Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 353

  • Le Festival de Cannes 2011 en direct

    banncannes.jpg

    Venant d'avoir la confirmation de mon accréditation cannoise, je peux donc vous annoncer que vous retrouverez ici comme chaque année le Festival de Cannes en direct, du 11 au 23 mai, avec plus que jamais, des évènements inédits.

     En attendant le festival, vous pourrez donc retrouver toutes les informations sur cette 64ème édition sur mon blog qui y est entièrement consacré In the mood for Cannes et bien sûr sur inthemoodforcinema.com, mais aussi sur mon compte twitter consacré au Festival de Cannes et sur la nouvelle page Facebook d'In the mood for Cannes que je vous invite à rejoindre dès maintenant. Une édition qui s'annonce prestigieuse après une 63ème édition plus décevante que les précèdentes en raison de nombreux facteurs.

     Je vous rappelle que le jury de cette 64ème édition sera présidé par Robert De Niro, que Michel Gondry présidera le jury de la Cinéfondation et des courts-métrages, que Woody Allen fera l'ouverture avec "Minuit à Paris".

     Même si cela n'a pas été confirmé, il est fort probable que Pedro Almodovar présentera son nouveau film "La piel que habito" et que Madonna y présentera le film qu'elle a réalisé W.E., que l'équipe de "La Conquête" montera les marches.

     Bien entendu vous pourrez retrouver toutes les informations sur cette édition 2011 au fur et à mesure de leurs annonces, de même que tous les concours liés au festival et sur mon autre blog In the mood for luxe, je vous donnerai bientôt toutes les bonnes adresses cannoises.

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CANNES 2011 Pin it! 1 commentaire
  • Critique de « True grit » d’Ethan et Joel Coen avec Jeff Bridges, Matt Damon, Hailee Steinfeld

    true3.jpg

    Alors que « True Grit » est, injustement, reparti sans aucune récompense des Oscars, dimanche dernier, malgré ses 10 nominations, retour sur un des meilleurs films américains de cette année 2010 (avec « Shutter island », « Black swan », « Inception », « Le discours d’un roi », ce dernier ayant raflé les principales récompenses).

    1870, juste après la guerre de Sécession, sur l'ultime frontière de l'Ouest américain. Mattie Ross (Hailee Steinfeld), 14 ans, réclame justice pour la mort de son père, abattu de sang-froid pour deux pièces d'or par le lâche Tom Chaney (Josh Brolin). L'assassin s'est réfugié en territoire indien. Pour le retrouver, se venger et le faire pendre, Mattie engage Rooster Cogburn (Jeff Bridges), un U.S. Marshal alcoolique. Mais Chaney est déjà recherché par LaBoeuf (Matt Damon), un Texas Ranger qui veut le capturer contre une belle récompense. Ayant la même cible, les voilà rivaux dans la traque. Tenaces et obstinés, chacun des trois protagonistes possède sa propre motivation et n'obéit qu'à son code d'honneur.

    Dès les premiers plans, d’une maîtrise, d’une ingéniosité et d’une beauté à couper le souffle, les Coen font une nouvelle fois preuve de leur malicieux talent de narrateurs et cinéastes. J’ai bien cru qu’il était arrivé, enfin et tardivement, ce film que j’avais attendu toute l’année 2010, enfin un film qui me scotche à mon siège, m’éblouit, me fascine, me donne envie de partager mon enthousiasme débordant, à peine sortie de la salle.

    Le début laisse même présager un très très grand film : richesses des plans et de la narration, beauté de la photographie, et incroyables personnages à commencer par  la jeune Hailee Steinfeld (retenez bien son nom, il ne serait pas étonnant de la retrouver aux Oscars avec la statuette entre les mains) dont chaque apparition est réellement bluffante. J’ignore combien de jeunes filles les Coen ont vues avant de la trouver mais elle est incroyable et stupéfiante de naturel. Son jeu est (à l’image de son personnage) d’une maturité et d’une intelligence époustouflantes transformant chacune de ses apparitions en instants réellement jubilatoires. A l’image de son nom dans le film, elle est tranchante comme une lame de rasoir, pleine d’assurance et de malice.

    J’avoue que j’étais emballée à l’idée de voir un western genre qui m’a fait aimer le cinéma mais que je le redoutais aussi tant ce genre est codifié et peut apparaître aujourd’hui comme suranné mais évidemment c’était compter sans le talent des Coen. « True Grit » est ainsi un remake de “100 dollars pour un sheriff” de Henry Hathaway, un film  de 1969 pour lequel John Wayne a obtenu l’Oscar du meilleur acteur, le seul de sa carrière d’ailleurs.  Les Coen réfutent pourtant l’appellation de remake préférant dire qu’ils se sont basés sur le roman de Charles Portis à l’origine du film.

    true2.jpg

     « True Grit » est un magnifique hommage aux westerns (reprenant même la musique du chef d’œuvre « La nuit du chasseur » de Charles Laughton) dont il respecte et détourne les codes non sans uns certaine ironie (comme lorsque Mattie Ross sort après une magistrale traversée de la rivière à cheval, totalement sèche comme pour nous dire que cela n’est que mythe), à ses personnages aux gueules patibulaires mais au cœur d’or, à ses grandes étendues éblouissantes, à ses chevauchées fantastiques dans des plaines majestueuses au soleil levant ou couchant « dans la vallée de l’ombre et de la mort », à la mythologie américaine donc, à ses légendes.

