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  • Bande-annonce de "Morning glory" de Roger Michell avec Harrison Ford, Rachel MacAdams, Diane Keaton

    morning.jpgJe vous propose aujourd'hui de découvrir la bande-annonce de "Morning glory" qui sortira en salles le 6 avril 2011, un film réalisé par Roger Michell, réalisateur de "Coup de foudre à Notting hill".

    Synopsis: Le réalisateur de COUP DE FOUDRE A NOTTING HILL, la scénariste de LE DIABLE S’HABILLE EN PRADA et le producteur de Lost réunissent un casting 4 étoiles (Rachel Mc Adams, Harrison Ford, Diane Keaton, Patrick Wilson et Jeff Goldblum) dans MORNING GLORY, une comédie qui nous fait découvrir l’univers délirant et sans pitié du petit écran.

    Bien qu’elle soit jeune, jolie, dynamique et ambitieuse, Becky Fuller (Rachel McAdams) est en pleine traversée du désert professionnelle et sentimentale.

    Aussi, lorsqu’on propose à cette productrice TV de reprendre "Daybreak", la matinale la moins regardée du pays, elle accepte le défi sans hésiter. Pour booster l’audience, elle décide d’engager Mike Pomeroy, le journaliste de légende de la chaîne (Harrison  Ford). Mais le charisme de Mike n'a d'égal que ses caprices de star, et ses relations sont électriques avec Colleen Peck, sa co-présentatrice (Diane Keaton). Les coups bas hors-plateau s’accompagnent très vite de petites phrases assassines à l’antenne…

    Dans le même temps, Becky craque pour un producteur de la chaîne, mais sentiments et travail ne font pas toujours bon ménage. Parviendra-t-elle à sortir l’émission de l’impasse et à trouver l’amour ?


    Et un petit bonus, juste pour le plaisir, ma vidéo d'Harrison Ford aux César 2010:

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  • François Berléand président de la 16ème cérémonie des Lumières à la mairie de Paris

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    Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises des Prix Lumières dont la 16ème cérémonie se déroulera vendredi, à la mairie de Paris. Retrouvez mon article détaillé sur les nommés 2011 en cliquant ici.

    Nous venons d'apprendre que c'est le comédien François Berléand qui présidera la cérémonie et que, par ailleurs, c'est la comédienne Kristin Scott Thomas ( par ailleurs en lice dans la catégorie meilleure actrice pour le bouleversant "Elle s'appelait Sarah") qui remettra le prix destiné à Roman Polanski pour son exceptionnelle carrière.

    La plupart des équipes de films en lice sont attendues ainsi que les personnalités qui décerneront les Prix Lumières telles Charlotte de Turkheim, Ana Girardot, Thierry Frémont, Catherine Breillat, Michel Ocelot, Stéphane Brizé…

    Deux courts métrages ponctueront la cérémonie animée par la journaliste Estelle Martin de TV5Monde : « Deux hommes et une armoire » un film de Roman Polanski datant de 1958 et « Le garçon qui ne mentait jamais », film d’animation de Michel Ocelot, 2010.

    Au plus tard samedi prochain, vous pourrez retrouver ici mon récit de la soirée et mes vidéos. En attendant retrouvez mon compte rendu de l'édition 2010.

  • Avant-première - Critique de Poupoupidou de Gérald Hustache-Mathieu avec Jean-Paul Rouve, Sophie Quinton…

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    Hier soir, Cinéfriends organisait une projection, dédiée principalement aux blogueurs, de « Poupoupidou », le second long métrage de Gérald Hustache-Mathieu, 4 ans après « Avril », une projection suivie d’un débat avec une partie de l’équipe du film dont le réalisateur et l’actrice principale Sophie Quinton. Après « Black swan » de Darren Aronofsky (qui vous pourrez découvrir en salles le 9 février 2011), avec « Poupoupidou » (en salles demain) l’année cinématographique 2011 s’annonce d’ores et déjà plus palpitante, riche et diversifiée que l'année cinématographique 2010.

