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john carney

  • SING STREET de John Carney en salles aujourd'hui

    Cliquez sur l'affiche pour lire mon avis sur SING STREET grand lauréat du Festival du Film Britannique de Dinard 2016.

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  • En attendant Dinard: "Once", souvenir d'un instant magique...

    once1.jpgPour vous faire patienter, en attendant le 20ème Festival du Film Britannique de Dinard (cliquez ici pour lire tous mes articles liés à l'édition 2009 de ce festival), dont je vous rappelle  que vous pourrez le suivre en direct, sur ce blog, à partir d'après-demain, voici un instant magique, ci-dessous, en vidéo ( l'image est mauvaise qualité mais vous pourrez entendre, ce qui est ici l'essentiel), suite à la projection de "Once" de John Carney, film figurant en compétition de l'édition 2007 du Festival du Film Britannique de Dinard. (un film que je vous recommande vivement par ailleurs et dont vous pourrez lire ma critique dans l'article précité).

    Cliquez sur "lire la suite" pour "entendre" mes vidéos...

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    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DU FILM BRITANNIQUE DE DINARD 2009 Pin it! 7 commentaires
  • In the mood for news 9 : l’actualité cinématographique de la semaine du 14 novembre 2007

    L’actualité bloguesque

    Comme promis dans le carnet de bord (dernière nouveauté du blog, dans la colonne de droite de ce blog, pour vous tenir régulièrement informés des infos à venir ou  pour lire de brèves infos exclusives, ou non, en direct, ou non,  essentielles ou dérisoires, mes billets d’humeur, mauvaise ou bonne…)

    Les films de la semaine recommandés par « In the mood for cinema »

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    Je vous recommande tout d’abord, « Once » de John Carney qui a reçu la mention spéciale du jury au dernier Festival du Film Britannique de Dinard. Extrait de mon compte-rendu du Festival :

    …Les voix comme des complaintes mélancoliques des deux acteurs principaux de « Once » de John Carney, un film dans lequel la musique cristallise les sentiments des deux personnages principaux (interprétés par Glen Hansard et Marketa  Irglova, dont les voix sont aussi justes que leur jeu), un film où la musique prend le pas sur les paroles et le scénario, mais qu’importe, ce film agit comme un argumentaire mélodieux  et irréfutable, et nous conquiert progressivement pour nous charmer totalement lors de sa dernière scène. Le cœur l’emporte sur la raison, là encore, sa sincérité, sa « passion et son courage » pour reprendre les mots de Josiane Balasko lors de la clôture lorsqu’elle leur a remis une « mention spéciale »  (tout en précisant qu’elle n’avait rien à leur offrir si ce n’était l’« amitié et l'admiration » du jury, cette mention spéciale créée pour l’occasion étant avant tout honorifique, et venant à point nommé pour ce film musical inclassable) l’emportant finalement sur ses faiblesses cinématographiques. Avant la projection, le toujours discret, passionné et dynamique   directeur du festival, Hussam Hindi, nous avait prévenus : après la projection nous serions enfermés dans la salle pour une surprise, déplorant malicieusement l’absence de l’équipe pour présenter le film. A peine la projection terminée, des notes de musique s’élèvent dans un silence recueilli et admiratif. Mes deux voisines, que je n’ai pas la malchance de connaître, donneuses de leçon, ayant bavardé pendant tout le début du film,  après avoir ponctué de leurs soupirs de lassitude la projection, de désabusés « et en plus ça marche » au regard de l’enthousiasme qui s’empare peu à peu du public faisant bientôt ressembler la salle de cinéma à une salle de concert et se terminant par une ovation mémorable, mes deux voisines donc, exhibant leur cynisme et leur indifférence comme une médaille, méprisant l’émotion des autres qui n’ont probablement pas compris ce qu’elles ont visiblement compris. Je me laisse emporter par mes émotions, par ce petit moment de magie fugace et délectable, faisant fi des sarcasmes de mes clairvoyantes voisines, me glorifiant de leur mépris, de leur  pseudo snobisme intellectuel, heureuse de n’être pas encore imperméable aux choix du cœur, et d’écouter parfois plus les sentiments que la raison, toute cinématographique soit-elle. Je vous laisse juges, pour voir la vidéo de ce mini concert, cliquez ici -un peu de partience, cette vidéo sera disponible ici demain-: (désolée pour la mauvaise qualité du son et des images…).

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    L’autre film recommandé par « In the mood for cinema" cette semaine : « De l’autre côté » de Fatih Akin, prix du scénario au dernier Festival de Cannes, quête d’identité, double culture, deuil, autant de thèmes forts et fragiles qui sont au centre de ce film  poignant et captivant au scénario d’une densité et d’une précision rares.

    J’attends également avec impatience le déjanté dernier Noémie Lvovsky « Faut que ça danse »  après l’enchanteur « Les sentiments ». Je vous en parle bientôt, ici, ainsi que du dernier film de Francis Ford Coppola « L’homme sans âge ».

    L’actualité box-office de la semaine

     « Les promesses de l’ombre » de David Cronenberg est en tête du box-office cette semaine avec 262572 spectateurs sur 256 salles  alors que Marc Esposito est arrivé à 1236873 spectateurs avec Le cœur des hommes 2.

    L’actualité générale

    -Les caméras subjectives organisées par les étudiants du Master Ciné Création de la Sorbonne reprennent avec, de nouveau, un générique prestigieux et éclectique (Alain Corneau, Luc Besson, Benoît Poelvoorde, Jan Kounen et Jean-Jacques Rousseau, Raoul Ruiz) et pour thème étrange cette année « Qu’est-ce qu’une star? ».

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     C’est toujours au Centre Saint-Charles, 47 rue des Bergers dans le 15ème arrondissement, et c’est toujours le mardi de 19H à 21H, entre le 27 novembre et le 8 janvier 2008. Programme détaillé, ici : http://cinecreation.paris1.free.fr/camera_programme0708.php

    -J’en profite pour signaler la sortie d’un ouvrage consacré aux Caméras subjectives organisées par la 1ère promotion du Master professionnel autour de la question des films à petit budget, avec Alain Cavalier, Pierre Chevalier, Raoul Coutard, Marin Karmitz, Claude Miller, Benoît Peeters et Gilles Sandoz.  Ces Caméras Subjectives sont publiées aux éditions du Rocher, en partenariat avec Arte, Ciné-Cinéma, France Culture, Les Inrockuptibles, Le Monde2. 

    -Les scénaristes de cinéma et de télévision américains poursuivent leur grève réclamant notamment plus de droits d’auteur quand leur œuvre est diffusée sur les téléphones portables ou les baladeurs numériques. Ils souhaitent également un pourcentage plus élevé de leurs droits d’auteurs sur les vidéos DVD et l’extension des tarifs syndicaux et des avantages sociaux. La grève intervient après plus de trois mois de négociations infructueuses. Ces revendications ont été rejetées par le puissant syndicat des producteurs américains. En 1988 les scénaristes s’étaient mis en grève pendant 22 semaines et ce conflit avait coûté environ 500 millions de dollars aux studios (source AFP) A quand une grève en France pour un cinéma moins formaté, pas forcément destiné à une diffusion à 20H30 sur une chaîne généraliste potentiellement frileuse ?

    A la semaine prochaine pour un nouveau numéro d’In the mood for news et en attendant retrouvez de nombreuses critiques inédites, avec demain, « Le rêve de Cassandre » de Woody Allen.

    Sandra.M