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FESTIVAL DE CANNES 2010 - Page 7

  • Les Rolling Stones à Cannes le 19 mai pour "Stones in exile" de Stephen Kijak

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    ©Dominique Tarlé

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    ©Dominique Tarlé

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    ©Jim Marshall

    Je m'échappe momentanément de la présentation des films de la compétition officielle pour vous parler de ce qui sera sans aucun doute un des grands événements de ce Festival de Cannes 2010 et aussi un de ceux que j'attends le plus en tant qu'inconditionnelle du groupe : la présentation de Stones in Exile, le documentaire de Stephen Kijak consacré à l'enregistrement de l'album des Rolling Stones Exile on Main Street paru en 1972.

    Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts et Ron Wood seront ainsi à Cannes pendant le Festival pour présenter ce documentaire.

    Le film sera ainsi projeté en avant-première mondiale. Il a été coproduit par Mick Jagger. Sa sortie en salles n'est pas encore programmée.  Nous savons seulement que Exile on main street (Universal) sortira en version remasterisée et avec dix titres inédits, le 17 mai.

    Résumé du film:  À la fin des années 1960, les Rolling Stones se trouvent à un tournant de leur vie. Harcelé par la presse, luttant contre l’emprise de la drogue, au bord de la faillite financière, le groupe jette l’éponge et se réfugie dans le Sud de la France. Là, ils commencent les enregistrements les plus difficiles de toute leur carrière pour faire le meilleur disque de rock and roll au monde. Le film raconte cet exil. Il montre les Rolling Stones luttant pour leur vie. C’est l’histoire de l’album mythique Exile on Main Street.

    Film en séance spéciale de la Quinzaine des Réalisateurs, le 19 mai, au Palais Stéphanie, à 17H et 19H30.

    Et en bonus, ma chanson favorite des Stones:

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  • Suivre le Festival de Cannes 2010 sur internet : mode d'emploi

    Je précise tout d'abord que cet article sera régulièrement mis à jour sur In the mood for Cannes au fur et à mesure des annonces jusqu'à l'ouverture du festival mais, à moins de deux semaines du festival, je peux déjà vous parler des principales sources d'information que vous pourrez trouver sur internet pour suivre ce 63ème Festival de Cannes comme si vous y étiez.

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    Je commence tout d'abord par le blog "In the mood for Cannes" puisque, vous le savez déjà, vous pourrez m'y lire en direct de Cannes, du 12 au 24 mai, de l'ouverture à la clôture. J'y serai pour la 10ème année consécutive, cette année accréditée presse, après 9 ans de pass pro Grand Ecran, ce qui devrait encore me permettre une plus grande immersion cannoise. J'essaierai de voir un maximum de films en compétition mais aussi des films des sélections parallèles. Je serai également présente à plusieurs soirées et dans les principaux lieux phares du festival pour appréhender et relater ce festival de la manière la plus exhaustive, passionnée et ludique possible! De tout cela je vous ferai le compte rendu sur In the mood for Cannes mais aussi sur mon blog principal In the mood for cinema en espérant que le tourbillon festivalier m'en laissera le temps.

    Vous pourrez également me suivre sur Facebook, sur la page officielle d' In the mood for Cannes mais également sur twitter avec un compte spécial "In the mood for Cannes" ,créé pour l'occasion, où il me sera plus facile de commenter en direct que sur ce blog.

     Par ailleurs, je participe à différentes opérations et différents médias relaieront mes articles d'une manière ou d'une autre, je vous en parlerai ultérieurement quand tout sera finalisé et effectif.

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     Je peux néanmoins d'ores et déjà vous dire que je participe également à Cannes Inside, un projet ludique et ambitieux que vous pouvez aussi retrouver sur Facebook, une idée de couverture chorale et subjective du Festival de Cannes 2010 initiée par Vodkaster. C'est par le biais de twitter qu'une vingtaine de festivaliers-personnages-envoyés spéciaux vous feront part de leur vision de Cannes et de leurs péripéties festivalières. Chaque Insider incarnera un personnage réel ou fictif. Ce projet promet bien d'autres surprises et je vous en parlerai prochainement plus en détails.

