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CHRONIQUES MUSICALES - Page 2

  • Dans les coulisses du Grand Journal de Canal+ à Cannes

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    La journée d'hier était décidément pour moi rythmée par "Hors-la-loi" puisque après la projection du film, j'ai assisté à l'émission Le Grand Journal dans les coulisses. L'équipe du film de Rachid Bouchareb faisait ainsi partie des invités (avec Diane Krüger, Ludivine Sagnier, Charlotte Gainsbourg et Gossip girl). Enfin la soirée s'est achevée pour moi au patio Canal + où avait lieu la soirée du film.  Je vous reparlerai de ce film puisque ce matin j'ai eu le plaisir d'interviewer Bernard Blancan (un des 5 lauréats du prix d'interprétation 2006 pour "Indigènes") qui y incarne le colonel Faivre.

     

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  • Concert privé de Charlie Winston au vip room de Cannes

    Evidemment ce concert privé (donné au vip room pour le lancement de l'Audi A1) mériterait plus que ces quelques vidéos, je vous en parlerai donc à nouveau ultérieurement. En attendant, profitez de ces quelques images. Attention, ça déménage!

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  • Et les fêtes cannoises dans tout ça?

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    C'est bien joli le cinéma me direz-vous mais « et les soirées dans tout ça » ? Pour beaucoup Cannes est en effet synonyme de fêtes ... et nullement de cinéma. J'en connais même (mais je ne citerai pas de noms) qui sont là depuis mercredi et n'ont pas vu un seul film (et pas forcément pour cause d'obligations professionnelles)... Si, il y a quelques années pas si lointaines, les portes en restaient systématiquement fermées, désormais inthemoodforcannes devient le mot magique qui me permet de recevoir les invitations directement dans ma boîte emails ou même d'entrer directement. Comme mon souci de vous informer n'a pas de limites, j'ai donc décidé de profiter de ce nouveau privilège. Si j'ai reçu l'invitation pour la soirée d'ouverture au Majestic...le lendemain de l'ouverture, je me suis en revanche rattrapée les jours suivants. Ces soirées restent pour moi un élément à la fois de fascination et de consternation dans leur mélange plus ou moins réussi de sublime et pathétique et en tout cas toujours une curiosité, de même que l'obstination frénétique de certains à toujours vouloir être à la soirée où ils ne sont pas ou vous faire le récit de celle où vous n'étiez pas, forcément plus exceptionnelle et fermée que celle où vous  étiez. Dérisoires vanités cannoises...

    Soirée Audi Talent Awards au VIP Room

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    Cette soirée devait initialement se dérouler sur la plage face au Martinez mais en raison des intempéries de la semaine précédente (même si  la mairie a déployé des moyens considérables pour que tout soit remis en ordre, on croise encore pas mal de pelleteuses sur les plages), pour raisons de sécurité, celle-ci a été déplacée à la dernière minute au vip room. Après un trajet le long de la Croisette en confortable voiture de la marque organisatrice de la remise de prix, me voilà arrivée devant le célèbre établissement alors qu' « une foule » d'une petite trentaine de personnes a déjà trouvé le moyen de s'y agglutiner. Il faut savoir qu'à Cannes, il y a toujours quelqu'un qui s'estime le droit de passer avant tout le monde, avec une pathétique autorité, et de le faire savoir quitte à en piétiner deux ou trois au passage.  Petit tour dans ce lieu immense au sol pailleté où le look soi-disant « trendy » des serveurs frôle le kitsch second degré (enfin j'espère...) avant d'assister à la remise de prix par Michel Denisot qui a fait preuve de son « humour légendaire » avec Guillaume Canet, Jean Reno et Thomas Langmann pour remettants ... Je vous laisse apprécier dans mes vidéos ci-dessous.

    Les sept membres du jury 2010 étaient présents : Pascale Faure (responsable des courts-métrages sur Canal Plus), Florence Ben Sadoun (directrice de la rédaction du magazine Première), Guillaume Canet (acteur et réalisateur), Thomas Langmann (réalisateur et producteur La Petite Reine), Eric Wojcik (délégué général de Sauve Qui Peut le Court Métrage), Rodolphe Chabrier (cofondateur de la société d'effets spéciaux Mc Guff) et David Dargaud (directeur de la communication Audi France). Le lauréat du prix Film court des Audi talents awards 2010, Manuel Schapira a été primé pour « La Fille de l’Homme ». Un collectif de réalisateurs, lauréats du prix Court expérimental des Audi talents awards 2010 pour « Haïku », est composé de Mathieu Lalande, Morgan S. Dalibert, Thibault Mombellet, Dominique Rocher. Le prix Court d’animation des Audi talents awards 2010 a été décerné à Patrick Jean pour « Pixels ». La remise des prix, au VIP ROOM de Jean Roch, fût suivi d’un concert du trio électro organique Zuzoom (lauréats de la section Musique des Audi talents awards 2009) et d’un DJ Set électrisant de l’artiste en vogue Uffie mais malheureusement le public  noctambule cannois à l’attention si blasée et volatile n’a pas daigné écouter les premiers qui ont pourtant  fait preuve d’autant d’énergie que de talent.