    Et puis un film des Coen ne serait pas un film des Coen sans le second degré, l’humour noir, l’ironie caustique, un ton sarcastique qui n’appartient qu’à eux et qui convient merveilleusement au western (autour duquel ils tournent d’ailleurs depuis un moment,  « No country for old men » en étant déjà une forme) et à ce trio improbable.

    Seul bémol : un rythme qui se ralentit un peu en milieu de film et une confrontation finale (le principe même des westerns qui, souvent, revendiquent leur manichéisme) un peu décevante mais aussitôt un trait d’humour ou une chevauchée nocturne sublimement filmée à donner des frissons vous le font oublier.  Et puis leurs personnages truculents et finalement touchants dépassent le cadre de l’intrigue et ses faiblesses qui finalement importent peu.

    Matt Damon confirme qu’il peut tout interpréter, et il fallait pas mal d’humour pour interpréter ce LaBoeuf, Texas ranger, aussi léger et subtile que son prénom. Quant à Jeff Bridges, il n’aurait pas moins mérité un Oscar que John Wayne pour le rôle de ce Marshall alcoolique, téméraire et bourru.

    Avec « True Grit », les Coen rendent hommage au western en le renouvelant et transformant en  un conte désenchanté aux paysages enchanteurs, une sorte d’Alice au pays des merveilles dans un Ouest Américain aussi hostile que magnifiquement filmée, les mésaventures d’un trio improbable entre courage et désillusions. Un ton qui n’appartient qu’aux Coen et des personnages forts remarquablement interprétés font de ce western un des meilleurs films de l’année 2010…. Le nouveau partenaire des frères Coen, un certain producteur nommé Steven Spielberg, ne s’y est pas trompé.

    jesse.jpg

    Revoir aussi  « L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford ». chef d’oeuvre récent du genre prouvant là aussi qu’il peut être d’une grande modernité.

    johnny.jpg

      Et puisqu’il est question de western retrouvez aussi ma critique de « Johnny Guitar »de Nicholas Ray.

    Lien permanent Imprimer Catégories : CRITIQUES DES FILMS A L'AFFICHE EN 2011/2012 Pin it! 1 commentaire
  • Cérémonie des Etoiles d'or du cinéma (prix de la presse du cinéma français): les nommés

     etoilesdor.jpgAprès les Lumières et les César, c'est au tour des Etoiles d'or (prix de la presse du cinéma français, vote de 450 journalistes) de bientôt décerner leur palmarès, le 21 mars, au Gaumont Marignan. La cérémonie sera présidée par Sylvie Testud. Cette 12ème édition rendra également hommage à Daniel Toscan du Plantier. J'en profite pour vous recommender l'excellent documentaire d'Isabelle Partiot-Piéri à son sujet intitulé "Toscan".

     Liste des nommés pour les 12 catégories :

     Film

    « Des hommes et des dieux » de Xavier Beauvois

    « Mammuth » de Benoît Delépine et Gustave Kervern

    « The ghost writer » de Roman Polanski

    « Tournée » de Mathieu Amalric

     Réalisateur

    Mathieu Amalric pour « Tournée »

    Xavier Beauvois pour « Des hommes et des dieux »

    Kim Chapiron pour « Dog pound »

    Roman Polanski pour « The ghost writer »

     Scénario

    Abdellatif Kechiche pour « Vénus noire »

    Baya Kasmi, Leclerc Michel pour « Le nom des gens »

    Bertrand Blier pour « Le bruit des glaçons »

    Géraldine Nakache, Hervé Mimran pour « Tout ce qui brille »

     Premier film

    « Belle épine » de Rebecca Zlotowski

    « L’Arnacoeur » de Pascal Chaumeil

    « Les petits ruisseaux » de Pascal Rabaté

    « Tout ce qui brille » de Géraldine Nakache et Hervé Mimran

    Documentaire

    « Benda Bilili » de Renaud Barret, Florent de La Tullaye

    « La vie sauvage des animaux domestiques » de Dominique Garing, Frédéric Goupil

    « Océans » de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud

    « Toscan » de Isabelle Partiot-Pieri

     Premier rôle féminin

    Catherine Deneuve dans “Potiche”

    Charlotte Gainsbourg dans “L’arbre”

    Isabelle Carré dans “Les émotifs anonymes”

    Sara Forestier dans “Le nom des gens”

     Premier rôle masculin

    Gérard Depardieu dans « Mammuth »

    Eric Elmosnino dans « Gainsgourg (vie héroïque) »

    Lambert Wilson dans « Des hommes et des dieux »

    Romain Duris dans « L’arnacoeur »

     Révélation masculine

    Eric Elmosnino dans « Gainsgourg (vie héroïque)»

