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  • Le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2016 rendra hommage à Michael Moore

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    Nous savions pour le moment seulement que le 42ème Festival du Cinéma Américain de Deauville aurait lieu du 2 au 11 septembre 2016, que le jury serait présidé par Frédéric Mitterrand et que l'affiche est un magnifique hommage au film "Les Temps modernes" et à Chaplin. Je vous rappelle également que je vous fais gagner vos pass pour le festival, ici.

    Nous connaissons désormais aussi le nom d'une des personnalités à qui le festival rendra hommage: le cinéaste Michael Moore, en sa présence. À cette occasion, le Festival présentera en avant-première son nouveau film "Where to Invade Next", avant sa sortie en salles le 7 septembre.  

    Voici le pitch de son nouveau film: Dans son nouveau documentaire, Michael Moore décide de s'amuser à envahir le monde pour déterminer ce que les États-Unis peuvent apprendre des autres pays. 

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    Ainsi le communiqué officiel du Festival présente-t-il Michael Moore:

    Il promène sa caméra le long des chemins et, avec sa seule parole, tient tête aux hommes de pouvoir les plus féroces. Michael Moore est un héros américain, protégeant son pays de son pire ennemi : les États-Unis. D’un film à l’autre, il cherche à dissiper un rêve américain bâti sur des mirages : la toute-puissance patronale avec Roger et moi ou The Big One, le port d’arme dans Bowling for Columbine, la politique militaire postcoloniale de Georges W. Bush dans Farhenheit 9/11, l’avidité du système de santé dans SiCKO ou encore les dérives du modèle économique dans Capitalism: A Love Story. En bientôt trente ans d’activisme artistique, Michael Moore s’est imposé comme un maître en la matière, pétrissant le réel et la fiction pour en extraire toute la vérité. 

    FILMOGRAPHIE SÉLECTIVE | SELECTED FILMOGRAPHY «
     
    Réalisateur | Director
     
    2015      WHERE TO INVADE NEXT – doc
    2009      CAPITALISM: A LOVE STORY – doc
    2007      SLACKER UPRISING – doc
    2007      SICKO – doc
    2004      FAHRENHEIT 9/11 – doc
    2002      BOWLING FOR COLUMBINE – doc
    1997      THE BIG ONE – doc
    1995      CANADIAN BACON
    1992      PETS OR MEAT – RETURN TO FLINT – doc
    1989      ROGER ET MOI (Roger & Me) – doc

     
    Michael Moore est né à Flint, dans le Michigan. Alors qu’il est Eagle Scout et assiste aux séminaires de l’Église catholique, il devient à 18 ans le plus jeune élu du pays. Il fait son premier film en 1989, Roger & Me, et bat tous les records du box-office américain – ce film a notamment donné naissance au mouvement documentaire moderne. Michael Moore continue sur sa lancée avec Bowling for Columbine, récompensé aux Oscars, et Fahrenheit 9/11 qui reçoit la Palme d’or à Cannes, tous deux de grands succès en salles. On compte parmi ses réalisations les plus remarquables SiCKO, nominé aux Oscars, et Capitalism: A Love Story. Michael Moore a reçu un Emmy Award pour sa série TV Nation.
    Il est également l’un des auteurs non-fiction les plus lus des États-Unis, avec à son actif des livres comme Mike contre-attaque et Tous aux abris. Il vit aujourd’hui à Traverse City dans le Michigan, où il a fondé le Traverse Film Festival et deux salles de cinéma Art et essai.
  • Critique de 3 COEURS de Benoît Jacquot à 20H45 sur Ciné + Emotion

    Benoît Jacquot aime adapter des romans et mettre en scène des femmes comme protagonistes de ses films : Virginie Ledoyen dans « La Fille seule », Judith Godrèche dans » La Désenchantée » Isabelle Huppert dans « Villa Amalia », « L’École de la chair », « Les Ailes de la colombe », « Pas de scandale »,  Isabelle Adjani dans « Adolphe »…

    Son film précédent, « Les Adieux à la reine », ne dérogeait pas à la règle puisqu’il s’agissait d’une adaptation du roman éponyme de Chantal Thomas qui, à travers le regard paradoxalement innocent et clairvoyant de la jeune Sidonie Laborde ( Léa Seydoux), jeune lectrice entièrement dévouée à la Reine  (Diane Kruger)  nous emmenait dans les coulisses de Versailles, en 1789, à l’aube de la révolution. Passionnant du début à la fin, férocement moderne, cruellement réaliste, magnifiquement mélancolique, « Les adieux à la reine » est avant tout la brillante métaphore de la fin d’un monde, et de l’éternelle valse pathétique des courtisans qui, pour satisfaire leur orgueil et un peu de lumière ( celle de la richesse mais surtout de la célébrité) sont prêts à tout, au mépris des autres et parfois de leur propre dignité. Un tableau d’une tragique élégance aussi fascinant que terriblement cruel et mélancolique, historique et contemporain, instructif et intemporel.

