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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 357

  • Diffusez en exclusivit​é le nouveau teaser de "Moi Michel G, milliardai​re, maître du monde"

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  • Teaser de "La Conquête" de Xavier Durringer avec Denis Podalydès

    Je vous propose de découvrir le teaser d'un des films les plus attendus de cette année 2011: "La conquête" de Xavier Durringer avec le rôle de Denis Podalydès dans le rôle de Nicolas Sarkozy. Sortie en salles, le 4 mai 2011.

     

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  • Le Festival de Cannes 2011 en direct

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    Venant d'avoir la confirmation de mon accréditation cannoise, je peux donc vous annoncer que vous retrouverez ici comme chaque année le Festival de Cannes en direct, du 11 au 23 mai, avec plus que jamais, des évènements inédits.

     En attendant le festival, vous pourrez donc retrouver toutes les informations sur cette 64ème édition sur mon blog qui y est entièrement consacré In the mood for Cannes et bien sûr sur inthemoodforcinema.com, mais aussi sur mon compte twitter consacré au Festival de Cannes et sur la nouvelle page Facebook d'In the mood for Cannes que je vous invite à rejoindre dès maintenant. Une édition qui s'annonce prestigieuse après une 63ème édition plus décevante que les précèdentes en raison de nombreux facteurs.

     Je vous rappelle que le jury de cette 64ème édition sera présidé par Robert De Niro, que Michel Gondry présidera le jury de la Cinéfondation et des courts-métrages, que Woody Allen fera l'ouverture avec "Minuit à Paris".

     Même si cela n'a pas été confirmé, il est fort probable que Pedro Almodovar présentera son nouveau film "La piel que habito" et que Madonna y présentera le film qu'elle a réalisé W.E., que l'équipe de "La Conquête" montera les marches.

     Bien entendu vous pourrez retrouver toutes les informations sur cette édition 2011 au fur et à mesure de leurs annonces, de même que tous les concours liés au festival et sur mon autre blog In the mood for luxe, je vous donnerai bientôt toutes les bonnes adresses cannoises.

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  • Critique de « True grit » d’Ethan et Joel Coen avec Jeff Bridges, Matt Damon, Hailee Steinfeld

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    Alors que « True Grit » est, injustement, reparti sans aucune récompense des Oscars, dimanche dernier, malgré ses 10 nominations, retour sur un des meilleurs films américains de cette année 2010 (avec « Shutter island », « Black swan », « Inception », « Le discours d’un roi », ce dernier ayant raflé les principales récompenses).

    1870, juste après la guerre de Sécession, sur l'ultime frontière de l'Ouest américain. Mattie Ross (Hailee Steinfeld), 14 ans, réclame justice pour la mort de son père, abattu de sang-froid pour deux pièces d'or par le lâche Tom Chaney (Josh Brolin). L'assassin s'est réfugié en territoire indien. Pour le retrouver, se venger et le faire pendre, Mattie engage Rooster Cogburn (Jeff Bridges), un U.S. Marshal alcoolique. Mais Chaney est déjà recherché par LaBoeuf (Matt Damon), un Texas Ranger qui veut le capturer contre une belle récompense. Ayant la même cible, les voilà rivaux dans la traque. Tenaces et obstinés, chacun des trois protagonistes possède sa propre motivation et n'obéit qu'à son code d'honneur.

    Dès les premiers plans, d’une maîtrise, d’une ingéniosité et d’une beauté à couper le souffle, les Coen font une nouvelle fois preuve de leur malicieux talent de narrateurs et cinéastes. J’ai bien cru qu’il était arrivé, enfin et tardivement, ce film que j’avais attendu toute l’année 2010, enfin un film qui me scotche à mon siège, m’éblouit, me fascine, me donne envie de partager mon enthousiasme débordant, à peine sortie de la salle.