    Grégoire Leprince-Ringuet dans « La princesse de Montpensier »

    Raphaël Personnaz dans « La princesse de Montpensier »

    Pio Marmaï dans « D’amour et d’eau fraîche »

     Révélation féminine

    Anaïs Demoustier dans « D’amour et d’eau fraîche »

    Audrey Lamy dans « Tout ce qui brille »

    Leila Bekhti dans « Tout ce qui brille »

    Yahima Torres dans « Vénus noire »

     Compositeur de musique originale de films

    Alexandre Desplat pour « The ghost writer »

    Bruno Coulais pour « Océans »

    Philippe Sarde pour « La princesse de Montpensier »

    Sonic Youth pour « Simon Werner a disparu… »

     Producteur de films

    Agat Films & Cie

    Fidélité Films, Wild Bunch, Buf Compagnie

    Les films du poisson

    Why not productions

     Distributeur de films

    ED. Distribution

    Haut et Court Dist.

    Mars Distribution

    Wild Bunch Distribution

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 1 commentaire
  • Découvrez les photos inédites de Colin Firth, Javier Bardem, Penelope Cruz sur le tapis rouge des Oscars

    chopard5.jpgMerci à Chopard (crédit photos : Joaillerie Chopard) de nous avoir transmis ces photos du tapis rouge des Oscars que je vous laisse découvrir sur inthemoodforluxe.com en cliquant ici.

     Cliquez ici pour lire mon article complet consacré aux Oscars (palmarès commenté).

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 0 commentaire
  • Annie Girardot aux César et dans "Rocco et ses frères" (et critique du film de Visconti)

    annie.jpgHabituellement, je ne fais pas de rubrique nécrologique sur ce blog mais cette actrice représentait tout un pan de l'Histoire du cinéma (et du cinéma que j'aimais), a joué dans un de mes films préférés (dont vous pourrez retrouver un extrait ci-dessous et ma critique ).

     Triste ironie du sort que son décès  au lendemain des César où, il y a quelques années (en 1996), recevant son César du meilleur second rôle pour "Les Misérables" de Claude Lelouch, elle avait été si bouleversante, déclarant son amour au et du cinéma et émouvant une assistance qui, pourant, l'avait tant négligée (revoyez les images en cliquant ici et retrouvez également un extrait des "Misérables" ci-dessous).

    Retrouvez également son impressionnante fimographie, en bas de cet article.

                                                     

    rocco3.jpg

    Synopsis : Après le décès de son mari, Rosaria Parondi (Katina Paxinou), mère de cinq fils, arrive à Milan accompagnée de quatre de ses garçons : Rocco (Alain Delon) Simone, (Renato Salvatori), Ciro (Max Cartier) et Luca (Rocco Vidolazzi), le benjamin.  C’est chez les beaux-parents de son cinquième fils, Vincenzo (Spyros Fokas) qu’ils débarquent. Ce dernier est ainsi fiancé à Ginetta (Claudia Cardinale). Une dispute éclate. Les Parondi se réfugient dans un logement social. C’est là que Simone fait la connaissance de Nadia (Annie Girardot), une prostituée rejetée par sa famille. Simone, devenu boxeur, tombe amoureux de Nadia. Puis, alors qu’elle est séparée de ce dernier depuis presque deux ans, elle rencontre Rocco par hasard. Une idylle va naitre entre eux. Simone ne va pas le supporter…

    Rocco1.jpg

    Ce qui frappe d’abord, ce sont, au-delà de la diversité des styles (mêlant habilement Nouvelle Vague et néo-réalisme ici, un mouvement à l’origine duquel Visconti se trouve –« Ossessione » en 1942 est ainsi considéré comme le premier film néo-réaliste bien que les néoréalistes aient estimé avoir été trahis par ses films postérieurs qu’ils jugèrent très et trop classiques),  les thématiques communes aux différents films de Visconti. Que ce soit à la cour de Bavière avec Ludwig, ou au palais Donnafigata avec le Prince Salina, c’est toujours d’un monde qui périclite et de solitude dont il est question mais aussi de grandes familles qui se désagrègent, d’être promis à des avenirs lugubres qui, de palais dorés en  logements insalubres, sont sans lumière et sans espoir.

    Ce monde où les Parondi, famille de paysans, émigre est ici celui de l’Italie d’après-guerre, en pleine reconstruction et industrialisation, où règnent les inégalités sociales. Milan c’est ainsi la ville de Visconti et le titre a ainsi été choisi en hommage à un écrivain réaliste de l'Italie du Sud, Rocco Scotellaro.

    rocco6.jpg

    Avant d’être le portrait successif de cinq frères, « Rocco et ses frères » est donc celui de l’Italie d’après-guerre, une sombre peinture sociale avec pour cadre des logements aux formes carcérales et sans âme. Les cinq frères sont d’ailleurs chacun une illustration de cette peinture : entre ceux qui s’intègrent à la société (Vincenzo, Luca, Ciro) et ceux qu’elle étouffe et broie (Simone et Rocco). Une société injuste puisqu’elle va désagréger cette famille et puisque c’est le plus honnête et naïf qui en sera le martyr. Dans la dernière scène, Ciro fait ainsi l’éloge de Simone (pour qui Rocco se sacrifiera et qui n’en récoltera pourtant que reproches et malheurs) auprès de Luca, finalement d’une certaine manière désigné comme coupable à cause de sa « pitié dangereuse ».

