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CONCOURS - Page 17

  • Critique et Concours – 3x2 places pour « Louise Wimmer » de Cyril Mennegun

     

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    Je vous avais parlé de mon enthousiasme pour ce film, « Louise Wimmer » de Cyril Mennegun, lors du dernier Festival international des jeunes réalisateurs de Saint-Jean de Luz dans le cadre duquel il était sélectionné en compétition et dont il était d’ailleurs reparti bredouille, à ma grande déception (il faut dire que la sélection était de qualité, je vous parlerai prochainement de mon autre coup de cœur du festival « Une bouteille à la mer » de Thierry Binisti) malgré un accueil enthousiaste du public.  Présenté à la Mostra de Venise en première mondiale, le film a  néanmoins déjà obtenu plusieurs récompenses dans divers festivals.

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    Je suis donc ravie de pouvoir vous proposer, pour ce dernier concours de l’année 2011, 3 places pour deux pour le découvrir en salles.

    Synopsis « officiel » : "Après une séparation douloureuse, Louise Wimmer a laissé sa vie d’avant loin derrière elle. A la veille de ses cinquante ans, elle vit dans sa voiture et a pour seul but de trouver un appartement et de repartir de zéro. Armée de sa voiture et de la voix de Nina Simone, elle veut tout faire pour reconquérir sa vie."- 

    Louise Wimmer c’est une femme comme il y en a tant d’autres, que nous croisons sans le savoir, qui se drapent dans leur fierté pour dissimuler leurs malheurs. Son histoire se déroule par bribes, de judicieuses ellipses qui renforcent le caractère universel du sujet, dramatiquement actuel.

    Nous devinons qu’elle s’est retrouvée à la rue suite à une séparation, ce que tout son entourage ignore. Au lieu d’en faire une femme pitoyable, Cyril Mennegun dresse le portrait une femme noble et fière et même au départ un peu antipathique que le spectateur au fil du récit, accompagnant dans ses échecs révoltants, prend en empathie. Il est incompréhensible que Corinne Masiero n’ait pas eu le prix d’interprétation à Saint-Jean de Luz tant son visage âpre marqué par la vie qui en devient beau tant Cyril Mennegun la filme avec justesse, empathie, et dignité, dévore l’écran, nous happe, tant elle donne corps et âme à cette femme qui ressemble à la fois à tant d’autres et aucune autre.

     Je partage l’émotion qui a submergé le délégué général du festival de Saint-Jean de Luz quand il a dû interviewer le réalisateur et son actrice juste après la projection. Une belle leçon d’humanité (mais qui, surtout ne se donne pas des airs de leçon). Sans oublier la musique de Nina Simone symbole de liberté et d’emprisonnement aussi puisque c’est la seule musique que Louise peut écouter et qui évoque la même beauté rude et douloureuse que celle de son personnage.

    Cyril Mennegun est avant tout réalisateur de documentaires (notamment de « Tahar  l’étudiant », portrait de Tahar Rahim qui sera d’ailleurs l’acteur principal de son prochain film "Insight" comme il l’a révélé à Saint Jean de Luz) et son expérience nourrit prodigieusement son film qui exhale de troublants accents de réalisme, sa caméra ne quittant pas cette femme. Un film plein de vie, de violence dramatiquement quotidienne aussi, empreint d’un regard jamais complaisant.

     Cyril Mennegun a ainsi raconté que c'est après avoir croisé, lors du tournage d'un documentaire, une femme qui s'appelait Corinne et vivait dans sa voiture, mais qu'il n'a "jamais pu filmer" et qu'il a "perdu assez vite", qu'est née l'idée du film, une histoire semble-t-il aussi proche de ce qu’a pu vivre la comédienne (que Cyril Mennegun dit avoir découverte dans un téléfilm diffusé un soir à la télévision). "Ce film est empreint de ce qu'elle est » a-t-il ainsi déclaré. On la retrouvera bien heureusement prochainement dans le prochain film de Jacques Audiard.

