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ACTUALITE D'AUTEURE - Page 4

  • Festival Quartier du Livre 2020 : mes recommandations de livres et d'adaptations

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    Le Festival Quartier du Livre m'a fait l'honneur de me demander mes conseils de lecture...et de films adaptés de livres. Sur la page Facebook du festival (liens ci-dessous),  vous  trouverez  ainsi des conseils de lecture d'écrivains, de libraires et des coups de projecteurs sur des éditeurs.

    Un festival auquel j'ai donc ainsi le plaisir de participer virtuellement puisqu'il ne pourra avoir lieu comme prévu cette année en Mai. Son thème devait être cette année "La terre est une personne" (il sera repris l'an prochain).

    Pour ceux qui ne connaissent pas ce festival, sachez qu'il se déroule dans le quartier mythique de la littérature, celui de la Sorbonne, du Panthéon et du Quartier Latin.

    Pendant une semaine, le livre prend ainsi ses quartiers dans le 5ème arrondissement avec 250 manifestations littéraires (débats, signatures, performances artistiques).

    A retrouver sur la page Facebook du festival : https://www.facebook.com/quartierdulivre/,

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  • Mon texte du jour (sur le confinement) : L'IVRESSE DES NOMBRES

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    Petite nouvelle écrite hier soir, dictée par la colère, l’actualité, l’émotion de l'instant et inspirée par cette photo de la rue Férou datant de février 2020.

    Toute ressemblance avec la réalité ne serait pas fortuite.

    128339. 23293. 28055. 4608. 437* : comme une litanie glaçante.
    Connaissez-vous la rue Férou ? C’est une rue étroite qui serpente, comme un sas poétique, entre la place Saint-Sulpice et le Jardin du Luxembourg. C’est une rue qui invite aux secrets murmurés, qui incite aux élans rêveurs. Le temps s'y est arrêté. On y entendrait presque des fiacres résonner sur les pavés. On y apercevrait presque les ombres d’Hemingway, Apollinaire ou Prévert, quelques-uns des illustres écrivains qui y ont vécu. Rue Férou, c’est le décor de Minuit à Paris, ou tout comme, vous savez ce Paris de cinéma qui permet de croire à tout, même qu’il est possible au passé et au présent de se rencontrer et de s’étreindre. Sur le mur d’enceinte du si prosaïque Hôtel des Impôts, on peut y lire, en lettres calligraphiées, l’intégralité du poème d’Arthur Rimbaud, Le Bateau ivre. Geneviève l’a appris par cœur à l’école, il y a des décennies, et le relit chaque mercredi, lorsqu’elle monte le pas lourd mais le cœur léger la rue en direction du Jardin du Luxembourg. C’est là qu’elle croise parfois Stéphanie. Quarante ans les séparent. Stéphanie aussi aime bien la poésie. Elle trouve cela joli en lettres imprimées sur un t-shirt. Elle a d’ailleurs fait imprimer les premiers vers. Elle se demande tout de même à quoi ressemble un bateau ivre.

    Parmi les destinées rêveuses, harassées, pressées, Stéphanie a remarqué cette petite mamie aux rides souriantes et au regard d’une tendre espièglerie. Elle la voit aussi au Jardin du Luxembourg qui toujours s’assied sur le même banc et qui semble attendre quelqu’un. En ce lieu, chaque mercredi, pour Geneviève la réalité cède devant les rêves infinis. On devrait tous avoir en soi un lieu pour que les rêves, même impossibles et inavouables, puissent s’esquisser, non ? C’est ce qu’elle se dit, Geneviève, la rêveuse obstinée. Elle envie ceux dont le cœur est versatile. Le sien attend toujours, depuis 40 ans. Après tout, les rêves n’ont pas de rides… Elle revient chaque mercredi. Chaque mercredi depuis 40 ans sur ce même banc.

    Cela fait des semaines que Geneviève ne sort plus de chez elle. Confinée. Il fait chaud dans son petit studio sous les toits. Mais elle en a vu d’autres. Elle sait que c’est pour son bien, et surtout celui des autres. Ce cinquième mercredi depuis le début du confinement, elle a pourtant décidé de sortir, enfin, munie de son attestation, soigneusement remplie et tout aussi soigneusement pliée et rangée dans sa poche. Elle veut passer par la rue Férou, à quelques minutes de chez elle, voir si le bateau ivre y tangue toujours. Cela lui prendra moins d’une heure. Une heure peut changer une vie, elle le sait. Il avait suffi d’une heure sur un banc du Luxembourg pour que son cœur soit emporté, 40 ans plus tôt.

