Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • La Fête du cinéma 2011 du 25 juin au 1er juillet : bande-annonce

    fete.jpgComme chaque année, la fête du cinéma fait partie des évènements incontournables avec, pour principe, une place achetée, chaque séance suivante à 3 euros. Je vous dirai bientôt quels films voir à cette occasion. En attendant de retrouver ici de nouvelles critiques et en attendant mes prochains comptes rendus en direct de festival (Cabourg puis Paris Cinéma), je vous propose de découvrir la bande-annonce ci-dessous. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de la Fête du cinéma et sur sa page Facebook.

     

     

     

     

     

    Lien permanent Imprimer Pin it! 0 commentaire
  • Top des meilleurs films du cinéma romantique...en attendant Cabourg

    casablanca10.jpg

    A l’occasion du Festival du Film de Cabourg (Journées romantiques) en direct duquel je serai du 15 au 19 juin, je vous propose, à nouveau et revisité, ci-dessous, mon classement des meilleurs films du cinéma romantique. Je me souviens que l’année où j’avais fait partie du jury du festival, nous avions eu un débat sur ce qu’est le cinéma romantique avant de décerner le prix du meilleur film romantique dans la section courts-métrages à "J'attendrai le suivant" qui, d'ailleurs, était sans doute plus cruel que romantique (et non moins réussi) comme vous pourrez le voir, ici.

     Le romantisme c'est avant tout un courant artistique qui, pour la France, apparut au 19ème siècle et est bien souvent associé à  des auteurs comme Hugo, Balzac, Stendhal, Mme de Staël, Chateaubriand... Il exalte le mystère, le sentiment ( des sentiments qui élèvent ou ravagent, qui subliment ou détruisent la réalité), la mélancolie, la passion, le rêve, le plus souvent en opposition à la raison et est défini dans le dictionnaire  comme « les tourments du cœur et de l’âme ». Il pourrait aussi se définir comme « Les ombres du cœur » pour reprendre le titre d'un très beau film de Richard Attenborough.

     La comédie romantique est, quant à elle, un genre à part du film romantique puisqu'elle a cela de particulier qu'elle se termine toujours bien et que, par une sorte de convention implicite, nous le savons dès le départ, après que les protagonistes aient franchi un certain nombre d'obstacles.

    Ce que j’apprécie à Cabourg, c’est que le romantisme n’est pas synonyme de mièvrerie mais s’entend dans son acception la plus large avec des films fièvreux, parfois cruels et parfois évidemment plus fleur bleue. Comme pour les films projetés à Cabourg, dans cette  liste, vous trouverez donc de véritables chefs d’œuvre avec d’indéniables qualités artistiques (comme ceux de Chaplin, Visconti, Murnau, Lubitsch... ) et des films de divertissement qui n’aspirent d’ailleurs pas à être autre chose et revendiquent même parfois leur côté un peu kitsch comme  « Love actually ».

     Les films sont classés dans le désordre car je serais bien incapable d’établir une hiérarchie entre  Sur la route de Madison, CasablancaUn cœur en hiver, Ludwig ou le crépuscule des Dieux, la Boutique au coin de la rue, Les Enchaînés, Les lumières de la ville et quelques autres que je placerais en tête de classement.

     Les critiques de la plupart de ces films figurent sur ce blog. Cliquez sur leurs titres pour y accéder. D’autres les complèteront prochainement.

    Sur la route de Madison de Clint Eastwood

    Un coeur en hiver de Claude Sautet

    Lost in translation de Sofia Coppola

    Casablanca de Michael Curtiz

    L’Aurore de Friedrich Wilhelm  Murnau

    La boutique au coin de la rue de Ernst Lubitsch

    La femme d'à côté de François Truffaut

    La fille sur le pont de Patrice Leconte

    Les enfants du paradis de Marcel Carné

    Indochine de Régis Wargnier

    Un homme et une femme de Claude Lelouch

    Le Quai des brumes de Marcel Carné

    Les lumières de la ville de Charles Chaplin

    La fièvre dans le sang d'Elia Kazan

    Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet

    Retour à Howards end de James Ivory

    Les poupées russes de Cédric Klapisch

    In the mood for love de Wong Kar Wai

    Les Enchaînés d'Alfred Hitchcock

    La leçon de piano de Jane Campion

    Elle et lui de Leo Mc Carey

    Gatsby le Magnifique de Jack Clayton

    Out of Africa de Sydney Pollack

    Ludwig ou le crépuscule des Dieux de Luchino Visconti

    Le Patient Anglais d'Antony Minghella

    Autant en emporte le vent de Victor Fleming

    La Rose pourpre du Caire de Woody Allen

    Le Docteur Jivago de David Lean

    Two lovers de James Gray

    Etreintes brisées de Pedro Almodovar

    Love actually de Richard Curtis

    Pretty woman de Garry Marshall

    Quatre mariages et un enterrement de Mike Newell

    César et Rosalie de Claude Sautet

    La Strada de Federico Fellini

    L’étrange histoire de Benjamin Button de David Fincher

    Titanic de James Cameron

    Les noces rebelles de Sam Mendes

    Les amours imaginaires de Xavier Dolan

    Les émotifs anonymes de Jean-Pierre Améris

     