    Cette fois, dans ce film qui se déroule à notre époque, le personnage principal est un homme entouré de deux femmes et il ne s’agit pas d’une adaptation mais d’un scénario original de Benoît Jacquot et Julien Boivent.

    Dans une ville de province, une nuit, Marc (Benoît Poelvoorde) rencontre Sylvie (Charlotte Gaisnbourg) dans un bar, sinistre et propice aux rencontres impromptues, alors qu’il a raté le train pour rentrer à Paris. Ils errent dans les rues jusqu’au matin, complices. Avant de repartir, Marc donne à Sylvie un rendez-vous, à Paris, au jardin des Tuileries, quelques jours après comme d’autres en haut de l’Empire State Building une année plus tard. « Elle et lui » ne savent rien l’un de l’autre. Sylvie ira à ce rendez-vous, et Marc, à cause d’un « accident de cœur », le manquera. Il la cherchera. En vain. Sur sa route, il trouvera Sophie, ignorant qu’elle est la sœur de Sylvie et la personne la plus importante de sa vie…

    D’emblée, règne une atmosphère mélancolique (la province, la nuit, les rues désespérément calmes et désertes), presque fantastique (la silhouette fantomatique de Sylvie, comme une apparition) et surtout la musique de Bruno Coulais aux notes inquiétantes, résonnant comme un avertissement. Ensuite, soit on accepte le postulat de départ et on se laisse embarquer, séduire même : Benoît Poelvoorde est un inspecteur des impôts et Charlotte Gainsbourg et lui tombent follement et irrationnellement (même n’est-ce pas indissociable ?) amoureux. Soit on reste sur le bord de la route.

    Au début, un peu sceptique, et à l’image des acteurs filmés de loin puis en plans de plus en plus serrés, j’ai pris cette histoire un peu à la légère, avec distance, avant d’être peu à peu enfermée à mon tour, captivée par les élans des ces trois cœurs qui, derrière leur apparente retenue,  battent la chamade, étouffent, suffoquent.

     Il y a du Chabrol dans ce film, dans cette manière de dresser le portrait de la bourgeoisie de province, faussement morale, tranquille et sage. Il y a du Truffaut dans cet amour malheureux, étourdissant et irrépressible, qui est « une joie et une souffrance » sans oublier la voix off très truffaldienne qui renforce cette impression de détachement apparent. Et puis (référence que Benoît Jacquot revendiquera peut-être moins) dans ces « hasards et coïncidences » qui font parfois le sel et les drames de la vie et plus encore ceux du cinéma, il y a du Lelouch.

    Cela commence comme une comédie romantique pour peu à peu se transformer en mélodrame (revendiqué, assumé, en recourant délibérément aux stéréotypes du film de ce genre) mené comme un thriller haletant. Palpitant. L’étau se resserre. Le souffle manque. Poelvoorde, emprisonné et écartelé, devient de plus en plus inquiétant, aux portes de la folie, se jetant à cœur et corps perdus dans ses amours et son travail. Comme un condamné. Condamné à aimer et en mourir. Malade d’amour. Malade du cœur dont les soubresauts le mèneront à sa perte. Sans doute certains trouveront-ils la métaphore trop appuyée ou simpliste mais elle apporte au film son rythme et sa tension, constante, croissante.

     Chiara Mastroianni est bouleversante dans le rôle de la femme fragile, aimante, aveugle, aveuglée et Charlotte Gainsbourg sous l’emprise de la passion, trahissant la personne qu’elle aime le plus au monde, convaincante, à fleur de peau, avec toujours ce mélange irrésistible de force et de fragilité. Dans l’ombre, Catherine Deneuve incarne avec justesse la mère qui a tout compris mais ne dira rien. Pas de manichéisme, pas de bons et de méchants, simplement des personnages, victimes de leurs irréfragables élans du cœur et des coups torves du destin.