    Le début laisse même présager un très très grand film : richesses des plans et de la narration, beauté de la photographie, et incroyables personnages à commencer par  la jeune Hailee Steinfeld (retenez bien son nom, il ne serait pas étonnant de la retrouver aux Oscars avec la statuette entre les mains) dont chaque apparition est réellement bluffante. J’ignore combien de jeunes filles les Coen ont vues avant de la trouver mais elle est incroyable et stupéfiante de naturel. Son jeu est (à l’image de son personnage) d’une maturité et d’une intelligence époustouflantes transformant chacune de ses apparitions en instants réellement jubilatoires. A l’image de son nom dans le film, elle est tranchante comme une lame de rasoir, pleine d’assurance et de malice.

    J’avoue que j’étais emballée à l’idée de voir un western genre qui m’a fait aimer le cinéma mais que je le redoutais aussi tant ce genre est codifié et peut apparaître aujourd’hui comme suranné mais évidemment c’était compter sans le talent des Coen. « True Grit » est ainsi un remake de “100 dollars pour un sheriff” de Henry Hathaway, un film  de 1969 pour lequel John Wayne a obtenu l’Oscar du meilleur acteur, le seul de sa carrière d’ailleurs.  Les Coen réfutent pourtant l’appellation de remake préférant dire qu’ils se sont basés sur le roman de Charles Portis à l’origine du film.

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     « True Grit » est un magnifique hommage aux westerns (reprenant même la musique du chef d’œuvre « La nuit du chasseur » de Charles Laughton) dont il respecte et détourne les codes non sans uns certaine ironie (comme lorsque Mattie Ross sort après une magistrale traversée de la rivière à cheval, totalement sèche comme pour nous dire que cela n’est que mythe), à ses personnages aux gueules patibulaires mais au cœur d’or, à ses grandes étendues éblouissantes, à ses chevauchées fantastiques dans des plaines majestueuses au soleil levant ou couchant « dans la vallée de l’ombre et de la mort », à la mythologie américaine donc, à ses légendes.

    Et puis un film des Coen ne serait pas un film des Coen sans le second degré, l’humour noir, l’ironie caustique, un ton sarcastique qui n’appartient qu’à eux et qui convient merveilleusement au western (autour duquel ils tournent d’ailleurs depuis un moment,  « No country for old men » en étant déjà une forme) et à ce trio improbable.

    Seul bémol : un rythme qui se ralentit un peu en milieu de film et une confrontation finale (le principe même des westerns qui, souvent, revendiquent leur manichéisme) un peu décevante mais aussitôt un trait d’humour ou une chevauchée nocturne sublimement filmée à donner des frissons vous le font oublier.  Et puis leurs personnages truculents et finalement touchants dépassent le cadre de l’intrigue et ses faiblesses qui finalement importent peu.

    Matt Damon confirme qu’il peut tout interpréter, et il fallait pas mal d’humour pour interpréter ce LaBoeuf, Texas ranger, aussi léger et subtile que son prénom. Quant à Jeff Bridges, il n’aurait pas moins mérité un Oscar que John Wayne pour le rôle de ce Marshall alcoolique, téméraire et bourru.

    Avec « True Grit », les Coen rendent hommage au western en le renouvelant et transformant en  un conte désenchanté aux paysages enchanteurs, une sorte d’Alice au pays des merveilles dans un Ouest Américain aussi hostile que magnifiquement filmée, les mésaventures d’un trio improbable entre courage et désillusions. Un ton qui n’appartient qu’aux Coen et des personnages forts remarquablement interprétés font de ce western un des meilleurs films de l’année 2010…. Le nouveau partenaire des frères Coen, un certain producteur nommé Steven Spielberg, ne s’y est pas trompé.

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    Revoir aussi  « L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford ». chef d’oeuvre récent du genre prouvant là aussi qu’il peut être d’une grande modernité.

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      Et puisqu’il est question de western retrouvez aussi ma critique de « Johnny Guitar »de Nicholas Ray.

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  • Cérémonie des Etoiles d'or du cinéma (prix de la presse du cinéma français): les nommés

     etoilesdor.jpgAprès les Lumières et les César, c'est au tour des Etoiles d'or (prix de la presse du cinéma français, vote de 450 journalistes) de bientôt décerner leur palmarès, le 21 mars, au Gaumont Marignan. La cérémonie sera présidée par Sylvie Testud. Cette 12ème édition rendra également hommage à Daniel Toscan du Plantier. J'en profite pour vous recommender l'excellent documentaire d'Isabelle Partiot-Piéri à son sujet intitulé "Toscan".