    rocco2.jpg

     Nadia ; elle, porte la trace indélébile de son passé. Son rire si triste résonne sans cesse comme un vibrant cri de désespoir. Elle est une sorte de double de « Rocco », n’ayant d’autre choix que de vendre son corps, Rocco qui est sa seule raison de vivre. L’un et l’autre, martyrs, devront se sacrifier. Rocco en boxant, en martyrisant son corps. Elle en vendant son corps (et le martyrisant déjà), puis, dans une scène aussi terrible que splendide, en le laissant poignarder, les bras en croix puis enserrant son meurtrier en une ultime et fatale étreinte.

     Annie Girardot apporte toute sa candeur, sa lucidité, sa folie, son désespoir à cette Nadia, personnage à la fois fort et brisé qu’elle rend inoubliable par l’intensité et la subtilité de son jeu.

    rocco4.jpg

    Face à elle, Alain Delon illumine ce film sombre de sa beauté tragique et juvénile et montre ici toute la palette de son jeu, du jeune homme timide, fragile et naïf, aux attitudes et aux craintes d’enfant encore, à l’homme déterminé. Une palette d’autant plus impressionnante quand on sait que la même année (1960) sortait « Plein soleil » de René Clément, avec un rôle et un jeu si différents.

    La réalisation de Visconti reprend le meilleur du néoréalisme et le meilleur de la Nouvelle Vague avec une utilisation particulièrement judicieuse des ellipses, du hors-champ, des transitions, créant ainsi des parallèles et des contrastes brillants et intenses.

    Il ne faudrait pas non plus oublier la musique de Nino Rota qui résonne comme une complainte à la fois douce, cruelle et mélodieuse.

    Rocco5.jpg

    « Rocco et ses frères » : encore un chef d’œuvre de Visconti qui prend le meilleur du pessimisme et d’une paradoxale légèreté de la Nouvelle Vague, mais aussi du néoréalisme qu’il a initié et qui porte déjà les jalons de ses grandes fresques futures. Un film d’une beauté et d’une lucidité poignantes, sombres et tragiques porté par de jeunes acteurs (Delon, Girardot, Salvatori…), un compositeur et un réalisateur déjà au sommet de leur art.

    Filmographie d'Annie Girardot (source: wikipédia)

     « Rocco et ses frères » a obtenu le lion d’argent à la Mostra de Venise 1960.

    1950 : Pigalle, Saint-Germain-des-Prés d' André Berthomieu : Figuration

    1950 : ...Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : Apparition en jeune femme demandant si le taxi est libre

    1955 : Treize à table d' André Hunebelle : Véronique Chambon

    1956 : L'Homme aux clés d'or de Léo Joannon : Gisèle

    1956 : Reproduction interdite ou Meurtre à Montmartre de Gilles Grangier : Viviana

    1956 : Le Pays d'où je viens de Marcel Carné : Apparition

    1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier : Hélène, l'amie de Pierre

    1957 : L'Amour est en jeu ou Ma femme, mon gosse et moi de Marc Allégret : Marie-Blanche Fayard

    1957 : Maigret tend un piège de Jean Delannoy : Yvonne Maurin, la femme de Marcel

    1958 : Le Désert de Pigalle de Léo Joannon  : Josy

    1959 : La Corde raide de Jean-Charles Dudrumet : Cora

    1960 : Recours en grâce de László Benedek : Lilla

    1960 : La Française et l'Amour de Christian-Jaque, sketch : Le Divorce : Danielle, la femme de Michel

    1960 : Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Nadia

    1961 : La Proie pour l'ombre d'Alexandre Astruc : Anna

    1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond, sketch : Les Comédiennes : Mlle Duchesnois

    1961 : Le Rendez-vous de Jean Delannoy : Madeleine

    1961 : Le Bateau d'Émile (Le Homard flambé) de Denys de La Patellière : Fernande

    1961 : Le crime ne paie pas de Gérard Oury, sketch : L'Affaire Fenayrou : Gabrielle Fenayrou

    1961 : 21, rue Blanche de Quinto Albicocco : la narratrice du film

    1962 : Smog de Franco Rossi

    1962 : Le Vice et la vertu de Roger Vadim : Juliette Morand, « le vice »

    1962 : Pourquoi Paris ? de Denys de La Patellière

    1963 : Le Jour le plus court (Il giorno piu corto) de Bruno Corbucci (inédit) : L'infirmière

    1963 : Les Camarades (I compagni) de Mario Monicelli : Niobe

    1963 : Les hors la loi du mariage (I Fuorilegge del matrimonio) des frères Taviani et Valentino Orsini : Margherita

    1963 : Le Mari de la femme à barbe (La donna scimmia) de Marco Ferreri : Maria

    1963 : L'Autre Femme de François Villiers : Agnès Denis

    1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Marie-Paule (2)