    Un film plein de vie et, comme elle et son incroyable interprète principale (Corinne Masiero), âpre et lumineux. Le premier grand choc cinématographique de cette année 2012 à découvrir absolument le 4 janvier 2012. La découverte d’un cinéaste qui rappelle les plus grands cinéastes du réalisme social britannique et d’une comédienne qui porte ce film magnifiquement bouleversant et tristement universel, et qui s’achève sur une note d’espoir d’une beauté aussi simple que ravageuse.

     

    Pour la sortie du film, un dispositif de street marketing a été mis en place dans 3 grandes villes : Paris, Lyon et Lille. Plus de 8 000 post-its manuscrits (que vous avez ainsi peut-être vus) mentionnant "Louise Wimmer : 06-43-02-59-18" ont été collés dans des endroits à fort trafic : dans le métro, sur les scooters, les vélos... Du 19 décembre à mi-janvier, une comédienne incarnant le personnage principal du film vous répond  même au téléphone.  En deux jours, plus de 500 appels ont été générés et des dizaines de messages ont été laissés sur le répondeur.

     Lien: Fan Page Facebook du Film: La fanpage: http://www.facebook.com/LWLeFilm

    CONCOURS

    Pour remporter vos deux places pour "Louise Wimmer", soyez les premiers à répondre aux 4 questions suivantes, en envoyant vos réponses à inthemoodforcinema@gmail.com, avec pour intitulé de votre email "Concours Louise Wimmer" en n'oubliant pas de joindre vos coordonnées. 

    1. Dîtes-moi de quel film provient l'image ci-dessous (indice dans la critique de "Louise Wimmer")

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    2. Quel est le film ci-dessous? Quel rapport avec Louise Wimmer?

     

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    3. Que vous évoquent ces chiffres? Quel rapport avec "Louise Wimmer"?

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    4. En une phrase, pour quelle(s) raison(s), souhaitez-vous voir ce film?

    Cet article est également en ligne sur mon nouveau blog http://inthemoodlemag.com

  • Concours - Remportez un exemplaire de Studio Ciné Live (n°33)

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    Comme chaque mois, je vous propose de remporter votre exemplaire de Studio Ciné Live, en partenariat avec le magazine avec, au programme, de ce mois-ci: un entretien avec DiCaprio sur son rôle dans « J.Edgar » le nouveau film de Clint Eastwood dont je vous reparlerai en début d’année.

    Dans ce numéro, vous retrouverez également les 10 films de l’année 2012 avant de retrouver également prochainement les miens ici.

     Au programme de ce numéro, également Michael Shannon qui poursuit son exploration de la folie dans « Take Shelter » (grand vainqueur  de la compétition du dernier Festival du Cinéma Américain de Deauville à l’occasion duquel je vous en avais parlé). Egalement une interview d’Yvan Attal. Vous retrouverez également la rubrique « le dîner en ville » avec une partie de l’équipe « d’Intouchables ». Vous pourrez également lire la master class de Cédric Kahn. Le Mythe-parade est ce mois-ci consacré à Gregory Peck et le flashback au « Voyage dans la lune » de Méliès ressuscité par Serge Bromberg. Sans oublier tous ceux qui font l’actualité du mois comme Roschdy Zem, Jalil Lespert, Karin Viard...

     Pour remporter ce numéro,  dîtes-moi quel est votre film préféré avec Leonoardo DiCaprio et pourquoi. La meilleure "critique" remportera ce numéro. Réponses à envoyer à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour intitulé de votre email « Concours Studio n°33 ». Seul()e le gagnant ou la gagnante sera contacté(e). N'oubliez pas de joindre vos coordonnées. Je réponds ci-dessous également à la question avec ma critique des "Noces rebelles".

    Découvrez également mon nouveau blog : http://inthemoodlemag.com .