    Soirée Gala Terrazza Martini

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    Hier soir le magazine Gala organisait une soirée sur la Terrazza Martini, lieu incontournable des soirées cannoises, ma délicieuse « cantine » le jour  puisqu'il s'agit de la plage du Gray d'Albion (que je vous recommande d'ailleurs, relativement abordable, et proportionnellement moins chère que certaines pizzerias à la cuisine immonde). Accueil chaleureux  pour cette soirée au cours de laquelle David Hallyday a donné un concert au milieu d'une assistance où les  (nombreuses) caméras de télévision côtoyaient acteurs (et notamment une des pétillantes actrices du film de Mathieu Amalric) et « célébrités » évadées de la ferme en quête de caméras... L'occasion aussi de croiser le toujours enthousiaste « blog reporter » rédacteur de Cannes Addict.

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  • Concert privé de Mika au 1515, à Paris : 45 minutes de "happiness"!

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    J'étais sur le point de réserver mes places pour le concert de Bercy (Mika y sera en concert les 26 et 27 avril) quand j'ai reçu une invitation (providentielle) pour son concert privé au 1515 (ancien Man Ray, rue Marbeuf pour les connaisseurs...), concert donné à l'occasion du lancement de la bouteille de Coca-Cola dessinée par Mika (et créée avec sa soeur Yasmine), à son image: colorée, joyeuse, joliment et sérieusement candide; la bien nommée "happiness bottle" qui selon Mika représente ce que le mot bonheur signifie pour lui "essentiellement la liberté de laisser libre cours à son imagination". Mika a par ailleurs généreusement décidé de reverser l'intégralité de son cachet pour cette opération à une cause qui lui tient à coeur, en l'occurrence le programme "adolescents" mené par la Fondation "Hôpitaux de Paris".

    Le bonheur c'est aussi une parenthèse joyeuse qui, en nous faisant presque oublier sa fugacité ou même son inexistence, le rend douloureusement beau; c'est de croire, ne serait-ce que quelques instants, que tout est léger et possible; c'est oublier et le lieu et le temps et leur vanité; c'est se laisser entraîner ailleurs tout en étant plus que jamais là. Et c'est ce que nous ont procurées ces 45 minutes  où il a déployé une énergie incroyable, un enthousiasme communicatif et bondissant, faisant  oublier l'étroitesse de la scène où il était pourtant a priori impossible de danser ! (enfin pas pour lui...) Et quelle danse, toujours si savamment singulière, décalée et entraînante!

    45 minutes de flamboyance entrecoupées, avec humour, de quelques allusions au volcan qui paralyse l'Europe ou d'incitation à chanter et danser (même auprès de Bernadette Chirac à qui il s'est directement adressé, présente en tant que représentante de la Fondation Hôpitaux de Paris).

    Au-delà de sa voix éblouissante aux capacités vertigineuses (dont la tessiture couvrirait 4 octaves), au-delà de ses chansons pop qui se retiennent après une seule écoute et vous embarquent dans leur arc-en-ciel de couleurs et leur joie de vivre, au-delà  et de son univers ludique, psychédélique, haut en couleurs, entre enfance et adolescence, ce qui m'a marquée à chacune de ses interviews, c'est un sou(rire) d'une belle candeur mais surtout son humilité, une humilité qui ne s'est pas démentie ce soir, ainsi que son professionnalisme (qui ne s'est pas non plus démenti) .

     "Life in Cartoon Motion", son premier album, est pourtant en France l'album le plus vendu en 2007 et en 2009 il a vendu plus de 19 millions de disques dans le monde.

    Par ailleurs, il ne prend pas de posture et assume pleinement ce que d'autres jugeront certainement obscène: un aspiration au bonheur et une envie de le transmettre d'une apparente naïveté (alors que d'autres se complaisent dans la morosité et le cynisme) et que,  d'ailleurs, plus que le reflet d'une naïveté enfantine sont certainement, au contraire, davantage celui d'une maturité et d'une générosité.