    David Rousseau (Jean-Paul Rouve) est l’auteur de romans policiers aux titres à son image, burlesques et improbables, et à l’image du lieu où il se rend pour toucher un héritage : Mouthe. Enfin, ce sont surtout les températures qui y sont burlesques et improbables puisque c’est le village le plus froid de France. En guise d’héritage, il va uniquement récolter un chien empaillé, en revanche il va y trouver l’inspiration pour son prochain roman. Le jour de son arrivée, on découvre en effet le corps de Candice Lecoeur (Sophie Quinton), l’effigie blonde du fromage  Belle du Jura, star locale persuadée d’être la réincarnation de Marylin Monroe. La gendarmerie a conclu à un suicide. David Rousseau n’y croit pas et va enquêter. Il va alors trouver à Mouthe bien plus qu’un sujet de roman...

    Beaucoup d’éléments m’ont enchantée dans ce « Poupoupidou », et en premier lieu le fait qu’il soit délicieusement à contre-courant. A contre-courant, parce qu’il ne considère pas que le monde s’arrête aux frontières du périphérique parisien. La première bonne idée est en effet d’avoir situé l’intrigue à Mouthe, d’abord pour l’élément dramatique que constitue le froid polaire qui y règne mais aussi pour le décor à la fois familier et inhabituel, sorte d’ailleurs proche et lointain qui brouille nos repères. Gérald Hustache-Mathieu regarde la province avec une tendresse lucide jamais condescendante mais non moins drôle.

    A contre-courant ensuite parce qu’il appartient à plusieurs genres, là où le cinéma français cherche de plus en plus à construire des films concepts réductibles à un slogan en guise de pitch (comme celui-ci, par exemple), Poupoupidou appartient à plusieurs genres et crée ainsi le sien propre que nous pourrions qualifier de policier burlesque et romantique.

    A contre-courant par l’originalité de la construction scénaristique également puisque s’enchevêtrent plusieurs points de vue, celui de Candice à travers son journal et celui de David Rousseau, celui du  vivant et de la défunte sans que jamais cela devienne morbide mais au contraire onirique, leurs deux voix se faisant ainsi poétiquement, tantôt humoristiquement ou  tragiquement écho.

     A contre-courant enfin parce que son réalisateur est un incorrigible romantique dont il a dit hier soir qu’il devrait s’en guérir. Surtout qu’il ne change rien. D’ailleurs amusant qu’un romantique cherche à se guérir quand des cyniques ne cherchent qu’à s’en enorgueillir (faîtes un tour sur twitter, cela vous en donnera une idée...) En passant, j’ai été plutôt admirative de l’énergie déployée par Gérald Hustache-Mathieu hier soir pour défendre son film face à une salle qui en termes d’empathie me semblait être  à peu près l’équivalent de celle des César (c’est dire…)

    A contre-courant pour le casting. Gérald Hustache-Mathieu n’a pas choisi des acteurs « bankable » mais son choix n’en était que plus judicieux. Sophie Quinton présente cette sensualité, cette tristesse, cette gaieté joliment feinte de Marylin sans jamais la singer. Et  Jean-Paul Rouve adopte un jeu tantôt touchant, tantôt décalé confirmant son  César du meilleur espoir masculin pour son rôle de collabo dans « Monsieur Batignole » et qu’il peut tout jouer. Ils incarnent l’un et l’autre des personnages à qui la confiance en eux fait défaut et qui ont besoin de s’identifier à ce fameux mythe américain, l’un à une actrice, l’autre à un romancier. Ces deux-la étaient faits pour se rencontrer. Et c’est la magie du cinéma et de l’écriture scénaristique que de permettre qu’ils le fassent par-delà la mort.