    CRITIQUES - "LES NOCES REBELLES" de SAM MENDES

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    Lorsqu’ils se rencontrent, April (Kate Winslet) et Frank Wheeler (Leonardo Di Caprio) en sont persuadés : ils sont différents, exceptionnels même. Certes ils ont emménagé sur Revolutionary road,  dans une banlieue tranquille comme il y en a tant d’autres, où les conventions sociales et la vie routinière règnent mais ils en sont certains : ils ne se laisseront pas piéger. Oui, ils sont différents et le prouveront.

    Actrice sans talent, April consacre  pourtant bientôt tout son temps à sa maison et ses enfants, en rêvant d’une vie trépidante loin de Revolutionary road.  Frank, quant à lui, fait un travail sans intérêt dans un bureau dans la même entreprise que celle où son père travaillait, et finit par tromper sa femme avec une secrétaire terriblement insignifiante et stupide.

    Un jour, celui-là même ou Frank commence à la tromper, en fouillant dans sa boîte à souvenirs, April trouve une photo de Frank à Paris et se souvient de leurs aspirations.  Elle reprend brusquement goût à la vie, surtout espoir en la vie et en l’avenir. C’est décidé : leur avenir est à Paris, elle convainc Franck de partir y vivre quelques mois plus tard. Ils l’annoncent alors à leurs proches avec l’insolence du bonheur.

    L’intrigue se déroule dans le Connecticut, dans les années 50 mais ce n’est finalement qu’un détail… tant ce film a une portée intemporelle et universelle.

    Si ces « Noces rebelles » font l’effet d’un coup de poignard dont il faudra un temps certain pour se remettre, c’est autant pour son dénouement terriblement fort et magnifiquement cruel que pour les questionnements que ce film suscite et auxquels chacun a forcément été confronté, un jour ou l’autre. Le schisme potentiel entre ce que l’on est, ce que l’on voudrait devenir ou ce que l’on a rêvé de devenir. Les idéaux de jeunesse face à la réalité de la vie familiale. Le courage d’échapper à une vie médiocre, confortable et conformiste ou la  facilité, la lâcheté même, de s’y conformer. La facilité de suivre une existence tracée ou le courage de se rebeller contre celle-ci.

    Revolutionary Road, le nom de leur rue : voilà bien tout ce que leur vie a finalement de révolutionnaire tant ils vont se faire enfermer par cette vie si éloignée pourtant de celle à laquelle ils aspiraient, tant ils vont devenir semblables aux autres, malgré tout, tant ils vont être happés par ce « vide désespérant » de l’existence qu’ils méprisent par-dessus tout.

     Avec son costume et son chapeau grisâtres, chaque matin, sur le quai de la gare Frank est anonyme et perdu dans une foule indifférenciée d’hommes vêtus de la même manière, sinistrement semblables. Son bureau est carré, gris, terne comme la cellule d’une prison. Et chaque matin April le regarde partir derrière une vitre aux lignes carcérales. Cette prison d’uniformité, de médiocrité va bientôt se refermer sur eux … jusqu’au point de non retour.

    La rencontre n’occupe qu’une très petite partie du film : le pré-générique au cours duquel April jette son dévolu sur Frank, parce qu’il porte en lui toutes les espérances d’une vie exceptionnelle, parce qu’il a l’arrogance et la beauté prometteuses, prometteuses d’un futur différent de celui des autres, d’une vie où on « ressent » les choses et où on ne les subit pas. Puis, on les retrouve mariés, se disputant suite à une représentation théâtrale dans laquelle jouait April et où son manque de talent a éclaté. Générique. Le temps du bonheur est terminé. Le reste n’en sera que le vain  espoir.

    La suite est à la fois d’une déchirante cruauté mais aussi d’une déchirante beauté : la beauté du regard aiguisé d’un cinéaste au service de ses acteurs, au service du scénario, au service de cet enfermement progressif. La justesse des dialogues, ciselés et incisifs, auxquels notre attention est suspendue. La beauté de certains plans, de certaines scènes, brefs moments de bonheur qui portent déjà en eux son impossibilité et qui les rend d’autant plus éblouissants : April lumineuse, irréelle et déjà évanescente, dans l’embrasure d’une porte  ou une danse sensuelle exprimant autant la vie que la douleur de son renoncement… Et cette scène qui succède à une dispute où tout semble devenu irrévocable et irrémédiable. Cette scène (que je ne vous décrirai pas pour vous la laisser découvrir) à la fois d’une atroce banalité et d’une rare intensité où le contraste avec la précédente et où les enjeux sont tels que notre souffle est suspendu comme lors du plus palpitant des thrillers. Quel(s) talent(s) faut-il avoir pour faire passer dans une scène en apparence aussi insignifiante autant de complexité, de possibles, d’espoir, d’horreur ? Cette scène est magistrale.

