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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 270

  • Programme complet de la 69ème Mostra de Venise

    Le programme de la 69ème Mostra de Venise a été dévoilé hier. Retrouvez-le, en détails, sur mon nouveau blog http://inthemoodforfilmfestivals.com (je vous rappelle que vous pouvez aussi le suivre sur twitter @moodforfilmfest ) et pour le suivre en direct, il n'y a qu'un seul endroit ce sera sur le blog de Pascale "Sur la route du cinéma" qui vous fera des reportages dont elle a le secret, passionnés et passionnants, avec "quelques" photos et Robert Redford en guest star (elle a intérêt). De mon côté, je ferai comme chaque année:  le choix du coeur pour aller à Deauville (là où tout a commencé), au Festival du Cinéma Américain dont vous pouvez retrouver le programme complet, détaillé et commenté, ici.

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  • A la une...

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    Cette semaine, pour d'autres articles, je vous invite à vous rendre sur mon autre blog http://inthemoodlemag.com sur lequel figurent actuellement, à la une, les articles suivants:

    - 10 idées de séjours en Grèce: Corfou, Crète, Grèce, Athènes etc

    - la critique du bouleversant "A perdre la raison" de Joachim Lafosse avec Tahar Rahim, Emilie Dequenne, Niels Arestrup

     - les films de l'été que je vous recommande

    - mon avis sur le restaurant le Minipalais au Grand Palais à Paris

    -ma rencontre avec Woody Allen

    -la critique du "Samouraï" de Jean-Pierre Melville

    -le programme complet, détaillé et commenté du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 que je vous ferai suivre ici en direct du 31 août au 9 septembre et pour lequel, chaque semaine, je vous fais gagner des lots de pass

    Vous pouvez également toujours soutenir mon recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma au sujet duquel je vous dis tout, ici: http://inthemoodlemag.com/2012/06/19/mon-recueil-de-nouvelles-sur-le-cinema-ouvert-a-ledition-participative/

    Enfin, je vous invite à découvrir mon nouveau blog "In the mood for film festivals": http://inthemoodforfilmfestivals.com que vous pouvez également suivre sur twitter ( http://twitter.com/moodforfilmfest ).

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  • 38ème Festival du Cinéma Américain de Deauville : programme complet, détaillé et commenté

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    dididi.jpgS’il y a bien un rendez-vous incontournable pour moi chaque année, c’est celui-ci : ce Festival du Cinéma Américain de Deauville qui a exacerbé ma passion pour le cinéma, l’a transformée en doux mal incurable, il y a tant d’années déjà (je préfère ne plus les compter). Je l’ai expérimenté (et savouré) d’une multitude de manières, adolescente comme simple public d’abord (peu importaient les files d’attente –jusqu’à 5h !- ce fut l’occasion de créer des amitiés cinéphiles) mais aussi, comme jurée cinéphile (il y a 12 ans déjà !), accréditée public, vip, presse (peu importe d’ailleurs, quel que soit le statut, le festival est très accessible et permet une vraie immersion cinématographique)…mais toujours et depuis la première fois en restant tout le festival pour en avoir une vue aussi exhaustive que possible.

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    Chaque fois, ce furent de belles découvertes cinématographiques (quelle bonne idée que d’avoir institué la compétition de films indépendants en 1995, l’occasion de découvrir tant de pépites que je vous fais chaque année partager ici), de passer des films indépendants aux derniers blockbusters, de voir des monstres sacrés du cinéma américain (dont certains sont les responsables non coupables des prémisses de ma passion pour le cinéma comme Kirk Douglas ou Lauren Bacall), d’apprendre et de s’enrichir avec les master class, et puis de rêvasser en arpentant les planches dont la mélancolie joyeuse et envoûtante ne me lasse jamais. Et s’il est de bon ton d’être blasée, je revendique d’y aller chaque année, avec la même curiosité et le même enthousiasme, cette année plus que jamais.

     

    Il y a eu des éditions plus ou moins calmes. Quoiqu’il en soit, le Festival est toujours et plus que jamais la vitrine du cinéma indépendant américain, même si certains furent déçus de découvrir moins d’avant-premières et d’hommages prestigieux, ces 4 dernières années. Annonçons-le d’emblée : cette programmation 2012 devrait ravir tout le monde, les cinéphiles comme les simples amateurs de cinéma de pur divertissement, ceux qui veulent voir des stars et ceux qui veulent découvrir les dernières pépites du cinéma indépendant américain. Ce programme est le meilleur depuis plusieurs années et allie et concilie judicieusement films indépendants alléchants, avant-premières de grosses productions très attendues, hommages variés et prestigieux, sans oublier un jury éclectique, glamour et cinéphile.

    Vous retrouverez ci-dessous le programme, particulièrement riche et diversifié, dans ses grandes lignes, ainsi que de nombreuses informations pratiques. Je vous détaillerai le programme régulièrement sur mon blog consacré au festival http://www.inthemoodfordeauville.com , comme chaque année. Vous pouvez également, en attendant, retrouver mon bilan complet du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011, en cliquant ici, vous y retrouverez notamment ce petit moment de magie qui caractérise les festivals, totalement imprévisible, grâce à Tony Kaye et sa guitare...