    Un concert volcanique. Un bel instant dont l'éphémère a renforcé l'intensité et le plaisir, bref, un condensé métaphorique de l'existence en somme... Rien que ça! Un concert dont on ressort grisés d'éphémère qui nous ferait presque croire à l'éternité et qui nous donne envie de faire de l'existence un film coloré avec, comme bande originale, le titre le plus connu ( qui a terminé ce concert décidément trop court): "Relax". 

    Et puis quelqu'un pour qui l'imagination est un instrument du bonheur, qui se crée un univers,  un univers finalement si cinématographique et qui choisit un titre d'album d'inspiration hitchcockienne... ne pouvait pas ne pas emporter mon adhésion...!

    Pour finir deux extraits, d'abord, "I see you" parce que je l'aime beaucoup et qu'on ne l'entend pas encore en radio, et qu'il diffère un peu du style des autres titres (plus mélancolique...on ne se refait pas):

    Et "Rain", parce qu'on l'entend partout et que, pourtant, je ne m'en lasse pas:

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  • Concert privé MFM Music Stars à Bobino

    Hier soir, j'étais invitée par le magazine Elle (vous pouvez d'ailleurs lire toutes mes critiques de jurée du prix des lectrices Elle 2010 en cliquant ici) au concert privé MFM Music Stars à Bobino. J'y allais essentiellement pour De Palmas que j'avais déjà vu en concert à Rennes il y a quelques années et pour Marc Lavoine dont j'apprécie la musique autant que l'humilité touchante. Si on excepte "Le Concert" pour le film éponyme au Châtelet et la belle découverte Girbig au musée du Jeu de Paume lors de la soirée du Courrier International, j'ai alors réalisé que mon dernier concert remontait au mémorable concert d'Etienne Daho à l'Olympia il y a plus d'un an, et encore plus loin à Vincent Delerm à La Cigale. Sans préjugés, je me suis donc plongée avec plaisir dans cette soirée musicale dans la très conviviale salle de Bobino.

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    L'exercice n'est pas forcément évident. 700 invités et pas tous forcément venus pour écouter le même artiste, certains même parfois n'en attendant aucun en particulier, le public est donc forcément a priori moins acquis d'avance que celui venu en payant sa place pour un artiste en particulier. Sans doute est-ce ce qui a un peu déstabilisé Marc Lavoine, venu interpréter 4 titres de son dernier album "Volume 10", presque effacé, se trompant même au point de chanter deux fois le même couplet en ayant toutefois la modestie de le dire et de recommencer sa chanson depuis le début. Si sa voix légèrement voilée est toujours aussi enjôleuse et ses textes agréablement mélancoliques, s'y ajoute une pointe de désillusion, l'homme comme dans sa chanson  lui aussi a le "coeur lourd". Ayant certes eu le désavantage de commencer et ayant ainsi sans doute été sur la réserve, il m'a , contre toute attente, laissée un peu à distance...
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    Est ensuite venu le tour de De Palmas qui a d'abord repris trois nouvelles chansons dont "Au bord de l'eau" et "Dans une larme" extraites de son nouvel album "Sortir" (sorti tout de même 5 ans après le précédent "Un homme sans racines") auxquels j'ai préféré "Mon coeur ne bat plus", des titres là aussi assez sombres et empreints de déssilusions. Là aussi un univers très mélancolique, mystérieux, très imprégné de cinéma et réhaussé par les sonorités chaleureuses de la guitare. Il a emporté l'adhésion du  public (et la mienne) en reprenant son ancien cri désespéré et obsessionnel "J'en rêve encore". Il faut néanmoins admettre qu'il était moins à l'aise que lors de ses concerts, preuve là aussi que le dispositif ne se prête pas forcément à une connivence facile et immédiate avec le public (3 ou 4 titres c'est un peu juste pour cela...).
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    Est ensuite venu le tour de Pascal Obispo et si je ne suis pas fan des chansons qu'il a interprétées hier soir ni de son personnage de Captain Samourai Flower, il faut reconnaître qu'il a su s'adresser au public et réveiller la salle dès ses premières secondes sur scène, avec une énergie communicative... Trois petites chansons et puis s'en est allé en terminant par son fédérateur "Drapeau".
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    Mais la belle surprise est venue de l'auteur-compositeur-interprète Belge (comme ses musiques ne le laissent pas supposer) aux sonorités folk et à la voix envoûtante, Milow, selon ses propres termes "fatigué" car revenant d'une tournée européenne et trouvant son succès "relatif" en réponse à une question sur la manière dont il envisage ce nouvel engouement. Avec des chansons pas forcément connus, il a réussi à faire réagir et chanter la salle et à créer une belle connivence (http://www.youtube.com/watch?v=zdSVO8q5KWo ). Un morceau de Milow que vous n'avez pas pu manquer à la radio: http://www.youtube.com/watch?v=yUrlOb7TM7M .
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    Jennifer Ayache étant "souffrante", le groupe Superbus a finalement décliné l'invitation et c'est à Christophe Willem qu'est revenue la tâche de terminer la soirée. Là aussi une surprise agréable, son disque "Caféine" très "techno" se prêtant bien à l'atmosphère très "discothèque" de Bobino. Il faut lui reconnaître une voix  aussi singulière et improbable que son allure, beaucoup d'énergie, et c'est surtout le seul à avoir été aussi chaleureux, généreux et enthousiaste (peut-être encore la fraîcheur des débuts...), et qui m'ait donné l'impression d'être vraiment heureux d'être là, avec une vraie envie de faire participer le public au point de venir danser et chanter au milieu des spectateurs pour faire enfin vraiment décoller l'ambiance et la salle...alors que c'était déjà l'heure de la fin...
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    Merci à Elle pour l'invitation et à MFM pour cette très agréable soirée dont l'aspect un peu zapping présente l'avantage de faire découvrir plusieurs artistes, et parfois d'aller contre les préjugés, mais l'inconvénient de ne pas laisser à d'autres vraiment le temps de se sentir à l'aise  et dans leur élément, et de créer une complicité avec le public.
  • Soirée Courrier International (2ème partie) : concert du groupe « Girbig » au musée du Jeu de Paume