    Alors, non…la route ne les mènera nulle part. Si : en enfer peut-être.  Au grand soulagement des voisins qui raillaient hypocritement leur départ, qui redoutaient en réalité qu’ils échappent à cette vie qu’ils se sont condamnés à accepter et à suivre sans rechigner.  Le piège va se refermer sur eux. La rébellion sera étouffée. La médiocrité remportera la bataille contre la vie rêvée et idéalisée.

    La musique de Thomas Newman est parfois douloureusement douce et ne fait qu’exacerber ce sentiment de regret, de bonheur à jamais insaisissable, de même que la photographie qui, tantôt (plus rarement) d’une lumière éclatante, tantôt d’une obscurité presque inquiétante épouse les espoirs et les déchirements, les désillusions du couple.

    Onze ans après « Titanic » le couple Di Caprio / Winslet se reforme (de nouveau accompagnés de Kathy Bates) donc pour ce film qui en est l’antithèse, une adaptation du roman « Revolutionnary Road » (La Fenêtre panoramique) de Richard Yates publié en 1961. Ce choix de casting est judicieux  et très malin, non seulement parce qu’ils auraient pu choisir un blockbuster beaucoup plus « facile » et qu’avec ce sujet ce n’était pas gagné d’avance (au contraire des protagonistes du film, ils ont donc  fait preuve d’audace) mais aussi parce qu’ils représentaient alors le couple romantique par excellence, les voir ainsi se déchirer n’en est d’ailleurs que plus fort. Kate Winslet, par son jeu trouble et troublant, n’a ainsi pas son pareil pour faire passer la complexité et la douleur de ses tourments, l’ambivalence de cette femme que le conformisme étouffe progressivement et pour que chacune de ses expressions contienne une infinitude de possibles, contribuant à ce suspense et cette sensation de suffocation intolérable.  On étouffe, subit, souffre avec elle. C’est à la fois jubilatoire et insoutenable. Avec son air d’éternel adolescent maladroit, ne sachant prendre sa vie en mains, Leonardo Di Caprio, quant à lui, trouve là un de ses meilleurs rôles et prouve une nouvelle fois l’étendue de son jeu.

     Le film leur doit beaucoup tant ils rendent ce couple à la fois unique et universel et extrêmement crédible. Dommage que les seules nominations pour les Oscars ( même si Kate Winslet a obtenu le Golden Globe pour ce rôle ) furent pour Michael Shannon comme meilleur acteur dans un second rôle (qui le mérite néanmoins, qui interprète un fou de la bouche duquel sortira pourtant la vérité , rassurant finalement les voisins hypocrites qui préfèrent ne pas entendre-au sens propre comme au sens figuré, cf le mari de Kathy Bates au dénouement- qui refusent de l’admettre puisque n’étant pas sain d’esprit il aurait donc tort et eux auraient raison d’avoir choisi, plutôt suivi cette vie. C’est aussi le seul à être d’accord et à comprendre réellement les Wheeler), pour le meilleur costume et pour le meilleur décor (Kristi Zea, la chef décoratrice dit s’être inspirée des œuvres du peintre Edward Hopper donc ce film porte la beauté laconique et mélancolique).