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    LES MEMBRES DES 2 JURYS

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    Nous savions déjà que le jury longs-métrages serait présidé par la comédienne et désormais réalisatrice SANDRINE BONNAIRE (Et quelle réalisatrice ! Je ne saurai trop vous recommander son documentaire « Elle s’appelle Sabine » mais aussi son premier long-métrage de fiction « J’enrage de son absence », un film bouleversant entre drame familial et thriller qui met des images sur la douleur indicible de l'absence filmée avec une rage à la fois douce et âpre, un film dont vous pouvez retrouver ma critique ici) et que le jury Révélation Cartier serait présidé par FREDERIC BEIGBEDER (journaliste, écrivain, réalisateur, publicitaire...et cinéphile, chaque année par ailleurs membre du jury du prix littéraire du festival).

    Aux côtés de Sandrine Bonnaire, dans le jury longs-métrages, nous retrouverons :

    SAMI BOUAJILA – Comédien

    CLOTILDE COURAU - Comédienne

    PHILIPPE DECOUFLÉ - Danseur, chorégraphe, metteur en scène, directeur artistique et réalisateur

    ANAÏS DEMOUSTIER – Comédienne

    CHRISTOPHE HONORÉ - Réalisateur, scénariste, metteur en scène et écrivain

    JOANN SFAR - Réalisateur et dessinateur de bandes dessinées (Cliquez ici pour lire ma critique de « Gainsbourg, vie héroïque », un film que je vous recommande vivement)

    FLORENT EMILIO SIRI - Réalisateur et scénariste (Cliquez ici pour lire ma critique de « Cloclo » réalisé par ce dernier)

    ALICE TAGLIONI – Comédienne

    Concernant le jury Révélation Cartier, Frédéric Beigbeder sera entouré de :

    Astrid BERGÈS-FRISBEY –Comédienne

    Mélanie BERNIER – Comédienne

    Ana GIRARDOT – Comédienne

    HOMMAGES ET RECOMPENSES

    C’est ce qui, au départ, a contribué à la renommée du Festival du Cinéma Américain de Deauville, ces hommages à des grands du 7ème art américain dont les noms sont désormais immortalisés sur les planches. Certains furent plus mémorables que d’autres mais ce sont toujours des moments émouvants, l’occasion aussi de retracer des carrières plus ou moins longues, et désormais aussi de mettre en lumière de jeunes talents avec « le Nouvel Hollywood » institué l’an passé. Après Ryan Gosling et Jessica Chastain, l’an dernier, la récompense 2012 sera attribuée à l’acteur PAUL DANO, en sa présence. Il sera aussi à Deauville pour le film « Elle s’appelle Ruby » dont je vous parle plus bas.

    Le festival pouvait difficilement faire mieux et plus diversifié en matière d'hommages cette année puisqu'il rendra également hommage au comédien LIAM NEESON (en sa présence, à cette occasion retrouvez ici bientôt ma critique de "La Liste de Schindler") renouant avec les hommages de stars américaines sans compter qu’une autre star du cinéma américain, le comédien HARVEY KEITEL sera également à l’honneur (en sa présence) ainsi que la comédienne SALMA HAYEK, les cinéastes WILLIAM FRIEDKIN et MELVIN VAN PEEBLES, le compositeur JOHN WILLIAMS (toujours en sa présence). Parmi ses dernières compositions « Cheval de guerre » de Spielberg dont vous pouvez retrouver ma critique, ici.

    Le PRIX MICHEL D’ORNANO sera cette année attribué à « RENGAINE », un film écrit et réalisé par Rachid Djaïdani.

    Le PRIX LITTERAIRE LUCIEN BARRIÈRE sera cette année décerné à « PERCIVAL EVERETT » pour son roman « Pas Sidney Poitier ».

    COMPETITION

    Compliance : affiche

    Chaque année, je m’efforce de ne manquer aucun des films de la compétition. Nombreux sont les cinéastes aujourd’hui reconnus à avoir été révélés suite à leur sélection dans cette section, magnifique « vitrine » du cinéma indépendant américain. Cette année, au programme de cette compétition (particulièrement riche et attractive), 14 longs-métrages dont « Les Bêtes du Sud sauvage » qui avait fait sensation à Cannes (où je l’avais malheureusement manqué, l’occasion idéale de pouvoir le rattraper) où il avait obtenu la Caméra d’or. Vous y découvrirez aussi « The we and the I » de Michel Gondry. Une belle sélection sur laquelle je reviendrai ultérieurement plus en détails.