    Quant à Benoit Poelvoorde, une fois de plus, à un personnage sur le papier banal il apporte sa fragilité, sa folie, sa singularité, son étrangeté, sa séduction nous rappelant qu’il n’excelle jamais autant que dans ces rôles d’hommes en apparence ordinaires à qui il arrive des histoires extraordinaires. Son plus beau rôle reste celui, trouble et troublant, d’ « Entre ses mains » d’Anne Fontaine dans lequel il parvient à rendre un tueur en série terriblement attirant. Alors oui, parfois, Benoît Jacquot use et abuse (à dessein) des clichés (le miroir pour exprimer la dualité, le conflit, les deux visages, les signes et coups du destin comme ces plans insistants sur l’heure) mais « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point »…et ne cherche parfois pas à connaître, et le mien s’est emballé pour ce film empreint de noirceur, de romantisme, de désenchantement, de tragédie et pour ces trois acteurs follement séduisants, et désespérément humains pris dans ce drame presque hitchcockien, inextricable et passionnant.

  • ...

    Surtout et avant tout, des pensées pour les victimes et leurs familles, celles d'hier et celles des précédents attentats. Pensons à elles, aux témoins de cette horreur indicible aussi, et pas seulement aujourd'hui ou demain...

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  • Suivez-moi aussi sur Instagram: @sandra_meziere

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    Alors que certains sont déjà passés depuis longtemps à Snapchat (qui, je l'avoue, ne m'intéresse absolument pas), je commence vraiment à me prendre au jeu d'Instagram. Si au départ je publiais avec parcimonie, c'est aujourd'hui devenu un réflexe quotidien et un vrai plaisir que d'essayer de sublimer les photos.

    Vous y trouverez surtout des photos de festivals de cinéma, de villes comme Laval, Deauville, Paris, La Baule etc, des restaurants, des hôtels, et parfois des informations comme des affiches de festivals ou de films.

    Je vous invite donc à me suivre sur Instagram (@sandra_meziere ou http://instagram.com/sandra_meziere) où vous êtes pour l'instant beaucoup moins nombreux à me suivre que sur twitter...alors je vous y attends!

    Retrouvez quelques photos récentes extraites de mon compte Instagram ci-dessus.

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  • Concours - Gagnez un tea time pour 4 dans un hôtel 4* de Saint-Germain-des-Prés (Paris 6)

    Petite pause entre deux escapades littéraires et cinématographiques pour vous faire gagner un tea time pour 4 personnes dans un très bel hôtel 4 étoiles du quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Retrouvez ce concours sur mon site http://inthemoodforhotelsdeluxe.com. Vous pouvez aussi y accéder directement en cliquant sur l'image ci-dessous.

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  • La marque Kiehl's au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2016

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    Je vous rappelle tout d'abord que, pour ce qui sera mon 23ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, je vous fais actuellement gagner 30 pass journaliers pour ce Festival du Cinéma Américain de Deauville 2016, avant de vous faire bientôt gagner des invitations pour la cérémonie et le film de clôture. Je vous rappelle également que cette 42ème édition aura lieu du 2 au 11 septembre 2016 et que le jury sera présidé par Frédéric Mitterrand. Je vous parlerai également prochainement d'un très beau partenariat entre mes blogs et un célèbre sponsor du festival pour cette 42ème édition. Vous pourrez bien sûr, comme chaque année, me suivre en direct du festival, de l'ouverture à la clôture sur Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodforcinema.com, Inthemoodfordeauville.com et pour les bonnes adresses sur Inthemoodforhotelsdeluxe.com et bien sûr sur twitter (@moodforcinema, @moodfdeauville) et Instagram (@sandra_meziere) avec en plus un beau projet lié à Deauville qui verra le jour début septembre puisque mon recueil de nouvelles sur les festivals de cinéma dont deux se déroulent à Deauville sortira au moment du festival. Je vous en reparlerai... Mais revenons à Kiehl's...

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    La marque Kiehl's qui avait marqué l'an passé les festivaliers par la qualité de son accueil au déjà célèbre club Kiehl's sera en 2016 à nouveau partenaire officiel du Festival du Cinéma Américain de Deauville. L'an passé, la villa Kiehl's était devenue le lieu phare des interviews en journées et des soirées du festival devenant alors le club Kiehl’s, toujours dans la magnifique villa qui jouxte l’hôtel Royal Barrière face au CID et à la mer.

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     La célèbre  marque américaine de pharma‐cosmétique fondée à New‐York en 1851 sera ainsi pour la deuxième fois partenaire officielle du Festival du Cinéma Américain de  Deauville.     La marque est ainsi synonyme de valeurs en adéquation avec celles de Deauville: sincérité, proximité, créativité.   