    Plus que l’intrigue policière, c’est finalement le portrait de ces êtres qui rêvent d’ailleurs, (personnages principaux et secondaires croqués par petites touches mais non moins présents), antihéros fascinés par le mythe américain dont le film tout entier est imprégné, hommage au mythe Marylin et au mythe en général.  Plus que l’enquête du véritable meurtrier de Candice c’est finalement celle qui consiste à établir le parallèle avec  la vie de Norma Jean/Marylin (comme un 5 omniprésent qui rappelle sa célèbre réponse à une question d’un journaliste), désirée et presque toujours mal aimée et incomprise, qui donne au film ce ton à la fois ludique et nostalgique. Gérald Hustache-Mathieu déjoue les apparences et se joue des apparences avec humour et sensibilité.

    Poupoupidou n’emprunte pas seulement son titre à Marylin : on retrouve son mélange de fragilité, de gravité et de légèreté et ce petit plus indéfinissable qu’on appelle la grâce et qui vous fera oublier le temps qui passe. Un polar tendrement drôle et décalé, une histoire d’amour posthume burlesque joliment inclassable portée par le souci du détail de son réalisateur, une bande originale ensorcelante, et deux acteurs aussi touchants que drôles avec en toile de fond la beauté tragique du mythe.

    Vous pouvez aussi vous inscrire à la page Facebook du film ou même devenir amis avec David Rousseau sur Fécebook.

    Ci-dessous, ma vidéo de Sophie Quinton, à propos de son travail avec Gérald Hustache-Mathieu.

     

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  • Critique de "Brothers" de Jim Sheridan (à ne pas manquer, à 20H50, ce soir, sur Canal +)

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    Sam (Tobey Maguire) et Grace (Natalie Portman) et leurs deux filles, Isabelle et Maggie, forment en apparence une famille américaine heureuse. Sam est envoyé à nouveau en mission en Afghanistan après être allé chercher son frère Tommy (Jake Gyllenhaal) tout juste sorti de prison. Grace n'aime pas vraiment Tommy mais elle le reçoit poliment. Lorsque Sam est porté disparu en Afghanistan et présumé mort, Tommy s'occupe de Grace et de ses filles. Plus le temps passe, plus Tommy et Grace se rapprochent.  Seulement, alors que tout le monde le croyait mort, Sam refait surface et revient de l'enfer...

    Avec un tel synopsis, le pire était à craindre : un énième mélodrame larmoyant et moralisateur sur un triangle amoureux avec pour arrière-plan la guerre en Afghanistan. Jim Sheridan s'en sort pourtant magistralement, toujours sur le fil du rasoir, nous étonnant avec ce qui est prévisible par l'intelligence du scénario, de  la réalisation et de l'interprétation. Plutôt que d'insister sur des scènes attendues comme l'annonce du retour de celui que l'on croyait mort qui aurait pu donner lieu à une série de scènes convenues et de dialogues sirupeux, Jim Sheridan  préfère les jeux de regards, les silences et le hors champ. Ainsi, lorsque Grace ouvre sa porte et découvre deux militaires, sans qu'une parole soit échangée, elle sait qu'ils viennent annoncer  la mort de Sam.

    L'essentiel n'est pas là, ni dans la mort de Sam, ni dans sa réapparition puisque nous le savons d'emblée mais dans l'évolution des personnages et dans la complexité de leurs sentiments. Des rapports entre les deux frères (protecteur/ protégé, responsable/irresponsable) à leur place dans la famille qui vont progressivement s'inverser à ceux entre les deux filles de Sam qui reproduisent le schéma parental.

    Jim Sheridan filme au plus près des visages décuplant ainsi l'intensité provoquée par le jeu à fleur de peau des trois protagonistes. De Tobey Maguire que l'on a l'habitude de voir frêle et lisse et que l'on a d'abord du mal à imaginer en militaire et qui incarne pourtant ce capitaine véritablement habité faisant passer le bleu de son regard de la douceur à la folie et où semblent danser ses fantômes de la guerre, à Jake Gyllenhal qui se responsabilise peu à peu et qui, en un regard qui s'attendrit, se voile, ou se durcit, fait passer  sa transformation ou son sentiment d'injustice ou sa révolte silencieuse, à Natalie Portman de qui émane une douceur vigoureuse.

