) et le jeu caricatural (à dessein, j’avais compris merci), la gageure de rendre Hawaï moins belle que dans un épisode de Magnum (quoi, j’ai le droit d’aimer Magnum !), son idée vertigineuse d’utiliser la métaphore de se jeter à l’eau, au sens propre comme au sens figuré donc ( le carpe diem de ce poète de Jason Segel-également auteur du scénario et des musiques du film- disparu avant d’exister) , son idée lumineuse de se dire que tout le monde a eu un jour le cœur brisé et devrait se reconnaître dans son regard de cocker battu, la bonne idée d’un spectacle sur Dracula interprété par des marionnettes, le personnage déjanté de rockeur ridicule et quelques scènes où pointe une touche de mélancolie salvatrice, le flash-back qui souligne le contraste entre l’idéalisation et la réalité. Vous voyez, on trouve toujours et  on finirait même par trouver quelques bonnes idées et ce film attachant, parfois, à l’image de ses personnages… Et puis après tout ce n’est qu’un premier film…

    Une comédie sentimentale catastrophe ou catastrophique pour les amateurs de séries télé (Magnum excepté) à l’humour potache au cœur brisé au regard de cocker (a)battu qui ne connaissent pas encore les films des frères Farrelly. Pour les autres, sans Sarah tout ira très bien…

    Sortie en salles : le 18 Juin 2008

    Sandra.M

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  • "In the mood for cinema" sur Public Sénat

    1826224342.jpg792522463.jpgAprès L'Oréal,   Le Monde.fr, Radio France Bleu Ile-de-France et quelques autres, c'est la très sérieuse chaîne Public Sénat qui a choisi de mettre "In the mood for Cannes" à l'honneur (mais aussi mes deux autres blogs "In the mood for cinema" et "In the mood for Deauville") avec le prestigieux voisinage du site des Cahiers du Cinéma et du très complet site de référence Allociné, deux sites que j'apprécie par ailleurs.

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    L'interview a eu lieu dans les salons du cinéma du Panthéon,  dans le 5ème arrondissement de Paris, un de mes cinémas fétiches,( lesquels salons à l'ambiance tamisée et propice aux divagations et rêveries cinématographiques, ont été décorés par Catherine Deneuve et sont parsemés de livres sur le cinéma ), sous l'oeil intrigué de Xavier Beauvois qui se trouvait là par hasard, de nouveau en pleine immersion cinématographique donc, ou bien peut-être encore dans l'irréalité cannoise, là où la frontière entre fiction et réalité est si fragile.

     L'exercice est parfois réducteur comme sur la radio précitée où j'ai dû raconter cette anecdote sans grand intérêt sur les Ch'tis alors que j'aurais aimé parler de films plus "pointus" comme "Je veux voir" qui m'avaient enthousiasmée mais l'expérience demeure toujours instructive...

    L'émission a été diffusée ce lundi à 18H35 et le sera de nouveau ce soir à 23H20, demain mardi à 1H55 et à 8H20, vendredi 6 à 2OH55, samedi 7 à 1H40 et 7H50 etc . Vous pourrez également la retrouver sur la page de l'émission "Parlons blogs" de Public Sénat.

  • Tous les articles "in the mood for Cannes 2008"

    Retrouvez ci-dessous, avant le retour de l'actualité sur "In the mood for cinema", tous mes articles en direct du Festival de Cannes 2008 publiés sur mon autre blog "In the mood for Cannes"  .

     Cliquez ci-dessous sur l'un ou plusieurs des 18 titres des articles selon celui ou ceux  qui vous intéressent  pour pouvoir y accéder et les lire:

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    1.Cérémonie et film d'ouverture du 61ème Festival de Cannes en direct: du rêve à la réalité (15.05.2008)

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    2."In the mood for Cannes" sur LeMonde.fr (15.05.2008)

    3."In the mood for Cannes" élu blog du jour par L'Oréal (15.05.2008)

    4.Ouverture d'Un Certain Regard: "Hunger" de Steve Mc Queen (16.05.2008)

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    5.Séance du Président : "The Third wave" de Alyson Thompson en présence de Sean Penn (17.05.2008)

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    6."Je veux voir" de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige avec Catherine Deneuve: Un certain regard (18.05.2008)

    7."Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal" de Steven Spielberg en avant-première mondiale: jubilatoire! (19.05.2008)

    8.Hommage du Festival de Cannes 2008 à Manuel de Oliveira: Clint, Sean, Michel et les autres (20.05.2008)

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    9.Sélection officielle (compétition): "Two lovers" de James Gray et "Le silence de Lorna" de Jean-Luc et Pierre Dardenne, vertiges de l'amour (21.05.2008)

    10.Instantané du jour à 20 millions: "Les Ch'tis", même à Cannes, impossible de leur échapper (21.05.2008)

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    11."L'échange" de Clint Eastwood: politique et manichéen (22.05.2008)

    12.La leçon de cinéma de Quentin Tarantino au 61ème Festival de Cannes (23.05.2008)

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    13."La frontière de l'aube" de Philippe Garrel: conte poétique et désenchanté (24.05.2008)

    14.La montée des marches comme si vous y étiez (25.05.2008)

    15."Entre les murs" de Laurent Cantet: fenêtre ouverte sur le monde (25.05.2008)

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    16.Bilan provisoire de cette édition 2008: en attendant le palmarès... (25.05.2008)

    17.Le palmarès complet et détaillé du 61ème Festival de Cannes: une palme d'or française 21 ans après Pialat (26.05.2008)

    18.Mon Festival de Cannes 2008: le miroir d'un monde aveugle et suffocant et la passion de rêver, invincible malgré tout... (28.05.2008)

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  • Pour tout savoir sur le Festival de Cannes 2008 de l'ouverture à la clôture...

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     En attendant le retour de l'actualité sur "In the mood for cinema", rendez-vous sur mon autre blog "In the mood for Cannes" (http://inthemoodforcannes.hautetfort.com ) écrit quotidiennement en direct du 61ème Festival de Cannes sur lequel vous pourrez notamment trouver:

     les critiques de nombreux films de la sélection officielle, le récit de la projection et la critique de la palme d'or, le palmarès, des photos et vidéos inédites et de nombreux autres articles, bref n'attendez plus:

    Rendez-vous sur "In the mood for Cannes"!

    Je précise que de nouveaux articles seront également bientôt mis en ligne sur "In the mood for Cannes" et notamment un nouveau bilan plus personnel du festival avec le recul et la distance nécessaires après ces 12 jours hors du temps et de la réalité...

    Sandra.M

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