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  • "Mélodie en sous-sol" d'Henri Verneuil avec Alain Delon et Jean Gabin, ce soir sur Arte

    Melodie-en-sous-sol_affiche_small.jpgComme vous l'avez peut-être constaté, figure désormais sur ce blog une rubrique "Cycle Alain Delon" (si vous vous demandez pourquoi, la lecture de quelques uns de ces articles devrait vous permettre de trouver la réponse à cette question). Dans le cadre de ce cycle, je vous propose donc de regarder ce soir un des chefs d'oeuvre du polar signé Henri Verneuil, avec Alain Delon et Jean Gabin: "Mélodie en sous-sol". Ma critique viendra bientôt compléter mes nombreuses critiques de films d'Alain Delon. En attendant, je vous recommande vivement de le regarder, ce soir sur Arte et si vous ne pouvez pas le regarder aujourd'hui, sachez qu'il repasse, demain, à 14H45 et jeudi à 3H00.

     

  • Critique- «Le Concert» de Radu Mihaileanu (ce soir sur Canal+)

    Si pour moi ce soir ce sera plutôt "Garde à vue" de Claude Miller (à 20H40, sur Direct 8) ou "Mélodie en sous-sol" d'Henri Verneuil (à 20H40, sur Arte), et bien que je les connaisse par coeur, pour ceux qui se décideraient pour "Le concert" (sur Canal +, à 20H50), voici ma critique ci-dessous ainsi que mes photos et vidéos de l'avant-première exceptionnelle au Châtelet et le récit de cette soirée.

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    Le Théâtre du Châtelet était jusqu'alors pour moi associé au souvenir d'une épique soirée des César, en 2006, (cliquez ici pour en lire le récit), il sera désormais indissociable de ce moment où Tchaïkovski m'a fait frissonner d'émotion et a, en un instant où fiction et réalité se sont rejointes et où la beauté de la seconde a éclipsé celle de la première, imposé un silence respectueux et admiratif et suspendu le souffle de cette salle magistrale.

    Europacorp, pour l'avant-première du film « Le Concert » de Radu Mihaileanu  dont l'intrigue se déroule en partie au Théâtre du Châtelet, avait donc, en toute simplicité :-), réservé le Théâtre du Châtelet et convié une bonne partie du cinéma français (et évidemment toute l'équipe du film: Radu Mihaileanu, Alexei Guskov,  Mélanie Laurent, François Berléand, Ramzy, Miou Miou...) dont l'arrivée était retransmise sur écran géant, à l'intérieur de la salle mais aussi dans une cinquantaine de cinémas, dans toute la France, dont les spectateurs ont également pu suivre l'avant-première et ce qui a suivi, retransmis en intégralité. Evidemment l'émotion était décuplée par le fait de se retrouver dans l'endroit même où le film a été tourné...

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    C'est la toujours très professionnelle Marie Drucker (une des rares à faire sortir des sentiers battus les traditionnelles interviews de fin de JT et à écouter les réponses davantage que ses questions) qui a d'abord présenté le déroulement de la soirée avant de laisser place à la projection.

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     C'est en Russie que débute ce concert-là, avec Andreï Filipov (Aleksei Guskov), désormais homme de ménage au Bolchoï, 30 ans après avoir été le plus grand chef d'orchestre de l'Union Soviétique et avoir dirigé ce même orchestre du Bolchoï. Mais voilà, il y a 30 ans c'était Brejnev qui était au pouvoir et Filipov avait vu son concert et sa carrière interrompus pour avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs. Resté tard pour faire le ménage, il tombe par hasard sur un fax adressé au directeur du Bolchoï : une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre du Bolchoï à venir jouer à Paris. Andreï a alors la folle idée de réunir ses anciens amis musiciens, qui (sur)vivent aujourd'hui de petits boulots et de les emmener à Paris en les faisant passer pour le Bolchoï...

    Un sujet en or ! Des thèmes (récurrents chez le cinéaste) propices à susciter l'empathie du spectateur : une révoltante injustice et une imposture pour prendre une revanche sur celle-ci. De nouveau le cinéaste explore ainsi le thème des persécutions dont les Juifs ont été victimes, cette fois donc dans la Russie de Brejnev qui rayait les différences et broyait les individualités, pervertissant les idées initialement nobles du communisme qu'elle prétendait appliquer.

