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FESTIVAL PARIS CINEMA 2010 - Page 2

  • Festival Paris Cinéma 2010 (épisode 1) : une ouverture teintée de la savoureuse gravité légère de Woody Allen

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    Hier soir, au cinéma Gaumont Opéra, avait lieu l’ouverture du Festival Paris Cinéma 2010 avec, en plus de la Présidente du festival Charlotte Rampling et du Maire de Paris, un invité de marque : Woody Allen, actuellement en tournage à Paris, venu présenter « Vous aller rencontrer un bel et sombre inconnu » ( « You will meet a tall dark stranger »), en présence également de Marisa Berenson, Hippolyte Girardot, Rosanna Arquette entre autres invités du festival. N’ayant pas été autant enthousiasmée par ce film-ci que par les précédents Woody Allen lors de ma première vision de celui-ci au dernier Festival de Cannes dans le cadre duquel le film était présenté hors compétition, je redoutais l’ennui d’une deuxième projection.

    Est-ce le plaisir d’avoir vu et entendu Woody Allen présenter le film- en Français s'il vous plaît- (cf  vidéo n°4 ci-dessous) avec, à l’image de ce qui imprègne ses films,  un humour noir et décalé pudiquement et intelligemment dissimulé derrière une apparente légèreté ? Est-ce le plaisir de débuter ces 14 jours d’immersion festivalière en joyeuse compagnie ? Toujours est-il que j’ai été totalement charmée par ce « You will meet a tall dark stranger », davantage que lors de la première vision, la frénésie cannoise et l’accumulation de projections ne permettant peut-être pas toujours de vraiment déguster les films.

     Moins concentrée sur l’intrigue que je connaissais déjà (voir ma critique du film en bas de cet article), j’ai pu focaliser mon attention sur tout ce qui fait des films de Woody Allen des moments uniques et de l’ensemble de son cinéma un univers singulier. J’ai été envoûtée par la photographie lumineuse et même chaleureuse comme un écho visuel à cette légèreté avec laquelle Woody Allen voile pudiquement la gravité de l’existence. Le jeu des acteurs (et la direction d’acteurs) m’a bluffée (avec une mention spéciale pour Lucy Punch, irrésistible) ou comment dans un même plan fixe avec deux comédiens, grâce à son talent de metteur en scène, de directeur d’acteurs et de dialoguiste il fait passer une multitude d’émotions et rend une scène dramatique irrésistiblement drôle ou une scène comique irrésistiblement dramatique, parfois les deux dans le même plan. L’art du montage et du récit, ou comment en quelques plans d’une fluidité remarquable, il parvient à nous raconter une rencontre qui préfigure l’avenir des personnages. Le mélange de lucidité et de tendresse, sur ses personnages et la vanité de l’existence. Les dialogues savoureux, tendrement cyniques. Une sorte de paradoxe que lui seul sait aussi brillamment manier : un pessimisme joyeux. Une lucidité gaie.

     Woody Allen n’a décidément pas son pareil pour nous embarquer et pour transformer le tragique de l’existence en comédie jubilatoire. En ressortant du cinéma, après ce régal cinématographique, l’air de Paris était  à la fois lourd et empreint d’une clarté éblouissante et de rassurantes illusions comme un écho à la gravité légère de Woody Allen à l’image de laquelle, je l’espère, seront ces 13 jours de festival. A suivre !

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    Retrouvez mon dossier consacré à Woody Allen avec de nombreuses critiques de films, une filmographie etc.

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    Ci-dessous ma critique de « You will meet a tall dark stranger » suite à la projection cannoise:

     Fidèle à son habitude Woody Allen  a préféré le confort d'une sélection hors compétition aux « risques » de la compétition. Lui qui faisait pourtant l'apologie de la chance dans « Match point » ne semble pas être si confiant en la sienne. Pour une fois, il n'a peut-être pas eu totalement tort... Après sa remarquable trilogie britannique ( « Match point » -qui reste pour moi la perfection scénaristique-, « Scoop », « Le Rêve de Cassandre »), après son escapade espagnole avec « Vicky Barcelona », Woody Allen était déjà revenu aux Etats-Unis avec le très réussi « Whatever works », il revient donc à nouveau à Londres (on retrouve aussi un air d'opéra qui nous rappelle « Match point »), cette fois pour une comédie.

    Synopsis : les amours croisés de différents personnages tous à une époque charnière de leurs existences qui aimeraient tous avoir des illusions sur leur avenir et d'une certaine manière croire qu'ils vont rencontrer un mystérieux inconnu (a tall dark stranger) comme le prédit Cristal la voyante de l'une d'entre eux. Avec : Josh Brolin, Naomi Watts, Anthony Hopkins, Antonio Banderas, Freida Pinto (« Slumdog Millionaire »)...

