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jean-jacques annaud

  • Bilan du salon du cinéma 2008 (suite et fin): la cour des miracles

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                                               Photo ci-dessus: Les allées du Salon du cinéma, vendredi matin

    e9b272e1fa2877d18b62146b27fc1819.jpgUn bilan délibérément désordonné de ce salon du cinéma 2008 à l’image de ce qu’a été ce dernier malgré une initiative très louable et de nombreux aspects positifs. Peut-être est-ce après tout un hommage  artistique à la Nouvelle Vague que de superposer ainsi les voix, les sons … laquelle superposition créait une cacophonie tantôt risible, tantôt agaçante, principal défaut de ce salon résultant de la typographie des lieux (un hall impersonnel, glacial, et résonant –et aspirant pourtant surtout à faire raisonner- du parc des expositions). L’autre défaut résulte de l’organisation de l’espace professionnel dont l’initiative est là aussi très louable, notamment dans le désir de permettre aux jeunes auteurs (condition d’inscription : une sélection d’un film en festival), notamment par le biais de l’espace ciné-connexion et d’ateliers, de rencontrer des professionnels et de permettre aux professionnels de réfléchir et débattre sur leurs professions mais en raison de changements d’horaires de dernière minute, du manque de lisibilité du site internet officiel du salon, et d’un espace professionnel à l’accès labyrinthique, je me suis ainsi retrouvée seule avec trois intervenants notamment du CNC à une conférence sur les aides à l’écriture (qui aurait dû en intéresser plus d’une, et à laquelle je n’étais d’ailleurs pas la seule inscrite !), laquelle, ou plutôt lequel entretien particulier, s’est néanmoins avéré pour moi passionnant.

    f80c34778e7f8acfda0a89de7ff9c30f.jpgQuelques informations, observations, remarques glanés au fil de mes déambulations coupables (oui, coupable : coupable de zapper ainsi entre les stands tel un spectateur glouton et consumériste mais je vous rassure, je ne me suis pas laissée aller à manger du pop corn dont la présence m’a quelque peu enragée, je vous rassure de nouveau, je n’ai pas côtoyé les bêtes sauvages présentes au salon pour les démonstrations des dresseurs ensuite et ne leur ai pas transmis, ma rage donc, et encore moins les pop corns) entre les rayons stands :

    -Marc Esposito a annoncé que son prochain film serait l’histoire de « L’amitié entre deux filles », et même s’il n’est qu’à la trentième page du scénario il a annoncé déjà savoir les deux comédiennes « connues » avec lesquelles il désire tourner ;

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    Christophe Barratier, Julien Rappeneau, Nora Arnezeder venus évoquer "Faubourg 36"