    BEASTS OF THE SOUTHERN WILD de Benh Zeitlin

    BOOSTER de Matt Ruskin

    CALIFORNIA SOLO de Marshall Lewy

    COMPLIANCE de Craig Zobel

    ELECTRICK CHILDREN de Rebecca Thomas

    FOR ELLEN de So Yong Kim

    FRANCINE de Brian M. Cassidy & Melanie Shatzky

    GIMME THE LOOT d’Adam Leon

    GOD BLESS AMERICA de Bobcat Goldthwait

    ROBOT and FRANK de Jake Schreier

    SMASHED de James Ponsoldt |

    UNA NOCHE de Lucy Mulloy

    THE WE AND THE I de Michel Gondry

    YOUR SISTER’S SISTER de Lynn Shelton

    PREMIERES

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    Nous savions déjà que le dernier volet des Jason Bourne serait projeté à Deauville (comme les précédents), voilà qui promet une belle effervescence. Nous aurons aussi le plaisir de retrouver Jonathan Dayton et Valerie Faris qui avaient enthousiasmé les festivaliers et le jury avec « Little Miss sunshine », d’ailleurs récompensé à Deauville. Deux films présentés à Cannes, en compétition, figurent également au programme : « Lawless » de John Hillcoat (un western de facture classique mais très maitrisé, je vous le recommande) et « Mud » de Jeff Nichols, en FILM D’OUVERTURE (je suis plus réservée sur celui-ci mais je retournerai le voir avec plaisir, Jeff Nichols avait reçu le grand prix à Deauville en 2011 pour « Take Shelter »).

    Nous aurons également le plaisir de découvrir « Savages » d’Oliver Stone en CLÔTURE avec un très beau générique parmi lequel Salma Hayek à qui le festival rendra également hommage mais aussi : Aaron Johnson, Taylor Kitsch, Blake Lively, John Travolta, Benicio del Toro, Emile Hirsch, Demian Bichir.

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    BACHELORETTE de Leslye Headland

    THE BOURNE LEGACY (JASON BOURNE : L’HÉRITAGE) De Tony Gilroy

    DEADFALL (BLACKBIRD) de Stefan Ruzowitzky

    KILLER JOE de William Friedkin

    LAWLESS (DES HOMMES SANS LOI) de John Hillcoat

    FILM D’OUVERTURE : MUD de Jeff Nichols

    RUBY SPARKS (ELLE S’APPELLE RUBY) de Jonathan Dayton & Valerie Faris

    SAVAGES d’Oliver Stone

    THE TALL MAN (THE SECRET) de Pascal Laugier

    SECRET OF THE WINGS (CLOCHETTE ET LE SECRET DES FÉES) de Peggy Holmes - Séance Enfants - Film diffusé dans sa version française

    TAKEN 2 d’Olivier Megaton

    TAKE THIS WALTZ de Sarah Polley

    TED de Seth MacFarlane

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    LES DOCS DE L’ONCLE SAM

    Cette section réserve aussi très souvent de belles surprises… Laissez-vous surprendre et aiguisez votre curiosité par ce qui est bien souvent une plongée dans une autre Amérique, et pas seulement:

    DIANA VREELAND: THE EYE HAS TO TRAVEL de Lisa Immordino Vreeland

    ETHEL de Rory Kennedy

    FAR OUT ISN'T FAR ENOUGH: THE TOMI UNGERER STORY de Brad Bernstein

    GAZZARA de Joseph Rezwin

    METHOD TO THE MADNESS OF JERRY LEWIS de Gregg Barson

    ROOM 237 de Rodney Ascher

    SEARCHING FOR SUGAR MAN de Malik Bendjelloul

    THE IMPOSTER de Bart Layton

    THE QUEEN OF VERSAILLES de Lauren Greenfield

    WEST OF MEMPHIS d’Amy Berg

     

    MASTERCLASS et Leçons de cinéma

    Le festival proposera aussi une série de Masterclass :

    - « De l’influence de Jean-Pierre Melville sur le cinéma américain » qui aura lieu le jeudi 6 septembre 2012, salle Lexington, au CID. Une masterclass que je ne manquerai pas, inconditionnelle du cinéma de Melville. Retrouvez ma critique de son chef d’œuvre (l’un de ses chefs d’œuvre), « Le Samouraï », ici : http://inthemoodlemag.com/2012/07/26/masterclass-de-l%e2%80%99influence-de-jean-pierre-melville-sur-le-cinema-americain-festival-de-deauville-2012-critique-le-samourai/

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    -Leçon de cinéma de William Friedkin, le 2 septembre, salle Lexington : Dans le cadre de l’hommage au réalisateur William Friedkin, le Festival propose à tous ceux qui le souhaitent d’assister à une leçon de cinéma animée par Jean-François Rauger, directeur de la programmation de la Cinémathèque française.

    -Masterclass « Take shelter », le 7 septembre 2012, en salle Lexington une masterclass autour de l’analyse filmique de TAKE SHELTER de Jeff Nichols, Grand Prix du Festival l’année dernière, lors d’une conférence animée par David McKenna, et initiée en collaboration avec l’ESRA.
    La masterclass portera sur l’utilisation des fondamentaux de la structure narrative par le réalisateur pour traduire les thématiques et les émotions intimes des personnages en de convaincantes actions dramatiques.