    Même un moins bon film de Woody Allen comme l'est celui-ci (mais on peut bien lui pardonner avec les films brillants qu'il a accumulés ces derniers temps) reste un moment savoureux avec des dialogues rythmés et caustiques et une mise en scène toujours  alerte et astucieuse et de très beaux plans séquences.

    « C'est la vitalité » disait François Truffaut du cinéma de Claude Sautet. Il aurait sans doute également pu attribuer ce terme au cinéma de Woody Allen. Cette vitalité, cette apparente légèreté cherchent pourtant comme toujours à dissimuler et aborder la fragilité de l'existence que ce soit en évoquant la mort avec une pudique désinvolture (certes ici prétexte à des scènes de comédie) ou la pathétique et touchante course contre le temps (remarquable Anthony Hopkins, ici sorte de double du cinéaste qui s'amourache d'une jeune « actrice » qu'il épouse). 

    Woody Allen croque ses personnages à la fois avec lucidité et tendresse pour nous donner une sorte de conte sur la manière de s'arranger avec la vanité de l'existence, qu'importe si c'est avec des illusions. Ce film illustre à nouveau très bien cette lucide phrase du cinéaste citée par Kristin Scott Thomas lors de l'ouverture du festival (« L'éternité, c'est long ... surtout vers la fin »).

    Une fantaisie pétillante beaucoup moins légère qu'elle n'en a l'air mais aussi moins pessimiste puisque chacun trouvera un (certes fragile) nouveau départ, le tout illuminé par une très belle photographie et des acteurs lumineux.  Vous auriez tort de vous en priver !

     

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  • Ouverture du Festival Paris Cinéma 2010 avec Woody Allen, ce soir : suivez mes pérégrinations de jurée sur ce blog du 1er au 14 juillet

     

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    Vous le savez, je fais partie du jury blogueurs du Festival Paris Cinéma 2010. Je me réjouis de cette nouvelle expérience immersive dans un festival de cinéma, 12 ans après avoir fait partie d’un jury pour la première fois, dans cette même ville (comme je vous le racontais, ici). Je vous ferai donc partager mes pérégrinations au jour le jour, en vous conseillant également quotidiennement les films à voir. Vous pouvez d’ores et déjà trouver ici des articles consacrés à certains films projetés dans le cadre du festival (voir liens plus bas).

     Le coup d’envoi sera donné ce soir avec  la projection de « You will meet a tall dark stranger » de Woody Allen (cliquez ici pour lire ma critique du film et accéder à mon dossier consacré à Woody Allen), en sa présence. Vous pourrez bien entendu lire ici dès demain le compte rendu de cette soirée et d’ores et déjà la critique du film que j’avais vu à Cannes à l’occasion de sa programmation hors compétition.

    13 jours qui s’annoncent particulièrement riches pour Inthemoodforcinema.com puisque, comme je vous l’annonçais dans l’article précédent, j’aurai également le plaisir d’interviewer une partie de l’équipe d’ « Inception » de Christopher Nolan, la semaine prochaine.

     Dans les liens ci-dessous vous trouverez également toutes les informations pratiques pour plonger vous aussi « In the mood for Paris cinema » !

     Rendez-vous ici demain pour le premier épisode de mes mésaventures de jurée…

    "L'autre monde" de Gilles Marchand

    "La Poursuite impitoyable" d'Arthur Penn

    Ma sélection de films du Festival Paris Cinéma 2010 à ne pas manquer

    Conférence de presse du Festival Paris Cinéma, programme et informations pratiques

    Site officiel du Festival 

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  • "L'autre monde" de Gilles Marchand: critique, bande-annonce et nouvel extrait

    autre9.jpgAvant le début du Festival Paris Cinéma 2010 et de mes comptes rendus en direct, je poursuis la présentation des films qui seront projetés dans le cadre du festival avec, aujourd'hui, "L'autre monde" de Gilles Marchand qui sera projeté le jeudi 8 juillet, au mk2 Bibliothèque, à 21H15 et  présenté par le réalisateur ainsi que les comédiens Louise Bourgoin, Pauline Etienne, Melvil Poupaud et les productrices Carole Scotta et Caroline Benjo. (Sortie en salles: le 14 juillet)

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    Alors que le virtuel prend de plus en plus le pas sur le réel ou en tout cas fait partie intégrante de nos existences, le cinéma s'empare de plus en plus du sujet, thème d'ailleurs récurrent de ce Festival de Cannes 2010. Gilles Marchand réalise là son deuxième long après « Qui a tué Bambi »  qui, comme « L'Autre monde » sélectionné hors compétition du Festival de Cannes 2010, figurait en sélection officielle du Festival de Cannes (2003). Gilles Marchand est avant tout scénariste, notamment des films de Dominik Moll dans lesquels une situation ordinaire dérapait déjà toujours vers une réalité déroutante. Déjà vers un autre monde.

