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  • Printemps du cinéma 2011 : 20, 21 et 22 mars

     printemps2.jpgLa bande annonce du printemps du cinéma 2011 est visible depuis aujourd'hui dans les cinémas. Cette année le printemps du cinéma aura lieu les dimanche 20, lundi 21 et mardi 22 mars. Le principe de cet événement  est toujours aussi simple : pendant ces trois jours, les salles de cinéma pratiquent un tarif exceptionnel à l’ensemble des spectateurs : 3,50 euros la séance. Une occasion de profiter pleinement de toute la richesse de la programmation durant la manifestation puisque tous les films sont concernés par cet avantage tarifaire, qu’il s’agisse de l’ensemble des nouveautés ou des films déjà sortis.
    Un événement fortement plébiscité puisque, avec un score de 2,8 millions d’entrées en 2010.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de l'évènement.

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  • Cycle Alfred Hitchcock, dès le 4 mars, sur Orange Ciné Géants

    Tous les vendredis du mois de mars, dès 21h, sur Orange Ciné Géants, Hitchcock sera à l’honneur alors que la rétrospective à la  Cinémathèque s'achèvera le 28 février. A ces occasions, retrouvez ma critique des "Enchaînés" d'Hitchcock, ci-dessous.

    Voici la programmation sur Orange Ciné Géants:

    « Rebecca » (1940), le 4 mars à 21h00, avec Laurence Olivier, Joan Fontaine, George Sanders…

    « La maison du docteur Edwardes » (1945), le 11 mars à 21h00, avec Ingrid Bergman, Gregory Peck…

    « Le procès Paradine » (1947), le 18 mars à 21h00, avec Gregory Peck, Ann Todd, Charles Laughton…

    « Les enchaînés » (1946), le 25 mars à 21h00, avec Cary Grant, Ingrid Bergman, Claude Rains…

    Critique de "Les Enchaînés" d'Alfred Hitchcock (1946)

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    Dans son livre d'entretiens avec Alfred Hitchcock, François Truffaut disait que « Les Enchaînés » était son film d'Hitchcock en noir et blanc préféré notamment parce qu'il s'agissait selon lui de « la quintessence d'Hitchcock » pour sa « pureté magnifique » et son « modèle de construction de scénario. » Même si « Sueurs froides », « Les Oiseaux », « Fenêtre sur cour », « Psychose », « La mort aux trousses » sont plus fréquemment cités « Les Enchaînés » reste pour moi un film exemplaire à bien des égards et un  de mes films préférés.

    A Miami, en 1946, Alicia (Ingrid Bergman), fille d'un espion nazie qui vient d'être condamné, mène une vie dissolue et noie son désarroi dans l'alcool. Devlin (Cary Grant) qui travaille pour le gouvernement américain lui propose de travailler pour les Etats-Unis.  Il la pousse à séduire puis épouser Alexander Sebastian (Claude Rains) qui, à Rio de Janeiro, appartient à un groupe très actif d'anciens nazis... mais Alicia et Devlin sont loin d'être indifférents l'un à l'autre...

    C'est d'abord David O.Selznick qui a suggéré à Hitchcock d'adapter « The Song of the Dragon » une nouvelle dont le scénario final (signé Hitchcock et Ben Hecht) sera plutôt éloigné. Selznick ne croit pas à cette histoire et en particulier à la bouteille contenant de l'uranium. Il revend donc le tout à la RKO.... Comme dans tous les films d'Hitchcock, le Mac Guffin, donc ici la bouteille contenant de l'uranium, remplit pourtant pleinement son objectif de bombe à retardement et d'élément du suspense...