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    Cannes Inside n'est pas le seul projet original puisque touscoprod (qui coproduit par ailleurs plusieurs films sélectionnés pour cette édition 2010, j'y reviendrai là aussi en détails dans un prochain article) avec tousàcannes propose aussi son concept participatif, également (très) ambitieux et non moins intéressant avec pour objectif de couvrir l’actualité du festival sous un angle communautaire. Ces émissions seront articulées par thématiques : actualité de la journée (animée par des bloggers), interviews, reportage, marché du film vu par les producteurs et distributeurs, micro trottoir du public ayant assisté aux projections, coulisses du festival, soirées très privées... L'occasion pour tous de suivre l'actualité du Festival et pour ceux qui seront sur place (comme inthemoodforcannes.com donc) de rejoindre l'aventure.

    Côté blogs, si à ma connaissance, il y a 5 ans, nous n'étions que 2 blogueurs à commenter le Festival en direct de Cannes, Inthemoodforcinema donc et  le photographe Hugo Mayer avec "Le blog du Festival de Cannes 2010" (avec son slogan obamaesque détourné  "Yes we C@nnes", un blog très complet en particulier sur les soirées cannoises mais également sur la programmation),  jamais les blogueurs n'auront été si nombreux que cette année. Je vais donc vous parler de ceux que je connais et que je lis et lirai pendant le festival.

     D'abord, outre donc le blog d' Hugo Mayer recommandé ci-dessus, je vous recommande vivement le blog  Cannes en live. Ses 4 sympathiques rédacteurs sont des habitués du festival mais aussi des cinéphiles qui rédigent aussi bien des critiques aiguisées sur les films en sélection que des chroniques sur l'atmosphère du festival et ses soirées et comme In the mood for cinema, ils ont d'ailleurs récemment eu les honneurs du magazine Studio CinéLive, lequel magazine a au passage un excellent site sur lequel vous pourrez également suivre le festival.

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     majestic63.jpg Je vous recommande également l'excellent blog Cannes Addict , le blog de l'équipe d'ADR prod qui gère les plages Majestic 63 et Chérie chéri (dont je vous ai déjà parlé, ici) et sur lequel vous pourrez également retrouver Hugo Mayer mais aussi Arnold Derek et Michel Rebichon avec des articles qui vont "de la météo du jour à la météo des salles en passant par des critiques, l’objet du jour, la rubrique « Entendu à Cannes », la playlist, les anecdotes et bien d’autres… ".

    Puisque de Majestic il est question, j'en profite pour vous rappeler que vous pourrez suivre l'inauguration du Majestic qui aura lieu le soir de l'ouverture du festival, en direct, sur le blog L'émotion Majestic sur lequel se trouvent également de nombreuses informations sur le festival. Pour en savoir plus, cliquez ici.

     Cette année encore vous pourrez retrouver un autre habitué du festival, cinéphile et accessoirement autre ancien membre du jury Première du Festival du Film Asiatique de Deauville,  le rédacteur de l'excellent "Boulevard du cinéma" (que vous pouvez également retrouver sur Cinéalliance) avec également des critiques avisées, toujours argumentées et passionnées.

    D'autres habitués, comme Cinémaniac pourraient être présents , avec là aussi des critiques précises, sincères et souvent de belles photographies ( ce qui, je dois l'avouer, n'est pas mon fort mais je tenterai de m'améliorer pour cette édition).

    Tous ces blogs seront opérationnels de l'ouverture à la clôture.

     Pour les autres blogueurs, présents à Cannes, envoyez-moi un email à inthemoodforcinema@gmail.com ou laissez-moi un commentaire suite à cette note avec vos dates de présence à Cannes bien sûr seulement si vous comptez commenter le festival en direct et je vous ajouterai en bas de cette note.