    1964 : La Ragazza in prestito d'Alfredo Giannetti

    1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : Clara

    1964 : Ah ! Les belles familles (Le belle famiglie) de Ugo Gregoretti, sketch : Il principe d'azzuro : Maria

    1964 : Une volonté de mourir (Una voglia da morire) de Duccio Tessari

    1964 : Déclic...et des claques (L'Esbroufe) de Philippe Clair : Sandra

    1965 : Guerre secrète (The Dirty Game), sketch de Christian-Jaque : Monique

    1965 : Trois chambres à Manhattan de Marcel Carné : Kay Larsi

    1965 : Une femme disponible (La ragazza in prestito) d' Alfredo Giannetti : Clara

    1966 : Les Sorcières (Le streghe) de Luchino Visconti, sketch : La Sorcière brûlée vive (La strega bruciata viva) : Valeria

    1967 : Vivre pour vivre de Claude Lelouch : Catherine Collonbs

    1967 : Le Journaliste (Zhurnalist) de Serguei Guerassimov

    1968 : Les Gauloises bleues de Michel Cournot : La mère

    1968 : Une histoire de femme (Story of a woman/Storia di una donna) de Leonardo Bercovici : Liliana

    1968 : La Bande à Bonnot de Philippe Fourastié : Marie, la Belge

    1968 : Il pleut dans mon village (Bice skoro propast sveta) d' Aleksandar Petrovic

    1968 : Disons, un soir à dîner (Metti una sera a cena) de Giuseppe Patroni Griffi : Giovanna

    1969 : Erotissimo de Gérard Pirès : Annie

    1969 : La Vie, l'Amour, la Mort de Claude Lelouch : Juste une apparition

    1969 : La Semence de l'homme (Il seme dell'uomo) de Marco Ferreri : La femme étrangère

    1969 : Un homme qui me plaît de Claude Lelouch : Françoise

    1969 : Clair de Terre de Guy Gilles : Maria

    1969 : Dillinger est mort (Dillinger è morto) de Marco Ferreri : La fille

    1970 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas mais elle cause de Michel Audiard : Germaine

    1970 : Les Novices de Guy Casaril : Mona-Lisa, la prostituée

    1971 : Mourir d'aimer d'André Cayatte : Danièle Guénot

    1971 : La Mandarine d'Edouard Molinaro : Séverine

    1972 : La Vieille Fille de Jean-Pierre Blanc  : Muriel Bouchon

    1972 : Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber : Marie-Louise

    1972 : Traitement de choc d'Alain Jessua : Hélène Masson

    1972 : Il n'y a pas de fumée sans feu d'André Cayatte : Sylvie Peyrac

    1972 : Elle cause plus, elle flingue de Michel Audiard : Rosemonde du Bois de La Faisanderie

    1973 : Juliette et Juliette de Rémo Forlani : Juliette "1" Vidal

    1974 : Ursule et Grelu de Serge Korber : Ursule

    1974 : Le Soupçon (Missione nell'Italia facista) de Francesco Maselli : Teresa

    1974 : La Gifle de Claude Pinoteau : Hélène Douleau

    1975 : Il faut vivre dangereusement de Claude Makovski : Léone

    1975 : Il pleut sur Santiago de Helvio Soto : Maria Olivarès

    1975 : Le Gitan de José Giovanni : Nini

    1975 : Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli : Le docteur Françoise Gailland

    1975 : D'amour et d'eau fraîche de Jean-Pierre Blanc : Mona

    1976 : Cours après moi que je t'attrape de Robert Pouret : Jacqueline

    1976 : À chacun son enfer d'André Cayatte : Madeleine Girard

    1976 : Jambon d'Ardenne de Benoît Lamy : Mme Simone, la patronne de Beauséjour

    1977 : Le Dernier Baiser de Dolorès Grassian : Annie

    1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont : Danièle Gaur

    1977 : Tendre Poulet de Philippe de Broca : Lise Tanquerelle, commissaire de police

    1978 : La Zizanie de Claude Zidi : Bernadette Daubray-Lacaze, la femme de Guillaume

    1978 : Vas-y maman de Nicole Buron : Annie

    1978 : L'Amour en question d'André Cayatte (parfois distribué sous le titre Justices) : Suzanne Corbier

    1978 : La Clé sur la porte d' Yves Boisset : Marie Arnault

    1978 : Le Grand Embouteillage (L'ingorgo) de Luigi Comencini : Irène

    1978 : Le Cavaleur de Philippe de Broca : Lucienne, la première épouse

    1978 : Cause toujours, tu m'intéresses d'Édouard Molinaro : Christine Clément

    1979 : Bobo Jacco de Walter Bal : Magda

    1980 : On a volé la cuisse de Jupiter de Philippe de Broca : Lise Tanquerelle, commissaire de police

    1980 : Le Cœur à l'envers de Franck Apprederis : Laure Rivière

    1981 : Une robe noire pour un tueur de José Giovanni : Florence Nat

    1981 : La vie en mauve / All night long de Jean-Claude Tramont : L'institutrice Française