     Un film intemporel et universel, d’une force et d’une cruauté aussi redoutables qu’admirables, servi par deux comédiens exceptionnels et une réalisation virtuose. Un film palpitant qui est aussi une réflexion sur le mensonge, l’espoir, les idéaux de jeunesse, la cruauté de la réalité, la médiocrité, l’hypocrisie et le conformisme de la société. Les vingt dernières minutes sont d’une intensité rare et font atteindre des sommets de perspicacité, de complexité à ce film dont on ressort touchés en plein cœur avec cette envie aussi de le faire battre encore plus vite et plus fort. Le pouvoir des grands films dont « Les Noces rebelles » fait indéniablement partie. Je vous invite vivement à faire un tour sur cette « revolutionary road », autre "sentier de la perdition". Vous n’en reviendrez pas indemnes… et je vous le garantis : cette rue-là vous bousculera, vous portera et vous hantera bien après l’avoir quittée. 

     

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  • Concours - 15 places offertes pour la leçon de cinéma de Sandrine Bonnaire au Gaumont Parnasse, samedi 17.12 à 20H

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    Je reprends aujourd'hui le partenariat initié avec le Gaumont Parnasse qui vous permettra de remporter régulièrement des places pour des évènements organisés dans le cinéma en question dans le cadre des rendez-vous 100% ciné. Je vous propose aujourd'hui des places pour la leçon de cinéma de Sandrine Bonnaire, ce samedi 17 décembre, à 20H. Cette rencontre sera animée par François Bégaudeau.

    Comme le délai imparti est extrêmement court, ce sera très facile. Rendez-vous sur mon nouveau blog http://inthemoodlemag.com pour connaître les modalités de participation: http://inthemoodlemag.com/2011/12/16/concours-15-places-offertes-pour-la-lecon-de-cinema-de-sandrine-bonnaire-au-gaumont-parnasse/ .

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  • Concours - Gagnez le hors-série bilan de Studio Ciné Live de décembre 2011 avec Ryan Gosling en couverture

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    Cela faisait un moment que je ne vous avais pas proposé de nouveau concours. Cette semaine, je vous propose de remporter le hors-série bilan du magazine Studio Ciné Live (décembre 2011)  en attendant, comme chaque année, mon propre bilan de l’année cinéma 2011 (retrouvez en attendant mon bilan 2008, 2009, 2010) :

    • BILAN DE L'ANNéE CINEMA 2008
    • BILAN DE L'ANNEE CINEMA 2009
    • BILAN DE L'ANNEE CINEMA 2010
    • Dans ce numéro que je vous recommande vivement, vous pourrez retrouver tous ceux qui ont fait l’année 2011 (plébiscités par la critique, ayant reçu un prix ou incarné un rôle déterminant), les acteurs ou réalisateurs qui ont fait une entrée tonitruante dans le cinéma cette année ou dont la carrière a pris une autre dimension cette année mais aussi les temps forts de 2011 parmi lesquels les films que je vous ai recommandés ici comme « The Artist », « Black swan », « Melancholia » ou d’autres au sujet desquels j’étais beaucoup plus sceptiques comme « Drive » (sans pour autant nier les qualités de metteur en scène de Nicolas Winding Refn). Vous pourrez aussi y retrouver les 597 films de 2011 avec leur box office mais aussi les previews 2012 avec 100 films passés à la loupe. Vous pourrez également tout savoir sur celui dont la carrière a explosé cette année, Ryan Gosling. Vous pourrez aussi retrouver le portfolio du festival de La Réunion, en savoir plus sur le film « Une séparation » ou encore suivre Leïla Bekhti pendant une année.

      Vous le savez, le principe des concours sur ce blog est de vous faire travailler un peu et aussi de ne vous faire gagner des places de cinéma que pour des films que je défends ou que pour des magazines que j’apprécie comme celui-ci. Je lis Studio Ciné Live depuis bien longtemps, c’est-à-dire quand Studio et Ciné Live ne s’étaient pas encore « mariés » et sans doute cela a-t-il contribué à nourrir ma passion pour le cinéma. J’assume et revendique même de continuer à le lire, en appréciant son côté populaire qui s’assume (lui aussi) même si pour certains (non, je ne citerai pas de noms), le cinéma se doit d’être un art snob évoqué avec cynisme et condescendance.  Bref, je suis ravie de pouvoir continuer ce partenariat et que ce concours inaugure ceux de mon nouveau blog http://inthemoodlemag.com , c’est pourquoi, ce mois-ci je vous propose un concours un petit peu différent de d’habitude et de participer non pas en envoyant un email mais en répondant à la suite de la note sur http://inthemoodlemag.com pour inaugurer ce nouveau blog  : http://inthemoodlemag.com/?p=277 .