    Ce jour-là, c’est Stéphanie qu’elle croise. Elle aussi, elle sort rue Férou. Elle aussi, elle sort moins d’une heure. Pour la sixième fois de la journée. Stéphanie n’aime pas qu’on lui dicte sa conduite. Elle sourit à Geneviève. Elle se sent solidaire tout à coup. Geneviève ne sait pas résister à un sourire. La résistance, pourtant, elle connaît. Elle a résisté à tant d’autres choses dans sa jeunesse. Des ennemis aussi sournois, moins invisibles peut-être. Elle ne porte pas de masque, Stéphanie. Cela donne chaud, et ce n’est pas seyant. Elle se dit que ce sera la bonne action du jour, prendre des nouvelles de cette mamie, et puis elle a besoin de parler. Elle se sent utile. Forte. Invincible. Elle n’a peur de rien. Geneviève porte une vieille écharpe en guise de masque. L’écharpe glisse lorsqu’elle répond à cette femme qu’elle se souvient vaguement avoir déjà croisée et à qui elle en veut vaguement pour la distraire de ses rêves qui la conduisent en pensées sur son banc du Luxembourg dont les grilles sont tristement fermées.

    Stéphanie était fatiguée ce jour-là lorsqu’elle a croisé Geneviève. Elle ne se remet pas de cette soirée de la semaine précédente. Elle avait reçu des amis dans son appartement. Une petite fête, rien de bien méchant. C’est interdit, mais Stéphanie est le courage incarné, elle n’a peur de rien, et elle ne supporte pas d’être seule. Elle se sent l’âme révolutionnaire. Elle a toujours été la rebelle de la famille. Qu’est-ce qu’ils ont pu rire ce soir-là de Bertrand qui toussait un peu. La blague sur le covid n’a pas fini d’animer les dîners en ville. Oui, Stéphanie est invincible. Cette maladie tue des vieux, surtout. Plus du tiers des victimes le sont dans des ehpads. Ça la rassure. C'est dans sa logique des choses. La mort est une chimère, une légende qu'on raconte aux enfants pour leur faire peur.

    En montant vers le Luxembourg, une semaine plus tard, devant Le Bateau ivre, Stéphanie se dit qu’elle ne croise plus cette petite mamie, celle du banc, celle qu’elle voyait parfois lire le poème. Elle se dépêche. 20h approche. L’heure d’applaudir à sa fenêtre. Elle aime bien ce moment qui est une insulte au silence assourdissant, à sa solitude, à ce printemps aux accents d’hiver sans fin. Cela lui donne l’âme résistante. Alors elle crie (moins fort ce jour, elle se sent faible). Tous ces soignants quand même, aussi, il faut penser un peu à eux, se dit-elle, fière de se sentir soudainement altruiste.

    Finalement, elle a commandé un masque, Stéphanie. En tissu Liberty. Elle trouve cela seyant, ce sera joli sur les selfies. Elle attend le 11 mai impatiemment. Ce sera la fête. Le virus aura disparu comme par magie. Elle pourra aller se pavaner avec son masque. Aller chez la manucure, aussi. Elle a déjà pris son rendez-vous. Elle a le sens de l’essentiel. Et puis, ce n'est pas si mal ce confinement après tout : elle a appris à faire du pain et la méditation (cela la stresse tellement tout ça, surtout parce qu’elle a dû annuler des vacances aux Maldives, cela faisait deux mois au moins qu'elle n'en avait pas pris, vous rendez-vous compte ?). Enfin officieusement. Officiellement, elle a relu A la recherche du temps perdu, appris le Mandarin, et s’est entrainé pour le marathon de Paris.

    Elle se dit qu’il ne faudra pas oublier de le photographier pour instagram avec le masque Liberty, son exemplaire d’A la recherche du temps perdu (il faudra aussi aller l’acheter pour l’occasion, pourquoi pas chez un bouquiniste, un exemplaire vieilli, ce sera encore plus photogénique). Aux infos, ils commencent à parler des vacances d'été, ils ne parlent d’ailleurs presque plus que de ça. Cela rassure Stéphanie. Moins de ces images de service de réanimation. Elle en était é-pui-sée. Elle met des petits RIP sur son facebook avec le petit smiley pour bien qu'on comprenne que tout cela la révolte (elle a dû annuler ses vacances à cause de cette satanée maladie de vieux tout de même).