     Liste des nommés pour les 12 catégories :

     Film

    « Des hommes et des dieux » de Xavier Beauvois

    « Mammuth » de Benoît Delépine et Gustave Kervern

    « The ghost writer » de Roman Polanski

    « Tournée » de Mathieu Amalric

     Réalisateur

    Mathieu Amalric pour « Tournée »

    Xavier Beauvois pour « Des hommes et des dieux »

    Kim Chapiron pour « Dog pound »

    Roman Polanski pour « The ghost writer »

     Scénario

    Abdellatif Kechiche pour « Vénus noire »

    Baya Kasmi, Leclerc Michel pour « Le nom des gens »

    Bertrand Blier pour « Le bruit des glaçons »

    Géraldine Nakache, Hervé Mimran pour « Tout ce qui brille »

     Premier film

    « Belle épine » de Rebecca Zlotowski

    « L’Arnacoeur » de Pascal Chaumeil

    « Les petits ruisseaux » de Pascal Rabaté

    « Tout ce qui brille » de Géraldine Nakache et Hervé Mimran

    Documentaire

    « Benda Bilili » de Renaud Barret, Florent de La Tullaye

    « La vie sauvage des animaux domestiques » de Dominique Garing, Frédéric Goupil

    « Océans » de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud

    « Toscan » de Isabelle Partiot-Pieri

     Premier rôle féminin

    Catherine Deneuve dans “Potiche”

    Charlotte Gainsbourg dans “L’arbre”

    Isabelle Carré dans “Les émotifs anonymes”

    Sara Forestier dans “Le nom des gens”

     Premier rôle masculin

    Gérard Depardieu dans « Mammuth »

    Eric Elmosnino dans « Gainsgourg (vie héroïque) »

    Lambert Wilson dans « Des hommes et des dieux »

    Romain Duris dans « L’arnacoeur »

     Révélation masculine

    Eric Elmosnino dans « Gainsgourg (vie héroïque)»

    Grégoire Leprince-Ringuet dans « La princesse de Montpensier »

    Raphaël Personnaz dans « La princesse de Montpensier »

    Pio Marmaï dans « D’amour et d’eau fraîche »

     Révélation féminine

    Anaïs Demoustier dans « D’amour et d’eau fraîche »

    Audrey Lamy dans « Tout ce qui brille »

    Leila Bekhti dans « Tout ce qui brille »

    Yahima Torres dans « Vénus noire »

     Compositeur de musique originale de films

    Alexandre Desplat pour « The ghost writer »

    Bruno Coulais pour « Océans »

    Philippe Sarde pour « La princesse de Montpensier »

    Sonic Youth pour « Simon Werner a disparu… »

     Producteur de films

    Agat Films & Cie

    Fidélité Films, Wild Bunch, Buf Compagnie

    Les films du poisson

    Why not productions

     Distributeur de films

    ED. Distribution

    Haut et Court Dist.

    Mars Distribution

    Wild Bunch Distribution

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  • Découvrez les photos inédites de Colin Firth, Javier Bardem, Penelope Cruz sur le tapis rouge des Oscars

    chopard5.jpgMerci à Chopard (crédit photos : Joaillerie Chopard) de nous avoir transmis ces photos du tapis rouge des Oscars que je vous laisse découvrir sur inthemoodforluxe.com en cliquant ici.

     Cliquez ici pour lire mon article complet consacré aux Oscars (palmarès commenté).

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  • Annie Girardot aux César et dans "Rocco et ses frères" (et critique du film de Visconti)

    annie.jpgHabituellement, je ne fais pas de rubrique nécrologique sur ce blog mais cette actrice représentait tout un pan de l'Histoire du cinéma (et du cinéma que j'aimais), a joué dans un de mes films préférés (dont vous pourrez retrouver un extrait ci-dessous et ma critique ).