    Certains sites internet comme Evene ont également créé leur page spéciale, de même qu'Allociné (page spéciale Cannes d'Allociné) dont je faisais partie de l'équipe de reporters invités l'an passé et qui pourrait bien renouveler l'opération cette année.

    Bien évidemment, comme chaque année, les blogueurs ne sont pas les seuls à couvrir le Festival de Cannes avec les sites des partenaires officiels que sont Orange (je vous en reparlerai en détails) et Canal plus avec sa page officielle. J'ajouterai prochainement à cet article les pages spéciales des autres chaînes de télévision et magazines.

    Enfin pour terminer je ne peux que vous recommander le site officiel du Festival de Cannes dont la version 2010 (multilingues) est une véritable mine d'informations et un outil indispensable pour bien préparer le festival. La Semaine de la Critique et la Quinzaine des Réalisateurs ont également leurs pages officielles.

    Tous ces sites figurent bien entendu dans la blogroll de ce blog, elle sera régulièrement enrichie. J'y ajouterai progressivement de nouvelles pages et je consacrerai prochainement un article au traitement du festival à la télévision. Je vous en dirai par ailleurs bientôt plus sur la présence médiatique d'Inthemoodforcannes .

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  • "The Tree" de Julie Bertucelli avec Charlotte Gainsbourg en clôture du Festival de Cannes 2010

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    C’est le film de Julie Bertucelli, The Tree, interprété par Charlotte Gainsbourg, Marton Csokas et Aden Young, qui sera présenté en Clôture du 63e Festival de Cannes. Tourné en Australie, le film est adapté du roman de Judy Pascoe, "Our Father Who Art in the Tree".

    Le film sera projeté dimanche 23 mai, après l’annonce du Palmarès par le jury présidé par le cinéaste américain Tim Burton. 

    Je vous en reparle prochainement en détails ici! 

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  • "Le Guépard" de Luchino Visconti dans la sélection Cannes Classics 2010: critique

    Je vous parlais avant-hier du programme de Cannes Classics 2010 (ici) , le chef d'oeuvre de Luchino Visconti, "Le Guépard" et accessoirement un de mes films favoris, y figure. Je vous engage évidemment à (re)voir ce classique. Je vous en propose ma critique ci-dessous:

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    En 1860, en Sicile, tandis que Garibaldi et ses chemises rouges débarquent pour renverser la monarchie des Bourbons de Naples et l’ancien régime, le prince Don Fabrizio Salina (Burt Lancaster) ainsi que sa famille et son confesseur le Père Pirrone (Romolo Valli), quitte ses domaines pour son palais urbain de Donnafigata, tandis que son neveu Tancrède rejoint les troupes de Garibaldi. Tancrède s’éprend d’Angelica, (Claudia Cardinale), la fille du riche maire libéral  de Donnafugata : Don Calogero. Le Prince Salina s’arrange pour qu’ils puissent se marier. Après l’annexion de la Sicile au royaume d’Italie, Tancrède qui s’était engagé aux côtés des Garibaldiens les abandonne pour rejoindre l’armée régulière…

    Les premiers plans nous montrent une allée qui mène à une demeure, belle et triste à la fois. Les allées du pouvoir. Un pouvoir beau et triste, lui aussi. Triste car sur le déclin, celui de l’aristocratie que symbolise le Prince Salina. Beau car fascinant comme l’est le prince Salina et l’aristocratie digne qu’il représente. Ce plan fait écho à celui de la fin : le prince Salina avance seul, de dos, dans des ruelles sombres et menaçantes puis il s’y engouffre comme s’il entrait dans son propre tombeau. Ces deux plans pourraient résumer l’histoire, l’Histoire, celles d’un monde qui se meurt. Les plans suivants nous emmènent à l’intérieur du domaine, nous offrant une vision spectrale et non moins sublime de cette famille. Seuls des rideaux blancs dans lesquels le vent s’engouffre apportent une respiration, une clarté dans cet univers somptueusement sombre. Ce vent de nouveauté annonce l’arrivée de Tancrède, Tancrède qui apparaît dans le miroir dans lequel Salina se mire.  Son nouveau visage. Le nouveau visage du pouvoir. Le film est à peine commencé et déjà son image est vouée à disparaître. Déjà la fin est annoncée. Le renouveau aussi.

