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  • Concours: 5x2 places pour "De vrais mensonges" de Pierre Salvadori avec Nathalie Baye et Audrey Tautou

     mensonges.jpgAvant de vous proposer (très bientôt) de remporter des places pour la leçon de cinéma de Nathalie Baye au Gaumont Parnasse (dont vous pourrez lire le compte rendu sur ce blog), je vous propose aujourd'hui de remporter 5 places pour 2 pour "De vrais mensonges", le nouveau film de Pierre Salvadori avec Audrey Tautou et Nathalie Baye.

    Pour remporter ces places, vous avez jusqu'au 8 décembre pour me dire par email (à inthemoodforcinema@gmail.com, avec pour intitulé concours Salvadori en n'oubliant pas de joindre vos coordonnées postales) les raisons pour lesquelles vous souhaitez voir ce film à tout prix. Les plus convaincants et/ou drôles et/ou originaux remporteront ces places.

     

    Bonus: Cliquez ici pour lire ma critique de "Hors de prix", le précèdent film de Pierre Salvadori avec Audrey Tautou.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • "Valse avec Bachir" de Ari Folman diffusé gratuitement sur dailymotion du 23 au 30 novembre

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    Je vous parlais tout à l'heure de "Valse avec Bachir" dont vous pouvez retrouvez ma critique en cliquant ici. On vient de m'informer que "Valse avec Bachir" est diffusé en intégralité sur dailymotion du 23 ai 30 novembre. Vous n'aurez plus aucune excuse pour ne pas le voir!

    Cliquez ici pour voir "Valse avec Bachir" en intégralité sur dailymotion! 

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  • Critique de "Valse avec Bachir" - Ari Folman : un documentaire d'animation d'une effroyable beauté

    Je vous ai déjà parlé de ce film à plusieurs reprises, sa diffusion sur Arte hier a été pour moi l'occasion de le regarder à nouveau. Retrouvez ma critique du film, ci-dessous.

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    Alors qu’il y a quelques jours encore j’évoquais mon peu  d’appétence pour le cinéma d’animation, c’est en toute logique  que je vais vous faire part aujourd’hui de mon enthousiasme et de mon émotion pour…un film d’animation. Un film d’animation d’un genre très particulier néanmoins. En compétition lors du  Festival de Cannes 2008 où il a fait figure de favori, il est reparti sans un prix mais avec un écho médiatique retentissant. C’est donc avec impatience que j’avais attendu sa sortie en salles l’ayant manqué à Cannes.

    18939633.jpgCela commence par la course d’une meute de chiens face caméra. L’image nous heurte de plein fouet : féroce, effrayante, belle et terrifiante. Une meute de chiens par laquelle, dans ses cauchemars, un ami d’Ari est poursuivi. 26 chiens exactement. Le nombre de chiens qu’il a tués durant la guerre du Liban, au début des années 1980, ce poste lui ayant été attribué parce qu’il était incapable de tuer des humains. Il raconte ce cauchemar récurrent à Ari mais ce dernier avoue n’avoir aucun souvenir de cette période, ne faire aucun cauchemar. Le lendemain, pour la première fois, 20 ans après,  un souvenir de cette période niée par sa mémoire surgit dans la conscience (ou l’inconscient) d’Ari : lui-même alors jeune soldat se baignant devant Beyrouth avec deux autres jeunes soldats sous un ciel lunaire en feu d’une beauté terrifiante. Il lui devient alors vital de connaître ce passé enfoui, ces pages d’Histoire et de son histoire englouties par sa mémoire. A cette fin,  il va aller à la rencontre de ses anciens compagnons d’armes, neuf personnes interrogées au total (dont deux ont refusé d’apparaître à l’écran sous leur véritable identité.) A l’issue de ces témoignages il va reconstituer le fil de son histoire et de l’Histoire et l’effroyable réalité que sa mémoire a préféré gommer…