    L'été dans le Sud de la France. Gaspard (Grégoire Leprince-Ringuet) vient de tomber amoureux de Marion (Pauline Etienne.) Il partage son temps entre cette dernière et ses deux meilleurs amis. Mais un jour, alors qu'il se trouve avec Marion, il va tomber par hasard sur un portable égaré, celui d'Audrey (Louise Bourgoin). Les jeunes amoureux vont alors aller à un rendez-vous donné sur le portable d'Audrey.  Gaspard ne peut s'empêcher d'être attiré par cette jeune femme belle, sombre et double. Gaspard découvre que sur un jeu en réseau « Black hole » Audrey est Sam. Gaspard se crée à son tour un avatar pour la rejoindre.  La vie de Gaspard va alors basculer. Dans L'Autre Monde...et dans celui-ci.

    L'écueil à éviter était de tomber dans le film pour jeunes ou uniquement destiné aux amateurs de jeux vidéos. Un écueil intelligemment contourné par un scénario qui mêle judicieusement l'univers réaliste et lumineux de la réalité par lequel le film commence, à celui inquiétant et sombre de l'univers virtuel dans lequel il nous plonge progressivement. Si les adultes ou du moins les personnes responsables sont peu présentes, (à l'exception du père de Marion, autoritaire et menaçant) chacun peut  néanmoins s'identifier à Grégoire Leprince Ringuet qui incarne un jeune homme normal et heureux qui perd progressivement le sens des réalités.

    Par un habile jeu de mise en abyme, le frère d'Audrey (Melvil Poupaud) est d'une certaine manière le double du scénariste/réalisateur et le spectateur celui de Gaspard puisque le film le plonge lui aussi dans un « autre monde » sur lequel il désire en savoir davantage et puisqu'il est lui aussi manipulé par le réalisateur/démiurge comme l'est Gaspard. Le film joue sur la tentation universelle de fuir la réalité que ce soit par le cinéma ou en s'immergeant dans un univers virtuel. Audrey/Sam symbolise à elle seule cet autre monde, celui du fantasme, et des tentations adolescentes de jouer avec son identité et avec la mort. Un monde de leurres, ici aussi troublant, fascinant que malsain. Un univers factice qui donne une illusion d'évasion et rejaillit sur la réalité. Un monde qui a pour seul loi les désirs, érotiques et/ou morbides. Que serait un monde sans morale et sans loi ? Black hole. Un trou noir.

     Sans être moraliste (et heureusement), le film met en garde contre ces univers virtuels dans lesquels mourir se fait d'un simple clic et où jouer avec la vie devient un jeu enfantin. Le sens, absurde, de cette réalité virtuelle se substitue alors au sens des réalités et la mort, mot qui perd alors tout sens, devient un jeu dans la vie réelle comme dans cette scène où les amis de Garspard se placent devant des voitures lancées à vive allure.

     « Black hole » c'est à la fois l'évasion et le paradis (heaven comme le tatouage que porte Audrey) mais Heaven symbolise aussi cet univers de perdition dans lequel Audrey est Sam. Un univers auquel les images d'animation procurent une beauté sombre et troublante.

    Par une réalisation fluide, Gilles Marchand nous embarque nous aussi dans un autre monde, un monde de contrastes entre luminosité et noirceur, entre film réaliste et archétypes du film noir (avec sa femme fatale et ses rues sombres de rigueur), un monde dangereusement fascinant, sombre et sensuel comme cette plage noire, purgatoire où se retrouvent les morts de « Black hole ».

    Louise Bourgoin est parfaite en fragile femme fatale, sensuelle et mystérieuse face à un Grégoire Leprince-Ringuet dont la douceur et la normalité semblent à tout instant pouvoir basculer, un être lumineux dont « Black hole » va révéler les zones d'ombre. Pauline Etienne est elle aussi parfaite en jeune fille enjouée et fraîche qui connaît ses premiers émois amoureux.

     « L'Autre monde » est une brillante mise en abyme,  un film  sur le voyeurisme, la manipulation, la frontière de plus en plus étroite entre réel et virtuel qui  plonge le spectateur dans un  ailleurs aussi inquiétant que fascinant, un film haletant, savamment « addictif » comme « Black hole », qui nous déroute et détourne habilement de la réalité. Un film que je vous recommande vivement !

    En introduction à la projection, Gilles Marchand a ainsi précisé que le rapport du joueur au jeu, à l'écran l'avait toujours intrigué : « Les choses qui se passent dans le monde virtuel me paraissent particulières à notre époque et universelles. Ce qui m'intéressait c'était d'avoir une narration fluide et un montage parallèle entre ces deux mondes. Second life a fait partie de l'inspiration. Le fait qu'il n'y ait pas de but précis dans le jeu m'intéressait. On était entre le réseau social et le jeu. Ce qui m'intéressait aussi c'était le parcours de Gaspard, son hésitation entre deux femmes, deux archétypes de femmes ».

