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FESTIVAL DE CANNES 2011 - Page 7

  • La conférence de presse du 64ème Festival de Cannes avec Gilles Jacob et Thierry Frémaux, en direct

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    Nouveauté pour les blogs in the mood. Cette année, je serai en effet pour la première fois à la conférence de presse de l'annonce de la programmation et de la sélection officielle du 64ème Festival de Cannes par Thierry Frémaux et Gilles Jacob qui aura lieu ce jeudi 14 avril, à 11H. Je vous invite donc à la suivre en direct sur mon compte twitter (http://twitter.com/moodforcannes ) et bien sûr vous pourrez en retrouver le compte rendu détaillé dès mon retour sur http://www.inthemoodforcannes.com et http://www.inthemoodforcinema.com / en attendant d'y suivre le festival en direct, du 11 au 23 mai. (ainsi que sur http://www.inthemoodforluxe.com pour un aspect plus "gastronomique" et "festif".)

     
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  • Récapitulatif des informations sur le Festival de Cannes 2011 en attendant la conférence de presse

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    C'est ce 14 avril, lors d'une conférence de presse à Paris, que sera dévoilé le programme du 64ème Festival de Cannes, par Gilles Jacob et Thierry Frémaux, un programme que vous pourrez retrouver  entièrement détaillé, avec, jusqu'au festival, des articles quotidiens sur mon blog dédié http://www.inthemoodforcannes.com . Pour l'instant nous savons que:

    -la 64ème édition du festival aura lieu du 11 au 22 mai

    -Robert De Niro sera le président du jury

    -Woody Allen fera l'ouverture du festival avec "Minuit à Paris"

    -Bong Joon-Ho présidera le jury de la caméra d'or

    -Lee Chang-dong et Jerzy Skolimowski présideront le jury de la Semaine de la Critique 2011 qui célèbre cette année ses 50 ans

    -Faye Dunaway, à l'honneur sur l'affiche du Festival 2011, sur une photo de 1970, signée Jerry Schatzberg viendra présenter « Portrait d’une enfant déchue"

    -Un hommage à Jean-Paul Belmondo sera rendu à sa présence. Il  assistera ainsi, le mardi 17 mai, à la première du documentaire de Vincent Perrot et Jeff Domenech, « Belmondo, Itinéraire… » et à cette projection succèderont un dîner et une fête, clôturant ainsi cette journée-hommage.

    -Emir Kusturica présidera le jury Un Certain Regard 2011

    -Mélanie Laurent sera la maîtresse de cérémonie de cette édition 2011

    -Sera projeté "Orange mécanique" de Stanley Kubrick dans la section Cannes Classics, à l'occasion de l'exposition à la Cinémathèque, de la sortie DVD de l'Intégrale, et de la rétrospective nationale à partir du 1er juin.

    -Michel Gondry présidera le jury des courts-métrages et de la Cinéfondation

    Pour de nombreux bons plans (tout savoir sur les logements et accréditations à Cannes), pour tout savoir sur "Minuit à Paris", pour le décryptage de l'affiche du festival, pour les premières informations sur les soirées du festival, pour des critiques du cinéma en l'honneur de l'hommage à Belmondo et de nombreuses autres informations sur le 64ème Festival de Cannes, rendez-vous sur mon blog dédié : http://www.inthemoodforcannes.com .

    Dans 31 jours débutera le Festival de Cannes 2011 à suivre en direct sur mes blogs http://www.inthemoodforcannes.com/  (pour savoir tout ce qui concerne le festival: conférences de presse, critiques de films, soirées, interviews, informations pratiques...), http://www.inthemoodforcinema.com/ (pour un compte rendu quotidien) , http://www.inthemoodforluxe.com/  (pour une actualité plus "luxe" du festival: hôtels, restaurants, soirées...), sur mon compte twitter http://twitter.com/moodforcannes  , et sur la nouvelle page Facebook d'Inthemoodforcannes 2011 : http://www.facebook.com/Inthemoodforcannes .