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CABOURG 2011 Pin it! 4 commentaires
  • Le Festival du Film de Cabourg 2011 (25èmes Journées romantiques) en direct sur ce blog du 15 au 19 juin

    cabourg2011.jpg

    Neuf ans après ma participation au jury des courts-métrages et quatre ans après mon dernier Festival de Cabourg, c'est avec grand plaisir que j'y retourne pour la quatrième fois cette année. Vous pourrez retrouver ici la programmation complète (dont je vous ai déjà donné un avant-goût, ici) et ensuite me suivre en direct du festival, du 15 au 19 juin.

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CABOURG 2011 Pin it! 1 commentaire
  • « Tous critiques ? » un documentaire de Julien Sauvadon et Jean-Jacques Bernard

    critiques.jpg

    L’an passé, je vous avais parlé de l’excellent documentaire de Julien Sauvadon et Jean-Jacques Bernard intitulé « Les Eblouis du cinéma » et consacré à la cinéphilie. Jean-Jacques Bernard président du syndicat des critiques de cinéma, chroniqueur sur France inter, anime également des émissions sur Ciné Cinéma Classic depuis 1991 et désormais « Boulevard du Classic ». Julien Sauvadon, quant à lui, est journaliste à France 3 Rhône-Alpes, vous pouvez d’ailleurs retrouver ses reportages consacrés au Festival de Cannes, ici.

    doccritiqu.jpgJean-Jacques Bernard fait partie de ces critiques qui ne parlent jamais du cinéma avec aigreur, cynisme, ou esprit de revanche mais toujours avec un amour communicatif du cinéma. La critique, c’est justement le thème de ce documentaire réalisé à l’occasion des 50 ans de la Semaine de la Critique. Si « En France, tout le monde a deux métiers, le sien et critique de cinéma » comme disait Truffaut, l’émergence des forums et blogs a accentué ce phénomène, chacun pouvant aujourd’hui exprimer publiquement son avis. Julien Sauvadon et Jean-Jacques Bernard s’interrogent ainsi sur ce qu’est la critique aujourd’hui, avec ce qu’implique cette nouvelle donne, en en faisant un état des lieux à partir de témoignages de distributeurs, critiques, cinéastes, agences de communication …ou même blogueurs dont une blogueuse que vous connaissez.

    Les nombreux jurys auxquels j’ai participé depuis 1998 (souvent organisés par des journaux de cinéma) et ma participation au « Cercle » (unique mais non moins mémorable pour moi) et aujourd’hui la fréquentation assidue des projections presse m’ont permis de côtoyer les critiques depuis de nombreuses années et à diverses occasions de constater la diversité  de comportements, de visions du cinéma et de points de vue : de ceux qui aiment passionnément le cinéma à ceux qui méprisent ceux qui le font ( bien souvent car envient ceux qui le font s’en sachant incapable, tant pis pour le cliché) , de ceux qui sont consciencieux à ceux qui arrivent en retard aux projections presse ou repartent avant la fin d’un film, de ceux qui en ont une connaissance encyclopédique à ceux qui en ont une connaissance plus que parcellaire, de ceux qui se vantent de s’endormir aux projections presse cannoises à ceux qui retournent consciencieusement voir un film, de ceux pour qui c’est un gagne pain comme un autre à ceux pour qui c’est une réelle passion. J’ai aussi vu leur regard sur les blogs évoluer de l’indifférence au mépris à un intérêt grandissant doublé tout de même toujours de méfiance, il n’empêche qu’ils sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à créer leurs blogs conscients qu’internet est aujourd’hui un média incontournable.