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  • Festival Paris cinéma 2010- « La poursuite impitoyable » ( The Chase) d’Arthur Penn (1966) avec Marlon Brando, Robert Redford, Jane Fonda…

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    A l’occasion du Festival Paris Cinéma 2010 dont Jane Fonda sera l’invitée d’honneur, je vous propose de découvrir un des films incontournables projeté en son hommage dans le cadre du festival.  Il s’agit donc d’un film de 1966 réalisé par Arthur Penn (« Bonnie and Clyde », « Little big man », « Georgia »…).

    Synopsis : Bobby Reeves (Robert Reford) s’évade du pénitencier avec un dangereux criminel quelques mois avant sa libération et se retrouve dans sa ville natale, une petite ville du Texas, alors qu’il souhaitait initialement fuir vers le Mexique. Entre le shérif  Calder (Marlon Brando) qui souhaite le protéger des autres habitants, sa femme (Jane Fonda) et son amant qui est à la fois un ami d’enfance de Bobby et le fils de Val Rodgers, un richissime propriétaire, sans compter d’autres habitants qui n’ont pas la conscience tranquille, l’annonce de son évasion et son retour imminent mettent toute la population en émoi…

    Un an avant « Bonnie and Clyde », Arthur Penn pose les premiers jalons du renouveau du cinéma américain. « La poursuite impitoyable » est certes en apparence relativement classique dans sa forme mais l’atmosphère de décadence dans lequel il baigne dès le début et qui ira crescendo tout au long du film est déjà annonciatrice d’un changement qui se matérialise par une scène de lynchage d’une violence et d’un réalisme radicaux pour l’époque.

     Lors d’une soirée de fête interminable, Bobby devient la proie d’une population paranoïaque et haineuse. A ces figures d’une classe moyenne et d’une bourgeoise sur lesquelles il porte un regard sans concessions, Arthur Penn oppose  le shérif incorruptible qui cherche avant tout à protéger  Bobby, et ce dernier que cette société semble avoir enfanté, écorché vif malchanceux voué à un triste sort.

    Dans cette ville enivrée par l’alcool et par la haine, des passions et des rancœurs vont éclater au grand jour. La tension monte progressivement jusqu’au paroxysme final lors duquel la ville s’embrase comme prise d’une folie meurtrière face à laquelle Bobby, pourtant visiblement instable, semble finalement incarner une forme de raison.

    « La poursuite impitoyabe » dresse un tableau peu glorieux de la classe moyenne et de la bourgeoisie de cette petite ville du Texas. Racistes, menteurs, lâches, cyniques. Tel est le portrait de ces habitants sans parler de cet argent avec lequel Val Rodgers imagine tout pouvoir acheter. La peur et l’alcool mais aussi l’ennui font tomber les masques et laissent apparaître de pitoyables visages. Bobby va devenir une bête traquée et sa fuite désespérée la macabre attraction des ces Texans oisifs. Arthur Penn dénonce ainsi la violence aveugle d’une foule grégaire. Face à elle le shérif représente l’intégrité, la tolérance, l’humanité et la justice que la population en furie essaiera très significativement de défigurer. Pour ne plus voir la noblesse de ce visage qui s’oppose à la médiocrité du sien ?

    Au milieu de ce triste tableau, les personnages de Robert Redford et Jane Fonda émergent comme les êtres les plus purs et naïfs alors que la société corrompue, sinistrement cynique les marginalise et les condamne.

    Un film pessimiste qui à travers cette petite ville du Texas décadente dresse un tableau tristement universel et intemporel d’une ville de province, néanmoins illuminé par les présences de ses acteurs principaux qui y apportent leur beauté mélancolique, aussi fascinante que ce film fièvreux étrangement envoûtant d’une noirceur cruelle et hypnotique. Un film qui s’achève par le plan d’un visage anéanti saisissant de désespoir et que vous n’êtes pas prêts d’oublier…

    Les temps forts du Festival Paris Cinéma avec Jane Fonda :

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    . Rétrospective d'une quinzaine de films à la Filmothèque du Quartier du Latin

    . Masterclass Jane Fonda le samedi 3 juillet à 17h30 à la Filmothèque, modérée par Fabrice Leclerc (rédacteur en chef de Studio CinéLive) - Réservation obligatoire et limitée à 2 places par personne, à partir du mardi 29 juin, 19h, à la Filmothèque du Quartier Latin. Entrée : 5 euros, entrée libre pour les porteurs du Paris CinéPass, sur présentation du  Paris CinéPass et dans la limite des places disponibles.