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    Les séries reviennent également avec, au programme :

    HOMELAND SAISON 1 (EPISODES PILOT) ET GRACE | GIRLS SAISON 1 (EPISODES PILOT) ET VAGINA PANIC

    NUITS AMERICAINES

    Le meilleur du cinéma américain et de ses classiques continuera à être programmé 24H sur 24H. Une excellente idée que de poursuivre cette belle initiative pour les cinéphiles insomniaques. Le programme sera dévoilé ultérieurement. Je vous en informerai bien entendu.

    CARTE BLANCHE A AGNES b.

    Après Jean-Charles de Castelbajac, cette année le Festival donnera carte blanche à Agnès b. qui nous proposera de redécouvrir :

    SEVEN CHANCES (Fiancées en folie) de Buster Keaton (1925) |

    FREAKS de Tod Browning (1932) |

    REFLECTIONS IN A GOLDEN EYE (Reflets dans un oeil d’or) de John Huston (1967)

    THE BIG SHAVE de Martin Scorsese (1968)

    RESERVOIR DOGS de Quentin Tarantino (1992)
    LOST HIGHWAY de David Lynch (1997)

    TRASH HUMPERS d’Harmony Korine (2010)

    SÉANCE CULTE

    Une « séance culte » s’ajoute cette année au programme : MONDWEST (WESTWORLD) de Michael Crichton.

    INFORMATIONS PRATIQUES

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    Vous pouvez d’ores et déjà réserver vos pass sur http://badgecid.com mais aussi en gagner sur mes blogs (http://inthemoodforfilmfestivals.com/concours-gagnez-vos-... ) ou sur la page Facebook officielle du Festival.

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    Pour le logement et les restaurants, je vous donne également de nombreux conseils ici: http://www.inthemoodfordeauville.com/archive/2011/08/21/h... .

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    Sur http://www.inthemoodfordeauville.com, vous trouverez également tout ce que vous voulez savoir sur Deauville ainsi que sur le site de l’office de tourisme et de la mairie.

    POUR EN SAVOIR PLUS- LIENS:

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    Site officiel du Festival : http://www.festival-deauville.com

    Page Facebook officielle du Festival : https://www.facebook.com/Festival.Cinema.Americain.Deauvi...

    Site officiel du CID : http://www.congres-deauville.com/

    Suivez les comptes officiels du festival sur twitter : @lpscinema et CID_Deauville

    Pour de nombreuses informations exclusives et pratiques et pour me suivre en direct du festival, ou participer à mes concours et gagner des pass, pour retrouver mes articles etc , vous pouvez aussi me suivre sur twitter , sur mon compte twitter consacré au festival ( @moodfdeauville ), sur mon compte principal (@moodforcinema ) et sur celui de mon nouveau blog consacré aux festivals de cinéma sur lequel Deauville est à l’honneur : http://inthemoodforfilmfestivals.com ( @moodforfilmfest) .

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    J’ai également écrit un recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma sélectionné et ouvert à l’édition participative et dans lequel figurent plusieurs nouvelles sur Deauville. Pour en savoir plus, c’est ici: http://inthemoodlemag.com/2012/06/19/mon-recueil-de-nouve.... Pour soutenir le projet, c’est là: http://www.bookly.fr/content/projet/ombres-parall%C3%A8le... . Et vous pouvez aussi le suivre sur Facebook (http://Facebook.com/ombresparalleles) et sur twitter (@parallelshadows) .

    Enfin, j’ai créé une page Facebook consacrée au Festival de Deauville : http://facebook.com/inthemoodfordeauville sur laquelle vous pourrez débattre du festival.

    Je vous donne rendez-vous quotidiennement sur http://www.inthemoodfordeauville.com pour de nombreuses informations sur le festival en attendant que vous puissiez m’y suivre en direct du 31 août au 9 septembre 2012 . Je vous rappelle enfin que, en fin de semaine, je vous ferai à nouveau gagner des lots de 3 ou 4 pass pour cette édition 2012 du Festival du Cinéma Américain de Deauville.

    Bon festival à tous en espérant qu'il sera cette année à l'image de son affiche (une invitation au voyage, au partage, à l'évasion) et n’hésitez pas à donner votre avis sur cette programmation !

    Découvrez les 6 blogs "in the mood": http://inthemoodlemag.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com, http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodforluxe.com .

    Voilà qui devrait faire palpiter le coeur des festivaliers un peu plus vite...:

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  • Programme du 38ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

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    CLIQUEZ ICI POUR LIRE MON ARTICLE AVEC LE PROGRAMME COMPLET DETAILLE ET COMMENTE DU FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2012

    Demain, à 11H, sera annoncé le programme du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012.  Vous pouvez d'ores et déjà trouver de nombreuses informations à ce sujet sur mon blog dédié http://www.inthemoodfordeauville.com .

     Demain, je vous détaillerai et commenterai ici le programme complet.

     En attendant, je vous fais gagner des pass pour le Festival, ici.

    Vous pouvez aussi suivre mon compte twitter dédié (http://twitter.com/moodfdeauville ), ma page Facebook dédiée (http://facebook.com/inthemoodfordeauville ) pour débattre de vos attentes sur cette édition 2012 mais aussi mon nouveau blog http://inthemoodforfilmfestivals.com sur lequel le Festival de Deauville est à la une.