    On ressent la profonde empathie du réalisateur pour chacun de ses personnages dont aucun n'est délaissé, du père de Sam et Tommy (Sam Shepard) qui exprimait par la violence l'indicible traumatisme de la guerre du Vietnam à une des filles de Sam qui, lors d'une scène magistrale d'une intensité inouïe, tente de faire comprendre son malaise tandis que chacun tente de dissimuler le sien. Cette scène fait écho à une scène du début et montre l'inversion des rapports entre les deux frères (celui qui perd son sang-froid étant celui qui tentait de raisonner l'autre au début) et en miroir les rapports entre les deux filles de Sam. Pas un regard, pas une parole qui ne soient superflus. La partition est celle d'un virtuose de la psychologie humaine qui à nouveau explore les thèmes de la famille et du pardon (les similitudes sont nombreuses notamment avec « In America » qui était moins nuancé et plus larmoyant mais néanmoins également très réussi.)

    Et puis il y a la guerre contre laquelle ce film est un vibrant plaidoyer. A l'image d'un film comme le Grand prix du dernier Festival du Cinéma Américain de Deauville « The Messenger » d'Oren Moverman (ou encore l'excellent « American son » de Neil Abramson l'année précédente ), en montrant les plaies béantes d'une guerre qu'on essaie de cacher, le traumatisme de ceux qui en reviennent, l'incompréhension ou l'impuissance des familles qui ne peuvent savoir ce qui s'est réellement passé, Jim Sheridan stigmatise les conséquences tragiques d'une guerre qui accompagnent ceux qui l'ont vécue bien après qu'ils en aient quitté le terrain (dès le début Sam dit ainsi se sentir étrangement chez lui lorsqu'il retourne en Afghanistan).

     Jim Sheridan, avec ce remake du film éponyme danois réalisé en 2006 par Susanne Bier, nous livre à la fois un plaidoyer pacifiste tout en retenue et sa vision pudique et sensible, singulière mais universelle de la fratrie et de la complexité des rapports familiaux  dont  chaque regard ou chaque réplique sonnent incroyablement juste.

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  • Jodie Foster présidente de la cérémonie des César 2011

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    C'est l'actrice américiane Jodie Foster qui présidera cette année la cérémonie des César qui aura lieu au théâtre du Châtelet, le 25 février. Elle succède ainsi à Marion Cotillard. Rares sont les artistes étrangers à avoir présidé les César, le dernier fut Marcello Mastroianni en 1993. Cette 36ème cérémonie sera présentée par Antoine de Caunes pour la 7ème fois (après Valérie Lemercier et Gad Elmaleh l'an passé). Les noms des nommés seront dévoilés le 21 janvier.

     En attendant d'en savoir plus, retrouvez mon récit dans les coulisses de la 35ème cérémonie des César et mes nombreuses vidéos des lauréats.

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  • Festival d'avant-premières du 12 au 18 janvier dans les cinémas Gaumont Pathé

     

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    Du mercredi 12 au mardi18 janvier, les cinémas Gaumont Pathé organisent toute une semaine d’avant-premières pour découvrir des nouveautés que vous réservent l’année 2011 ! Des films à découvrir en VO ou VF, en avant-premières jusqu’à 2 mois avant leur sortie nationale dans les cinémas Gaumont Pathé de toute la France. Vous pouvez d'ores et déjà retrouver ma critique de "Black swan" de Darren Aronofsky que vous pourrez voir en avant-première, le 14 janvier.

    -Le mercredi 12 janvier, la comédie musicale « Toi, moi, les autres » de Audrey Estrougo (Regarde moi) avec Leïla Bekhti, Cécile Cassel et Benjamin Siksou.  Sortie nationale le 23 février 2011.