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  • Bande-annonce de "Midnight in Paris" de Woody Allen, film d'ouverture du Festival de Cannes 2011

    Pour tout savoir, ou presque, sur le film d'ouverture de ce 64ème Festival de Cannes que j'attends avec impatience, retrouvez mon article consacré à celui-ci, ici, en attendant ma critique le 12 mai. Pour patienter, voici la bande-annonce ci-dessous qui ne fait qu'accroître mon impatience de le découvrir...

    Cliquez ici pour retrouver mon dossier consacré à Woody Allen

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  • Bong Joon-Ho président du jury de la caméra d'or du 64ème Festival de Cannes

    bong.jpgA l'approche de la conférence de presse du Festival de Cannes 2011, le 14 avril, les premières informations officielles continuent de tomber, annonçant une édition prestigieuse (vous pourrez retrouver toutes les informations détaillées sur mon blog http://www.inthemoodforcannes.com ). 

    Alors que nous savions déjà depuis plusieurs semaines que le jury serait présidé par Robert De Niro, nous avons appris aujourd'hui que ce serait le cinéaste coréen Bong Joon-ho qui présiderait la Caméra d'or.

     A cette occasion, vous pourrez retrouver mon résumé de mon interview du cinéaste réalisée l'an passé, à l'occasion de la sortie de "Mother".  Retrouvez également la critique de "Mother", ci-dessous. Ci-dessous également, le communiqué de presse du festival à ce sujet. (Photo ci-contre : Bong Joon-Ho, lors de mon interview, l'an passé).

    Critique de "Mother" de Bong Joon-Ho

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    Mother. Voilà un titre bien ambitieux mais de la part de Bong Joon-ho dont c'est le quatrième long-métrage et qui avait, avec « Memories of murder », affirmé sa marque et son talent, on pouvait (légitimement) s'attendre à un film à la hauteur de cette ambition.

    Mother (Kim Hye-Ja) est ici une veuve qui élève seule son fils unique Do-joon (Won Bin), sa raison d'être mais aussi son inquiétude perpétuelle, ce dernier étant intellectuellement déficient et particulièrement naïf. Lorsqu'une jeune fille est retrouvée morte, Do-joon est immédiatement accusé. Sa mère décide de mener l'enquête pour prouver son innocence.

    Dès le premier plan qui met en scène la mother du titre éponyme, Joon-ho Bong nous envoûte, nous intrigue, nous charme, nous provoque, nous inquiète.  La mère danse de manière languissante, poétique et décalée, dans un champ de blé. La caméra, fluide et presque sensuelle, se rapproche et tournoie. Joon-ho Bong nous annonce qu'il va mener la danse, à n'en pas douter peu conventionnelle, et qu'au centre de cette danse se trouvera la mère. Valse visuelle et des genres que Joon-ho Bong ne cessera de conduire avec brio jusqu'au dernier plan.

    Oubliant cette scène qui aurait dû résonner comme un avertissement, comme une promesse d'inattendu,  Bong Joon-ho nous oriente d'abord vers la comédie. Teintée d'humour noir certes. Et puis c'est le meurtre. Et la comédie dévie vers le thriller, progressivement,  Bong Joon-ho instillant intelligemment de l'étrangeté menaçante dans des scènes quotidiennes alors à la tonalité décalée, par l'effet d'un savant sens du montage, de l'ellipse, du gros plan, du cadrage et par des plans d'une beauté redoutable.

    Là où souvent les ruptures de ton et le mélange des genres ralentissent et alourdissent une intrigue, ici, ils la densifient au contraire, marques du style unique de leur auteur. Comme la mère dans le premier plan, Jonn-ho Bong nous enserre dans son univers nous embarquant avec elle dans son sentiment maternel, inconditionnel, qui se heurtera à la folie de la vulgarité ordinaire. Celle de la justice. Ou de la police incompétente. Avant, elle-même, de sombrer dans sa folie maternelle synonyme d'amour inconditionnel.    Bong Joo-ho relativise ainsi cette  folie, les scènes de folie étant cadrées avec plus d'inquiétante fantaisie que les scènes quotidiennes, ce qui est folie aux yeux du monde étant normalité dans le regard d'une mère prête à tout pour sauver son fils.