    Vous y trouverez notamment mon bilan du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011.

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  • Les films à voir au cinéma cet été 2012

    Non pas que je sois partie vers des contrées lointaines mais les films que je souhaitais voir depuis un moment ne sont pas à l’affiche là où je me trouve actuellement ( toutes les villes n’ont pas des exploitants « audacieux » qui passent autre chose que « Madagascar » ou « L’âge de glace » ou pire « Paris-Manhattan »), ce qui explique (en partie) mon relatif silence sur ce blog (même si je me consacre à d’autres et notamment le nouveau que je vous invite à découvrir http://inthemoodforfilmfestivals.com , ainsi qu’à d’autres projets).

    J’en ai néanmoins vu pas mal en avant-premières. D’autres qui sont sortis depuis un moment déjà, parfois passés inaperçus, sont encore à l’affiche. Quelques-uns ont retenu mon attention. Je vous en parle ci-dessous.

    Les critiques de classiques du 7ème art un peu délaissées vont aussi reprendre sur ce blog. D’ailleurs, par la force des choses, ayant dû abandonner les salles obscures, j’ai revu trois classiques la semaine dernière : « La grande Evasion » de Raoul Walsh, « Sueurs froides » d’Alfred Hitchcock et « Le train » de Pierre Granier-Deferre. Le premier m’a rappelé que je n’avais jamais vu un mauvais film avec Bogart. Le deuxième m’a encore une fois fascinée par l’intelligence de la mise en scène et de l’écriture, leur polysémie réjouissante, la beauté foudroyante des images (et des acteurs), l'intensité dramatique exacerbée par la musique d'Herrmann, le charme discret de James Stewart, la beauté insolente de Kim Novak, le souci du détail, de chaque détail, et le savoureux machiavélisme du châtiment divin  final. Le troisième m’a rappelé quel couple à la fois improbable et évident formaient dans ce film Romy Schneider et Jean-Louis Trintignant, que le film reposait sur les épaules de ce couple et de leur alchimie troublante.

    Je ne succombe pas à la folie « Batman – The Dark Knight Rises » et donc sans doute serai-je une des rares à ne pas me ruer dans mon cinéma à sa sortie mercredi prochain, pourtant je reste une inconditionnelle de Christopher Nolan, lié à un souvenir magique puisque j’avais eu le plaisir de découvrir son premier film au Festival du Film Britannique de Dinard, en 1999, et que le jury présidé par Jane Birkin dont j’avais eu le plaisir de faire partie l’avait primé. Je reverrai donc plutôt « Following », « Memento » ou « Inception » en DVD.

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    Et parce que ses « Amours imaginaires »   est un de mes plus grands chocs cinématographiques de ces dernières années, et parce que je fais confiance à Mrs Sur la route du cinéma, allez voir « Laurence anyways » de Xavier Dolan (qui ne passe malheureusement pas dans mon cinéma) et retrouvez ma critique des « Amours imaginaires » si vous hésitez encore : une fantasmagorie pop, poétique sur la cristallisation amoureuse, sur ces illusions exaltantes et destructrices, sublimes et pathétiques, un film enivrant et entêtant comme un amour imaginaire…

    Parmi les films à l’affiche ou à venir, en juillet/août, je vous recommande d’abord « L’été de Giacomo » d'Alessandro Comodin et si je commence par celui-ci c’est que rares sont les salles à le programmer encore, comme le Reflet Médicis. J’ai eu un coup de cœur pour ce film découvert dans le cadre du Festival Paris Cinéma. Un film universel, solaire et languissant, troublant de réalisme, l’histoire d’une métamorphose qui résonne en nous comme le souvenir, lumineux et mélancolique, heureux et nostalgique, de la fin de quelque chose (l’enfance) et le début d’une autre (l’entrée dans l’âge adulte) porté par trois jeunes non comédiens attachants et le regard bienveillant et aiguisé du réalisateur ; et qui, l’air de rien, nous bouleverse comme une douce et âpre réminiscence des derniers feux de l’enfance, d’un éphémère été et des premiers émois. Une vraie pépite qui mérite d’être découverte. Cliquez ici pour lire ma critique.

    Toujours à l’affiche, le dernier film de Woody Allen « To Rome with love », un film idéal en cette période estivale.  Certains esprits chagrins (qui, pour certains, n’auront pas pris la peine d’aller le voir) vous diront qu’il n’en vaut pas la peine. Si « To Rome with love » n’atteint certes pas le niveau de « Manhattan », « La Rose poupre du Caire », « Match point » (pour moi un modèle d’écriture scénaristique, le scénario parfait dont vous pouvez retrouver ma critique en cliquant ici ainsi que de 7 autres films de Woody Allen dans le « dossier » que je lui ai consacré), Woody Allen une nouvelle fois a l’élégance de nous distraire en nous emmenant dans une promenade réjouissante qui nous donne envie de voyager, de vivre, de prendre la gravité de l’existence avec légèreté, de tomber amoureux, de savourer l’existence et ses hasards et coïncidences, et surtout de voir le prochain film de Woody Allen et de revoir les précédents. C’est sans doute la raison pour laquelle, avec notamment Claude Sautet, il fait partie de mes cinéastes de prédilection car, comme les films de ce dernier, ses films « font aimer la vie ». J’ai eu le plaisir de le rencontrer à l’occasion de sa venue à Paris. Retrouvez ici mon article complet à ce sujet et la critique du film.