    D'abord un peu déroutée par le style, à des années lumière du subtil et bouleversant « Va, vis et deviens », il me faut un peu de temps pour m'habituer à cette exubérance, à ces personnages hauts en couleur, à cette Russie grisée et grise, à ce genre, nouveau pour le réalisateur, celui de la comédie. Le personnage de Filipov plus nuancé et grave parvient pourtant à lui seul à captiver l'attention.

     La stigmatisation d'une partie de la Russie qui s'est enrichie sur les ruines du communisme (parfois avec les mêmes que ceux qui en étaient les garants) et dépense avec ostentation et  mauvais goût, croyant que l'argent peut tout corrompre et acheter, la nostalgie du communisme et d'un temps pourtant dramatique sont des pistes passionnantes que Radu Mihaileanu effleure avec humour, parfois extravagance et néanmoins justesse.

    Certains de ses personnages sont attachants et traités avec beaucoup de tendresse ... alors que d'autres le sont caricaturalement, avec un ton frôlant la condescendance vraiment dommageable, avec un résultat à l'opposé de celui envisagé réduisant certains personnages à des clichés douteux : une fois à Paris les Juifs ne pensent qu'à vendre des téléphones portables et à s'enrichir, et les Russes, grégaires, ne pensent qu'à boire...

    C'est d'autant plus dommage que lorsque Radu Mihaileanu aborde le registre dramatique, on retrouve toute la sensibilité dont il sait faire preuve notamment dans les scènes entre Mélanie Laurent et Aleksei Guskov. Cette dernière illumine l'écran et son visage lumineux contraste joliment avec la gravité de celui d'Aleksei Guskov, leur face à face oriente la fin du film vers le registre dramatique dont on se dit qu'il est dommage qu'il n'ait pas été employé dès le début. On se dit aussi que cette caricature, certes dommageable, est sans doute plus de la pudeur  maladroite que du mépris volontaire, la fameuse « politesse du désespoir ».

    La fin du film portée par l' émouvante exaltation de Mélanie Laurent, la gravité attendrissante d'Aleksei Guskov, la caméra virevoltante de Radu Mihaileanu (mais peut-être parfois trop, ne nous laissant pas  le temps de nous attarder sur un regard, un geste, une note bien suffisants pour susciter l'émotion), et la musique de Tchaïkovski nous laissent entrevoir le chef d'œuvre qu'aurait pu être ce film inégal parsemé de trop courts instants de grâces et de quelques bonnes idées humoristiques (l'irrésistible traduction du Russe en Français, le personnage de Berléand au débit impressionnant...), porté pourtant par une idée en or et un cinéaste dont nous ne doutons pas de la sensibilité et des bonnes intentions.

    Dommage que des notes dissonantes faussent cette partition si prometteuse, ce bel hymne au pouvoir rédempteur et fédérateur de la musique... et que l'intensité captivante soit uniquement celle du dénouement(certes réussi) -le concert du faux Bolchoï au Théâtre du Châtelet- pour délaisser le reste qui a certainement aussi pâti du mélange, parfois incongru, des genres. (Sortie en salles: le 4 novembre)

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    Générique. La salle applaudit. Le rideau se lève sur les 55 musiciens de l'orchestre Lamoureux. La salle est envahie par une vague de silence et d'émotion. Les notes mélodieuses,  tantôt joyeuses et bouleversantes, mélancoliques et exaltantes, romantiques et tourmentées du concert pour violon et orchestre opus 35 de Tchaïkovski s'élèvent (et nous élèvent) dans le Théâtre du Châtelet comme dans la fiction quelques secondes plus tôt. Le lieu, les autres n'existent plus. Le temps non plus. Peut-être sommes-nous à la fin du  19ème? Peut-être Tchaïkovski va-t-il apparaître sur scène comme par miracle et magie ?  Paraît-il que ce concert n'a duré que 10 minutes.  Pour moi une brève éternité. Un sublime moment d'éternité éphémère...

     Ensuite il a bien fallu revenir. Au présent. A la foule. Au monde réel. A la lumière éblouissante. Aux voix dissonantes de la réalité. Toute l'équipe du film est montée sur scène interviewée par Marie Drucker, je vous laisse découvrir ces instants en photos et vidéos : vous entendrez les acteurs principaux du film comme Mélanie Laurent et François Berléand mais aussi le réalisateur Radu Mihaileanu...