    1981 : La vie continue de Moshé Mizrahi : Jeanne Lemaire

    1981 : La Revanche de Pierre Lary : Jeanne Jouvert

    1984 : Liste Noire d' Alain Bonnot : Jeanne Dufour

    1984 : Souvenirs, souvenirs d' Ariel Zeitoun : Emma Boccara

    1985 : Partir, revenir de Claude Lelouch : Hélène Rivière

    1985 : Adieu Blaireau de Bob Decout : Colette

    1988 : Prisonnières de Charlotte Silvera : Marthe

    1988 : Dear América de Bill Couture : Elle prête sa voix dans la version Française

    1988 : Ruf (Ruth) de Valéry Akhadov

    1989 : Cinq jours en Juin de Michel Legrand : Marcelle

    1989 : Comédie d'amour de Jean-Pierre Rawson : Le Fléau

    1990 : Il y a des jours... et des lunes de Claude Lelouch : Une femme seule

    1990 : Au bal des grenouilles (Faccia di lepre) de Liliana Gianneschi : Marlène

    1990 : Merci la vie de Bertrand Blier : Evangeline Pelleveau, la mère vieille

    1991 : Toujours seuls de Gérard Mordillat : Mme Chevillard, la mère

    1993 : Alibi perfetto d' Aldo Lado : La comtesse

    1993 : Portagli i mei saluti "Avanzi di galera" de Gian-Maria Garbelli et Alessandro Bader : Laura Albani

    1994 : Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé : La mère de Cécile

    1995 : Les Misérables de Claude Lelouch : La Thénardier "1942"

    1996 : Les Bidochon de Serge Korber : La mère de Robert

    1998 : Préférence de Grégoire Delacourt  : Blanche

    1998 : L'Âge de braise de Jacques Leduc : Caroline Bonhomme

    2000 : Ainsi soit nous - court métrage : de Nathalie Tocque

    2000 : T'aime de Patrick Sébastien : Emma

    2000 : Visconti (The life and time of count Luchino Visconti) (documentaire) d'Adam Low : Apparition

    2001 : Ceci est mon corps de Rodolphe Marconi : Mamie

    2001 : La Pianiste (Die Klavierspielerin) de Michael Haneke : La mère

    2002 : La nuit d'Epstein (Epstein nacht / Finkelstein) d'Urs Egger : Hannah

    2003 : La marquise est à Bicêtre de Paul Vecchiali

    2005 : Je préfère qu'on reste amis... d' Éric Toledano et Olivier Nakache : Mme Mendelbaum

    2005 : Caché de Michael Haneke : La mère de George

    2006 : Le Temps des porte-plumes de Daniel Duval : Alphonsine

    2006 : C'est beau une ville la nuit de Richard Bohringer : La grand-mère

    2007 : Boxes de Jane Birkin : Joséphine

    2007 : Christian d'Élisabeth Löchen : Odile

     

  • Palmarès complet et commenté des Oscars 2011 : le sacre du « Discours d’un roi »

    ose.jpg

    Les César à peine terminés (et dont vous pouvez retrouver mon compte rendu exclusif en direct du Châtelet en cliquant ici), hier soir au Kodak Theater de Los Angeles avait lieu la 83ème cérémonie des Oscars présentée par Anne Hathaway et James Franco.

    franco.jpg

     

    Pour ceux qui auront suivi la cérémonie en direct sur Canal + qui avait l’exclusivité de la retransmission, vous aurez pu constater que cette 83ème cérémonie n’a pas démérité en ce qui concerne le glamour, la classe des nommés et remettants, un peu plus en ce qui concerne le rythme et l’humour, James Franco et Anne Hathaway n’étant peut-être pas les commentateurs idéaux. On aura d’ailleurs pu remarquer qu’eux aussi se sont incrustés dans les films nommés, à l’image d’Antoine de Caunes aux César.

    discours1.jpg

     3H30 de cérémonie pour voir couronné « Le discours d’un roi » (meilleur film –remis par Steven Spielberg-, meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleur scénario original) qui, s’il ne fait pas un carton plein, s’est vu décerner les principaux Oscars alors qu’il s’agit seulement du deuxième film de Tom Hooper (même s’il avait beaucoup travaillé auparavant pour la télévision).

      Egalement 4 Oscars pour « Inception » mais seulement des Oscars techniques (meilleur montage sonore, meilleur son, meilleure photographie, meilleurs effets visuels) alors que le scénario labyrinthique et jubilatoire aurait mérité, au moins, d’être récompensé.

     Aucune surprise dans cette cérémonie donc, Colin firth passé à côté de l’Oscar pour « A single man » dans lequel il était déjà magistral l’a remporté cette année, après avoir reçu le Golden Globe du meilleur acteur. Natalie Portman également sans surprise a reçu l’’Oscar de la meilleure actrice qu’elle méritait amplement pour sa prestation fascinante et terrifiante dans le sublime « Black swan ». Parmi ses nombreux remerciements elle a cité  Luc Besson (qui l’avait faîte débuter dans « Léon »), ce qui lui mettra sans doute un peu de baume au cœur en cette période difficile pour sa société de production.