      REGLEMENT DU CONCOURS: Pour remporter cet exemplaire, dîtes-moi, avant le 11 décembre à minuit, quels sont les 5 films suivants (forcément des films de 2011, mais pas forcément encore sortis, des films dont je vous ai en tout cas parlé -en bien- sur inthemoodforcinema.com en 2011) et en une phrase dîtes-moi quel est pour vous le film le plus marquant de l’année, et pourquoi. Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses. N'hésitez pas à participer même si vous ne trouvez pas tous les films. Bonne chance!

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  • Inthemoodforcinema.com sélectionné pour le prix des blogueuses du magazine ELLE catégorie cinéma: comment et pourquoi voter pour ce blog

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    En quoi consiste le prix des blogueuses Elle?

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    Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'apprendre qu'Inthemoodforcinema.com avait été sélectionné par la rédaction du magazine Elle et de Elle.fr parmi les 120 blogs dont les 10 blogs cinéma choisis pour participer au prix des blogueuses Elle, un magazine que je lis depuis longtemps (j'ai d'ailleurs fait partie de son jury des lectrices il y a deux ans), ce qui me réjouit donc tout particulièrement...et c'est maintenant que vous entrez en action puisque seront remis deux prix: un prix de la rédaction Elle et un prix des internautes.

    Comment voter pour inthemood?

    Si vous aimez ce blog, c'est le moment de le prouver, cela ne vous demandera que deux secondes et vous pouvez voter chaque jour, une fois par jour, jusqu'au 2 décembre 2011, minuit, en allant sur cette page: http://www.elle.fr/Site/Grand-Prix-des-Blogueuses-ELLE-2011/(blog)/in-the-mood-for-the-cinema. Une simple confirmation par email vous sera demandée (pour éviter les fraudes). Ne vous en privez pas et n'hésitez pas à faire passer le message. Je ne suis en général pas très douée pour ce genre de mobilisation alors je compte sur vous, nombreux à lire ce blog depuis longtemps. Bien sûr, on n'écrit pas pour recevoir des prix mais j'avoue qu'une telle sélection fait plaisir, surtout que le principe du blog est tout de même d'échanger et de partager et que remporter ce concours me permettrait d'élargir encore le lectorat de ce blog (et rêve de petite fille qui a certes bien grandi, d'être dans le magazine que je lis depuis si longtemps) .

    Pourquoi voter pour inthemood? Comment est né ce blog et en quoi se différencie-il des autres?

    Pour ceux qui découvriraient le blog à cette occasion, une courte présentation et quelques articles emblématiques.

     Ce blog (et mes 3 autres dont deux sur le cinéma: http://www.inthemoodforcannes.com, http://www.inthemoodfordeauville.com ) est guidé par la passion avant tout, sa devise a d'ailleurs longtemps été empruntée à Saint-Augustin : "Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre la passion". Deux passions viscérales  en réalité, pour le cinéma et l'écriture, qui m'ont permis de vivre d'enrichissantes et incroyables aventures. J'ai ainsi été 10 fois sélectionnée comme jurée de festivals de cinéma, depuis 1998, (Dinard, Deauville, Cognac, Paris, Cabourg...) suite à des concours d'écriture. J'ai alors décidé de créer ces blogs pour partager ces palpitantes et incroyables aventures et mes coups de coeur pour des films que je découvrais dans ces festivals mais aussi pour laisser libre cours à ma passion dévorante pour l'écriture.