    -Le jeudi 13 janvier, « Last Night  de Massy Tadjedin avec Guillaume Canet, Keira Knightley, Eva Mendes et Sam Worthington, Sortie nationale le 16 février 2011.

    -Le vendredi 14 janvier, « Black Sawn » de Darren Aronofsky avec Natalie Portman et Vincent Cassel. Sortie nationale le 9 février 2011.

    -Le samedi 15 janvier, « Le Discours d’un roi » film historique de Tom Hooper avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush Sortie nationale le 2 février 2011.

    -Le dimanche 16 janvier, « Je n’ai rien oublié» comédie dramatique de Bruno Chiche avec Niels Arestrup,Nathalie Baye, Gérard Depardieu, Françoise Fabian, Alexandra Maria Lara. Sortie nationale le 30 mars 20 11.

    -Le lundi 17 janvier, film d’action « L’Assaut» de Julien Leclercq avec Mélanie Bernier, Vincent Elbaz, Gregori Dérangère, Jalil Lespert. Sortie nationale le 30 mars 20 11.

    -Le mardi 18 janvier : 127 heures de Danny Boyle Avec James Franco, Lizzy Caplan, Amber Tamblyn. Sortie nationale le 23 février 20 11.

    Liste des cinémas participants

    Ile-de-France

    Paris 08 - Gaumont Champs-Elysées

    Paris 14 - Gaumont Parnasse

    Paris 18 - Pathé Wepler

    Paris RP - Gaumont Carré Sénart

    Paris RP - Gaumont Disney Village

    Paris RP - Pathé Belle Epine

    Paris RP - Pathé Boulogne

    Paris RP - Pathé Conflans

    Paris RP - Pathé Quai d'Ivry

    Province

    Amiens - Gaumont Amiens

    Angers - Gaumont Multiplexe

    Archamps - Gaumont Archamps (réservation ouverte à partir du 12 janvier)

    Avignon - Pathé Cap Sud

    Belfort - Pathé Belfort

    Besançon - Pathé Beaux-Arts

    Bordeaux - Gaumont Talence Universités

    Evreux - Pathé Evreux

    Grenoble - Pathé Chavant

    Le Havre - Gaumont Docks Vauban

    Liévin - Pathé Liévin

    Lyon - Pathé Bellecour

    Lyon - Pathé Vaise

    Lyon (Vaulx-en-Velin) - Pathé Carré de Soie

    Marseille - Pathé Madeleine

    Marseille - Pathé Plan de Campagne

    Montataire - Pathé Montataire

    Montpellier - Gaumont Multiplexe

    Nantes - Gaumont Nantes

    Nice - Pathé Lingostière

    Nice - Pathé Masséna

    Orléans - Pathé Orléans

    Reims - Gaumont Parc Millésime

    Rennes - Gaumont Rennes

    Rouen - Pathé Docks 76

    Saint-Etienne - Gaumont Saint-Etienne

    Strasbourg - Pathé Brumath

    Toulon - Pathé Liberté

    Toulouse - Gaumont Labège (réservation ouverte à partir du 12 janvier)

    Toulouse - Gaumont Wilson (réservation ouverte à partir du 12 janvier)

    Valence - Pathé Valence

    Valenciennes - Gaumont Valenciennes

     

    Horaires et informations sur cinemagaumont.com ou cinemapathe.com rubrique Offres

     

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  • Concours : gagnez vos pass permanents pour le Festival International de Programmes Audiovisuels de Biarritz 2011 (FIPA 2011)

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    copyright Alain Fleischer

    Ce blog, il y a 7 ans, est né pour vous parler de festivals cinématographiques et vous faire partager mes pérégrinations festivalières. En 2011, plus que jamais, je continuerai à vous tenir informés de l'actualité festivalière, quand c'est possible en direct ou bien en vous permettant d'en profiter par le biais de concours.