    Pour parvenir à ce film captivant, il fallait aussi une actrice exceptionnelle comme l'est Kim Hye-Ja, avec son regard tantôt compatissant, tantôt inquiétant, tantôt déterminé, tantôt coupable souvent tout à la fois, mais aussi un sens aigu du suspense que le « simple » écoulement d'eau d'une bouteille parvient à faire culminer par la minutie de la mise en scène et l'ingéniosité  du découpage.

     Bong Joon-ho fait ainsi danser et s'entrelacer subtilement tragédie du souvenir et bonheur de l'oubli, violence et amour inconditionnel, humour noir et folie,  culpabilité suffocante et soleil rédempteur symbolisé par la beauté vertigineuse du dernier plan qui  achève de nous emporter nous rappelant la promesse envoûtante et poétique de la danse initiale. Promesse tenue au-delà de nos espérances pour ce film hybride, palpitant, étonnant, poignant qui n'épargne ni les travers de la société coréenne ni les ombres et forfaits d'un inconditionnel amour maternel (pléonasme ?) pour mieux encore en exalter la force renversante.

    « Mother » a été présenté dans la section « Un Certain Regard » du Festival de Cannes 2009 et a été élu meilleur film au 30ème trophée « The Blue Dragon Awards » à Séoul.

    Communiqué de presse du 64ème Festival de Cannes à propos de la présidence du jury de la caméra d'or.

    Réalisateur et scénariste, Bong Joon-ho fait des études de sociologie et de cinéma avant de passer à la réalisation. Il attire l’attention de la critique dès son premier long métrage Barking Dog (Les chiens qui aboient ne mordent pas - 2000). Le suivant, Memories of Murder (2004), immense succès public en Corée (et 1er prix du Festival de Cognac) le consacre meilleur réalisateur. The Host, présenté en 2006 à la Quinzaine des réalisateurs va définitivement asseoir sa réputation à l’international comme auteur de film de genre qu’il élève au rang d’art.
    Il est invité à Cannes en Sélection officielle avec Tokyo ! (2008), tryptique qui l’associe à Leos Carax et Michel Gondry. En 2009, il y présente Mother au Certain Regard, mélodrame intimiste et subtile analyse de la famille coréenne.

    Bong Joon-ho succède à Bruno Dumont, Abbas Kiarostami, Pavel Lounguine ou Roschdy Zem et Gael Garcia Bernal.
    La Caméra d’or est attribuée au meilleur premier film présenté en Sélection officielle, à la Semaine de la Critique ou à la Quinzaine des réalisateurs.
    Le Prix sera remis par le président du jury lors de la cérémonie de clôture, le dimanche 22 mai.

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  • Découvrez l'affiche du Festival de Cannes 2011 : Faye Dunaway par Jerry Schatzberg

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    En 2010, le Festival de Cannes, avait choisi de « mettre à l’affiche » Juliette Binoche tenant un stylo lumineux sur fond bleu me rappelant la citation de Cocteau "Le cinéma, c'est l'écriture moderne dont l'encre est la lumière." Une affiche qui s'affirmait une nouvelle fois dans la modernité mais aussi à la confluence des arts et des cultures avec une actrice dont le parcours dépasse largement les frontières de l'hexagone mais aussi celles du cinéma et à qui ce festival a d’ailleurs porté bonheur puisque, la même année, elle a obtenu le prix d’interprétation pour son magnifique rôle dans « Copie conforme » de Kiarostami (que je vous recommande si vous ne l’avez pas encore vu !). Sa sélection avait d’ailleurs créé une vaine polémique, certains criant au favoritisme.