     Triste ironie du sort que son décès  au lendemain des César où, il y a quelques années (en 1996), recevant son César du meilleur second rôle pour "Les Misérables" de Claude Lelouch, elle avait été si bouleversante, déclarant son amour au et du cinéma et émouvant une assistance qui, pourant, l'avait tant négligée (revoyez les images en cliquant ici et retrouvez également un extrait des "Misérables" ci-dessous).

    Retrouvez également son impressionnante fimographie, en bas de cet article.

                                                     

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    Synopsis : Après le décès de son mari, Rosaria Parondi (Katina Paxinou), mère de cinq fils, arrive à Milan accompagnée de quatre de ses garçons : Rocco (Alain Delon) Simone, (Renato Salvatori), Ciro (Max Cartier) et Luca (Rocco Vidolazzi), le benjamin.  C’est chez les beaux-parents de son cinquième fils, Vincenzo (Spyros Fokas) qu’ils débarquent. Ce dernier est ainsi fiancé à Ginetta (Claudia Cardinale). Une dispute éclate. Les Parondi se réfugient dans un logement social. C’est là que Simone fait la connaissance de Nadia (Annie Girardot), une prostituée rejetée par sa famille. Simone, devenu boxeur, tombe amoureux de Nadia. Puis, alors qu’elle est séparée de ce dernier depuis presque deux ans, elle rencontre Rocco par hasard. Une idylle va naitre entre eux. Simone ne va pas le supporter…

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    Ce qui frappe d’abord, ce sont, au-delà de la diversité des styles (mêlant habilement Nouvelle Vague et néo-réalisme ici, un mouvement à l’origine duquel Visconti se trouve –« Ossessione » en 1942 est ainsi considéré comme le premier film néo-réaliste bien que les néoréalistes aient estimé avoir été trahis par ses films postérieurs qu’ils jugèrent très et trop classiques),  les thématiques communes aux différents films de Visconti. Que ce soit à la cour de Bavière avec Ludwig, ou au palais Donnafigata avec le Prince Salina, c’est toujours d’un monde qui périclite et de solitude dont il est question mais aussi de grandes familles qui se désagrègent, d’être promis à des avenirs lugubres qui, de palais dorés en  logements insalubres, sont sans lumière et sans espoir.

    Ce monde où les Parondi, famille de paysans, émigre est ici celui de l’Italie d’après-guerre, en pleine reconstruction et industrialisation, où règnent les inégalités sociales. Milan c’est ainsi la ville de Visconti et le titre a ainsi été choisi en hommage à un écrivain réaliste de l'Italie du Sud, Rocco Scotellaro.

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    Avant d’être le portrait successif de cinq frères, « Rocco et ses frères » est donc celui de l’Italie d’après-guerre, une sombre peinture sociale avec pour cadre des logements aux formes carcérales et sans âme. Les cinq frères sont d’ailleurs chacun une illustration de cette peinture : entre ceux qui s’intègrent à la société (Vincenzo, Luca, Ciro) et ceux qu’elle étouffe et broie (Simone et Rocco). Une société injuste puisqu’elle va désagréger cette famille et puisque c’est le plus honnête et naïf qui en sera le martyr. Dans la dernière scène, Ciro fait ainsi l’éloge de Simone (pour qui Rocco se sacrifiera et qui n’en récoltera pourtant que reproches et malheurs) auprès de Luca, finalement d’une certaine manière désigné comme coupable à cause de sa « pitié dangereuse ».

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     Nadia ; elle, porte la trace indélébile de son passé. Son rire si triste résonne sans cesse comme un vibrant cri de désespoir. Elle est une sorte de double de « Rocco », n’ayant d’autre choix que de vendre son corps, Rocco qui est sa seule raison de vivre. L’un et l’autre, martyrs, devront se sacrifier. Rocco en boxant, en martyrisant son corps. Elle en vendant son corps (et le martyrisant déjà), puis, dans une scène aussi terrible que splendide, en le laissant poignarder, les bras en croix puis enserrant son meurtrier en une ultime et fatale étreinte.