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  • Vidéos des acteurs de "Encore un baiser" de Gabriele Muccino: Stefano Accorsi, Vittoria Puccini...

    Deux jours avant la sortie en salles de "Encore un baiser" de Gabriele Muccino", je vous propose de retrouver  mes deux vidéos et quelques photos de la conférence de presse du film , à l'hôtel Royal Monceau, et en présence d'une grande partie de l'équipe, conférence de presse à laquelle j'ai eu le plaisir d'assister grâce à Cinefriends.

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  • Programme du 18ème Festival International du Film Fantastique de Gerardmer

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    Gerardmer est un des rares grands festivals de cinéma français que je ne connaisse pas encore mais j'avoue que le fantastique et l'horreur ne sont pas les genres cinématographiques auxquels je suis la plus réceptive, néanmoins vous pourrez trouver ici les informations concernant la programmation 2011 dont nous savons pour le moment uniquement:

    -que le Festival aura lieu du 26 au 30 janvier 2011

    -que la thématique en sera:  "Schizophrénie, Claustrophobie, Paranoïa … et autres petites joies de l’existence”.

    - que le Festival International du Film Fantastique de Gérardmer renouvelle les Rencontres Internationales du Fantastique pour la 2ème année consécutive. Psychologues, psychanalystes, professionnels et journalistes sont conviés à Gérardmer pour se rencontrer et débattre autour de la thématique de cette 18è édition. Les discussions prendront la forme d’une table ronde ouverte au public. Les échanges seront filmés et donneront lieu à des actes retranscrits sur papier et diffusés aux participants et à la presse.

    Le programme et le nom du Président du jury seront annoncés lors de la conférence de presse du 13 janvier.

    Lien: Site officiel du Festival

    Page Facebook du Festival

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  • Joyeux noël (en extraits de films)... et n'oubliez pas Les toiles enchantées le 25!

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    Une petite parenthèse de trois jours, ailleurs, sans internet qui s’annonce enchantée à l’image des toiles que je vous engage à aider ce 25 décembre (oui, je sais, ma pauvre transition sent la fin d'année mais le coeur y est....). Je vous le rappelle : une partie du prix de votre place de cinéma ira à cette belle association qui permet notamment aux enfants hospitalisés de voir à l'hôpital des films récents. Faire une bonne action le 25 décembre sera aussi simple que d'aller au cinéma, vous faire plaisir tout en faisant plaisir. (Je vous ai déjà tout expliqué, ) Les choix ne manquent pas pour aller au cinéma seul(e), en amoureux, en famille ou entre amis... Voilà quelques suggestions de films à voir dont vous pourrez lire mes critiques en cliquant sur les titres:

    "Les Emotifs anonymes" de Jean-Pierre Améris

    "Un balcon sur la mer" de Nicole Garcia

    "Harry Potter et les reliques de la mort" de David Yates

    "Another year" de Mike Leigh

    "Les trois prochains jours" de Paul Haggis

    "Mon Pote" de Marc Esposito

    "Potiche" de François Ozon

     

     A mon retour, je vous ferai mon bilan de l’année avec les (bonnes et mauvaises) surprises, les déceptions, les grands moments et grands films en mots et vidéos. Je vous parlerai aussi de l’année à venir sur inthemoodforcinema et les trois autres blogs inthemood et comme je ne voulais pas vous laisser trois jours comme ça ... je vous laisse donc avec ces vidéos de scènes mythiques qui, je l'espère, vous donneront déjà des étoiles plein les yeux (pour moi, c'est en tout cas le cas avec chacun de ces extraits) avant l'arrivée du grand barbu de Rovaniemi ( des films dont les DVD pourraient d'ailleurs être des idées cadeaux de dernière minute, cliquez sur les titres si vous en doutez encore), tout ça pour vous souhaiter un noël joyeux et lumineux.