     Cette année, c’est à nouveau une actrice qui est à l’honneur, une actrice qu’il n’est d’ailleurs pas rare de croiser dans les travées du palais du festival d’ailleurs : Faye Dunaway.

     A nouveau également c’est la modernité, même l’intemporalité, qui est à l’honneur avec cette affiche, modèle de grâce, d’épure, de sobriété, de sophistication, de mystère, de classe, de glamour, et même pourvue d’une certaine langueur… (auxquels nous invite cette édition 2011 ?).

     Cette photo a été prise par Jerry Schatzberg en 1970. Peut-être cette affiche signe-t-elle le retour du (grand) cinéma américain au festival qui l’avait un peu délaissé l’an passé avec d’ores et déjà Robert De Niro en président du jury et Woody Allen en ouverture. ?

    Je vous laisse découvrir le communiqué de presse du festival, à ce sujet, ci-dessous, qui nous apprend également que « Portrait d’une enfant déchue », dans lequel Faye Dunaway occupe le premier rôle, vient d'être restauré par le studio Universal et sera présenté en copie restaurée lors du Festival de Cannes, en présence du réalisateur et de son actrice.

    Je vous rappelle que vous pourrez suivre le Festival en direct sur ce blog et avant tout sur mon blog entièrement consacré au Festival de Cannes http://www.inthemoodforcannes.com que vous pouvez également suivre sur twitter (http://twitter.com/moodforcannes ) et sur Facebook (http://facebook.com/inthemoodforcannes ).

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    Le cinéaste new-yorkais, lauréat de la Palme d’or pour Scarecrow (l’Epouvantail, 1973), a commencé sa carrière comme photographe. Son travail est rapidement remarqué, en particulier la série de photos de Bob Dylan, prises dans les années soixante : Schatzberg a signé en particulier le portrait du chanteur qui orne la couverture de son légendaire album Blonde on Blonde. Au début des années 70, Schatzberg se tourne vers le cinéma. Son premier film : Puzzle of a Downfall Child (Portrait d’une enfant déchue, 1970) révèle un sens du cadrage et de la lumière exceptionnel chez un débutant. Suivront rapidement Panique à Needle Park (1971), qui révèle Al Pacino, et Scarecrow, consacrés à Cannes.

    Portrait d’une enfant déchue, dans lequel Faye Dunaway occupe le premier rôle, vient d'être restauré par le studio Universal. Longtemps absent des écrans, il sera présenté en copie restaurée lors du Festival de Cannes, en présence du réalisateur et de son actrice. En France, il sera distribué par Carlotta à l'automne 2011.

     

    L’agence H5 a réalisé l’affiche et signe la création graphique du Festival 2011.

     
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  • Les premières images de "Minuit à Paris" de Woody Allen, film d'ouverture du Festival de Cannes 2011

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    Synopsis: "Un jeune couple d’américains dont le mariage est prévu à l’automne se rend pour quelques jours à Paris.
    La magie de la capitale ne tarde pas à opérer, tout particulièrement sur le jeune homme amoureux de la Vil...le-lumière et qui aspire à une autre vie que la sienne."

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    Photographer - Roger Arpajou © 2011 Mediapro, Versátil, & Gravier Productions


     

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    Cliquez ici pour retrouver mon dossier consacré à Woody Allen

     
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  • L'hommage du 64ème Festival de Cannes à Jean-Paul Belmondo en sa présence

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    A bout de souffle, Jean-Luc Godard, 1959