    Fidèle adaptation d’un roman écrit en 1957 par Tomasi di Lampedusa, Le Guépard témoigne d’une époque représentée par cette famille aristocrate pendant le Risorgimento, « Résurrection » qui désigne le mouvement nationaliste idéologique et politique qui aboutit à la formation de l’unité nationale entre 1859 et 1870. Le Guépard est avant tout l’histoire du déclin de l’aristocratie et de l’avènement de la bourgeoisie, sous le regard et la présence félins, impétueux, dominateurs du Guépard, le prince Salina. Face à lui, Tancrède est un être audacieux, vorace, cynique, l’image de cette nouvelle ère qui s’annonce.

    medium_guepard4.JPGLa scène du fastueux bal qui occupe un tiers du film est aussi la plus célèbre, la plus significative, la plus fascinante. Elle marque d'abord par sa magnificence et sa somptuosité :  somptuosité des décors, soin du détail du Maestro Visconti qui tourna cette scène en huit nuits parmi 300 figurants. Magnificence du couple formé par Tancrède et Angelica, impériale et rayonnante dans sa robe blanche. Rayonnement du couple qu’elle forme en dansant avec Salina, aussi.  La fin du monde de Salina est proche mais le temps de cette valse, dans ce décor somptueux, le temps se fige. Ils nous font penser à cette réplique de Salina à propos de la Sicile : "cette ombre venait de cette lumière". Tancrède regarde avec admiration, jalousie presque, ce couple qui représente pourtant la déchéance de l’aristocratie et l’avènement de la bourgeoisie. Un suicide de l'aristocratie même puisque c’est Salina qui scelle l’union de Tancrède et Angelica, la fille du maire libéral, un mariage d’amour mais aussi et avant tout de raison entre deux univers, entre l'aristocratie et la bourgeoisie. Ces deux mondes se rencontrent et s’épousent donc aussi le temps de la valse d’Angelica et Salina. Là, dans le tumulte des passions, un monde disparaît et un autre naît. Ce bal est donc aussi remarquable par ce qu’il symbolise : Tancrède, autrefois révolutionnaire, se rallie à la prudence des nouveaux bourgeois tandis que Salina, est dans une pièce à côté, face à sa solitude, songeur,  devant un tableau de Greuze, la Mort du juste, faisant « la cour à la mort » comme lui dira ensuite magnifiquement Tancrède.

    Angelica, Tancrède et Salina se retrouvent ensuite dans cette même pièce face à ce tableau morbide alors qu’à côté se fait entendre la musique joyeuse et presque insultante du bal. L’aristocratie vit ses derniers feux mais déjà la fête bat son plein. Devant les regards attristés et admiratifs de Tancrède et Angelica, Salina s’interroge sur sa propre mort. Cette scène est pour moi une des plus intenses de ce film qui en comptent pourtant tant qui pourraient rivaliser avec elle. Les regards lourds de signification qui s’échangent entre eux trois, la sueur qui perle sur les trois visages, ce mouchoir qu’ils s’échangent pour s’éponger en font une scène d’une profonde cruauté et sensualité où entre deux regards et deux silences, devant ce tableau terriblement prémonitoire de la mort d’un monde et d’un homme, illuminé par deux bougies que Salina a lui-même allumées comme s’il admirait, appelait, attendait sa propre mort, devant ces deux êtres resplendissants de jeunesse, de gaieté, de vigueur, devant Salina las mais toujours aussi majestueux, plus que jamais peut-être, rien n’est dit et tout est compris.