    Une passion telle que, après des études de droit et sciences politiques, j'ai entrepris un second cursus, en médiation culturelle et cinéma pour devenir scénariste (un parcours sinueux et semé d'embûches mais je m'accroche). J'ai d'abord créé Inthemoodforcinema.com (auparavant "Mon festival du cinéma") il y a 8 ans puis "In the mood for Cannes" (assistant au Festival de Cannes chaque année, quoiqu'il arrive, depuis ma participation au prix de la jeunesse, il y a 11 ans et première blogueuse à y avoir été accréditée presse en tant que telle il y a quelques années) et "In the mood for Deauville" (consacré au Festival du Cinéma Américain de Deauville, auquel j'assiste depuis...18 ans, et à l'origine de ma passion, mais aussi consacré au Festival du Film Asiatique de Deauville, deux festivals dont j'ai fait partie de jurys de cinéphiles.) Je parle également beaucoup de ces festivals, Deauville et Cannes, sur inthemoodforcinema.com, mais aussi de beaucoup d'autres où j'ai également la chance de pouvoir retourner depuis ma participation à leurs jurys.

     Aujourd'hui, mes blogs créés pour partager ces aventures en suscitent à leur tour et m'ont ainsi permis réemment d'être invitée au Festival Lumière de Lyon pour débattre d'internet et de cinéphilie ou encore au Festival des Jeunes Réalisateurs de Saint Jean de Luz, à chaque fois de magnifiques expériences entraînant toujours de belles rencontres et découvertes cinématographiques que je me réjouis toujours autant de partager sur mes blogs. Je couvre de nombreux évènements comme les César (auxquels j'ai la chance d'assister depuis 3 ans), des avant-premières. Je réalise des interviews (j'ai ainsi eu l'honneur et la chance d'interviewer notamment Catherine Deneuve cette année) et assiste à de nombreuses conférences de presse (que je filme également comme celle de Coppola au dernier Festival de Deauville...grand moment). Je parle de classiques du septième art (mes goûts vont d'Hitchcock, Woody Allen, Claude Sautet, Jean Renoir, Jean-Pierre Melville, Chaplin à James Gray ou Pedro Almodovar et je peux défendre aussi ardemment un film d'auteur qu'un blockbuster, même si le premier aura certes plus de chances de me plaire, mais je déteste par-dessus tout les préjugés et toutes les cinématographiques sont les bienvenues sur ce blog)...Le but est vraiment d'immerger le lecteur "in the mood for cinema", de le plonger au coeur de l'évènement.  Je mets l'accent avant tout sur l'écriture essayant de faire de chaque compte-rendu un vrai récit, mais je mets aussi (encore une fois) avant tout l'accent sur la passion, considérant que le cynisme en vogue est la solution de facilité.

    Actuellement, je travaille à la création d'un blog/site internet plus généraliste mais sur lequel le cinéma sera (évidemment!) prépondérant et sur lequel l'écriture prendra d'autres formes mais je vous en parlerai  plus en détails très bientôt.

     Vous pourrez en savoir plus sur mon parcours, (ici: http://www.inthemoodforcinema.com/about.html )  , et en attendant, ci-dessous, vous trouverez quelques exemples d'articles emblématiques de ce blog et du ton, passionné et singulier, que j'espère parvenir lui donner:

    -Bilan du Festival de Cannes 2011: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/05/30/bilan-du-festival-de-cannes-2011-et-retour-sur-le-palmares-d.html

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    Photo inthemoodforcinema.com (Hommage du Festival de Cannes 2011 à Jean-Paul Belmondo)

    -Compte-rendu du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/09/17/bilan-du-festival-du-cinema-americain-de-deauville-2011.html

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    -Critique d'un (du) film de l'année "Melancholia" de Lars von trier: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/08/11/critique-de-melancholia-de-lars-von-trier-le-film-du-festiva.html

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    -Critique d'un classique du cinéma:: "Un coeur en hiver" de Claude Sautet: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/01/08/critique-de-un-coeur-en-hiver-de-claude-sautet-1992-avec-dan.html