    Le programme de ce 64ème Festival de Cannes commence à se dessiner tout doucement et surtout à se révèler particulièrement attractif: Robert De Niro président du jury, "Minuit à Paris" de Woody Allen en ouverture, Michel Gondry président du jury des courts métrages, Kubrick à l'honneur, Emir Kusturica président du jury Un Certain Regard, Mélanie Laurent maîtresse de cérémonie, plus que probablement Almodovar en compétition... et maintenant un hommage à Jean-Paul Belmondo, un hommage auquel je me ferai un plaisir d'assister et dont vous pourrez bien entendu retrouver le compte rendu ici et sur inthemoodforcannes.com . Cet hommage aura lieu le 17 mai, pour une soirée spéciale en l'honneur de Jean-Paul Belmondo. Ce dernier assistera ainsi à la première du documentaire de Vincent Perrotet Jeff Domenech "Belmondo, itinéraire...". Vous retrouverez, ci-dessous, le communiqué de presse du festival et la filmographie de Jean-Paul Belmondo à qui, à cette occasion, je consacrerai bientôt de nombreux articles sur inthemoodforcannes.com et inthemoodforcinema.com .


    « Nous sommes heureux qu’il ait accepté d’assister à la soirée festive donnée pour saluer son talent et son itinéraire. L’étendue de son registre, le charisme de sa personnalité, la précision de son jeu, la gouaille de ses propos, l’aisance de son allure en ont fait avec Jean Gabin et Michel Simon, l’un des plus grands comédiens français de tous les temps. De nombreux films sont là pour en porter témoignage. Nul doute que la tribu des comédiens français, Jean Rochefort, Claude Rich, Pierre Vernier et Jean-Pierre Marielle, ses amis du Conservatoire, en tête, tiendra à monter les marches cannoises pour fêter “Bébel” sous l’ovation de son public de toujours. », déclarent Gilles Jacob et Thierry Frémaux.

    Le moment est en effet venu de célébrer l’extraordinaire talent de l’acteur français. Depuis la fin des années cinquante, Jean-Paul Belmondo incarne le meilleur du cinéma populaire (Philippe de Broca, Henri Verneuil, Gérard Oury, Georges Lautner, Jacques Deray) qu’il a su concilier avec le cinéma d’auteur triomphant des années soixante et soixante-dix (Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Melville, François Truffaut, Claude Lelouch ou encore Alain Resnais, sans oublier de Vittorio Sica et Alberto Lattuada). L’Homme de Rio, A bout de souffle, Pierrot le Fou, Léon Morin Prêtre, La Sirène du Mississipi, Le Magnifique, Stavisky ou Borsalino sont autant d’illustrations parmi d’autres de son registre exceptionnel.
    Connu dans le monde entier, inspirant des générations d’acteurs, populaire de Los Angeles à Tokyo, de Mexico à Moscou, Jean-Paul Belmondo est certainement l’une des personnalités du cinéma français les plus aimées du public.

    Le Festival de Cannes souhaitait depuis longtemps le retrouver sur le tapis rouge. Entouré de ses amis et de ses admirateurs, Jean-Paul Belmondo assistera le mardi 17 mai à la première du documentaire de Vincent Perrot et Jeff Domenech, « Belmondo, Itinéraire… » et à cette projection succèderont un dîner et une fête, clôturant ainsi cette journée-hommage.

    Filmographie de Jean-Paul Belmondo (source: wikipédia)

    ]1956 : Molière court-métrage de Norbert Tildian

    1957 : À pied, à cheval et en voiture de Maurice Delbez

    1957 : Les Copains du dimanche d'Henri Aisner

    1958 : Sois belle et tais-toi de Marc Allégret

    1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné

    1958 : Un drôle de dimanche de Marc Allégret

    1959 : Mademoiselle Ange de Géza von Radványi

    1959 : Charlotte et son jules court-métrage de Jean-Luc Godard  (sorti en 1961)

    1959 : À double tour de Claude Chabrol

     1960 : À bout de souffle de Jean-Luc Godard

    1960 : Classe tous risques de Claude Sautet

    1960 : Moderato cantabile de Peter Brook

    1960 : La Française et l'Amour (sketch - L'adultère) d'Henri Verneuil

    1960 : Les Distractions de Jacques Dupont

    1960 : Le Mauvais Chemin (La Viaccia) de Mauro Bolognini

    1960 :  La Paysanne aux pieds nus - (La Ciociara) de Vittorio De Sica

    1961 : La Novice d'Alberto Lattuada

    1961 : Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville

    1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard

    1961 : Les Amours célèbres  un film à sketches inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux de Michel Boisrond(sketch Lauzun)