    Pour ma part, je me considère (surtout ) pas comme une critique (et souhaite encore moins être considérée comme telle, d’ailleurs qui rêve de faire critique quand il sera grand ?) mais avant tout comme une cinéphile, une « éblouie » du cinéma, une passionnée qui souhaite transmettre son enthousiasme et sa passion viscérale d’où le choix d’évoquer prioritairement les films pour lesquels j’ai eu des coups de cœur (et donc de ne pas parler de tous les films que je vais voir), d’où le choix de vulgariser, d’essayer de convaincre, de partager des émotions en me référant souvent aussi à l’histoire du cinéma... C’est aussi la raison pour laquelle je me refuse à mettre des notes : quel que soit le film, il y a toujours quelque chose à sauver et une note me semble réductrice et ne pouvoir résumer toute la complexité d’un film. Il m’arrive en revanche, plus rarement, quand l’agacement l’emporte d’évoquer des films que je n’ai pas du tout aimés ou pour lesquels je n’ai pas compris l’engouement général.  Quant à la question de la légitimité également posée dans le documentaire, je pense y répondre ( là) et que, tout comme pour les critiques professionnels, il existe autant de parcours singuliers que de blogueurs, autant d’opportunistes, d’ignorants que de vrais passionnés et cinéphiles à la différence près qu’un blogueur n’est pas payé ni soumis à une rédaction, que le lecteur ne paie pas non plus pour le lire et donc que finalement cela ne porte préjudice à personne si la qualité n’est pas au rendez-vous.  

    En tant que blogueuse, je suis d’autant plus libre de m’exprimer et de choisir l’angle que la critique n’est pour moi surtout pas une vocation, mais un moyen d’exprimer, défendre et partager ma passion pour le cinéma et d’autant plus qu’aucun rédacteur en chef ne viendra me dire ce dont je dois parler ou non. Je comprends néanmoins l’agacement de certains critiques professionnels de voir chacun s’exprimer, parfois sans connaissance du cinéma (comme dans l’exemple du documentaire sur les forums Allociné écrits avec un vocabulaire et orthographe d’enfant de 6 ans dans l’exemple lu, il aurait peut-être été plus judicieux de la part d’Allociné de choisir des blogs Allociné sur lesquels subsistent de vrais cinéphiles passionnés).  Et je comprends Michel Ciment quand il se dit perdu dans l’océan des blogs, sorte de magma indifférencié dans lequel j’admets que parfois le souci de visibilité et d’audience prime sur la qualité, où l’opportunisme l’emporte parfois sur le véritable amour et la connaissance du cinéma.

     La critique, pour être constructive et instructive, doit selon moi s’accompagner d’une vraie connaissance du cinéma et de son histoire, d’un recul, quand pour beaucoup aujourd’hui elle relève de réactions épidermiques, quand pour beaucoup le cinéma commence en 1980. C’est sans doute le défaut d’internet, l’immédiateté, et plus encore de twitter qui résume, réduit, exagère et bien souvent déforme la pensée dans un but racoleur d’accroche.

    A titre personnel, je regrette qu’internet s’aligne de plus en plus sur la critique professionnelle et que le côté bon enfant des débuts auxquels j’ai assisté et participé laisse aujourd’hui place à une concurrence absurde (c’est très loin d’être une généralité, des soirées comme How I met your blogger montrent que les blogs restent un lieu d’échange cordial voire amical entre passionnés pour la majorité avec laquelle j’ai d’ailleurs plaisir à débattre…mais surtout pas sur twitter où je déplore que cela tourne trop souvent au règlement de compte personnel, avec des attaques in-dignes de la cour d’école).

    Quoiqu’il en soit, j’aurai de toute façon toujours plus d’admiration pour le plus mauvais des cinéastes qui d’une certaine manière se met à nu que pour le « meilleur » des critiques qui ne se livre pas mais livre simplement un avis sur le travail des autres confortablement installé devant son écran,  pour moi  « meilleur critique » ne s’entend par ailleurs pas  du plus virulent, de celui qui parle le plus fort, mais de celui qui sait le mieux partager et vulgariser son amour du cinéma et ne l’utilise pas comme prétexte à « une affirmation de soi », ou à l’expression d’une plume vengeresse (d’ailleurs, je reste persuadée que rien n’est plus facile que de détruire ou critiquer négativement un film, le comble de la facilité voire de la lâcheté étant de détruire deux ans -voire beaucoup plus- de travail, d’engagement, d’abnégation par quelques phrases lapidaires, sans doute très jouissives pour son auteur).

    Comme le dit une des journalistes du Cercle dans le documentaire, la critique remplit pleinement son rôle quand une concordance de critiques positives permet à un film d’émerger. Benoit Jacquot souligne ainsi qu’il doit « sa survie et sa pérennité à la critique »… et rien que cela en justifie la nécessité et l’utilité.