    Un film d’animation d’un genre très particulier donc. D’abord parce qu’il est autobiographique : cette histoire, le troisième long-métrage du réalisateur (après « Sainte Clara » en 1996 et « Made in Israël » en 2001) est en effet celle du réalisateur israélien Ari Folman pour qui ce film a tenu lieu de thérapie. Ensuite parce que ce sont de vrais témoignages, poignants, et les voix de ces témoins donnent un aspect très documentaire à ce film hybride et atypique : d’abord tourné en vidéo, monté comme un film de 90 minutes, puis un story board en 2300 dessins ensuite animés, c’est un mélange d’animation Flash, d’animation classique et de 3D.  Ce mode filmique si particulier n’est nullement un gadget mais un parti pris artistique au service du propos auquel il apporte sa force et sa portée universelle. Un documentaire d’animation sur la guerre du Liban : oui, il fallait oser. Ari Folman s’affranchit des règles qui séparent  habituellement documentaire et fiction et dans ce sens, et aussi parce que ce film se déroule également au Liban, néanmoins à une autre époque, il m’a fait penser à l’un de mes coups de cœur du Festival de Cannes 2008 : « Je veux voir » de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige  ).

    Dès ces premiers plans de chiens en furie, nous sommes donc happés, happés par la violence sublime des images, ces couleurs noirs et ocre diaboliquement envoûtantes, oniriques et cauchemardesques,  happés par une bande originale d’une force saisissante (signée Max Richter), happés par l’envie et la crainte de savoir, de comprendre, nous aussi, en empathie avec la quête identitaire d’Ari. C’est d’abord la beauté formelle et la poésie cruelle qui en émane qui accroche notre regard, notre attention. Cette beauté ensorcelante rend supportable l’insupportable, rend visible l’insoutenable, créant à la fois une distance salutaire avec la violence de ces témoignages et événements réels mais nous aidant aussi à nous immerger dans cette histoire. Si la violence est atténuée, l’émotion ne l’est pas. Ari Folman n’a pas non plus voulu rendre la guerre lyrique mais son lyrisme visuel exacerbe encore l’absurdité de cette guerre, de ces hommes égarés que la peur fait tirer, sans savoir sur qui, et sans savoir vraiment pourquoi.

    Peu à peu, au fil des témoignages, les pièces du puzzle de la mémoire disloquée d’Ari vont s’assembler jusqu’à l’atrocité ultime, celle qui a sans doute provoqué ce trou noir, celle volonté inconsciente d’oublier, de faire taire ses souvenirs de ces jours de 1982 : le massacre de Palestiniens par les Phalangistes chrétiens, les alliés d’Israël, suite à l’assassinat du président de la République libanaise Bachir Gemayel, dans les camps de Sabra et Shatila, deux camps de Beyrouth-ouest, dont il a été le témoin impuissant (il ne nie pas pour autant la responsabilité d’Israël, du moins son inaction coupable). Au dénouement de ce poème tragique, Ari Folman a alors choisi de substituer des images réelles aux images d’animation pour rappeler, sans doute, la réalité de la guerre, sa violence, son universelle absurdité, sa brutalité. Des images d’une violence nécessaire. Qui nous glacent le sang après tant de beauté d’une noirceur néanmoins sublime.