    medium_guepard3.JPG Les décors minutieusement reconstitués d’ une beauté visuelle sidérante, la sublime photo de Giuseppe Rotunno, font de ce Guépard une véritable fresque tragique, une composition sur la décomposition d’un monde, dont chaque plan se regarde comme un tableau, un film mythique à la réputation duquel ses voluptueux plans séquences (notamment la scène du dîner pendant laquelle résonne le rire interminable et strident d’Angelica comme une insulte à l’aristocratie décadente, au cour duquel se superposent des propos, parfois à peine audibles, faussement anodins, d’autres vulgaires, une scène autour de laquelle la caméra virevolte avec virtuosité, qui, comme celle du bal, symbolise la fin d’une époque), son admirable travail sur le son donc, son travail sur les couleurs (la séquence dans l’Eglise où les personnages sont auréolés d’une significative lumière grise et poussiéreuse ) ses personnages stendhaliens, ses seconds rôles judicieusement choisis (notamment Serge Reggiani en chasseur et organiste), le charisme de ses trois interprètes principaux, la noblesse féline de Burt Lancaster, la majesté du couple Delon-Cardinale, la volubilité, la gaieté et le cynisme de Tancrède formidablement interprété par Alain Delon, la grâce de Claudia Cardinale, la musique lyrique, mélancolique et ensorcelante de Nino Rota ont également contribué à faire de cette fresque romantique, engagée, moderne, un chef d’œuvre du septième Art. Le Guépard a ainsi obtenu la Palme d’or 1963… à l’unanimité.

     La lenteur envoûtante dont est empreinte le film métaphorise la déliquescence du monde qu’il dépeint. Certains assimileront à de l’ennui ce qui est au contraire une magistrale immersion  dont on peinera ensuite à émerger hypnotisés par l’âpreté lumineuse de la campagne sicilienne, par l’écho du pesant silence, par la beauté et la splendeur stupéfiantes de chaque plan. Par cette symphonie visuelle cruelle, nostalgique et sensuelle l’admirateur de Proust qu’était Visconti nous invite à l’introspection et à la recherche du temps perdu.

    La personnalité du Prince Salina devait beaucoup à celle de Visconti, lui aussi aristocrate, qui songea même à l’interpréter lui-même, lui que cette aristocratie révulsait et fascinait à la fois et qui, comme Salina, aurait pu dire : « Nous étions les Guépards, les lions, ceux qui les remplaceront seront les chacals, les hyènes, et tous, tant que nous sommes, guépards, lions, chacals ou brebis, nous continuerons à nous prendre pour le sel de la terre ».

    Que vous fassiez partie des guépards, lion, chacals ou brebis, ce film est un éblouissement inégalé par lequel je vous engage vivement à vous laisser hypnotiser...

    A lire également, dans le cadre du cycle Alain Delon sur inthemoodforcinema.com, mes critiques de :  La Piscine », « Borsalino », « Le Guépard », « Monsieur Klein »,  « Le Cercle rouge », "Le Professeur", "Plein soleil"

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  • La sélection Cinéfondation du Festival de Cannes 2010 : courts-métrages en compétition

    cannes4.jpgLa Sélection de la Cinéfondation présentera lors du prochain Festival de Cannes 13 films, choisis parmi les 1600 proposés par des écoles de cinéma du monde entier. Parmi ces films issus de 11 pays, le jury de la Cinéfondation et des courts métrages, présidé par Atom Egoyan, récompensera ses trois préférés.  Ce palmarès sera annoncé vendredi 21 mai au Festival de Cannes.


    Jens BLANK - COOKED - 7'
    NFTS, Royaume-Uni

    Vatche BOULGHOURJIAN - HINKERORT ZORASUNE (The Fifth Column) - 29'
    NYU, États-Unis                                                                        

    Vincent CARDONA - COUCOU-LES-NUAGES  (Anywhere Out of the World) - 38'
    La fémis, France                                                                                  

    Gilles COULIER - IJSLAND (Iceland) - 22'
    Université Sint-Lukas*, Belgique

    KIM Tae-yong - FROZEN LAND - 36'
    Université de Sejong*, Corée du Sud

    Dane KOMLJEN - JA VEĆ JESAM SVE ONO ŠTO ŽELIM DA IMAM (I Already Am Everything I Want to Have) - 35'
    FDU, Serbie

