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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 379

  • Palmarès des European Film Awards 2010: "The Ghost Writer" de Roman Polanski, grand vainqueur

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    Ce soir, à Tallinn avait lieu la 23ème cérémonie des European Film Awards dont "The Ghost Writer" de Roman Polanski est reparti grand vainqueur avec 6 récompenses, à mon sens également le meilleur film européen de cette année, des récompenses donc amplement méritées. Je vous laisse découvrir le palmarès ci-dessous avec également un prix d'interprétation pour Sylvie Testud. En bonus, retrouvez ma critique de "The Ghost writer" en bas de cet article.

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    FILM EUROPEEN 2010

    The Ghost Writer

    France / Allemagne / Royaume-Uni

    de Roman Polanski

     REALISATEUR EUROPEEN 2010

    Roman Polanski pour The Ghost Writer

     ACTRICE EUROPEENNE 2010

    Sylvie Testud dans LOURDES

     ACTEUR EUROPEEN 2010

    Ewan McGregor dans The Ghost Writer

     SCÉNARISTE EUROPÉEN 2010

    Robert Harris & Roman Polanski pour The Ghost Writer

     CARLO DI PALMA PHOTOGRAPHIE Prix Européen 2010

    Bejach Giora pour LIBAN

     MEILLEUR MONTAGE EUROPEEN 2010

    Barnier et Luc Monnier Marion pour CARLOS

     DESIGNER PRODUCTION EUROPEENNE 2010

    Albrecht Konrad pour The Ghost Writer

     COMPOSITEUR EUROPEEN 2010

    Alexandre Desplat pour The Ghost Writer

     DECOUVERTE EUROPEENNE 2010 - Prix FIPRESCI

    LIBAN

    Israël / Allemagne / France

    par Samuel Maoz

     European Documentary FILM ACADEMY - Prix ARTE 2010 NOSTALGIE DE LA LUZ (La nostalgie de la lumière)

    France / Allemagne / Chili

    par Patricio Guzmán

     EUROPEAN FILM ACADEMY LONG MÉTRAGE D'ANIMATION 2010

    The Illusionist

    de Sylvain Chomet

     EUROPEAN FILM ACADEMY COURT MÉTRAGE 2010

    HANOI - Warszawa (Hanoi - Varsovie)

    La Pologne

    par Katarzyna Klimkiewicz

     EUROPÉENNES CO-PRODUCTION PRIX - Prix EURIMAGES 2010 Zeynep Özbatur Atakan, producteur

     European Film Academy Lifetime Achievement Award Bruno Ganz, acteur

     EUROPEAN ACHIEVEMENT IN WORLD CINEMA 2010

    Gabriel Yared, compositeur

     PRIX DU PUBLIC MEILLEUR FILM EUROPEEN 2010

    MR. NOBODY

    par Jaco van Dormael

    CRITIQUE DE "THE GHOST WRITER" DE ROMAN POLANSKI

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    Un « écrivain-nègre » britannique (beaucoup plus poétiquement appelé un « Ghost-Writer » dans les pays anglo-saxons) à succès (Ewan Mc Gregor) -dont on ne connaîtra d'ailleurs jamais le nom- est engagé pour terminer les mémoires de l'ancien Premier Ministre britannique Adam Lang (Pierce Brosnan), le précèdent rédacteur, ancien bras droit de Lang, étant décédé dans d'étranges circonstances. C'est sur une île isolée au large de Boston que l'écrivain part à la rencontre de son nouveau sujet...

    Répulsion. Chinatown. Tess. Le Pianiste... Et tant d'autres films de genres si différents auxquels, à chaque fois, Polanski a su imprimer son inimitable style. Qu'allait-il en être cette fois de ce thriller? Avec cette adaptation cinématographique de L'Homme de l'ombre, thriller contemporain du romancier et journaliste anglais Robert Harris, Roman Polanski se rapproche davantage de « Frantic » même si ce film ne ressemble à aucun autre.