    . Projection en sa présence de On achève bien les chevaux de Sydney Pollack le samedi 3 juillet  juillet à 19h30 à la Filmothèque du Quartier Latin

    . Projection en sa présence de Klute d'Alan J. Pakula  le dimanche 4 juillet à 19h30 au MK2 Bibliothèque

    Projections de « La Poursuite impitoyable » d’Arthur Penn

    Mardi 6 juillet 2010

      17h45, Filmothèque du Quartier latin (5e), présenté par Sophie Bénamon, journaliste à Studio Ciné Live

    Vendredi 9 juillet 2010

      16h, Filmothèque du Quartier latin (5e)

    Samedi 10 juillet 2010

      21h50, Filmothèque du Quartier latin (5e)

    Les autres films avec Jane Fonda projetés dans le cadre du festival

    - Barbarella, Roger Vadim
    - Le Cavalier électrique, Sydney Pollack
    - Les Félins, René Clément
    - Julia, Fred Zinnemann
    - Klute, Alan J. Pakula
    - La Maison du lac, Mark Rydell
    - On achève bien les chevaux, Sydney Pollack
    - Les Poupées de l’espoir, Daniel Petrie
    - La Poursuite impitoyable, Arthur Penn
    - Le Retour, Hal Ashby
    - La Rue chaude, Edward Dmytryk
    - Le Syndrome chinois, James Bridges
    - Tout va bien, Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin
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    Cliquez ici pour lire mes autres articles consacrés au Festival Paris Cinéma 2010

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  • Festival Paris Cinéma 2010 : ma sélection de films à voir

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    A quatre jours de l’ouverture du Festival Paris Cinéma 2010, il est temps de faire son programme et de s’organiser tant l’offre est riche. En attendant de vous livrer mes comptes rendus en direct du festival, avec au jour le jour le programme des films à ne pas manquer, voici déjà quelques films que je vous recommande avec leurs critiques pour la plupart d’entre eux. N’hésitez pas non plus à me recommander des films dans les commentaires !

    Films en compétition :

    Evidemment, je commence par les 8 films de la compétition ( "Alamar" de Pedro Gonzales-Rubio, "Le Braqueur" de Benjamin Heisenberg", "Cleveland contre Wall Street" de Jean-Stéphane Bron, "If I want to whistle, I whistle" de Florin Serban, "Mundane history" d'Anocha Suwichakornpong" , "La rivière Tumen" de Zhang Lu, "Sawako decides" de Yuya Ishii, "Sweet little lies" de Hitoshi Yazaki) que j’aurai la très douce obligation de voir. Quel que soit le festival, c’est toujours la section la plus intéressante, celle qui permet de découvrir les premiers pas de futurs grands cinéastes et souvent des œuvres différentes, singulières, novatrices et,  à lire les très prometteurs synopsis des films en compétition, ce festival ne devrait pas déroger à la règle. Chacun de ces films passe deux fois, vous n’aurez donc aucune excuse pour les manquer. Je vous livrerai mes impressions quotidiennement sur ces films en n’essayant de ne rien dévoiler des délibérations du jury.

    Films du Festival de Cannes 2010

    Viennent ensuite les films du Festival de Cannes, très nombreux à être projetés dans le cadre du Festival. Voici ceux que je vous recommande :

    -« Tournée » de Mathieu Amalric (compétition officielle du Festival de Cannes 2010- Prix de la mise en scène) -Ma critique –

    -« Des hommes et des dieux » de Xavier Beauvois (compétition officielle du Festival de Cannes 2010- Grand Prix) –Ma critique-

    -« L’autre monde » de Gilles Marchand (séance spéciale du Festival de Cannes 2010) – Ma critique-

    -« Poetry »de Lee Chang-dong (compétition officielle du Festival de Cannes 2010- Prix du scénario) – Ma critique

    -« L’Arbre » de Julie Bertucelli (Film de clôture du Festival de Cannes 2010) – Ma critique –

    -« Copacabana de Marc Fitoussi (Séance spéciale de la Semaine de la Critique 2010) – Ma critique-

    J’ai également entendu le plus grand bien du film de clôture « Tamara Drewe » de Stephen Frears  présenté hors compétition dans le cadre du Festival de Cannes 2010 .

    Si vous avez envie d’une expérience hypnotique, déconcertante, parfois, agaçante, et il faut le dire ennuyeuse (j’emploie pourtant très rarement ce terme pour un film, très relatif…) alors à vos risques et périls vous pourrez également aller voir la palme d’or 2010 « Oncle Boonmee (celui qui se souvient de ses vies antérieures) » d’Apichatpong Weerasethakul.

    Rétrospectives et classiques :

    Le Festival programme aussi de nombreux classiques ou films plus récents déjà sortis en salles. Voici ma sélection de ceux que j’ai déjà vus et que je vous recommande :

    -« Babel » d’Alejandro Gonzalez Inarritu –Ma critique du film-

    -« Les chansons d’amour » de Christophe Honoré

    -« Dans Paris » de Christophe Honoré.