    4667178e1cde8989fb836ca20d630b4b.jpg-Un partie de l’équipe du film de « Faubourg 36 », le second long-métrage  de Christophe Barratier après «  les Choristes » (la jeune comédienne Nora Arnezeder, le scénariste Julien Rappeneau et le réalisateur Christophe Barratier) était également présente.  C’est avec beaucoup de passion que le cinéaste a présenté son film et surtout qu’il a défendu le scénario (ça fait plaisir !),   et son attachement à celui-ci qu’il estime essentiel, se positionnant en digne héritier du cinéma de Duvivier, Carné et Prévert ou Charles Spaak. Pour lui « Le cinéma, avant d’être de la pellicule, ce sont d’abord des écrits », prenant ainsi pour exemple la grève des scénaristes (qui se poursuit)  aux Etats-Unis : « Quand les scénaristes ne travaillent plus, la production entière est paralysée. » Même s’il faut apporter un bémol à ces propos,  la situation française étant différente de la situation américaine de par la tradition, héritée de la Nouvelle vague, de l’auteur réalisateur. Puis Christophe Barratier revient à « Faubourg 36 » qui, comme les films des réalisateurs et scénaristes précités, se déroule pendant le Front Populaire empruntant son style à plusieurs genres différents : film noir, comédie dramatique, comédie musicale, histoire d’amour... Il se réfère ainsi à « La belle équipe » (cliquez ici pour lire mon analyse du film de Duvivier), comparant ainsi Clovis Cornillac à Jean Gabin, Jugnot à Blier et Nora Arnezeder à Michèle Morgan ou Simone Simon dans « La Bête humaine » (Cliquez ici pour lire mon analyse du film en question). Il évoque également son directeur de la photographie, le talentueux Tom Stern (qui a  beaucoup travaillé avec Clint Eastwood, notamment sur « Million dollar baby » ou encore sur « Les Sentiers de la perdition » ou « American beauty »), il l’a choisi pour sa capacité à créer une  lumière très contrastée, volontairement irréelle. Il est ensuite revenu sur les deux ans d’écriture du scénario, sur l’angoisse et la part de confort que celle-ci représente comparant le cerveau à un ordinateur qui n’arrive pas à se mettre sur le mode veille durant cette période d’ébullition créatrice. Pour lui « Faubourg 36 » est une fable dont l’objectif est que ce soit « beau et pas réaliste » revendiquant l’aspect artificiel du film, son côté « film de studio » puisque tous les décors ont été refaits en studio. Enfin, il a évoqué la musique revendiquant là aussi ce que certains critiques appellent parfois « une musique envahissante » et prenant de nouveau pour exemple le cinéma d’avant-guerre alors qu’elle était omniprésente.  Ce film, qui sortira en septembre, s’annonce comme un film dans la tradition de ceux appelés «  de qualité française », dénué de l’aspect péjoratif du terme mais revendiquant au contraire ses artifices au service d’une œuvre imaginaire, irréaliste, s’assumant comme telle.

    12dd0f025e7337e96952e05f2f5d15f5.jpg-Puis, un passage à l’espace professionnel pour assister à la conférence « Pourquoi le scénario est-il le parent pauvre du cinéma ? » dont l’intitulé provocateur même a suscité le débat et la controverse. Une conférence passionnante sur les différentes manières d’appréhender ce métier qui se revendique (oui, on a beaucoup revendiqué à ce salon) de plus en plus comme tel, ou plutôt à être légalement reconnu comme tel (le scénariste n’a pas de statut juridique). Pendant ce temps pour la énième fois avec une sonnerie et une voix d’aéroport, on annonçait qu’un aigle royal allait survoler nos têtes (qu’est- ce que vient faire un aigle royal là-dedans me direz-vous, je ne vous le fais pas dire). On apprendra notamment que c’est une « profession aventureuse », (on peut peut-être trouver finalement un lien avec l’aigle royal) un terme qui n’est pas pour me déplaire, et que le scénario est l’âme d’un film.

    On a aussi beaucoup évoqué le recul du cinéma français par rapport au cinéma américain, en 2007. Un critique (qui se « revendique » comme tel en tout cas) prend alors la parole pour dire ou plutôt asséner que, selon lui,  dans l’année passée seuls 3 films français étaient dignes de ce nom…il n’a néanmoins pas été capable de les citer… (j’en vois déjà au moins 5…, voir mon palmarès des films incontournables de 2007). Un producteur de Fidélité prend « Je vous trouve très beau » pour exemple pour évoquer le cinéma d’auteur. Ah bon ?