    Par une manière admirable à la fois d'aller à l'essentiel et de capter les détails avec une acuité remarquable, Roman Polanski nous plonge d'emblée dans son intrigue pour ne plus nous lâcher jusqu'à la dernière seconde. Combien de réalisateurs sont capables d'en dire tellement en deux ou trois plans et cela dès le début : une voiture abandonnée dans la cale d'un ferry, la police qui tourne autour de la voiture sur un quai et le film est lancé. Et nous voilà plongés dans l'atmosphère unique et inquiétante de « The Ghost-Writer ».

     La caméra de Roman Polanski ne quitte jamais son (anti)héros auquel le spectateur s'identifie rapidement (Ewan Mc Gregor tout en sobriété, parfait pour le rôle), cet « homme ordinaire plongé dans une histoire extraordinaire » comme Hitchcock aimait à résumer ses propres histoires. D'ailleurs, il y a beaucoup du maître du suspense dans ce nouveau Polanski, à commencer par ce huis-clos sur cette île inhospitalière à l'abandon balayée par le vent et la monotonie, et ce blockhaus posé au milieu d'une nature rebelle où un jardinier fantomatique œuvre en vain au milieu d'un tourbillon de feuilles. L'inquiétude et le sentiment d'inconfort  nous saisissent immédiatement dans cette demeure élégante mais déshumanisée dont l'ouverture sur l'extérieure donne des plans d'une redoutable beauté glaciale aux frontières de l'absurde, sorte de monde désormais désertique devant lequel, tel un démiurge, apparaît l'ancien premier ministre qui jadis dirigeait tout un peuple. Tout est à la fois familier et étrange, envoûtant et angoissant.

    C'est moins le suspense qui importe que la manière dont Polanski conduit son intrigue (même s'il réussit à nous étonner avec un dénouement pourtant attendu et prévisible), capte et retient notre attention. Pas par des course-poursuites ou des explosions, non, par des scènes où notre souffle est suspendu à un mot (comme ce formidable face-à-face avec Tom Wilkinson ) ou aux glaçantes et cinglantes répliques de la femme d'Adam Lang ( remarquable Olivia Williams) qui, avec Kim Cattrall,  réinventent les femmes fatales hitchcockiennes.

    Une austérité étrangement séduisante, une lenteur savamment captivante, une beauté froide et surtout une atmosphère à la fois inquiétante et envoûtante émanent de ce nouveau Polanski qui nous donne une magnifique leçon de cinéma, jusqu'au dernier plan, effroyablement magnifique. Un film agréablement inclassable quand on essaie de plus en plus de réduire les films à un concept voire à un slogan. Ce « Ghost-Writer » n'est pas sans rappeler un autre film qui lui aussi parle de manipulation ( et nous manipule) et se déroule  en huis-clos sur une île également au large de Boston comme si pour définir un pays aussi gigantesque que les Etats-Unis, la claustrophobie d'une terre insulaire était la plus parlante des métaphores...

    Difficile de dissocier l'histoire du film de celle de son auteur tant les similitudes son présentes ( à commencer par l'exil d'Adam Lang dans un pays où il est assigné à résidence, à cette exception près que c'est justement dans ce pays que ne peut retourner Polanski) . Difficile aussi de dissocier l'Histoire contemporaine de l'histoire de the Ghost-Writer qui évoque les tortures pendant la guerre en Irak et stigmatise le rôle trouble des Etats-Unis (là où justement ne peut retourner Polanski qui d'une certaine manière règle quelques comptes) Harris étant par ailleurs un ancien journaliste proche de Tony Blair à qui Adam Lang fait évidemment penser. Mais ce serait dommage aussi de réduire ce grand film inclassable et passionnant à cela...  Laissez-vous guider par « l'écrivain fantôme » et manipuler dans les coulisses du pouvoir. Je vous promets que vous ne le regretterez pas!

    Roman Polanski a reçu l'Ours d'argent du meilleur réalisateur pour ce film au dernier Festival de Berlin.