     Annie Girardot apporte toute sa candeur, sa lucidité, sa folie, son désespoir à cette Nadia, personnage à la fois fort et brisé qu’elle rend inoubliable par l’intensité et la subtilité de son jeu.

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    Face à elle, Alain Delon illumine ce film sombre de sa beauté tragique et juvénile et montre ici toute la palette de son jeu, du jeune homme timide, fragile et naïf, aux attitudes et aux craintes d’enfant encore, à l’homme déterminé. Une palette d’autant plus impressionnante quand on sait que la même année (1960) sortait « Plein soleil » de René Clément, avec un rôle et un jeu si différents.

    La réalisation de Visconti reprend le meilleur du néoréalisme et le meilleur de la Nouvelle Vague avec une utilisation particulièrement judicieuse des ellipses, du hors-champ, des transitions, créant ainsi des parallèles et des contrastes brillants et intenses.

    Il ne faudrait pas non plus oublier la musique de Nino Rota qui résonne comme une complainte à la fois douce, cruelle et mélodieuse.

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    « Rocco et ses frères » : encore un chef d’œuvre de Visconti qui prend le meilleur du pessimisme et d’une paradoxale légèreté de la Nouvelle Vague, mais aussi du néoréalisme qu’il a initié et qui porte déjà les jalons de ses grandes fresques futures. Un film d’une beauté et d’une lucidité poignantes, sombres et tragiques porté par de jeunes acteurs (Delon, Girardot, Salvatori…), un compositeur et un réalisateur déjà au sommet de leur art.

    Filmographie d'Annie Girardot (source: wikipédia)

     « Rocco et ses frères » a obtenu le lion d’argent à la Mostra de Venise 1960.

    1950 : Pigalle, Saint-Germain-des-Prés d' André Berthomieu : Figuration

    1950 : ...Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : Apparition en jeune femme demandant si le taxi est libre

    1955 : Treize à table d' André Hunebelle : Véronique Chambon

    1956 : L'Homme aux clés d'or de Léo Joannon : Gisèle

    1956 : Reproduction interdite ou Meurtre à Montmartre de Gilles Grangier : Viviana

    1956 : Le Pays d'où je viens de Marcel Carné : Apparition

    1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier : Hélène, l'amie de Pierre

    1957 : L'Amour est en jeu ou Ma femme, mon gosse et moi de Marc Allégret : Marie-Blanche Fayard

    1957 : Maigret tend un piège de Jean Delannoy : Yvonne Maurin, la femme de Marcel

    1958 : Le Désert de Pigalle de Léo Joannon  : Josy

    1959 : La Corde raide de Jean-Charles Dudrumet : Cora

    1960 : Recours en grâce de László Benedek : Lilla

    1960 : La Française et l'Amour de Christian-Jaque, sketch : Le Divorce : Danielle, la femme de Michel

    1960 : Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Nadia

    1961 : La Proie pour l'ombre d'Alexandre Astruc : Anna

    1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond, sketch : Les Comédiennes : Mlle Duchesnois

    1961 : Le Rendez-vous de Jean Delannoy : Madeleine

    1961 : Le Bateau d'Émile (Le Homard flambé) de Denys de La Patellière : Fernande

    1961 : Le crime ne paie pas de Gérard Oury, sketch : L'Affaire Fenayrou : Gabrielle Fenayrou

    1961 : 21, rue Blanche de Quinto Albicocco : la narratrice du film

    1962 : Smog de Franco Rossi

    1962 : Le Vice et la vertu de Roger Vadim : Juliette Morand, « le vice »

    1962 : Pourquoi Paris ? de Denys de La Patellière

    1963 : Le Jour le plus court (Il giorno piu corto) de Bruno Corbucci (inédit) : L'infirmière

    1963 : Les Camarades (I compagni) de Mario Monicelli : Niobe

    1963 : Les hors la loi du mariage (I Fuorilegge del matrimonio) des frères Taviani et Valentino Orsini : Margherita

    1963 : Le Mari de la femme à barbe (La donna scimmia) de Marco Ferreri : Maria

    1963 : L'Autre Femme de François Villiers : Agnès Denis

    1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Marie-Paule (2)