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    courrier1.jpgPour le lancement du second numéro de son Cahier de tendances, le Courrier International a eu l'excellente idée de célébrer l'évènement au musée du Jeu de Paume avec au programme l'exposition Fellini (voir article ci-dessous), un concert du groupe Girbig (voir article suivant ci-dessus), et avec la présence du lauréat du prix Courrier international du meilleur livre étranger 2009 ( Zoyâ Pirzâd pour « Le Goût âpre des kakis »); et l'idée encore plus excellente de m'y inviter...

     Après l'Italie de l'après-guerre avec Fellini, nous voilà embarqués dans les Etats-Unis des années 20/30 du Mississipi aux cabarets enfumés de Broadway grâce au groupe Girbig que j'ai découvert à l'occasion de ce concert. Loin de Fellini... Quoique... Le groupe le cite dans ses influences ( de même que Buster Keaton !) et le caractère intemporel et le rêve (auquel leur musique invite) rejoignent ceux de l'œuvre fellinienne.

      Dehors, il pleut, sans doute. La nuit a recouvert un Paris grisâtre, automnal et désolé et pourtant par la magie des images ( de Fellini) et de la musique, d'abord de Nino Rota puis de la voix de Girbig (au timbre si particulier, doux et grave, enchanteur et désenchanté) j'oublie le cadre, le temps, l'époque.  A côté de moi, blasés, indifférents, certains continuent à parler de choses banales avec sérieux, la société du spectacle (si chère à Fellini), éblouissante et aveugle continue à jouer son jeu nécessaire et futile,  bel et bien ici, pourtant;  alors que je suis ailleurs, évadée.  Dans un saloon exigu ? A New York ? En tout cas, leur musique, notamment influencée par Bob Dylan, mélange de blues et d'airs plus entraînants, mêlant influences country, folk, pop, rock  me transporte, loin, dans un film d'une beauté ténébreuse et tragique, traversé de moments de joie communicative.

    Leur blues entraînant mêle les sons de la guitare folk, du piano bastringue et de la contrebasse et enveloppe l'atmosphère d'une radieuse mélancolie.  Julien Girbig a joué pendant un an et demi « Amadeus » de Peter Shaffer, avec Lorant Deutsch et Jean Piat. On retrouve ainsi un côté théâtral dans cette musique, dans leurs dégaines qui nous embarquent dans un film mélodieusement burlesque et raffiné.

    N'hésitez pas à ouvrir cette boîte de Pandore (« Song from   a Pandora Box » distribué par Mosaic Music - http://www.myspace.com/girbig  )  qui ne répandra pas les maux sur terre mais, au contraire,  apaisera les vôtres... et vous emportera avec beaucoup de grâce dans une autre époque et un autre lieu d'une beauté mélancolique et entraînante, et vous donnera une furieuse envie de prendre la vie avec légèreté (mais pas à la légère), sérieusement ( mais sans se prendre au sérieux). N'attendez plus pour vous laisser embarquer dans leur univers...


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  • Sans commentaires: réminiscences...

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