    Juho KUOSMANEN - TAULUKAUPPIAAT (The Painting Sellers) - 60'
    Université Aalto, Finlande                                             

    Janaína MARQUES RIBEIRO - LOS MINUTOS, LAS HORAS (The Minutes, the Hours) - 11'
    EICTV, Cuba                                                                                          

    Michaela MÜLLER - MIRAMARE - 8'
    ALU*, Croatie

    Benjamin NAISHTAT - EL JUEGO (The Game) - 20'
    Le Fresnoy, France

    Mátyás PRIKLER - ĎAKUJEM, DOBRE (Thanks, Fine) - 40'
    FTF-VŠMU, Slovaquie

    Bálint SZIMLER - ITT VAGYOK (Here I Am) - 36'
    SzFE, Hongrie

    Andrew WESMAN - SHELLEY - 21'
    Université Harvard*, États-Unis


    *écoles sélectionnées pour la première fois

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  • Programme de la Semaine de la critique 2010

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    Le programme de la Semaine de la Critique 2010 vient d'être annoncé. Je vous laisse le découvrir ci-dessous.

    COMPETITION

    Long-métrages

    Armadillo Janus Metz (Danemark)

    Bedevilled JANG Cheol So (Corée du Sud)

    Belle épine Rebecca Zlotowski (France)

    Bi, dung so ! Phan Dang Di (Vietnam – France - Allemagne)

    The Myth of the American Sleepover David Robert Mitchell (Etats-Unis)

    Sandcastle Boo Junfeng (Singapour)

    Sound of Noise Ola Simonsson & Johannes Stjärne Nilsson (Suède - France)  

     Court-métrages

    A distração de Ivan Cavi Borges & Gustavo Melo (Brésil)

    Berik Daniel Joseph Borgman (Danemark)

    The Boy Who Wanted to Be a Lion Alois Di Leo (Royaume-Uni)

    Deeper Than Yesterday Ariel Kleiman (Australie)

    Love Patate Gilles Cuvelier (France)

    Native Son Scott Graham (Royaume-Uni)

    Vasco Sébastien Laudenbach (France)    

    Séances spéciales

    Long-métrages

    Ouverture

    Le Nom des gens Michel Leclerc (France)

     

    Copacabana Marc Fitoussi (France)

     Rubber Quentin Dupieux (France)

     Courts et moyens métrages

     

    Soirée de clôture

    Le programme de cette soirée sera annoncé prochainement

     

    L’Amour-propre Nicolas Silhol (France)

    Cynthia todavía tienes las llaves Gonzalo Tobal (Argentine)

    Fracture Nicolas Sarkissian (France) 

    INVITATIONS

    Women Are Heroes  (Cliquez ici pour lire mon article sur "Women are heroes" sur ma rencontre avec sa coproductrice lors du Festival de Cannes 2009- en bonus, une vidéo ci-dessous)

     La Collection CANAL+

      Festival de Morelia + Revolución 

    Nisi Masa


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  • Cannes 2010: "Carlos" d'Olivier Assayas finalement sélectionné hors compétition

    assayas.jpgAlors qu'il avait été annoncé il y a encore quelques jours que "Carlos" d'Olivier Assayas ne serait pas programmé, nous venons d'apprendre qu'il sera finalement projeté hors compétition. Il s'agit d'un biopic sur la vie du terroriste d'extrême gauche Carlos.

    Créé à l'origine  pour la télévision  Carlos était d'une durée initile  de 5h30. Cette durée étant trop longue  pour le festival, Olivier Assayas l'a réduit à 2h20.

    L'acteur vénézuélien, Edgar Ramirez  tiendra le rôle d' Ilich ramirez Sanchez ( Carlos) .

    Le film entier (5h30 en trois parties) sera diffusé le même jour que sa projection cannoise sur Canal + et distribué ensuite exclusivement à l'étranger.

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