    1. "Les lumières de la ville" de Charles Chaplin

    2. "Casablanca" de Michael Curtiz

    3. "Le Guépard" de Luchino Visconti

    4. "Sur la route de Madison" de Clint Eastwood

    5. "Les enfants du paradis" de Marcel Carné

    6. "César et Rosalie" de Claude Sautet

    7. "Playtime" de Jacques Tati

    8. "La main au collet" d'Alfred Hitchcock

    9. "Edward aux mains d'argent" de Tim Burton

    10. "La rose pourpre du Caire" de Woody Allen

    11. "La Strada" de Fellini

    12. "Zorba le grec" de Michael Cacoyannis

    La plupart de ces extraits ont été trouvés sur vodkaster.com.

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  • Critique – « Les émotifs anonymes » de Jean-Pierre Améris avec Benoît Poelvoorde et Isabelle Carré

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    La comédie française se porte bien : après le réjouissant « Tout ce qui brille », le pétillant « De vrais mensonges », le romantique « L’Arnacoeur », le décalé « La reine des pommes », le sucré acide « Potiche »  cette année 2010 s’achève par une comédie qui n’est pas la plus clinquante ni la plus formatée mais sans aucun doute la plus attachante à des années lumière d’une « comédie » désolante, démagogique et opportuniste comme « Fatal ».

    Le gérant d’une chocolaterie au prénom aussi improbable que ses costumes démodés est un grand émotif. Jean-René (Benoît Poelvoorde) donc, puisque tel est ce fameux prénom suranné, cherche à employer une nouvelle commerciale. Angélique (Isabelle Carré) est la première à se présenter. Chocolatière de talent, elle est au moins aussi émotive que Jean-René, participant même à des séances des «Emotifs anonymes ». Entre eux le charme opère immédiatement, malgré leurs maladresses, leurs hésitations, leurs regards fuyants.  Seulement leur timidité maladive tend à les éloigner…

    Quant la mode est aux cyniques célèbres, un film qui s’intitule « Les Emotifs anonymes » est déjà en soi rafraîchissant et j’avoue avoir d’emblée beaucoup plus de tendresse pour les seconds. Cela tombe bien : de la tendresse, le film de Jean-Pierre Améris en regorge. Pas de la tendresse mièvre, non. Celle qui, comme l’humour qu’il a préféré judicieusement employer ici, est la politesse du désespoir. Jean-Pierre Améris connaît bien son sujet puisqu’il est lui-même hyper émotif. J’en connais aussi un rayon en émotivité et évidemment à l’entendre je comprends pourquoi son film (me) touche en plein cœur et pourquoi il est un petit bijou de délicatesse.

    La première grande idée est d’avoir choisi pour couple de cinéma Benoît Poelvoorde et Isabelle Carré déjà réunis dans « Entre ses mains », le très beau film d’Anne Fontaine. Poelvoorde donne ici brillamment corps (mal à l’aise, transpirant, maladroit), vie (prévoyante et tétanisée par l’imprévu) et âme (torturée et tendre) à cet émotif avec le mélange de rudesse involontaire et de personnalité à fleur de peau caractéristiques des émotifs et Isabelle Carré, elle aussi à la fois drôle et touchante, sait aussi nous faire rire sans que jamais cela soit aux dépends de son personnage. L’un et l’autre sont pour moi parmi les plus grands acteurs actuels, capables de tout jouer et de nous émouvoir autant que de nous faire rire. Ici ils font les deux, parfois en même temps. Poelvoorde en devient même beau à force d’être touchant et bouleversant, notamment lorsqu’il chante, dans une scène magnifique que je vous laisse découvrir. Le film de Jean-Pierre Améris est ainsi à l’image de l’entreprise de chocolaterie vacillante de son personnage principal : artisanal mais soigné, à taille humaine, et terriblement touchant.

     La (première) scène du restaurant est un exemple de comédie et symptomatique du ton du film, de ce savant mélange de sucreries, douces et amères, de drôlerie et de tendresse. Cette scène doit (aussi) beaucoup au jeu des acteurs. Leur maladresse dans leurs gestes et leurs paroles (leurs silences aussi), leurs mots hésitants, leurs phrases inachevées, leurs regards craintifs nous font ressentir leur angoisse, l’étirement du temps autant que cela nous enchante, nous amuse et nous séduit.

    Le deuxième est le caractère joliment désuet, intemporel du film qui ne cherche pas à faire à la mode mais qui emprunte ses références à Demy ou à des pépites de la comédie comme « The shop around the Corner » de Lubitsch avec ses personnages simples en apparence, plus compliqués, complexes et intéressants qu’il n’y paraît sans doute à ceux qui préfèrent les cyniques célèbres précités. 