    Elle se demande pourquoi elle ne voit plus la petite mamie au regard espiègle. Elle allait bien dans le paysage. Et cela aurait fait joli sur son selfie avec le masque Liberty et l’exemplaire (à acheter) de Proust.

    Cela fait deux semaines maintenant que Le Bateau ivre n’a plus vu passer Stéphanie. Elle ignorera toujours que ce poème célébrait l’ivresse du départ, l’euphorie et le désir de liberté, elle qui semblait en être tant éprise au point de nier celle des autres. Elle ignorera toujours que, dans le poème de Rimbaud, ce désir de liberté laisse place au désenchantement. Et que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Geneviève non plus ne passe plus devant le bateau ivre. Ivre à jamais de son absence.

    Quelque part à Paris, le Professeur Salomon arrive avec les chiffres du jour. Il se racle la gorge. Il faut les énoncer clairement. Il est fatigué. Il se trompe. De deux. 435. Il voit bien qu’il est écrit 437 sur sa fiche. Mais 2, qu’est-ce que cela change ? Une Stéphanie. Une Geneviève. En plus une nonagénaire dans le lot, c’est la logique des choses. Un de plus, un de moins. Oui, qu'est-ce que cela change ? Et puis, il se félicite, le nombre d’arrivées en réanimation baisse. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    Le bateau ivre tangue toujours de ses mots ensorcelants. Rimbaud avait 17 ans quand il a écrit le Bateau ivre. Le talent n’attend pas le nombre des années. La maladie et l'égoïsme ne s'arrêtent pas au nombre des années, non plus. Geneviève n'existe pas. Stéphanie non plus. Mais, au fond, elles existent sûrement. Vous pouvez inverser les destins, remplacer Geneviève par Stéphanie, ça marche aussi.

    Essayons de ne pas oublier que derrière cette litanie glaciale, derrière chaque chiffre froidement énoncé se cachent des réalités et des destins brisés. Et que si des lits se libèrent, ce n’est pas parce que leurs occupants sont partis gambader joyeusement dans la campagne (ou au Jardin du Luxembourg, en passant ou non par la rue Férou).

    *Ces chiffres sont ceux de ce 27 avril 2020 en France, énoncés dans cet ordre : cas de Covid-19/Morts/Hospitalisés/ En réanimation/Morts du jour.

    #restezchezvous #confinementjour42

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  • Un peu de lecture... : 8 de mes textes à découvrir dont 6 gratuits et en accès libre

    Un peu de lecture(s) ...L’écriture et la lecture sont plus que jamais des évasions salvatrices en ces jours dramatiquement historiques alors je vous propose quelques textes  :

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    1/8 Je viens ainsi de participer à l’appel à textes du site Short Édition avec pour consignes d’écrire un texte de moins de 8000 signes et en moins de 72 heures sur le thème "Un peu d'air", et de ne pas parler du coronavirus (la tentation était certes grande). Une nouvelle qui s’intitule « L’air suffisant » à lire ici (gratuite et en accès libre) :
    https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/lair-suffisant.
    Et si cela vous amuse, vous pouvez bien entendu commenter sur Short Édition, sous la nouvelle, et/ou voter.

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    2/8  Vous pouvez toujours lire ma nouvelle sélectionnée pour le Grand Prix du Court de Short Édition. Une nouvelle qui s’intitule « L’homme au gant », qui m'a été inspirée notamment par le tableau éponyme du Titien mais aussi par des lieux parisiens où m’embarquent souvent mes flâneries rêveuses (enfin m'embarquaient) et que je trouve si romanesques :  le Jardin du Palais Royal, la rue de Furstenberg, l'Académie française, le Louvre...Une nouvelle également gratuite en accès libre à lire ici : https://short-edition.com/fr/oeuvre/nouvelles/lhomme-au-gant.