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    Kiehl's est aussi synonyme de qualité et d’efficacité de ses formules naturelles pour le visage, le corps et les cheveux. C'est aussi une marque avec une véritable éthique,  raison pour laquelle j'affectionne cette marque que je vous recommande au passage notamment dans cet article dans lequel je vous parle de mes marques fétiche sur mon site Inthemoodforhotelsdeluxe.com, ici.

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    Kiehl’s est une marque qui a donc vu le jour à New York en 1851 dans une pharmacie traditionnelle. Son expertise unique repose sur des connaissances acquises et transmises au fil des générations dans les domaines de la cosmétique, de la pharmacie, de l’herboristerie et de la médecine. Depuis plus de 160 ans, Khiel's propose des formules efficaces pour la peau et les cheveux, issues de technologies avancées et concentrées en ingrédients naturels de grande qualité. Où que vous soyez dans le monde, la marque s’engage ainsi à vous « offrir des produits de haute qualité et un service personnalisé d’exception » proposant depuis plus de 160 ans des formules pour la peau et les cheveux, vous proposant des « consultations expertes et personnalisées » et d’être « satisfait ou remboursé ». Je vous recommande notamment la boutique de la rue de Sèvres, dans le 6ème,  à Paris (photos ci-dessus).

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    Cette année à nouveau, le Kiehl's club remplacera donc la villa Cartier qui lui avait précédé et que connaissaient bien tous les habitués du Festival du Cinéma Américain de Deauville:  un lieu de vie, véritable « Club », propice aux  rencontres et échanges entre les acteurs du métier. 

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    Le Prix de la Révélation crée en 2006, attribué comme tous les ans lors de la  cérémonie  de  clôture du Festival du Cinéma Américain de Deauville  par  un  Jury  aguerri  dédié,   porte depuis l'an passé  le  nom  de  PRIX  KIEHL’S  DE  LA  REVELATION (remplaçant ainsi le prix révélation Cartier).   Le prix de la Révélation fut l'an passé attribué au film "James White" de Josh Mond.

    Cliquez ici pour retrouver mon compte rendu du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2015.

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    La présence de Kiehl's au Festival du Cinéma Américain de Deauville fut aussi l’occasion pour les invités du festival de se voir présenter la marque, de réaliser un diagnostic de peau, le tout par des représentants de la marque particulièrement affables et dans un décor entièrement et magnifiquement remodelé par la marque à ses couleurs pour l’occasion. Pour ma part, je suis repartie avec quelques cadeaux de la marque -photo ci-dessus- (véritable coup de cœur pour le gel douche et la body lotion Patchouli and fresh rose).

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    L'an passé, à l'occasion de ce partenariat, Kiehl's avait également imaginé deux produits au cœur du festival, en  soutien à l'association Enfance et Partage, une belle et louable initiative!  Ces deux produits étaient disponibles tout le mois de septembre dans l'ensemble des points de vente Kiehl's et sur www.Kiehls.fr. Tous les bénéfices des ventes de ces deux produits étaient reversés à Enfance et Partage. 

    -La crème ULTRA FACIAL CREAM (une crème hydratante pour le visage qui maintient une hydratation optimale pendant 24H)

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    -et La CREME DE CORPS (le soin de corps le plus hydratant de la marque Kiehl’s ).

     

     

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     Je vous en dirai bien sûr bientôt plus sur la présence de Kiehl's au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2016.

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  • Festival du Cinéma Américain de Deauville 2016: la splendide affiche

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    Quelle affiche! Sans doute est-ce la plus belle depuis la création du festival, même si certaines furent particulièrement mémorables. Mais j'avoue que ce magnifique hommage à Chaplin et à la scène finale du chef-d'œuvre que sont Les Temps modernes me réjouit tout particulièrement.

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    Outre cette référence, on retrouve bien sûr les célèbres planches et les étoiles échappées de la bannière étoilée. "Deauville surfe sur les Temps Modernes. L’amour, la lumière & l’avenir." Ainsi cette affiche a-t-elle été présentée. Voilà qui augure du meilleur pour cette 42ème édition dont je vous rappelle qu'elle aura lieu du 2 au 11 septembre et que son président du jury sera Frédéric Mitterrand.

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    Je vous rappelle également que je vous fais gagner une trentaine de pass pour le festival, ici, et que, bientôt, exceptionnellement, vous pourrez également remporter des invitations pour la cérémonie et le film de clôture du festival.

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    En attendant les prochaines annonces, sachez également que le logo du festival figure sur l'affiche française du film "Captain Fantastic".