    -« On achève bien les chevaux » de Sydney Pollack (Dans le cadre de l’hommage à Jane Fonda)

    -« La Frontière de l’aube » de Philippe Garel –Ma Critique du film-

    -« La Poursuite impitoyable » d’Arthur Penn (dans le cadre de l’hommage à Jane Fonda)

    -« Lost in translation » de Sofia Coppola

    -“Hiroshima mon amour” d’Alain Resnais

    -“Stupeurs et tremblements” d’Alain Corneau

    -« Les Félins » de René Clément

    L’avant-première du festival à ne pas manquer :

    « Le Dernier maître de l’air » de M.Night Shyamalan même si le choix sera cornélien puisque le même jour à la même heure 3 autres films que je souhaite voir sont également programmés.

    Les master class:

    Ne manquez pas non plus les master class de M.Night Shyamalan, à 18h, le 9 juillet ni celle de Jane Fonda, à 17H30 le 3 juillet :

    Les films que je souhaite voir (en plus de ceux cités ci-dessus) :

     « Amore » de Luca Guadagnino, « Les Amours imaginaires » de Xavier Dolan, « L’Age de raison » de Yann Samuel, « Ondine » de Neil Jordan, « Des filles en noir » de Jean-Paul Civeyrac, « The Killer inside me » de Michael Winterbottom, « Belle épine » de Rebecca Zlotowski, « Rhapsodie en août » d’Akira Kurosawa, « Le Pont des arts » d’Eugène Greeen, « Le nom des gens » de Michel Leclerc, « D’amour et d’eau fraîche » d’Isabelle Czajka, « Commissariat »d’Ilan Klipper et Virgil Vernier, « Un homme qui crie » de Mahamat Saleh-Hanoun, « La vie au ranch » de Sophie Letourneur, « Le cavalier électrique » de Sydney Pollack, « Orly » d’Angela Shanelec.

    Pour en savoir plus sur le Festival et pour avoir tous les renseignements pratiques :

    Tous les articles consacrés à Paris Cinéma sur Inthemoodforcinema.com

    Le site officiel du Festival

    Suivez également les autres blogs in the mood : "In the mood for Cannes", "In the mood for Deauville", "In the mood for luxe" et suivez-moi sur twitter en direct du festival: @moodforcinema .

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  • Téléchargez le programme complet du Festival Paris Cinéma 2010

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    Comme vous le savez (peut-être) du 1er au 13 juillet je serai plus que jamais "in the mood for Paris Cinéma" pour la raison exposée ici. Un festival que j'attends avec impatience et que je me réjouis de pouvoir vous relater ici au jour le jour. La bonne nouvelle c'est que vous pourrez vous aussi pleinement profiter de ce festival ouvert à tous et très accessible. Il vous reste juste à faire les bons choix par parmi les 245 films présentés (de tous les pays, de tous les genres, de toutes les époques) et parmi les 350 séances du festival. 250 invités sont ainsi conviés à cette grande fête du cinéma qui se déroulera dans 13 lieux parisiens différents.

    Cliquez ici pour télécharger le programme complet du Festival Paris Cinéma 2010

    Cliquez ici pour accéder à mes précédents articles sur ce festival

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  • Programme et conférence de presse du Festival Paris Cinéma 2010 avec Jane Fonda et Bertrand Delanoë

     
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    pariscinema.jpgCe matin, dans les somptueux salons de la Mairie de Paris avait lieu la conférence de presse du Festival Paris Cinéma 2010 où j'étais invitée en tant que membre du jury blogueurs du festival (également composé de:  Un écran nommé passion, Cinédouard, 365 jours ouvrables, Rob Gordon a toujours raison, Sur la route du cinéma -avec qui j'aurai enfin le plaisir de partager un jury après que nous nous soyons succédées à ceux de Cabourg et Annonay- et Laterna magica) , une nouvelle expérience de jurée et d'immersion festivalière et cinématographique que je suis impatiente de vivre d'autant plus après l'annonce de la programmation particulièrement riche et variée  (même si resserrée par rapport aux années passées)! Je vous ferai bien entendu vivre le festival en direct et au jour le jour sur http://www.inthemoodforcinema.com.

    L'accent a été essentiellement mis sur l'accessibilité à tous du festival mais aussi sur l''encouragement à la création, et sur la transmission. Avec 75000 spectateurs en 2009,  Paris Cinéma, dont ce sera cette année la 8ème édition,  devient progressivement un rendez-vous incontournable de la saison estivale.

    La mairie était ce matin en ébullition avec la présence de Jane Fonda qui recevait la Grande Médaille de Vermeille de la Ville de Paris, en présence notamment de Costa-Gavras (membre fondateur du conseil d'administration du festival). Je vous laisse découvrir ces instants sur mes vidéos ci-dessous.

     

    Ensuite, Aude Hesbert (déléguée générale du festival) et Anne Barjot (secrétaire générale) ont présenté le programme du festival.