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    3/8 Vous pouvez également toujours lire ma nouvelle sélectionnée par l'Institut Curie et Short Édition suite à l’appel à textes sur le cancer lancé l’an passé avec pour condition de s’exprimer autour de cette citation, plus que jamais d’actualité, « La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » : https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/la-voleuse-de-reves-2

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    4/8 Vous pouvez également toujours lire mon recueil de 16 nouvelles sur le cinéma "Les illusions parallèles" : https://www.editionsdu38.com/fiction-contemporaine/les-illusions-parall%C3%A8les/

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    5/8 Vous pouvez encore découvrir  "Une bouteille à la mer", ma nouvelle lauréate du concours Nouveaux talents des Éditions J'ai Lu présente dans le recueil "Sur un malentendu, tout devient possible" avec celles deux 10 autres lauréats (Editions J'ai Lu, 2019) : https://livre.fnac.com/a13706952/Collectif-Sur-un-malentendu-tout-devient-possible
     
    6/8 Toujours en ligne et gratuite ma nouvelle "Faits divers" présente sur le site Short Édition (prix du jury et aussi présente dans un des recueils de Short Édition) : https://short-edition.com/fr/oeuvre/nouvelles/faits-divers-10
     
    7/8 Également toujours en ligne, ma nouvelle "L'être romanesque", prix du jury, aussi présente dans un des recueils de Short Édition, en accès libre ici : https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/l-etre-romanesque
     
    8/8 Vous pouvez aussi me retrouver en feuilleton de 6 épisodes dans le Quotidien du médecin. J'y rends hommage aux infirmières en soins palliatifs auxquelles je pense plus que jamais en ce moment.
     
    Et en guise de bonus, une courte interview (photo ci-dessous) dans laquelle je vous parle de mes goûts littéraires, à lire dans le magazine Tranzistor. Évidemment, l'"animal lectrice" que je suis aurait voulu  citer beaucoup d'autres auteurs et livres ! Pour ma critique complète du dernier livre que j'évoque dans l'interview, c'est ici : http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2016/10/24/litterature-un-homme-cruel-de-gilles-jacob-grasset-5865065.html
     

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    Bonnes lectures et surtout RESTEZ CHEZ VOUS !!
     
     
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  • Des nouvelles de mes nouvelles : ma nouvelle pour Octobre rose et l'Institut Curie avec Short Edition

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    Alors que le recueil de nouvelles des Editions J'ai Lu, Sur un malentendu, tout devient possible (comprenant les 11 nouvelles des 11 lauréats du concours Nouveaux Talents lancé par les Editions J'ai Lu pour les 60 ans de la maison d'édition) est à l'honneur dans les librairies pour Noël, c'est d'une autre nouvelle dont je viens vous parler aujourd'hui (ci-dessous la photo avec les autres lauréats).

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    Je vous parle ainsi souvent du site Short Edition (site de littérature courte qui propose souvent des concours de nouvelles et édite aussi désormais des recueils, vous pouvez d'ailleurs trouver deux de mes nouvelles lauréates dans deux de leurs recueils comme celui ci-dessous).
     

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    Récemment, un appel à textes a été lancé par Short Edition en partenariat avec l'Institut Curie dans le cadre d'Octobre rose. L'Institut à Saint-Cloud a ainsi mis à disposition des malades du cancer un Distributeur d'Histoires Courtes de Short Édition et, sur son site de Saint-Cloud, avec le soutien institutionnel de Roche et en partenariat avec Short Édition, a choisi d’organiser un appel à textes afin d’alimenter le Distributeur d’Histoires Courtes avec des histoires écrites par toutes les personnes touchées par le cancer (malades, soignants, proches).

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    Si je vous en parle aujourd'hui, c'est parce que ma nouvelle "La voleuse de rêves" fait partie des nouvelles et poèmes sélectionnés par le jury qui ont été lus à l'Institut Curie par un comédien et imprimés sur papyrus via le Distributeur d'Histoires Courtes de l'Institut Curie. Short Édition m'a également contactée pour me dire que mon texte sera diffusé à plus large échelle dans leurs autres Distributeurs d'Histoires courtes. Puisse cette nouvelle changer ne serait-ce qu'un regard sur ce que vivent les accompagnants et bien sûr les malades...et éviter certaines maladresses parfois douloureuses.
     