    Pour ce début d'année, j'ai le plaisir de vous proposer un concours inédit et, grâce à Orange, de vous faire gagner des pass pour le FIPA (Festival International  des Programmes Audiovisuels) à Biarritz du 24 au 30 janvier prochain, ce festival est une réfèrence dans son domaine et reçoit chaque année des programmes de qualité et des invités prestigieux.

     Comme le délai imparti est court, je vais faire plus simple que d'habitude. Avant de répondre assurez-vous d'être disponibles et de pouvoir vous rendre à Biarritz ( rien ne vous empêche néanmoins de faire cadeau de vos pass).  Vous pourrez bien entendu très bientôt trouver toutes les informations sur le programme du festival sur ce blog dès qu'il sera communiqué.

    Le programme est le suivant:

    Lundi 24 : Ouverture, une projection
    Du mardi 25 décembre au samedi 29 décembre, projections toute la journée en soirée dans 6 salles
    Dimanche 30: reprise des 6 programmes primés dans 3 salles.

    CONCOURS:

    Je dispose de 70 pass. Afin que cela soit plus intéressant pour vous, j'ai décidé d'attribuer 10 pass permanents. Les plus rapides et motivés recevront ces pass.

    Pour remporter ces pass, c'est vraiment très simple. Répondez à ces 3 questions dont vous trouverez les réponses sur le site officiel du FIPA, en envoyant vos réponses ainsi que vos coordonnées postales à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour intitulé de votre email "Concours FIPA". Pas de date limite si ce n'est le début du festival, les pass seront délivrés aux plus rapides. Les pass vous seront envoyés directement par Orange. Je contacterai uniquement les gagnants.

    1.Qui présidait le jury fiction du FIPA 2010?

    2. Quel film a remporté le FIPA d'or 2010?

    3. En une phrase, pourquoi souhaitez-vous assister à ce festival?

    Présentation du FIPA:

    Le FIPA est un festival de programmes audiovisuels internationaux. Ses principes fondateurs sont : indépendance, qualité, diversité, innovation et référence. Il se positionne comme un véritable observatoire de la création audiovisuelle internationale et a pour objectif d'inciter au développement de productions de qualité. Lieu de découvertes et de débats, le FIPA est un rendez-vous annuel incontournable pour les professionnels de la télévision mais aussi pour le public qui vient chaque année plus nombreux. Les prix qui y sont décernés, par des jurys prestigieux, sont une référence dans le secteur de l'audiovisuel et un facteur déterminant pour les carrières et les ventes dans le monde des programmes. Le FIPA est une occasion unique d'apprécier la richesse et la diversité de la production audiovisuelle de l'année écoulée. Il démontre depuis plus de 23 ans que, bien loin des productions formatées, des programmes qui ne seront peut-être pas diffusés sur les chaînes de télévision peuvent captiver les spectateurs, curieux et désireux de découvrir de nouveaux regards sur le monde. Au-delà du festival, le FIPA a crée un marché sélectif : le FIPATEL qui repose sur les mêmes exigences de qualité et de diversité. Il permet aux programmes d'être visionnés par des professionnels du monde entier ce qui leur offre de réelles perspectives de diffusion. Le FIPA oeuvre également en faveur de l'éducation à l'image des jeunes en sélectionnant des programmes réalisés par des étudiants, en permettant à un jury de jeunes européens de récompenser une oeuvre d’une des sections compétitives, en mettant en place des séances scolaires, des débats ou encore des master class. Fictions, documentaires, séries, grands reportages, musique et spectacles, programmes courts : cinq jours de télévision idéale, de regards lucides, indépendants et exigeants, d'approches sensibles et révélatrices du monde actuel.Chaque année, 1600 programmes s'inscrivent pour représenter 70 pays. Au programme: hommages, compétition, débats, rencontres avec les réalisateurs...

    Site internet du fipa: http://www.fipa.tm.fr/fr/

    Page Facebook du FIPA: http://www.facebook.com/festival.FIPA?ref=ts&v=app_3801015922

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