    18939624_w434_h_q80.jpg Plus qu’un film d’animation c’est à la fois un documentaire et une fiction sur la mémoire et ses méandres psychanalytiques et labyrinthiques, sur l’ironie tragique et les échos cyniques de l’Histoire, l’amnésie tragique de l’Histoire-collective- et de l’histoire-individuelle- (si Ari a effacé cette période de sa mémoire c’est aussi parce qu’elle est un écho pétrifiant à l’histoire tragique de sa famille, victime des camps nazis, ceux  d’une autre époque, un autre lieu mais avec la même violence et horreur absurdes, presque les mêmes images des décennies après, et horreur ultime : les protagonistes ayant  changé de rôle), sur l’absurdité de la guerre que ce film dénonce avec plus d’efficacité que n’importe quel discours. La poésie au lieu de nier ou d’édulcorer complètement la violence en augmente encore l’atrocité : comme ce chant d’une ironie dévastatrice sur le Liban pendant qu’un char écrase des maisons, des voitures, lentement, presque innocemment. Comme cette couleur rouge qui se mue d’un objet anodin en sang qui coule. Ou comme cette valse avec Bashir, celle d’un tireur qui danse avec les balles qu’il tire devant le portrait de Bachir Gemayel sur fond de Chopin, qui joue avec le feu, qui danse avec la mort  dans une valse d’une sensualité violente: cette scène résume toute la beauté effroyable de ce film magnifique. Tragique et magnifique. Cette valse est aussi à l’image de la forme de ce film : entraînante, captivante comme si une caméra dansante nous immergeait dans les méandres virevoltants de la mémoire d’Ari.

    Une œuvre atypique qui allie intelligemment forme et force du propos, où la forme, sublime, est au service du fond, brutal. Une valse étourdissante d’un esthétisme d’une effroyable beauté. Une valse fascinante, inventive. Entrez dans la danse, sans attendre une seconde. Elle vous entraînera dans cette histoire, dans l’Histoire, avec une force renversante, saisissante, poignante.

    Alors, oui sans doute le grand oublié du palmarès de ce 61ème Festival de Cannes (qui me satisfaisait néanmoins pleinement), tout simplement peut-être parce que cette œuvre tellement atypique qui invente même un nouveau genre cinématographique (dont elle sera d’ailleurs certainement le prototype et l’unique exemplaire tant une copie lui ferait certainement perdre sa force) ne correspondait à aucune des catégories du palmarès  à moins que le jury n’ait pas osé, n’ait pas eu la même audace que celle dont Ari Folman a fait preuve dans son film, une œuvre qui répondait d’ailleurs aux exigences du président Sean Penn  témoignant de la conscience du monde dans lequel son réalisateur vit, un monde si souvent absurde et amnésique, enfouissant son Histoire dans les tréfonds de sa mémoire tragiquement et criminellement sélective.

    Lien: site officiel du film

     

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  • Dates du Festival du Film Britannique de Dinard 2011

     

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    Il est sans doute beaucoup trop tôt pour y songer, néanmoins je vous en informe quand même, et alors que sortira le 8 décembre un des films présentés en avant-première dans le cadre de ce festival "Nowhere boy" de Sam Taylor-Wood, sachez donc que vient d'être annoncé que le Festival du Film Britannique de Dinard 2011 aura lieu du 5 au 9 octobre 2011. En attendant vous pouvez toujours retrouver tous mes articles concernant cette édition 2010, en cliquant ici.

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  • Concours- Avant-première "Les trois prochains jours" et masterclass Paul Haggis: 5 places à gagner

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    Pour ceux qui l'ignoreraient encore, Paul Haggis est le scénariste de "Million dollar baby", de "Lettres d'Iwo Jima"ou encore "Casino Royale" mais aussi le réalisateur de "Collision" (Oscar du meilleur film 2006) et "Dans la vallée d'Elah". Toujours dans le cadre du partenariat avec les rendez-vous 100% cinéma du Gaumont Parnasse, grâce auquel certains d'entre vous ont déjà pu gagner des places pour l'avant-première "Le nom des gens" ou la leçon de cinéma de Guillaume Canet, j'ai le plaisir de vous permettre aujourd'hui de gagner 5 places non seulement pour l'avant-première du film "Les trois prochains jours", le dernier film de Paul Haggis (le 29 novembre à 19H au Gaumont Parnasse) mais également pour sa Masterclass, en attendant d'autres invitations exceptionnelles à gagner sur ce blog notamment pour  l'avant-première du film "les Emotifs anonymes" de Jean-Pierre Améris ou encore la leçon de cinéma de Nathalie Baye.

    Vous pourrez bien entendu retrouver les vidéos de tous ces événements et mes commentaires sur inthemoodforcinema.com.