    Ce choix du jury m'émeut évidemment car évoquer ce sujet me tenait particulièrement à cœur, même si je l'ai déjà fait ailleurs dans mon roman "L'amor dans l'âme". Je tenais à parler à nouveau du ressenti des proches comme je le fus de 2011 à 2013.
     
    Il s'agissait d'écrire un texte de 8000 signes espaces compris sur ce thème du cancer et s'inspirant de cette citation : « La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » 
     
    Ma nouvelle intitulée "La voleuse de rêves" ici :
     
     

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    Vous pouvez retrouver les distributeurs de Short Édition un peu partout en France et à l'étranger (entreprises, gares etc) et même dans le café de  Coppola à San Francisco ("parrain" américain de Short Édition à sa demande). 
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  • Sortie du recueil "Sur un malentendu, tout devient possible" (Editions J'ai Lu - 11 auteurs, 11 nouvelles)


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    Le recueil des 11 nouvelles des 11 lauréats du concours Nouveaux Talents des Éditions J'ai Lu sort ce 13 novembre en librairie. Vous y retrouverez ainsi ma nouvelle lauréate "Une bouteille à la mer" ainsi que les nouvelles des 10 autres lauréats. Une nouvelle qui présente la particularité de tourner autour du texte d'une chanson inventée pour l'occasion. 543 pages tendrement drôles pour rêver et vous évader. Le cadeau de Noël idéal ! Pour rappel, ce concours de nouvelles avait eu lieu en mai 2018 à l'occasion des 60 ans des Editions J'ai Lu, une belle maison que je suis heureuse et fière d'intégrer.
     
    Quatrième de couverture :
     
    "Lorsque l'amour survient, nous le recevons comme un cadeau du ciel. Mais nous ne sommes pas tous bénis des dieux. Alors qui, dans les affaires de cœur, refuserait un petit coup de pouce du destin ? Dans ce recueil de nouvelles, c'est un malentendu qui s'immisce dans la vie des personnages, bouleverse leurs routines et leur ouvre les portes de l'inattendu. Voici onze variations subtiles et drôles sur les petits arrangements avec le hasard, un concentré vitaminé de bonne humeur, concocté par des auteurs français à découvrir absolument ! Sur un malentendu, tout devient possible ! rassemble les nouvelles des lauréats du concours Nouveaux Talents : Alex d'Aboise, Laura Bennevault, Carole Cerruti, Fanny Gayral, Caro Manaël, Déborah J. Marrazzu, Sandra Mézière, Audrey Perri, Amélie Petitpas, Colombine Rosier et Gala de Spax."
     
    Pour commander le recueil (disponible un peu partout en librairies) :
     
    https://livre.fnac.com/a13706952/Collectif-Sur-un-malentendu-tout-devient-possible?Origin=fnac_google
     
    Et si vous aimez lire des nouvelles, vous pouvez toujours lire mon recueil de 16 nouvelles sur le cinéma "Les illusions parallèles" (Éditions du 38) :
     
    https://livre.fnac.com/a10120131/Sandra-Meziere-Les-illusions-paralleles.
     
    Et pour ceux qui lisent en numérique, sachez que mon roman au coeur du Festival de Cannes "L'amor dans l'âme" (Éditions du 38) est à 1,99 euros pendant 38 jours sur toutes les plateformes numériques.
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  • Des nouvelles de mes nouvelles (2)

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    Entre deux romans que je viens de terminer, un troisième (et donc le cinquième) que je commence -je ne peux pas vous en dire plus pour le moment…-, le temps me manque un peu pour vous parler de cinéma (même si je continue à le faire au quotidien sur Instagram sur mon compte @Sandra_Meziere), sans compter que je participe aussi régulièrement à des concours de nouvelles sur le site Short Edition. Si vous ne connaissez pas Short Édition, je vous encourage vraiment à découvrir ce site dédié aux amoureux des mots et des textes courts. Des distributeurs de nouvelles sont présents un peu partout en France (gares, entreprises, Ministères etc) et même dans les locaux de Francis Ford Coppola aux Etats-Unis. Des distributeurs existent en effet aussi à l'étranger. Les nouvelles de certains lauréats sont ainsi traduites en anglais et en allemand, comme ce fut le cas pour ma nouvelle "L'être romanesque" (que vous pouvez lire, ici).