    8b8c612338712fba8126e8f8efaecf16.jpg-Je me rends ensuite au stand « Grand  forum » où ont lieu les rencontres avec les équipes de film. Une femme intemporelle dubitative devant les intervenants avance le nom de Lelouch (parce qu’il a les cheveux gris bouclés, dit-elle) . En fait  de Lelouch c’est Charles Berling (qui a bien des  cheveux mais ni vraiment gris, ni vraiment bouclés), Bruno Putzulu, une partie de l’équipe de « Père et fils » dans lequel ils avaient tourné avec Noiret, interprétant ses fils dans le film de Michel Boujenah également présent,   et Frédérique Noiret pour un hommage à son père Philippe Noiret. Beaucoup de tendresse émane de ce quatuor et beaucoup d’émotion et d’admiration pour l’acteur récemment décédé. Passant du Sans-souci humble, pudique, talentueux et d’une grande dignité. Les anecdotes pleuvent. L’un raconte comment devant l’émotion de Rochefort de le voir si malade Noiret avait rétorqué « Pas de 0286aacb9869170a60d0ac10af1b0e36.jpgsentimentalité entre nous, ce n’est pas notre emploi ». Berling raconte comment dans le restaurant d’un hôtel où ils s’étaient retrouvés, éberlués, entourés de personnes âgées  Noiret, si jeune d’esprit, avait maugréé « Y a que des vieux » avant de réaliser qu’il en faisait partie, lequel Berling a fumé un cigare pendant toute la rencontre en signe d’anticonformisme, un peu sans doute, d’hommage à Noiret, beaucoup surtout (« Ce cigare brûle pour lui. Ce n’est pas Charles Berling qui fume mais Philippe Noiret » a-t-il répondu à un spectateur extrêmement perspicace qui lui demandait ce qu’il pensait de la loi anti-tabac). Sa fille a évoqué un homme qui, même malade, était « à terre » mais « jamais malade ou affaibli ». Pour les autres en tout cas. « Sur une scène de théâtre il avait la sensation que la mort n’avait pas le dernier mot » évoquant ainsi à quel point il arrivait à transcender la maladie sur scène notamment dans « Love letters » sa dernière pièce. Magie du jeu. Magie du théâtre. Magie de l’acteur, plus fort que l’homme, que la mort qui rôde. Ses comparses de cinéma évoquent aussi sa pudeur, comment dans un restaurant il dira « je me régale » alors qu’il ne sentait plus le goût des aliments ou son humour et sa distance caustique en toute circonstance, comme lorsqu’il devait tomber dans une tombe pour une scène de « Père et fils » et qu’il avait déclaré « Je fais des repérages ».

    -Je termine mes déambulations, toujours coupables, et non moins réjouie, par la vente aux enchères de photos du magazine Studio au profit notamment des Toiles enchantées. J’observe avec amusement le cinéma de Cornette de Saint Cyr…et qu’Alain Chabat vaut plus que Woody Allen ou Jean-Luc Godard…à une vente aux enchères en tout cas !

    De ce salon je reviendrai avec de nombreuses informations utiles et j’ai apprécié l’obstination des organisateurs par les choix d’intervenants et de sujets à démontrer que le scénario n’est pas « le parent pauvre du cinéma » lui accordant une large place dans son espace professionnel dans le cadre des débats et des ateliers mais aussi dans l’espace public, invitant de nombreux scénaristes et mettant le scénario (également dans le cadre de l’espace Carte noire consacré aux adaptations littéraires) à une place privilégiée. Les organisateurs peuvent aussi se féliciter davoir choisi Jean-Jacques 7f4681aa43a7be883590d876e736808b.jpgAnnaud pour parrain de cette édition 2008, très présent, ce dernier n'ayant économisé ni ses efforts, ni sa disponibilité pendant toute la durée du salon. La principale difficulté pour les années  à venir sera probablement de trouver un juste équilibre entre professionnels et public, l’objectif initial étant de faire découvrir les métiers du cinéma au grand public (lequel objectif est également je pense pleinement rempli). Et surtout la grande amélioration consisterait à trouver un lieu plus digne du septième art : pourquoi pas aux jardins des Tuileries ? Au parc Monceau ? Au Jardin du Luxembourg ? Ce qui permettrait également de mieux entendre les projections (dont les horaires étaient un peu trop fluctuants)… même si cela aurait pour conséquence d’être tributaire des variations climatiques et de susciter d’éventuelles échappées belles des aigles royaux…  Et la petite amélioration consisterait à oublier le pop corn qui donne à mon goût exigeant une saveur fade de cinéma jetable à l’ensemble. Malgré ces quelques critiques ou plutôt souhaits d’amélioration (ce n’était après tout que la deuxième édition), j’attends le Salon 2009 avec impatience et encourage tous les passionnés de cinéma à s’y rendre, je vous recommande d’y aller plutôt le jeudi (pour les professionnels) ou le vendredi où il y avait étonnamment peu de monde même si le salon a fini avec le score plus qu’honorable de 70000 entrées, le score d’un film d’auteur en somme…tout est bien qui finit bien, alors !