    Synopsis du film "Les trois prochains jours":John Brennan, sa femme Lara et leur enfant vivent un bonheur sans nuage, jusqu'au jour où elle est arrêtée pour un meurtre qu'elle nie avoir commis. Trois ans après sa condamnation, John se débat pour préserver l'unité de sa famille, élevant seul leur fils, tout en se démenant pour prouver l'innocence de sa femme.
    Lorsque leur dernière tentative d'appel échoue, Lara s'enfonce dans la dépression au risque de mettre fin à ses jours. John n'a plus qu'une seule solution pour sauver sa femme : la faire évader.
    Malgré son inexpérience, John plonge dans les eaux troubles et dangereuses de l'illégalité et se lance dans l'opération de la dernière chance.

     

     

    Concours: Pour faire partie des 5 heureux lauréats, envoyez-moi un email à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour intitulé "Concours Haggis" et parlez-moi de votre film préféré scénario et/ou réalisé par Paul Haggis et des raisons pour lesquelles vous voulez assister à sa master class. Les plus convaincants remporteront les places. Fin du concours: le 27 novembre, à minuit.

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  • Cérémonie de remise des prix 2010 du festival Faire un Film en 48h en direct

    quarante.jpg...maintenant et en direct sur internet. Une très courte note donc pour vous inciter à suivre cette cérémonie qui devrait débuter dans les prochaines minutes, en suivant le lien.

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  • Devenez membre du jury « Dialogue en perspective » au Festival International du Film de Berlin

    berlinale3.jpgJe vous proposais hier de participer au concours permettant de faire partie du jury du Festival International du Premier Film d'Annonay, regrettant que les concours m'ayant permis d'être maintes fois membre de jurys n'existent plus. Justement donc, voici une nouvelle opportunité pour vous d'intégrer un jury et non des moindres.

    L’Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ), partenaire officiel du 61ème Festival International du Film de Berlin, offre la possibilité à de jeunes cinéphiles de faire partie du jury pour le prix « Dialogue en perspective ».
     
    Afin de composer le jury de la 8ème édition du prix indépendant « Dialogue en perspective », l’OFAJ recherche trois jeunes Français et trois jeunes Allemands, âgés de 18 à 29 ans, et amoureux du 7ème art. Pour la première fois de son histoire, ce programme donne également la possibilité à un(e) jeune Bosniaque de faire partie de l’aventure.
    Invités à Berlin durant tout le festival (10-20 février 2011), les jurés assisteront à l’ensemble des projections des films de la sélection Perspektive Deusches Kino (Perspective du cinéma allemand)et distingueront, avec ce prix, leur film favori.
    Cette année, le président du jury est le réalisateur et producteur Romuald Karmakar.
     
    Etudiants en cinéma, jeunes réalisateurs, vidéastes ou simplement cinéphiles, tous les amateurs de rencontres et d’échanges autour du 7ème art, capables de mener une discussion en français et en allemand, peuvent déposer leur candidature et se retrouveront peut être au cœur de la Berlinale en février prochain.
     
    Date limite de candidature : vendredi 7 janvier 2011.
     
    A travers cette opération, l’OFAJ souhaite encourager le dialogue cinématographique entre jeunes Français et jeunes Allemands et faciliter l’accès au cinéma allemand. Le prix « Dialogue en perspective », initié et soutenu par l’OFAJ, récompense un film qui parvient à toucher des cinéphiles venus d’horizons différents.
    L’année dernière, c’est le film Lebendkontrolle de Florian Schewe qui a été primé. On retient des éditions antérieures, des films comme La piscine des princesses de Bettina Blümner (2007), Der Lebensversicherer de Bülent Akinci (2006) et Tout ira bien de Robert Thalheim (2005), récompensés par le prix « Dialogue en perspective », et qui ont connu un franc succès en Allemagne.
     
    Conditions de participation : www.dialogue-en-perspective.org et www.ofaj.org

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