    Avec son univers tendrement burlesque, avec ses couleurs rouges et vertes, Jean-Pierre Améris nous embarque dans ce conte de noël qui se déguste comme un bon chocolat à l’apparence démodée mais qui se révèle joliment intemporel. Un film tout simplement délicieux, craquant à l’extérieur et doux et fondant à l’intérieur qui vous reste en mémoire...comme un bon chocolat à la saveur inimitable.

    Jean-Pierre Améris m’avait déjà bouleversée avec « C’est la vie » et « Poids léger », maintenant en plus il nous fait rire. Vivement le prochain film du cinéaste et vivement le prochain film avec Isabelle Carré ET Benoît Poelvoorde ! Si vous n’avez pas encore vu ce film allez-y de préférence le 25 décembre, vous ferez en plus une bonne action. Un film qui fait du bien comme celui-ci, c'est vraiment l'idéal un jour de noël et vous auriez tort de vous en priver.

    En bonus, regardez le clip de "Big jet lane" d'Angus et Julia Stone, très belle bo qui prolonge le film.

  • Jury et programme du Festival du Film de Comédie de l'Alpe d'Huez 2011

    alpe.jpgVoilà un festival que je n'ai pas (encore) le plaisir de connaître mais qui me semble des plus sympathiques et qui a couronné des comédies très réussies comme le réjouissant "Tout ce qui brille" cette année. Voici le jury du festival 2011 et le programme des coups de projecteur (une nouveauté pour 2011).

    La 14e édition du Festival International du Film de Comédie
    de l’Alpe d’Huez se déroulera du 18 au 23 janvier 2011.
     
    Le Festival de l’Alpe d’Huez, 1er rendez-vous cinématographique de l’année, est l’unique Festival de Films de Comédie en France. Cette année encore, le Festival présentera une sélection de courts et de longs métrages, en avant-première nationale, qui feront l’évènement de l’année 2011.
     
     
    Le Jury 2011


    Le Jury de cette 14e édition sera présidé par le réalisateur, acteur, scénariste et producteur :Jan Kounen (Doberman, Blueberry l’expérience secrète, 99 Francs, Coco Chanel & Igor Stravinski).
    Il sera accompagné de la comédienne Léa Drucker (L’homme de sa vie de Zabou Breitman, Cyprien de David Charhon, Les Brigades du Tigre de Jérôme Cornuau), la réalisatrice et comédienne Géraldine Nakache (Tout ce qui brille de Géraldine Nakache et Hervé Mimran, Comme t’y es belle de Lisa Azuelos, Il reste du jambon ? d’Anne Depetrini), les comédiens François-Xavier Demaison (La chance de ma vie de Nicolas Cuche, Tellement proches d’Eric Tolédano et Olivier Nakache, Coluche l’histoire d’un mec d’Antoine de Caunes), du comédien, réalisateur et chanteur Michaël Youn (Fatal de Michaël Youn, La Beuze et Les 11 commandements de François Desagnat et Thomas Sorriaux).


    Coup de Projecteur 2011 (Nouveauté) 

     


    Quatre Talents, Coups de Cœur du Festival, seront mis en lumière, et participeront à cette manifestation en signant tous les jours un billet d’humeur autour de ce qu’ils auront vécu, vu, ressenti. Impressions, coups de cœur, coups de projecteur, pendant cette semaine de cinéma, de rencontres et d’échanges autour de la Comédie, dans et en dehors des salles de cinéma de l’Alpe d’Huez.

    Les talents 2011 :
    Fanny Valette (La petite Jérusalem de Karin Albou, La loi de Murphy de Christophe Campos),
    Mélanie Bernier (Mes stars et Moi de Laetitia Colombani, Le Coach d’Olivier Doran)
    Denis Menochet (Inglourious Basterds de Quentin Tarantino, Robin Hood de Ridley Scott)
    Raphael Personnaz (La princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier, La chance de ma vie de Nicolas Cuche)
     
    Retrouvez leurs billets d’humeur pendant le Festival sur :
    Site officiel : www.festival-alpedhuez.com  -  Facebook : www.facebook.com/festivaldecomedie

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