     Le très actuel et symptomatique de notre époque « The social network » n’a récolté que 3 Oscars dont le meilleur montage, la meilleur adaptation (là aussi sans surprise),  la meilleure musique.

    « Alice au pays des merveilles » de Tim Burton a également reçu deux Oscars : meilleur costume et meilleure direction artistique.

    Cette année l’Académie a préféré  le classicisme a l’originalité et, à l’image des César 2011, a délivré un palmarès en demi-teinte.

    Je suis évidemment déçue pour le meilleur film étranger et que « Hors-la-loi » que j’avais beaucoup aimé ne l’ait pas reçu et que sa nomination ait été passée quasiment sous silence en France. Je suis également déçue que le très beau western des Coen « True Grit » soit reparti bredouille mais je suis en revanche ravie que le désolant « 127 heures » soit également reparti bredouille.

    Je ne partage pas l’enthousiasme débordant de certains pour « The Fighter » mais reconnais que Cristian Bale et Melissa Leo méritaient leurs Oscars même s’il est pour moi impensable que la jeune Hailee Steinfeld n’ait pas été récompensée.

    Le passage le plus remarqué aura néanmoins été celui de Kirk Douglas, pour sa classe et son humour remarquables pour ses 94 ans, réminiscence pour moi de son mémorable passage au Festival du Cinéma Américain de Deauville lors du 25ème anniversaire du festival.

    Je vous laisse découvrir le palmarès ci-dessous en attendant le prochain évènement sur In the mood for cinema, à savoir le Festival du Film Asiatique de Deauville que je vous commenterai en direct. Retrouvez mes critiques des films nommés en bas de cet article, "True grit" arrive dans la journée.


    Meilleur film : Le Discours d'un roi

    127 heures
    Black Swan
    Fighter
    Inception
    Tout va bien, The Kids Are All Right
    The Social Network
    Toy Story 3
    True Grit
    Winter's Bone


    Meilleur réalisateur :
    Tom Hooper (Le Discours d'un roi)

    Darren Aronofsky (Black Swan)
    Joel Coen & Ethan Coen
    (True Grit)
    David Fincher
    (The Social Network)
    David O. Russell (Fighter)


    Meilleur acteur : Colin Firth (Le Discours d'un roi)

    Javier Bardem (Biutiful)
    Jeff Bridges (True Grit)
    Jesse Eisenberg (The Social Network)
    James Franco (127 heures)

     
    Meilleure actrice : Natalie Portman (Black Swan)

    Annette Bening (Tout va bien, The Kids Are All Right)
    Nicole Kidman (Rabbit Hole)
    Jennifer Lawrence (Winter's Bone)
    Michelle Williams (Blue Valentine)


    Meilleur acteur dans un second rôle : Christian Bale (Fighter)

    John Hawkes (Winter's Bone)
    Jeremy Renner (The Town)
    Mark Ruffalo (Tout va bien, The Kids Are All Right)
    Geoffrey Rush (Le Discours d'un roi)


    Meilleure actrice dans un second rôle : Melissa Leo (Fighter)

    Amy Adams (Fighter)
    Helena Bonham Carter (Le Discours d'un roi)
    Hailee Steinfeld (True Grit)
    Jacki Weaver (Animal Kingdom)

     


    Meilleur scénario original : Le Discours d'un roi (David Seidler)
     

    Another Year (Mike Leigh)
    Fighter (Scott Silver, Paul Tamasy et Eric Johnson)
    Inception (Christopher Nolan)
    Tout va bien, The Kids Are All Right (Lisa Cholodenko et Stuart Blumberg)


    Meilleure adaptation : The Social Network (Aaron Sorkin)

    127 heures (Danny Boyle et Simon Beaufoy)
    Toy Story 3 (Michael Arndt, John Lasseter, Andrew Stanton et Lee Unkrich)
    True Grit (Joel Coen et Ethan Coen)
    Winter's Bone (Debra Granik et Anne Rosellini)


    Meilleure musique : The Social Network (Trent Reznor et Atticus Ross)
     

    127 heures (A.R. Rahman)
    Dragons (John Powell)
    Inception (Hans Zimmer)
    Le Discours d'un roi (Alexandre Desplat)


    Meilleure chanson : Toy Story 3 (We Belong Together - Randy Newman)
     

    127 heures (If I Rise - A.R. Rahman, Rollo Armstrong et Dido)
    Country Strong (Coming Home - Bob DiPiero, Tom Douglas, Hillary Lindsey et Troy Verges)
    Raiponce (I See the Light - Alan Menken et Glenn Slater)


    Meilleure photographie : Inception (Wally Pfister)

    Black Swan (Matthew Libatique)
    Le Discours d'un roi (Danny Cohen)
    The Social Network (Jeff Cronenweth)
    True Grit (Roger Deakins)


    Meilleure direction artistique : Alice au Pays des Merveilles (Robert Stromberg et Karen O'Hara)