    Short Edition publie aussi désormais des recueils de nouvelles en papier, une de mes nouvelles lauréates (toujours "L'être romanesque") qui avait été lauréate du prix du jury est ainsi présente dans un de leurs recueils (photo ci-dessus).  Vous pouvez commander les recueils Short Edition, ici.

     

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    En décembre dernier,, ma nouvelle "Faits divers" était lauréate du Grand Prix du Court Hiver 2018-2019 de Short Edition. Vous pouvez la lire, ici.

    Pour ceux qui ne connaissent pas Short Edition et ce prix, le concept est simple : il s'agit d'un concours permanent dont les sélections se font chaque saison. Vont en finale les textes en tête des votes du public ou en tête des votes du jury. Les compteurs sont remis à zéro pour la finale. L'œuvre qui a reçu le plus de votes pendant la finale est lauréate des internautes dans sa catégorie. L'équipe éditoriale de Short Editin, en s'appuyant sur les avis du Comité de lecteurs, choisit ainsi 4 à 6 œuvres qui constitueront le Prix du jury (comme ce fut le cas avec ma nouvelle "L'être romanesque"  et donc de ma nouvelle "Faits divers"). 

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    8H08. 14H14. 9H35. 12H14. 6000.
    - 8H08, l'heure du début du concours de nouvelles "La Matinale en Cavale" de Short Edition , un matin de janvier, et l'heure à laquelle le thème du concours était dévoilé.
    - 14H14, l'heure de fin du concours. - 9H35, l'heure à laquelle j'ai commencé.
    - 12H14, l'heure à laquelle j'ai terminé de l'écrire.
    - 6000, le nombre maximum de caractères autorisés. Voici le règlement du concours : " Alors nous vous proposons d’écrire des histoires d’amour... les tristes comme les heureuses, les mignonnes et les désabusées, les effrayantes, les audacieuses, mais surtout les jamais vues ! Le tout en s’inspirant du thème : « Apparition ». Histoires de fantôme ou histoires de rencontre, d'objets maudits ou d'objets étranges issus du monde réel ou d'un univers parallèle : tout est sujet aux apparitions ! Imaginez des personnages qui se découvrent, se coup de foudrent, qui apparaissent (ou disparaissent) en chair, en os... ou bien autrement !"
     
    Et voici ma nouvelle intitulée "Les magiciens" (vous pouvez bien sûr commenter et/ou voter).

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    Et vous pouvez aussi  commenter une autre de mes nouvelles qui était en lice pour le concours "Exister", une nouvelle intitulée "L'armée des ombres" : https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/larmee-des-ombres-1
     
    Puisque de nouvelles il est question, sachez que vous pourrez me lire fin 2019 dans le recueil des lauréats du concours Nouveaux Talents des Éditions J'ai Lu, préfacé par le président du jury Gilles Legardinier. Je vous en parlerai bien entendu prochainement ici.

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    En attendant, vous pouvez aussi bien sûr toujours lire mes roman L'amor dans l'âme et Les illusions parallèles (Editions du 38) qui viennent d'être réédités avec de nouvelles couvertures. Bonne lecture !

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  • Bientôt publiée aux Editions J'ai Lu : lauréate du concours Nouveaux Talents

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    J'ai le grand plaisir de vous annoncer que je fais partie des lauréats du concours d’écriture Nouveaux Talents des Éditions J'ai Lu (avec 9 voix sur 11) avec ma nouvelle Une bouteille à la mer.

    Le concours, proposé à l'occasion des 60 ans des Editions J'ai Lu, consistait à écrire une nouvelle (comédie romantique contemporaine) de 50000 à 70000 signes (espaces non compris) sur le thème "Sur un malentendu". Je gagne ainsi une publication sous forme de recueil de nouvelles collectif au sein de Lj, nouveau label de comédies romantiques de la célèbre maison d'édition.

    Les 11 lauréats du concours d’écriture Nouveaux Talents ont été choisis par un jury de professionnels de l’édition, sous la présidence de Gilles Legardinier.

    J'espère que ce beau coup de projecteur vous donnera aussi envie de découvrir mes livres publiés par Les Éditions du 38, mon recueil de 16 nouvelles Les illusions parallèles et surtout mon roman L'amor dans l'âme.

    Je partagerai bien sûr ici les étapes de cette magnifique aventure à laquelle je suis ravie de participer. À bientôt pour la suite et notamment pour la remise des prix !

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