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  • Avant-première –Critique-« Les trois prochains jours » de Paul Haggis, remake de « Pour elle » de Fred Cavayé

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    C’est le 8 décembre que sortira en salles « Les trois prochains jours » de Paul Haggis, remake de l’excellent « Pour elle » de Fred Cavayé, lequel vient justement de sortir le décevant « A bout portant ». Dans les trois cas, il s’agit pour un homme ordinaire plongé dans une situation extraordinaire de sauver sa femme dans un court laps de temps. Toute comparaison hitchcockienne s’arrêtera là…

    A l’occasion de cette avant-première, Paul Haggis était cette semaine au Gaumont Parnasse pour présenter son film mais aussi pour une passionnante master class (dont vous pouvez retrouver mes vidéos en cliquant ici).

    Dans « Les trois prochains jours », John Brennan (Russell Crowe), sa femme Lara (Elisabeth Banks) et leur enfant vivent apparemment heureux dans le meilleur des mondes. Enfin, pas vraiment le meilleur des mondes puisqu’une femme est assassinée, un meurtre pour lequel Lara est arrêtée. Elle nie mais elle est condamnée. Son fils s’éloigne de plus en plus d’elle et trois ans après la condamnation, John continue à se battre pour prouver l'innocence de sa femme. Lorsque leur dernière tentative d'appel échoue, Lara s'enfonce dans la dépression et tente même de mettre fin à ses jours.  Pour John, il n’y a donc plus qu’une seule issue : la faire évader. Sa dernière chance.

     A première vue, le pitch est le même que celui de l’original de Fred Cavayé dans lequel Lisa (Diane Krüger) et Julien (Vincent Lindon) formaient un couple heureux et amoureux, avec leur fils Oscar. Un matin, brusquement, leur vie basculait dans l’absurdité et l’horreur lorsque la police débarquait chez eux pour arrêter Lisa, accusée de meurtre puis condamnée à vingt ans de prison. Julien, professeur et fils mal aimé de son état, était alors être prêt à tout pour  la faire évader.

    Aussi talentueux que soit Paul Haggis en tant que scénariste, cela fonctionne pourtant moins bien que dans l’original. Tout d’abord, même si j’ai horreur des films qui se réduisent à un slogan celui de « Pour elle »  « Jusqu’où iriez-vous par amour?»  était terriblement efficace. C’était pour elle que Julien allait au-delà des frontières. De la raison. De la légalité. Du Bien et du Mal. C’est également « pour elle » qu’agit John mais l’accent est ici davantage mis, à l’image du titre, sur le temps imparti. Il semble davantage agir contre le temps et pour son fils que « pour elle ».  Par ailleurs, là où Vincent Lindon était montré immergé dans son milieu professionnel, en tant que professeur, renforçant la crédibilité du personnage, Russell Crowe (qu’il est d’emblée plus difficile d’imaginer dans ce rôle) ne l’est montré que furtivement, si bien que le fossé entre sa vie d’avant et l’acte qu’il commet et la violence dans laquelle il bascule est moins important, et donc moins fort à l’écran.

    Comme Fred Cavayé, Paul Haggis s’est beaucoup attaché à créer une sensation d’enfermement, faisant de Pittsburgh un personnage à part entière. Lors de la master class, Paul Haggis a ainsi expliqué que la ville était comme une forteresse et que, lorsque John tente de s’enfuir, la ville se referme comme une prison sur lui.

    Malheureusement Russel Crowe n’a pas ce mélange de force et de fragilité, de détermination et de folie que Vincent Lindon dégageait pour ce rôle occupant, consumant, magnétisant l’écran et notre attention, tellement le personnage qu’il incarnait, à qui il donnait corps (sa démarche, son dos parfois voûté ou au contraire droit menaçant, ses regards évasifs ou fous mais suffisamment nuancés dans l’un et l’autre cas ) et vie semblaient ne pouvoir appartenir à aucun autre. Il est d’ailleurs intéressant de voir que Russell Crowe reproduit cette démarche mais contrairement à ce que souhaitait Paul Haggis ne me semble pas « disparaître dans le rôle» mais toujours porter avec lui sa mythologie d’acteur.