    Harry Potter et les reliques de la mort - partie 1 (Stuart Craig et Stephenie McMillan)
    Inception (Guy Hendrix Dyas, Larry Dias et Douglas A. Mowat)
    Le Discours d'un roi (Eve Stewart et Judy Farr)
    True Grit (Jess Gonchor et Nancy Haigh)

    Meilleurs costumes
    : Alice au Pays des Merveilles (Colleen Atwood)


    Amore (Antonella Cannarozzi)
    Le Discours d'un roi (Jenny Beavan)
    La Tempête (Sandy Powell)
    True Grit (Mary Zophres)

    Meilleur montage :
    The Social Network (Kirk Baxter et Angus Wall)

    127 heures (Jon Harris)
    Black Swan (Andrew Weisblum)
    Fighter (Pamela Martin)
    Le Discours d'un roi (Tariq Anwar)


    Meilleur montage sonore : Inception (Richard King)

    Toy Story 3 (Tom Myers et Michael Silvers)
    Tron l'héritage
    (Gwendolyn Yates Whittle et Addison Teague)
    True Grit
    (Skip Lievsay et Craig Berkley)
    Unstoppable (Mark P. Stoeckinger)

    Meilleur son : Inception (Lora Hirschberg, Gary Rizzo et Ed Novick)
     

    Le Discours d'un roi (Paul Hamblin, Martin Jensen et John Midgley)
    Salt (Jeffrey J. Haboush, William Sarokin, Scott Millan et Greg P. Russell)
    The Social Network (Ren Klyce, David Parker, Michael Semanick et Mark Weingarten)
    True Grit (Skip Lievsay, Craig Berkley, Greg Orloff et Peter F. Kurland)


    Meilleur maquillage : Wolfman (Rick Baker et Dave Elsey)

    Barney's Version
    (Adrien Morot)
    Les Chemins de la liberté (Edouard F. Henriques, Greg Funk et Yolanda Toussieng)

    Meilleurs effets visuels : Inception (Chris Corbould, Andrew Lockley et Peter Bebb)


    Alice au Pays des Merveilles (Ken Ralston, David Schaub, Carey Villegas et Sean Phillips)
    Harry Potter et les reliques de la mort - partie 1 (Tim Burke, John Richardson, Christian Manz et Nicolas Aithadi)
    Au-delà (Michael Owens, Bryan Grill, Stephan Trojansky et Joe Farrell)

    Meilleur film d'animation : Toy Story 3
     

    Dragons
    L'Illusionniste

     


    Meilleur film documentaire : Inside Job

    Faites le mur !
    GasLand
    Restrepo
    Waste Land


    Meilleur court métrage : God of Love

    The Confession
    The Crush
    Na Wewe
    Wish 143


    Meilleur film étranger : Revenge (Susanne Bier, Danemark)

    Biutiful (Alejandro González Inárritu, Mexique)
    Canine (Giorgios Skabardonis, Grèce)
    Incendies (Denis Villeneuve, Canada)
    Hors-la-loi (Rachid Bouchareb, Algérie)


    Meilleur court métrage d'animation : The Lost Thing

    Day & Night
    The Gruffalo
    Let's Pollute
    Madagascar, carnet de voyages


    Meilleur court métrage documentaire : Strangers No More

    Killing in the Name
    Poster Girl
    Sun Come Up
    The Warriors of Qiugang

    Mes critiques des films en lice:

    "Hors-la-loi" de Rachid Bouchareb (avec mion interview de Bernard Blancan)

    "Biutiful" d'Alejandro Gonzales Inarritu

    "The social network" de David Fincher

    "Inception" de Christopher Nolan

    "Black Swan" de Darren Aronofsky

    "127 heures". de Danny Boyle

    "L'Illusionniste" de Sylvain Chomet

    "Le discours d'un roi" de Tom Hooper

    "Amore" de Luca Guadagnino

    "Alice au pays des merveilles" de Tim Burton

    "Au-delà" de Clint Eastwood

    "Fighter" de David O.Russell

  • Les Oscars 2011 en direct sur Canal plus et sur le site internet des Oscars

    oscarscanal.jpg

     

    Pour suivre toute la soirée de la 83ème Cérémonie des Oscars avec Laurent Weil, Didier Allouch, Jean-Paul Rouve et Gilles Lellouche, il vous suffit de  regarder canal +  (qui a l'exclusivité, mais malheureusement la retransmission n'est pas en clair donc seulement destinée aux abonnés) pour suivre la cérémonie en direct du Kodak Theater de Los Angeles, à 2H30 pour la cérémonie en elle-même (et dès minuit pour le red carpet) et sur le site officiel des Oscars. (mais apparemment uniquement depuis les Etats-Unis pour ce dernier). Vous pouvez également retrouver le red carpet dès maintenant sur Live stream.

    Et dans quelques heures retrouvez ici, sur inthemoodforcinema.com, le palmarès complet et commenté des Oscars 2011.

    Retrouvez également mon article détaillé sur les Oscars (pronostics, nominations, critiques des films en lice) en cliquant ici.

    Retrouvez également mon compte rendu des César vécus en direct du Châtelet hier et mon palmarès commenté.

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 1 commentaire