    1964 : La Ragazza in prestito d'Alfredo Giannetti

    1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : Clara

    1964 : Ah ! Les belles familles (Le belle famiglie) de Ugo Gregoretti, sketch : Il principe d'azzuro : Maria

    1964 : Une volonté de mourir (Una voglia da morire) de Duccio Tessari

    1964 : Déclic...et des claques (L'Esbroufe) de Philippe Clair : Sandra

    1965 : Guerre secrète (The Dirty Game), sketch de Christian-Jaque : Monique

    1965 : Trois chambres à Manhattan de Marcel Carné : Kay Larsi

    1965 : Une femme disponible (La ragazza in prestito) d' Alfredo Giannetti : Clara

    1966 : Les Sorcières (Le streghe) de Luchino Visconti, sketch : La Sorcière brûlée vive (La strega bruciata viva) : Valeria

    1967 : Vivre pour vivre de Claude Lelouch : Catherine Collonbs

    1967 : Le Journaliste (Zhurnalist) de Serguei Guerassimov

    1968 : Les Gauloises bleues de Michel Cournot : La mère

    1968 : Une histoire de femme (Story of a woman/Storia di una donna) de Leonardo Bercovici : Liliana

    1968 : La Bande à Bonnot de Philippe Fourastié : Marie, la Belge

    1968 : Il pleut dans mon village (Bice skoro propast sveta) d' Aleksandar Petrovic

    1968 : Disons, un soir à dîner (Metti una sera a cena) de Giuseppe Patroni Griffi : Giovanna

    1969 : Erotissimo de Gérard Pirès : Annie

    1969 : La Vie, l'Amour, la Mort de Claude Lelouch : Juste une apparition

    1969 : La Semence de l'homme (Il seme dell'uomo) de Marco Ferreri : La femme étrangère

    1969 : Un homme qui me plaît de Claude Lelouch : Françoise

    1969 : Clair de Terre de Guy Gilles : Maria

    1969 : Dillinger est mort (Dillinger è morto) de Marco Ferreri : La fille

    1970 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas mais elle cause de Michel Audiard : Germaine

    1970 : Les Novices de Guy Casaril : Mona-Lisa, la prostituée

    1971 : Mourir d'aimer d'André Cayatte : Danièle Guénot

    1971 : La Mandarine d'Edouard Molinaro : Séverine

    1972 : La Vieille Fille de Jean-Pierre Blanc  : Muriel Bouchon

    1972 : Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber : Marie-Louise

    1972 : Traitement de choc d'Alain Jessua : Hélène Masson

    1972 : Il n'y a pas de fumée sans feu d'André Cayatte : Sylvie Peyrac

    1972 : Elle cause plus, elle flingue de Michel Audiard : Rosemonde du Bois de La Faisanderie

    1973 : Juliette et Juliette de Rémo Forlani : Juliette "1" Vidal

    1974 : Ursule et Grelu de Serge Korber : Ursule

    1974 : Le Soupçon (Missione nell'Italia facista) de Francesco Maselli : Teresa

    1974 : La Gifle de Claude Pinoteau : Hélène Douleau

    1975 : Il faut vivre dangereusement de Claude Makovski : Léone

    1975 : Il pleut sur Santiago de Helvio Soto : Maria Olivarès

    1975 : Le Gitan de José Giovanni : Nini

    1975 : Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli : Le docteur Françoise Gailland

    1975 : D'amour et d'eau fraîche de Jean-Pierre Blanc : Mona

    1976 : Cours après moi que je t'attrape de Robert Pouret : Jacqueline

    1976 : À chacun son enfer d'André Cayatte : Madeleine Girard

    1976 : Jambon d'Ardenne de Benoît Lamy : Mme Simone, la patronne de Beauséjour

    1977 : Le Dernier Baiser de Dolorès Grassian : Annie

    1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont : Danièle Gaur

    1977 : Tendre Poulet de Philippe de Broca : Lise Tanquerelle, commissaire de police

    1978 : La Zizanie de Claude Zidi : Bernadette Daubray-Lacaze, la femme de Guillaume