    Sandra.M

    (Photo ci-contre: Jean-Jacques Annaud en pleine démonstration...) 
      
     Alexandre Arcady sur le stand "Alexandre film" venu présenter "Tu peux garder un secret" 
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  • Inauguration du 2ème Salon du cinéma

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    Impressionnante démonstration d'un cheval en feu par le grand Mario Luraschi (ci-dessous) 

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    Inauguration du Salon du Cinéma 2008 par son parrain, Jean-Jacques Annaud
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    Mario Luraschi
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    Des fauves de toutes sortes au salon du cinéma...
    Ce soir a eu lieu l'inauguration du 2ème salon du cinéma et son ouverture aux professionnels avant l'ouverture au public, demain. Alors ce salon du cinéma? Après avoir assisté cet après-midi à un atelier passionnant sur les aides à l'écriture (nous n'étions que 10, pourquoi donc faut-il s'inscrire au préalable?), ce soir: des rapaces et des fauves, des vrais, des faux, au sens propre et figuré, des vipères (seulement au figuré, il y en a toujours), des gens aux airs désinvoltes, désabusés, très occupés, souvent faussement ou parfois vraiment préoccupés, qui font du cinéma, leur cinéma, des chanteurs, des enchanteurs, des désenchantés, des acteurs en devenir, des acteurs en redevenir,  des visages connus, d'autre en quête de (re)(con)naissance, qui boivent et qui mangent allègrement comme dans un multiplexe géant au mépris du cinéma, l'autre, l'art,  Télérama et un marchand de glace, juxtapositions insolites, étrangement mercantiles, du bruit, beaucoup, pas toujours pour rien, des films, oui au fait quand même, des démonstrations de maquillage, de bagarres, et mes déambulations amusées à observer dans des travées  bientôt presque vides-plus pour longtemps-...Espérons que tout cela ne ressemblera pas demain à une cacophonie insensée, à une consommation d'images frénétique où on ingurgite plus qu'on ne déguste, du cinéma, parce qu'on l'aurait presque oublié au milieu de cette faune inénarrable: c'est le salon du CINEMA ...c'est à craindre et à suivre. Et puis un groupe de musique qui interprète des bo de road-movies (quelqu'un pourrait-il me donner le nom de ce groupe que je n'ai pas entendu...?). Une voix envoûtante, une musique entraînante qui vous prennent à la gorge, la démonstration impressionnante de Mario Luraschi d'un cheval en feu: la magie qui surgit au milieu du bruit et de la frénésie, ostensible et invisible. La magie du cinéma peut-être. Ou de la réalité.
    Pour en savoir plus sur le programme du salon, voir mon article ci-dessous ou voir le site officiel du Salon du Cinéma 2008.
    Sandra.M
  • In the mood for news 13 : semaine du 02.01.2008

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     Cette nouvelle année de pérégrinations festivalières et cinématographiques commencera avec le Salon du Cinéma dont ce sera la deuxième édition qui aura lieu du 18 au 20 janvier prochain, porte de Versailles (hall 6) à Paris.

     « In the mood for cinema » sera bien sûr présent pendant tout le Salon pour vous le relater.

    Cette année, la programmation s’est considérablement étoffée et le salon s’enrichit d’un espace réservé aux professionnels.