    En nous montrant cet homme lui aussi dans une prison,  celle de sa folie amoureuse (pléonasme ou antithèse : à vous de voir), celle de son incommunicabilité de sa douleur (avec son père, notamment), Paul Haggis nous le désigne comme  lui aussi enfermé, dans son cauchemar, si bien que la vie extérieure est à dessein ici totalement absente. La relation paternelle est aussi au centre de l’histoire. Ce sont aussi deux pères (comme dans l’original) qui vont très loin par amour. A leur manière.

    L’adaptation de Paul Haggis est davantage un film d’action qu’un thriller sentimental. Paul Haggis, avec cette version plus longue de 40 minutes que l’original, s’est davantage concentré sur le thème de la croyance, John croyant en elle envers et contre tout et tous. Un parti pris intéressant qui évite l’écueil du manichéisme mais qui ne diffère pas suffisamment de celui de l’original pour y apporter réellement un supplément d’âme ou de noirceur. Un film prenant, au moins, qui sera sans doute même haletant pour ceux qui n’ont pas vu l’original que je lui préfère néanmoins.

    Je vous laisse découvrir dans ma note précédente les vidéos de la master class.  Outre de précieux conseils aux scénaristes et autres artisans du cinéma en devenir comme croire en l’impossible et faire de ce que l’on souhaite créer une obsession (conseils suivis à la lettre par moi-même avant même qu'il les ait délivrés:-)), il est revenu sur sa prestigieuse carrière…

    Lien permanent Imprimer Catégories : CRITIQUES DES FILMS A L'AFFICHE EN 2010 Pin it! 2 commentaires
  • Vidéos de la masterclass de Paul Haggis au Gaumont Parnasse

    A l'occasion de la projection en avant-première de son film "Les trois prochains jours", en salles le 8 décembre prochain, (voir ma critique en cliquant ici), au Gaumont Parnasse, Paul Haggis a donné une passionnante masterclass dont vous pourrez retrouver quelques extraits ci-dessous.

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    Lien permanent Imprimer Catégories : EVENEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES DIVERS Pin it! 0 commentaire
  • Conférence de presse du film "Encore un baiser" avec Gabriele Muccino, Stefano Accorsi, Vittoria Puccini...

    En attendant, demain, de nouvelles critiques de films en avant-première, je vous propose aujourd'hui deux vidéos et quelques photos de la conférence de presse du film "Encore un baiser" de Gabriele Muccino, à l'hôtel Royal Monceau, et en présence d'une grande partie de l'équipe du film, conférence de presse à laquelle j'ai eu le plaisir d'assister grâce à Cinefriends. Vous pourrez bien entendu retrouver ma critique de ce film à sa sortie, le 29 décembre 2010.

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  • Ouverture du 10ème Festival International du Film de Marrakech

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    C'est ce soir qu'aura lieu l'ouverture du 10ème Festival International du Film de Marrakech dont vous pouvez retrouver le programme en cliquant ici et sur le site officiel du festival.C'est "Henry's crime" de Malcolm Venville qui fera l'ouverture. A noter: Dominic Cooper et Irène Jacob ont rejoint le jury présidé par John Malkovich.

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 0 commentaire
  • European Film Awards 2010: les nommés

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    Retrouvez ci-dessous la liste des nommés aux European Film Awards 2010 dont la cérémonie aura lieu demain soir à Talin. Vous pourrez bien entendu retrouver le palmarès commenté sur ce blog dès demain. Espérons que "The Ghost Writer" de Roman Polanski qui totalise 7 nominations recevra quelques récompenses, méritées.