    Ensuite, pour les deux autres films que je vous recommande, vous devrez attendre le 22 août : le premier est mon énorme coup de cœur du dernier Festival de Cannes, le second un petit coup de cœur du Festival du Film de Cabourg 2011.

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     Il s’agit d’abord de « A perdre la raison » de Joachim Lafosse pour lequel Emilie Dequenne a reçu le prix d’interprétation de la sélection Un Certain Regard pour ce film qui a des accents de Dardenne, Chabrol, Clouzot mais qui, surtout, témoigne de la singularité de son réalisateur. Si vous ne deviez voir que trois films cette année, celui-ci devrait sans aucun doute en faire partie. Bouleversant, il vous hantera et questionnera longtemps après cette plongée étouffante, palpitante et brillante dans cette cellule familiale (la bien nommée) et dans la complexité des tourments de l’âme humaine et vous laissera avec le choc de ce dénouement annoncé mais non moins terrassant. Cliquez ici pour lire la critique.

    « Au cul du loup » et est le premier long métrage de Pierre Duculot présenté dans la section Panorama du Festival du Film de Cabourg 2011. Il suit Cristina, presque trentenaire, qui vit dans la région de Charleroi avec son petit ami ; elle y travaille comme serveuse. L’héritage d’une maison en Corse que lui a léguée sa grand-mère va chambouler son existence. Alors que tout le monde l’incite à vendre, elle va peu à peu y trouver un sens à sa vie et le goût de vivre, vraiment. Pierre Duculot filme son anti-héroïne avec beaucoup de délicatesse, d’empathie, de sensibilité et son éveil à un nouvel amour (surtout celui de la vie mais aussi celui d’un berger) au contact de la rudesse et de la beauté des paysages corses. Le film est porté par sa fascinante actrice principale Christelle Cornil, une actrice malheureusement encore méconnue d’une étonnante présence. « J’aime la beauté des filles ordinaires qui ne le sont pas » a déclaré Pierre Duculot lors du débat d’après film et c’est exactement ça. Christelle Cornil derrière une apparence banale révèle peu à peu, grâce à la délicatesse du regard de Pierre Duculot derrière la caméra, une beauté, une détermination et un caractère tout sauf ordinaires. Pierre Duculot a débuté sa carrière comme assistant des Dardenne et on retrouve dans son cinéma cette manière de révéler le meilleur des acteurs et des êtres derrière leur froideur, cette manière d’accorder beaucoup de place au silence, à l’implicite, aux fêlures tacites des personnages.

    Enfin, je suis très curieuse de découvrir « Superstar » de Xavier Giannoli, le 29 août dont je vous laisse découvrir la bande-annonce, ci-dessous.

     

    Je vous promets d’autres pépites plus tard dans l’année, mais de celles-là, je vous parlerai ultérieurement. Et prochainement, je vous parlerai des films à ne pas manquer à la télévision, cet été.

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    Je vous rappelle enfin que vous pouvez toujours gagner vos pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012, ici, un festival dont le programme sera révélé lors de sa conférence de presse, le 25 juillet prochain.

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  • Critique de « A perdre la raison » de Joachim Lafosse avec Tahar Rahim, Emilie Dequenne, Niels Arestrup

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    photos ci-dessus: Présentation du Film par l'équipe à Cannes

    Présenté au Festival de  Cannes 2012 dans la sélection Un Certain Regard dans le cadre de laquelle je l’ai découvert, puis en avant-première au Festival Paris Cinéma où je l’ai revu (avec la même émotion), « A perdre la raison » est un des grands chocs cinématographiques de cette année 2012, et même sans doute le seul film de cette année auquel sied le substantif  « choc ». Peut-être équivalent à celui éprouvé à la fin de « Melancholia « , l’année précédente. C’est dire ! Même si le film de Joachim Lafosse ne va pas jusqu’à relever de l’expérience comme celui de Lars Von Trier, il vous laisse avec une émotion dévastatrice et brutale, une réflexion aussi, qui vont bien au-delà de la salle de cinéma.

    Murielle (Emilie Dequenne) et Mounir (Tahar Rahim) s’aiment passionnément. Elle est belle, féminine, joyeuse, lumineuse. Il est incontestablement charmant. Depuis son enfance, le jeune homme vit chez le Docteur Pinget (Niels Arestrup), qui lui assure une vie matérielle aisée après s’être marié avec la sœur marocaine de celui-ci, pour lui permettre d’avoir des papiers. Murielle et Mounir décident de se marier. D’abord, réticent, le Docteur accueille la jeune femme chez lui. Le jeune couple n’en déménagera jamais, pas plus à la suite des 4 grossesses de la jeune femme. Une dépendance s’installe. Le climat affectif devient irrespirable. L’issue tragique est alors inéluctable…

    Joachim Lafosse ne laisse d’ailleurs planer aucun doute sur celle-ci. Dès les premiers plans, Murielle est à l’hôpital et demande à ce qu’ils soient « enterrés au Maroc ». Puis, 4 petits cercueils descendent d’un avion sur le territoire marocain. Entre ces deux plans, Mounir et le Docteur Pinget s’étreignent chaleureusement. La succession de ces trois scènes est d’autant plus cruelle, terrible et bouleversante, a posteriori.