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     Le jury de la compétition internationale sera composé de :  Valérie Donzelli, Tom Novembre, Eric Reinhardt, Elisa Sednaoui, Elia Suleiman. 8 films figurent en compétition internationale en provenance de : Mexique, Allemagne-Autriche, Suisse-France, Roumanie-Suède, Thaïlande, Corée du Sud, Japon (deux films).

    En séance spéciale hors compétition : les films de Laetitia Masson, Valérie Donzelli, Blandine Lenoir, Louis Garrel, Sébastien Betbeder.

     Parmi les très nombreuses personnalités attendues : Aure Atika, Xavier Beauvois, Charles Berling, Julie Bertucelli, Emilie Dequenne, Sara Forestier, Jean-Paul Civeyrac, Charlotte Gainsbourg, Jacques Gamblin, Isabelle Huppert, Diane Kruger, Sophie Marceau, Yolande Moreaun, Tilda Swinton, Louis Garrel, Shinji Aoyama, Rinko Kikuchi, Naomiki Sato, Jane Fonda, Night Shyamalan...

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     Le film d'ouverture sera « You will meet a tall dark stranger » de Woody Allen (projection sur invitation, la présence de Woody Allen n'est pas encore confirmée, le 1er juillet à 20H au Gaumont Opéra Capucines), et le film de clôture précédée de la remise de prix de la Compétition Internationale sera «  Tamara Drewe » de Stephen Frears (le 12 juillet à 20H au mk2 Bibliothèque).

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    Les temps forts : un hommage à Jane Fonda en sa présence avec notamment une master class le 3 juillet à 17H30 ; une rétrospective M.Night Shyamalan avec notamment l'avant-première du « dernier maître de l'air » le 10 juillet en sa présence et une master class le 9 juillet ; une rétrospective Louis Garrel en sa présence avec une rencontre le 7 juillet à 18H ; une intégrale Eugène Green en sa présence avec notamment une leçon de cinéma le 11 juillet à 17h .

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    Le Japon sera le pays à l'honneur avec 105 films projetés mais aussi des inédits du Japon en présence de nombreux réalisateurs ; un hommage à Koji Wakamatsu en sa présence ; un focus sur Shinobu Terajima en sa présence ; un programme de films sur le Japon qui va de « Lost in translation »  à « Stupeur et tremblements » en passant par « Hiroshima mon amour » ; un focus sur Rinko Kikuchi  en sa présence ; un hommage à Sadao Yamanka...

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     Parmi les avant-premières et ressorties de l'été (projetées au Grand Action, Cinéma du Panthéon, Gaumont Opéra Capucines, UGC Ciné Cité Bercy, MK2 Bibliothèque, Gaumont Parnasse) :

     Films projetés dans le cadre de Paris Cinéma et dont vous pouvez trouver les critiques sur ce blog :

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     « L'Arbre » de Julie Bertuccelli

    « L'Autre monde » de Gilles Marchand

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    « Copacabana » de Marc Fitoussi

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    « Des hommes et des dieux » de Xavier Beauvois 

    « Poetry » de Lee Chang-dong

    "You will meet a tall dark stranger" de Woody Allen

     Et parmi beaucoup d'autres avant-premières :

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     « Les amours imaginaires » de Xavier Dolan

    « La blonde aux seins nus » de Manuel Pradal

    « Le dernier maître de l'air » de M.Night Shyamalan

    « Des filles en noir » de Jean-Paul Civeyrac

    « Oncle Boonmee » d'Apichatpong Weerasethakul

    « Ondine » de Neil Jordan

    « Le petit tailleur » de Louis Garrel

    « Pieds nus sur les limaces » de Fabienne Berthaud

    « Un homme qui crie » de Mahamat-Saleh Haroun

     Par ailleurs, vous pourrez voir ou revoir une dizaine de chefs d'œuvre de l'histoire du cinéma sur copies neuves parmi lesquels :

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     « La dame au manteau d'Hermine » d'Ernst Lubitsch

    « Il était une fois dans l'Ouest » de Sergio Leone

    « On achève bien les chevaux » de Sydney Pollack

    « Vous ne l'emporterez pas avec vous » de Franck Capra

     Le 3 juillet aura lieu la nuit du cinéma avec des projections toute la nuit au Forum des images. Les spectateurs pourront ainsi passer d'une salle à l'autre en toute liberté avec un pass de 12 euros.

     Le 13 juillet au Centquatre, de 22H à 3H aura lieu la nuit ciné-karaoké  suivie d'un bal de clôture.

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    © Disney-Pixar

     D'autres événements : une journée « Toy story » en 3D relief (le 11 juillet) ; la brocante cinéma (10 juillet, de 9H à 20H) ; les traversées de Paris (balades ludiques et cinéphiles, le 3 et le 13 juillet) ; une exposition photo « Les invités du festival vus par Jérôme Bonnet » ; paris project (réservé aux professionnels) les lundi 5, mardi 6 et mercredi 7 juillet : plateforme de coproduction internationale qui accueille chaque année durant 3 jours une sélection de projets étrangers en développement à la recherche de partenaires français et européens.