    MEILLEUR FILM DE L'ANNEE

    Dans ses yeux (Espagne/Argentine), réalisé par Juan Jose Campanella

    Des Hommes et Des Dieux (France), réalisé par Xavier Beauvois

    The Ghost Writer (France/Allemagne/Royaume-Uni), réalisé par Roman Polanski

    Lebanon (Israel/Allemagne/France), réalisé par Samuel Maoz

    Miel (Turquie/Allemagne), réalisé par Semih Kaplanolu

    Soul Kitchen (Allemagne), réalisé par Fatih Akin

    MEILLEUR REALISATEUR

    Olivier Assayas (Carlos)

    Semih Kaplanolu (Bal)

    Samuel Maoz (Lebanon)

    Roman Polanski (The Ghost Writer)

    Paolo Virzi (La Prima Cosa Bella)

    MEILLEUR SCENARIO

    Jorge Guerricaechevarria & Daniel Monzon (Cellule 211)

    Robert Harris & Roman Polanski (The Ghost Writer)

    Samuel Maoz (Lebanon)

    Radu Mihaileanu (Le Concert)

    MEILLEUR ACTEUR

    Jakob Cedergren (Submarino)

    Elio Germano (La Nostra vita)

    Ewan McGregor (The Ghost Writer)

    George Pistereanu (If I Want to Whistle, I Whistle)

    Luis Tosar (Cellule 211)

    MEILLEURE ACTRICE

    Zrinka Cvite (Na Putu)

    Sibel Kekilli (Die Fremde)

    Lesley Manville (Another Year)

    Sylvie Testud (Lourdes)

    Lotte Verbeek (Nothing Personal)

    MEILLEURE PHOTO

    Giora Bejach (Lebanon)

    Caroline Champetier (Des Hommes et Des Dieux)

    Pavel Kostomarov (How I Ended this Summer)

    Bari Oezbicer (Miel)

    MEILLEURE MUSIQUE

    Ales Brezina (Kawasaki’s Rose)

    Pasquale Catalano (Loose Cannons)

    Alexandre Desplat (The Ghost Writer)

    Gary Yershon (Another Year)

    MEILLEURS DECORS

    Paola Bizzarri & Luis Ramirez (Don Giovanni, naissance d'un opéra)

    Albrecht Konrad (The Ghost Writer)

    Markku Paetilae & Jaagup Roomer (The Temptation of St. Tony)

    MEILLEUR MONTAGE

    Luc Barnier & Marion Monnier (Carlos)

    Arik Lahav-Leibovich (Lebanon)

    Herve de Luze (The Ghost Writer)

    MEILLEUR DOCUMENTAIRE

    Armadillo (Danemark/Suède), réalisé par Janus Metz

    Steam of Life, (Finlande/Suède), réalisé par Joonas Berghäll & Mika Hotakainen

    Nostalgie de la lumière (France/Allemagne/Chili), réalisé par Patricio Guzmán 

    MEILLEUR FILM D'ANIMATION

    L'Illusionniste (France), réalisé par Sylvain Chomet

    Planète 51 (Espagne), réalisé par Jorge Blanco

    Le Voyage extraordinaire de Sammy (Belgique), réalisé par Ben Stassen

    DECOUVERTE DE L'ANNEE

    La Doppia Ora (Italie), réalisé par Giuseppe Capotondi

    If I Want to Whistle, I Whistle (Roumanie), réalisé par Florin Serban

    Die Fremde (Allemagne), réalisé par Feo Aladag

    Lebanon (Israel/Allemagne/France), réalisé par Samuel Maoz

    Nothing Personal (Pays-Bas/Irlande), réalisé par Urszula Antoniak

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  • 63ème journée dédicaces de sciences-po le 4 décembre

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    Une petite exception à l'actualité cinématographique pour vous parler de la journée dédicaces de sciences-po qui permet de rencontrer vos auteurs préférés et qui existe depuis 1947(!) mais aussi d'assister à un débat, cette année "Lire et écrire à l'ère du numérique". Le thème de cette 63ème édition est "Littératures au singulier". Rendez-vous donc de 14H à 18H dans les locaux de sciences-po pour rencontrer, notamment: Jacques Attali, Laurent Fabius, David Foenkinos, Max Gallo, Jules Gassot, Camille Laurens, Alain Minc, Olivier et Patrick Poivre d'Arvor, Bertrand Tavernier, Amanda Sthers, Rama Yade.

    Cliquez ici pour accéder à la liste complète des auteurs.

    Cliquez ici pour accéder au site de la journée dédicaces.

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