    Les parrains de cette édition 2008 sont Jean-Jacques Annaud et Vladimir Cosma.

    Trois thèmes principaux seront cette année à l'honneur: la Nouvelle Vague, la comédie et la musique de film qui fête ses 100 ans.

    Parmi toutes les animations proposées (pour tous, accrédités professionnels et public) vous pourrez : réaliser votre film (un studio de tournage sera mis à disposition du public), assister à des conférences, participer à des ateliers, assister à des hommages à De Funès et Charlie Chaplin, assister  à des ciné-concerts, assister à des leçons de musique avec Vladimir Cosma, Gabriel Yared, assister  à des  rencontres avec les plus grands compositeurs de musiques de films donc, assister  à des rencontres avec des acteurs, réalisateurs et équipes de films (Francis Huster, Alain Corneau, Robert Guédiguian , Bertrand Tavernier, l’équipe du film « Tu peux garder un secret » d’Alexandre Arcady avec notamment Juliette Arnaud et Pierre Arditi, mais aussi les parrains de l’édition 2008 Jean-Jacques Annaud et Vladimir Cosma…), assister aux leçons de cinéma des César données par des professionnels récompensés de César techniques, assister à des lectures de scénarii mythiques par de jeunes acteurs , assister à  des projections des courts métrages sélectionnés pour les César 2008,  voir des bandes annonces inédites, découvrir et comprendre les métiers du cinéma, assister à des cours sur les enjeux actuels de l’industrie cinématographique, assister à des projections, voir des expositions, assister à des animations diverses (cascades, maquillages, bruitage, dressage, effets spéciaux décors, making of)…

    La grande nouveauté et le grand intérêt cette année, c’est donc la création de l’espace professionnel avec lounge bar à idées, forum pro, ciné consulting,  ciné connexion pour les nouveaux talents, avec au programme plus de 60 séances d’ateliers sur des questions juridiques, financières ou techniques (et possibilité apparemment d’assister à deux ateliers au plus par badge professionnel). Pour ces ateliers il faut vous inscrire dès à présent, une fois que votre accréditation professionnelle vous sera accordée. Vous pouvez remplir votre dossier dès maintenant sur le site internet du Salon : http://www.salonducinema.com

    Je vous reparle de ce Salon très bientôt et bien sûr a fortiori du 18 au 20 janvier. Une manifestation idéale pour plonger « in the mood for cinema » pour ceux qui en rêvent, pour ceux qui y travaillent,  pour les cinéphiles, les spectateurs, les professionnels… Espérons juste qu’en voulant satisfaire tout le monde le salon ne finira pas par satisfaire personne. Souhaitons leur bonne chance, l’initiative est louable…

    Badges professionnels pour 3,5 jours (sur demande): 70 euros par internet/50 euros sur place (40 euros pour les intermittents). 1,5 jours: 19 euros (14 euros pour les intermittents).  Badge Ciné Connexion: 40 euros (uniquement sur préinscription): http://www.badgeonline.net/sdc2008/(S(iawepc45v3frbg20hwirhbme))/choix_pro.aspx

    Badges public: voir ici: http://www.badgeonline.net/sdc2008/(S(a3t4ju55u4cec1y02a1tll45))/form.aspx : entre 4 et 10 euros selon les réductions. Le prix des places réservées par internet est moin élevé.

    Le film "in the mood" de la semaine: "It's a free world" de Ken Loach

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    Dans les salles, c’est par le film de Ken Loach que débute cette année 2008. Un titre en trompe l’œil, « It’s a free world », un film cruel, efficace, dont je vous ai déjà parlé lors du dernier Festival du Film Britannique de Dinard 2007 où il était présenté en avant-première (voir mon article ici), un film qui vous bousculera, Ken Loach plus sombre et efficace que jamais se place cette fois du côté des oppresseurs et c’est plus efficace que n’importe quel discours politique... Le premier grand film de cette année 2008 à voir absolument.

    Sandra.M