    Le film, lui aussi, vous étreint dès ces premiers plans pour ne plus vous lâcher, pourtant Joachim Lafosse ne recourt à aucune facilité pour cela : aucun sensationnalisme, pas plus qu’une photographie sombre annonciatrice du drame à venir. Non, il a eu l’intelligence de recourir à une mise en scène sobre, baignée d’une lumière crue, parfois éblouissante, qui rend d’autant plus terrible la noirceur dans laquelle se retrouve plongée Murielle, et celle du geste qu’elle accomplira. Seul le cadre légèrement chancelant (avec ces plans de portes en amorce, comme si quelqu’un, constamment, dominait, surveillait, instillant une impression malsaine mais impalpable), les gros plans qui enserrent les personnages, les plans séquences qui suggèrent le temps qui s’étire, et quelques plans significatifs comme celui de Murielle en Djellaba, hagarde,  à l’extérieur mais filmée derrière une fenêtre à barreaux, laissent entendre qu’elle est emmurée, oppressée, que l’étau se resserre.

    Il en fallait du talent, de la délicatesse, pour réussir un film, sur un tel sujet, rendre envisageable l’impensable, sans doute le crime le plus terrible qui soit : l’infanticide. Nous faire comprendre comment cette femme va perdre sa liberté, une raison d’être, et la raison. Du talent dans l’écriture d’abord : le scénario de Joachim Lafosse, Matthieu Reynaert et Thomas Bidegain qui avait nécessité 2 ans et demi d’écriture pour adapter très librement ce fait divers survenu en Belgique en 2007, l’affaire Geneviève Lhermitte, est particulièrement habile, maniant les ellipses et se centrant sur ses trois personnages principaux, aussi passionnants que, chacun à leur manière, terrifiants. Les dialogues sont concis et précis, comme les phrases assénées par Pinget à Murielle qui peuvent sembler tendrement réprobatrices ou terriblement injustes et cruelles selon la perception de la jeune femme. Tout est question de point de vue, de perception, et la nôtre est subtilement amenée à être celle de Murielle, ce qui rend la scène finale (judicieusement hors-champ) d’autant plus brutale.  Dans la réalisation évidemment, évoquée précédemment. Dans le choix de la musique qui intervient à chaque transgression.

    Dans l’interprétation enfin. Et quelle(s) interprétation(s) ! D’abord, le duo Arestrup- Rahim reformé trois ans après un « Prophète », et leurs prix d’interprétation respectifs. Niels Arestrup est parfait en père de substitution à la présence envahissante, à la générosité encombrante, d’une perversité insidieuse, sachant obtenir tout ce qu’il veut, comme un enfant capricieux et colérique.

    Face à lui, Tahar Rahim prouve une nouvelle fois que ses deux prix aux César (meilleur acteur, meilleur espoir) n’étaient nullement usurpés, toujours ici d’une justesse remarquable; il prouve aussi une nouvelle fois l'intelligence de ses choix artistiques. D’abord charmant, puis irascible, un peu lâche, velléitaire, sans être vraiment antipathique, il est lui aussi emmuré dans la protection et le paternalisme ambigu de Pinget, ne voyant pas ou préférant ne pas voir la détresse dans laquelle s’enferme sa femme. (cf aussi ma critique de "Or noir" et celle du film "Les hommes libres").

     Que dire d’Emilie Dequenne ? Elle est sidérante, époustouflante, bouleversante en Médée moderne. Il faudrait inventer des adjectifs pour faire l’éloge de sa prestation. D’abord si lumineuse, elle se rembrunit, s’enlaidit, s’assombrit, se renferme sur elle-même pour plonger dans la folie. Ce n’est pas seulement une affaire de maquillage comme cette scène où elle est à un spectacle de sa fille, outrageusement maquillée, et où ses réactions sont excessives. Non, tout en elle incarne sa désincarnation progressive, cette raison qui s’égare : sa démarche qui en devient presque fantomatique, son regard hagard, ses gestes hâtifs ou au contraire si lents, en tout cas désordonnés. Elle parvient à nous faire croire à l’incroyable, l’impensable ; comment ce personnage lumineux peut s’aliéner et accomplir un acte aussi obscur. Et puis il y a cette scène dont tout le monde vous parlera, mais comment ne pas en parler, tant elle y est saisissante d’émotion : ce plan-séquence où elle chante et pleure en silence, dans sa voiture sur la musique de Julien Clerc. Elle a reçu le prix d’interprétation Un Certain Regard pour ce film. Gageons que ce ne sera pas le dernier.