    1961 : Chasse aux vedettes "court-métrage" de Camille Chatelot

    1961 : Riviera-Story de Wolfgang Becker

    1961 : Un nommé La Rocca de Jean Becker

    1962 : Le Doulos de Jean-Pierre Melville

    1962 : Cartouche de Philippe de Broca

    1962 : Un singe en hiver d'Henri Verneuil

    1962 :  Un cœur gros comme ça documentaire de François Reichenbach

    1963 : Le jour le plus court de Sergio Corbucci

    1963 : La Mer à boire (Mare Matto) de Renato Castellani

    1963 : Peau de banane de Marcel Ophüls

    1963 : Dragées au poivre de Jacques Baratier

    1963 : L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville

    1963 : Le Jour le plus court  de Sergio Corbucci

    1964 : Les Don Juan de la Côte d'Azur de Vittorio Sala

    1964 : L'Homme de Rio de Philippe de Broca

    1964 : Cent mille dollars au soleil d'Henri Verneuil

    1964 : Échappement libre de Jean Becker

    1964 : La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro

    1964 : Week-end à Zuydcoote d'Henri Verneuil

    1965 : Par un beau matin d'été de Jacques Deray

    1965 : Pierrot le fou de Jean-Luc Godard

    1965 : Les Tribulations d'un Chinois en Chine de Philippe de Broca

    1966 : Tendre Voyou de Jean Becker

    1966 : Paris brûle-t-il? de René Clément

    1966 : Le Démoniaque de René Gainville

    1967 : Casino Royale de Val Guest et John Huston

    1967 : Le Voleur de Louis Malle

    1968 : Ho ! de Robert Enrico

    1969 : Le Cerveau de Gérard Oury

    1969 : La Sirène du Mississippi de François Truffaut

    1969 : Dieu a choisi Paris documentaire de Gilbert Prouteau et Philippe Arthuys

    1969 : Un homme qui me plaît de Claude Lelouch : Henri

     1970 : Borsalino de Jacques Deray

    1971 : Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau

    1971 : Le Casse d'Henri Verneuil

    1972 : Docteur Popaul de Claude Chabrol

    1972 : La Scoumoune de José Giovanni

    1973 : L'Héritier de Philippe Labro

    1973 : Le Magnifique de Philippe de Broca

    1974 : Stavisky... (L'empire d'Alexandre) d'Alain Resnais

    1974 : T'es fou Marcel... court-métrage de Jean Rochefort

    1975 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil

    1975 : L'Incorrigible de Philippe de Broca

    1976 : L'Alpagueur de Philippe Labro

    1976 : Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil

    1977 : L'Animal de Claude Zidi

    1979 : Flic ou voyou de Georges Lautner :

     1980 : Le Guignolo de Georges Lautner

    1980 : Balles de débutants - court métrage - de Adolphe Drey

    1981 : Le Professionnel de Georges Lautner

    1982 : L'As des as de Gérard Oury

    1983 : Le Marginal de Jacques Deray

    1984 : Les Morfalous d'Henri Verneuil

    1984 : Joyeuses Pâques de Georges Lautner

    1985 : Hold-up d'Alexandre Arcady

    1987 : Le Solitaire de Jacques Deray

    1988 : Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch

     1992 : L'Inconnu dans la maison de Georges Lautner

    1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda

    1995 : Les Misérables de Claude Lelouch

    1996 : Désiré de Bernard Murat

    1998 : 1 chance sur 2 de Patrice Leconte

    1999 : Peut-être de Cédric Klapisch

    2000 : Les Acteurs de Bertrand Blier

    2000 : Amazone de Philippe de Broca

    2009 : Un homme et son chien de Francis Huster

     

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