     Informations pratiques :

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     Informations et accueil

    Du vendredi 25 juin au mardi 13 juillet 2010, de 11h30 à 22h

    Espace Paris Cinéma - MK2 Bibliothèque

    Informations :  01 44 24 25 39

    e-mail : info@pariscinema.org

    site :  www.pariscinema.org

    métro Bibliothèque François-Mitterrand (ligne 14 / RER C), Quai de la Gare (ligne 6)

    bus N°62, 89 ou 132

     Offre réservée aux Paris CinéPass et accrédités

    Sur présentation de votre badge au Café Bibliothèque et au LG Café, un café vous sera offert lors de vos pauses déjeuner entre deux séances. Au Café Bibliothèque, bénéficiez de l'offre lors d'un repas.

    Au LG Café, bénéficiez de l'offre lors de l'achat d'une formule Hod-dog ou d'une formule Express.

     Tarifs

    Les cartes de fidélité (UGC illimité, Gaumont, Tirelire du Forum des images...), habituellement acceptées par les salles de cinéma, sont valables sur les séances du festival.

      Séance : 5€ / 4€ pour les moins de 12 ans

     Entrée libre pour les porteurs du Paris CinéPass 

    Les billets sont en vente uniquement dans la salle où est programmée la séance. Certaines salles permettent la réservation à l'avance des billets.

     Séance en 3D : 8€ / 7€ pour les moins de 12 ans / 3€ pour les porteurs du Paris CinéPass

     Tarification spéciale pour la location des lunettes 3D. Séances inaccessibles sans lunettes 3D.

      Rétrospective Sadao Yamanaka : 4€

     Entrée libre pour les porteurs du Paris CinéPass

      La Nuit du Cinéma (pas de billet à la séance) : Pass Nuit à 12€

     Entrée libre pour les porteurs du Paris CinéPass

     Le Pass Nuit du Cinéma est en vente au Forum des images à partir du 20 juin.

      Atelier Origami (réservé aux moins de 12 ans) : 5€

     Réservation obligatoire avant le 8 juillet au 01 55 25 55 36.

      Parcours « Les Traversées de Paris » : 5€ / 4€ pour les équipes préconstituées (de 4 à 6 personnes)- Réservation obligatoire

      Masterclass Jane Fonda et Rencontre avec Louis Garrel : 5€

     Entrée libre pour les porteurs du Paris CinéPass

     Entrée libre pour les soirées événementielles au CENTQUATRE, la Brocante Cinéma, l'exposition de photographies sur le parvis du MK2 Bibliothèque, et les leçons de cinéma / masterclass de la Bibliothèque Nationale de France.

      Paris CinéPass : 30€

     Carte nominative permettant l'accès à toutes les séances du festival, dans la limite des places disponibles. Elle ne constitue pas un coupe-file et ne donne pas droit à une entrée prioritaire dans la salle. Son détenteur doit impérativement retirer un billet aux caisses de la salle où est programmée sa séance. A l'entrée de la salle, présenter impérativement au contrôle le billet d'entrée avec le Paris CinéPass nominatif.

      En vente sur www.paris-cinema.org, sur www.fnac.com et dans les magasins Fnac.

     En vente à partir du 25 juin directement au MK2 Bibliothèque (présence obligatoire du titulaire pour l'insertion de la photo sur la carte Paris CinéPass).

      Informations pass@pariscinema.org

     Catalogue officiel : 5€

     En vente à l'Espace Paris Cinéma.

      Retrouvez le Festival  Paris Cinéma et l'agenda des festivals de l'été à Paris Ile-de-France ainsi qu'une sélection de musées, monuments, lieux insolites, idées shopping, balades à thème, itinéraires... sur le site du Nouveau Paris Ile-de-France : www.nouveau-paris-idf.com

     Le festival en direct :www.pariscinema.org. Pour tout connaître du programme, des modifications de dernière minute, et suivre le festival en direct dès le 3 juillet : interviews, reportages, photos...

     m.pariscinema.org : Le site mobile pour votre IPhone >> en savoir plus

     Le Festival est aussi sur :

    Facebook : http://www.facebook.com/group.php?gid=39519439380&ref=ts

     Twitter : http://twitter.com/pariscinema

     MySpace : http://www.myspace.com/festipariscinema

     DailyMotion : http://www.dailymotion.com/festivalpariscinema

     Le festival en images

    Toutes les images du festival réalisées et montées par les étudiants de l'École Supérieure Libre d'Études Cinématographiques (ESEC) sur le site du festival et sur www.esec.edu

    Découvrez d'autres images sur   www.dailymotion.com/festivalpariscinema

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