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    -Récit de ma rencontre avec Catherine Deneuve et l'équipe des "Yeux de sa mère" de Thierry Klifa: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/03/17/avant-premiere-critique-les-yeux-de-sa-mere-de-thierry-klifa.html

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    -Le dossier du mois consacré à "The Artist" de Michel Hazanavicius: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/08/28/avant-premiere-critique-de-the-artist-de-michel-hazanavicius.html

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    Photo inthemoodforcinema.com . Conférence de presse des lauréats du Festival de Cannes 2011

    -Critique de "Ludwig - Le Crépuscule des Dieux" de Luchino Visconti: http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2011/07/19/critique-ludwig-le-crepuscule-des-dieux-de-luchino-visconti.html

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  • Concours - Gagnez le hors-série Studio CinéLive consacré à Romy Schneider

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    Romy Schneider fait partie de ces rares actrices devenues des mythes, une actrice à la fois contemporaine et intemporelle, pouvant endosser tous les rôles et incarnant et représantant un personnage autant sur l’écran que dans l’existence, une femme courageuse et à fleur de peau, à la fois forte et fragile, dont le destin a ressemblé à un conte tragique. C’est aussi une des actrices qui me touche le plus, sans doute en partie en raison de ses rôles dans les films d’un de mes cinéastes favoris, Claude Sautet, mais aussi dans d’autres grands films comme « La Piscine » de Jacques Deray.

    À l’occasion de l’exposition qui lui est consacrée en novembre à Boulogne Billancourt, Studio CinéLive effectue un flashback sur le mythe Romy Schneider, cette actrice qui continue à marquer le cinéma français, en lui consacrant un hors-série. Dans les films et dans la vie, elle a été inlassablement photographiée et s’est toujours prêtée au jeu… Les images d’une actrice lumineuse et rayonnante, aussi belle qu’émouvante, accompagnée de quelques témoignages de ses amis constituent ce numéro.

    Les jeunes actrices françaises ont toutes été marquées par Romy Schneider. Petites filles ou adolescentes, elles ont été impressionnées par sa force, touchées par sa fragilité, inspirées par son jeu… Julie Gayet, Virginie Ledoyen, Mélanie Doutey, Maïwenn et d’autres, aujourd’hui, nous racontent dans ce numéro que je vous permets de gagner aujourd’hui.

    CONCOURS: Pour cela, rien de compliqué, soyez le premier ou la première à me donner les titres des 5 films suivants dans lesquels a tourné Romy Schneider, et à m’envoyer votre réponse à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé de votre email « Concours hors-série Studio CinéLive ».

    En bonus, les liens vers trois critiques de films ( et non des moindres) avec Romy Schneider :

    "La Piscine" de Jaques Deray

    "César et Rosalie" de Claude Sautet

    "L'Enfer" d'Henri-Georges Clouzot

     

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  • Concours : Gagnez votre exemplaire de Studio Ciné Live de novembre 2011

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    Outre un dossier très complet sur Jude Law que vous pourrez retrouver prochainement dans "Contagion" également au sommaire de ce mois-ci dans Studio Ciné Live: une rencontre avec Isabelle Huppert, une enquête sur George Clooney, un reportage sur le tournage du dernier Tim Burton avec Johnny Depp, des articles sur les coups de coeur de la rédaction que sont "Polisse" (qui est aussi celui d'Inthemoodforcinema pour cette semaine, retrouvez ma critique ici) avec notamment la leçon de cinéma de Maïwenn et "Intouchables" mais aussi les rubriques habituelles avec la rencontre entre les lecteurs et une personnalité qui fait l'actualité (ce mois-ci Omar Sy), un flash-back sur "Métropolis" de Fritz Lang et un dossier sur "Romy Schneider" etc.

     Pour remporter cet exemplaire, soyez le premier ou la première à me donner par email, les titres des 4 films suivants à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé de votre email "Concours Studio Ciné Live" en n'oubliant pas de joindre vos coordonnées. Tous ces films ont un rapport avec les sujets précités et vous ont été recommandés par inthemoodforcinema.com .

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