    Ce documentaire dresse un tableau juste, un regard empathique et non moins réfléchi, un état des lieux critique et complet, sur ce qu’est la critique cinématographique aujourd’hui. Il vous emmènera dans les coulisses de la rédaction de Studio Ciné Live, vous fera rencontrer notamment Michel Ciment  de « Positif », vous emmènera dans les coulisses du "Masque et la plume » ou du « Cercle » et vous montrera qu’il reste encore pas mal de chemin à parcourir pour que la critique sur internet acquiert ses lettres de noblesse auprès des autres médias que je soupçonne pour certains de n’être néanmoins pas toujours de bonne foi ne voyant sans doute pas d’un très bon œil cette « concurrence » impalpable et croissante. Il n’e demeure pas moins que la prise en compte des avis des blogueurs ( et ne nous leurrons pas, surtout de la visibilité qu’ils peuvent donner aux films) est aujourd’hui croissante et une donnée incontournable, chaque société de distribution ou presque ayant aujourd’hui son « community manager » chargé des relations blogueurs ou des sociétés se consacrant même entièrement à ces échanges (Way to blue, Cinéfriends, Ulike…).

    Si vous voulez vous faire un avis et en savoir plus sur ce vaste sujet, les dernières diffusions auront lieu dimanche 5 juin à 14H30 et samedi 11 juin à 19H45 et, là, sur internet.  En attendant avec impatience le troisième documentaire de Julien Sauvadon et Jean-Jacques Bernard qui en deux documentaires ont dressé un tableau relativement exhaustif et en tout cas passionnant de la critique et la cinéphilie aujourd’hui, et ont imposé un ton bien à eux à la fois didactique et enthousiaste. Retrouvez, ci-dessous, l'interview de Julien Sauvadon et Jean-Jacques Bernard à ce sujet, en direct de Cannes.

    Quant à mes propres critiques qui se sont un peu raréfiées depuis Cannes sur mes différents blogs, elles vont reprendre et je vous annonce même un festival qui n’était pas prévu à mon programme que je vous commenterai très prochainement en direct…

  • Bande-annonce du Festival Paris Cinéma 2011

    Vous découvriez, ici, avant-hier, en avant-première le programme du Festival Paris Cinéma 2011 dont je vous rappelle que vous pourrez le suivre en direct sur ce blog. En attendant, découvrez la bande-annonce 2011 ci-dessous.

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL PARIS CINEMA 2011 Pin it! 0 commentaire
  • Exclusivité : le classement wikio des blogs cinéma de juin 2011

     

    1 Filmosphère
    2 Lyricis Interactive
    3 IN THE MOOD FOR CINEMA
    4 CinéBlogywood
    5 FilmGeek
    6 Rob Gordon a toujours raison
    7 Sur la route du cinema
    8 Twilight-Belgium
    9 IN THE MOOD FOR CANNES
    10 Cinefeed
    11 CloneWeb
    12 CineHeroes
    13 Hollywood & Co
    14 Le blog de Dasola
    15 Blog d'une ciné-Geekette
    16 Journal de Vance
    17 Cinéma is not dead
    18 Films-Horreur
    19 Le blog de Nicolinux
    20 MyScreens

    Classement réalisé par Wikio

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 0 commentaire
  • Concours : gagnez 5x2 places pour l'avant-première d'"American translation" de Jean-Marc Barr et Pascal Arnold (le 07.06 au Cinéma des Cinéastes)

    american5.jpg

    Je vous propose aujourd'hui de remporter 5 places pour 2 pour l'avant-première du nouveau film des deux producteurs-réalisateurs de « Too much flesh » qui reprennent ainsi la caméra ensemble avec « American Translation » . Cinq ans après « Chacun sa nuit » c’est aussi l’occasion pour Pierre Perrier et Lizzie Brocheré de se donner la réplique à nouveau.
    Les réalisateurs de « Lovers » ou encore « Being Light » nous offrent cette fois-ci un film déroutant qui retrace l’histoire d’amour peu ordinaire de Chris, un jeune homme impulsif qui vit au jour le jour et Aurore, une jeune fille de bonne famille, depuis leur coup de foudre. Jean-Marc Barr y campe un riche Américain impuissant face aux choix de sa fille.
     « American Translation », c’est surtout une réflexion sur la passion et la déchéance. Vous pourrez en savoir plus sur le site officiel  du film : http://www.americantranslation-lefilm.com/

    L'avant-première aura lieu ce 7 juin à 20H au Cinéma des Cinéastes (7 Avenue de Clichy, Paris 17ème).

    CONCOURS:

    Comme il reste peu de temps,  une question très simple: soyez parmi les 5 premiers à me donner les titres des films auparavant co-réalisés, co-écrits et co-produits par Jean-Marc Barr et Pascal Arnold, avant samedi soir prochain. Les 5 premiers remporteront deux places pour l'avant-première. Réponses à envoyer à inthemoodforcinema@gmail.com avec, dans l'énoncé de votre email, "Concours American Translation".

    Lien permanent Imprimer Catégories : CONCOURS Pin it! 1 commentaire