    Lafosse dissèque les rapports de pouvoir entre ces trois êtres, fascinants et terrifiants, métaphore d’un colonialisme dont l’aide est encombrante, oppressante, rendant impossible l’émancipation. La famille devient  un Etat dictatorial si bien que le Maroc dont ont voulu absolument fuir Mounir et sa famille apparaît comme le paradis pour Murielle, et ressemble à un Eden onirique dans la perception qui nous est donnée, la sienne. Il y a un soupçon de Dardenne dans cette empathie pour les personnages dont Lafosse tente de comprendre et d’expliquer tous les actes, même les inexplicables, même le pire, même l’ignominie. Du Chabrol aussi dans cette plongée dans les travers de la bourgeoisie, ses perversions, sa fausse affabilité. Et même du Clouzot dans ce diabolisme insidieux. Mais surtout une singularité qui fait que Joachim Lafosse, aucunement moralisateur, est un vrai cinéaste avec son univers et son point de vue propres.

    Si vous ne deviez voir que trois films cette année, celui-ci devrait sans aucun doute en faire partie. Bouleversant, il vous hantera et questionnera longtemps après cette plongée étouffante, palpitante et brillante dans cette cellule familiale (la bien nommée) et dans la complexité des tourments de l’âme humaine et vous laissera avec le choc de ce dénouement annoncé mais non moins terrassant.

    Retrouvez aussi cet article à la une sur "In the mood -Le Magazine"http://inthemoodlemag.com/?p=1027 .

    Sortie en salles en France : le 22 août 2012

  • Concours - Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 : gagnez vos pass!

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    Pour la 5ème année consécutive, j’ai le plaisir de vous faire gagner vos pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012.

    Chaque semaine, je mettrai ici des pass en jeu pour le 38ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, un festival que vous pourrez suivre en direct comme chaque année sur mon blog dédié http://www.inthemoodfordeauville.com ainsi que sur http://www.inthemoodforcinema.com , et au sujet duquel vous pourrez également retrouver les principales informations sur mon nouveau blog consacré aux festivals de cinéma http://inthemoodforfilmfestivals.com . Pour en savoir plus sur les raisons de ce nouveau blog, cliquez ici.

    Vous pourrez retrouver les premiers éléments de programmation de cette édition 2012, en cliquant ici.

    Règlement du concours :

    Cette semaine, je mets en jeu 3 lots de pass (valeur unitaire du pass journée : 30 euros) :

    1er prix : samedi 1 er septembre/dimanche 2 septembre/lundi 3 septembre

    2ème prix : vendredi 7 septembre/samedi 8 septembre/dimanche 9 septembre

    3ème prix : lundi 3 septembre/mardi 4 septembre/mercredi 5 septembre/jeudi 6 septembre

    1 seul prix par nom de famille. En cas d’égalités, les personnes n’ayant jamais gagné de pass les années précédentes seront délibérément privilégiées.

    Ne vous inquiétez si vous ne comptez pas parmi les lauréats: d’autres pass seront en jeu la semaine suivante.

    Fin de ce premier concours : le 25 juillet. Envoyez vos réponses à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com avec, pour intitulé de votre email: »1er concours pass Deauville 2012″. N’oubliez pas de joindre vos coordonnées (nom réel -pas de pseudo- adresse et numéro de téléphone) sans lesquelles votre participation sera caduque. Vous ne pourrez pas changer les dates de vos pass donc ne participez que si vous êtes certains d’être libres à ces différentes dates. Seuls les 3 lauréats seront contactés, par email, après le 25 juillet.

    Pour faire partie des heureux lauréats, répondez correctement aux 11 questions suivantes avant le 25 juillet à minuit :

    1.De quel chef d’œuvre du cinéma américain est extraite l’image suivante ?

    2.Quel réalisateur a réalisé cet autre classique du cinéma américain dont est extraite l’image suivante ?

    3. Quel prix le film dont est extraite l’image suivante a-t-il obtenu à Deauville ?

    4.Robert Redford- Jack Nicholson – Tom Cruise- Robert Redford : laquelle de ces personnalités n’est jamais venue au Festival de Deauville ?

    5. Si je vous dis 1540, quel lien avec Deauville cela vous évoque-t-il ?

    6. De quel film a été extraite l’image (découpée) ci-dessous ?

    7. 2 nouveaux festivals ont récemment vu le jour à Deauville. Quels sont-ils ?

    8. De quelle affiche est extraite l’image découpée ci-dessous ?

    9. En quelle année le film dont l’affiche a été découpée ci-dessous a-t-il été présenté à Deauville ?

    10. Quel est votre film américain préféré et pourquoi (en 3 phrases)?

    11. Pourquoi voulez-vous aller au Festival de Deauville (en 3 phrases)?

    Bonne chance à tous. Suivez également les autres blogs inthemood : http://inthemoodlemag.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforluxe.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com et si vous vous intéressez aux festivals de cinéma alors peut-être mon recueil de nouvelles sur les festivals de cinéma sélectionné et ouvert à l'édition participative vous intéressera-t-il? N'hésitez pas à le soutenir! Je vous en dis plus, ici: http://inthemoodforfilmfestivals.com/en-savoir-sur-le-rec... .

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