    1978 : Vas-y maman de Nicole Buron : Annie

    1978 : L'Amour en question d'André Cayatte (parfois distribué sous le titre Justices) : Suzanne Corbier

    1978 : La Clé sur la porte d' Yves Boisset : Marie Arnault

    1978 : Le Grand Embouteillage (L'ingorgo) de Luigi Comencini : Irène

    1978 : Le Cavaleur de Philippe de Broca : Lucienne, la première épouse

    1978 : Cause toujours, tu m'intéresses d'Édouard Molinaro : Christine Clément

    1979 : Bobo Jacco de Walter Bal : Magda

    1980 : On a volé la cuisse de Jupiter de Philippe de Broca : Lise Tanquerelle, commissaire de police

    1980 : Le Cœur à l'envers de Franck Apprederis : Laure Rivière

    1981 : Une robe noire pour un tueur de José Giovanni : Florence Nat

    1981 : La vie en mauve / All night long de Jean-Claude Tramont : L'institutrice Française

    1981 : La vie continue de Moshé Mizrahi : Jeanne Lemaire

    1981 : La Revanche de Pierre Lary : Jeanne Jouvert

    1984 : Liste Noire d' Alain Bonnot : Jeanne Dufour

    1984 : Souvenirs, souvenirs d' Ariel Zeitoun : Emma Boccara

    1985 : Partir, revenir de Claude Lelouch : Hélène Rivière

    1985 : Adieu Blaireau de Bob Decout : Colette

    1988 : Prisonnières de Charlotte Silvera : Marthe

    1988 : Dear América de Bill Couture : Elle prête sa voix dans la version Française

    1988 : Ruf (Ruth) de Valéry Akhadov

    1989 : Cinq jours en Juin de Michel Legrand : Marcelle

    1989 : Comédie d'amour de Jean-Pierre Rawson : Le Fléau

    1990 : Il y a des jours... et des lunes de Claude Lelouch : Une femme seule

    1990 : Au bal des grenouilles (Faccia di lepre) de Liliana Gianneschi : Marlène

    1990 : Merci la vie de Bertrand Blier : Evangeline Pelleveau, la mère vieille

    1991 : Toujours seuls de Gérard Mordillat : Mme Chevillard, la mère

    1993 : Alibi perfetto d' Aldo Lado : La comtesse

    1993 : Portagli i mei saluti "Avanzi di galera" de Gian-Maria Garbelli et Alessandro Bader : Laura Albani

    1994 : Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé : La mère de Cécile

    1995 : Les Misérables de Claude Lelouch : La Thénardier "1942"

    1996 : Les Bidochon de Serge Korber : La mère de Robert

    1998 : Préférence de Grégoire Delacourt  : Blanche

    1998 : L'Âge de braise de Jacques Leduc : Caroline Bonhomme

    2000 : Ainsi soit nous - court métrage : de Nathalie Tocque

    2000 : T'aime de Patrick Sébastien : Emma

    2000 : Visconti (The life and time of count Luchino Visconti) (documentaire) d'Adam Low : Apparition

    2001 : Ceci est mon corps de Rodolphe Marconi : Mamie

    2001 : La Pianiste (Die Klavierspielerin) de Michael Haneke : La mère

    2002 : La nuit d'Epstein (Epstein nacht / Finkelstein) d'Urs Egger : Hannah

    2003 : La marquise est à Bicêtre de Paul Vecchiali

    2005 : Je préfère qu'on reste amis... d' Éric Toledano et Olivier Nakache : Mme Mendelbaum

    2005 : Caché de Michael Haneke : La mère de George

    2006 : Le Temps des porte-plumes de Daniel Duval : Alphonsine

    2006 : C'est beau une ville la nuit de Richard Bohringer : La grand-mère

    2007 : Boxes de Jane Birkin : Joséphine

    2007 : Christian d'Élisabeth Löchen : Odile

     

    Lien permanent Imprimer Catégories : ACTUALITÉ DES FESTIVALS DE CINÉMA, EVENEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES DIVERS Pin it! 0 commentaire