    « Les Enchaînés » est en effet certes une histoire d'espionnage avec Mac Guffin* de rigueur (=c'est un élément de l'histoire qui sert à l'initialiser, voire à la justifier, mais qui se révèle, en fait, sans grande importance) mais aussi une histoire d'amour. C'est même là que réside le secret de ce film, dans l'entremêlement parfait entre l'histoire d'amour et l'histoire d'espionnage qui entrent en conflit. Celui de l'amour et du devoir, enchaînés l'un à l'autre comme Alicia l'est à son passé mais aussi à son mari. Le titre original « Notorious » signifiant « tristement célèbre » renvoie d'ailleurs à cette idée puisque ce sont les tristement célèbres activités de son père qui ont rendu le nom d'Alicia lui aussi tristement célèbre. Sebastian est lui aussi enchaîné, à sa mère, et aux autres nazis qui surveillent le moindre de ses faux pas. C'est aussi à leur mensonge et à la trahison que sont enchaînés Devlin et Alicia : Devlin trahit dès le début Alicia la contraint à renouer avec Sebastian, elle trahit Sebastian en se mariant avec lui pour l'espionner. Dans le premier plan où il apparaît, Devlin est d'ailleurs cadré de dos et restera ainsi plusieurs minutes, augmentant le désir du spectateur de découvrir ce mystérieux personnage muet qui semble tant intéresser Alicia, cette posture de dos signifiant aussi son rôle trouble et ambigu.

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    Ces conflits entre amour et devoir donnent lieu à des scènes d'une force dramatique rare comme la scène de l'hippodrome ou celle du banc qui se répondent d'ailleurs, les deux étant filmés en plans fixes, et dans les deux Alicia et Devlin masquent leurs vrais sentiments. Ces scènes dramatiques alternent avec des scènes de suspense admirables dans lesquels Hitchcock montre une nouvelle fois sa maîtrise et son génie dans ce domaine, ces scènes tournant essentiellement autour de la bouteille contenant l'uranium et d'une clé. Une simple clé qui, par la manière dont Hitchcock la filme passant de la main d'Alicia à l'autre, son expression contrastant avec le ton désinvolte qu'elle s'efforce d'employer face à Sebastian, le tout procurant à la scène un suspense d'une intensité inouïe (voir l'extrait en bas de l'article... ou ne pas le voir pour ceux qui n'ont pas encore vu le film). Plusieurs scènes sont d'ailleurs particulièrement palpitantes, notamment grâce à un savant montage parallèle lors d'une scène capitale de réception (où Hitchcock fait d'ailleurs sa coutumière apparition) ou encore lors de la scène finale de l'escalier (un élément d'ailleurs récurrent dans le cinéma hitchcockien).

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    La réussite doit aussi beaucoup à la richesse des quatre personnages principaux et de ses interprètes : Devlin (Cary Grant), cynique agent secret faisant passer  le devoir avant l'amour, Alicia (Ingrid Bergman) forte et fragile, courageuse et apeurée, blessée et digne ; Claude Rains le « méchant » qui, comme toujours chez Hitchcock ne l'est pas complètement (un méchant réussi pour Hitchcock l'étant lorsqu'il paraît presque sympathique), ce dernier étant ici surtout (aussi comme souvent chez Hitchcock) victime d'une mère possessive (Mme Konstantin). Hitchcock dira ainsi que selon lui ce dernier était plus amoureux d'Alicia que l'était Devlin. Le choix de Claude Rains est donc particulièrement judicieux, si on se souvient du rôle trouble qu'il incarnait également déjà dans « Casablanca ». Il a d'ailleurs été nommé aux Oscars pour « Les Enchaînés » (ainsi que le scénariste Ben Hecht). Quant au couple formé par Ingrid Bergman et Cary Grant, il est absolument sublime et sublimé par l'élégance de la mise en scène d'Hitchcock mais aussi par celle de la photographie de Ted Tetzlaff l'auréolant d'un magnétisme mélancolique, électrique et fascinant.

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    Après « Soupçons », en 1941, « Les Enchaînés » est le deuxième film d'Hitchcock avec Cary Grant. Suivront ensuite « La Main au collet » et « La Mort aux trousses ». C'est également son deuxième film  avec Ingrid Bergman après « La Maison du Dr Edwards », en 1945. Il tournera encore un film avec elle : «Les Amants du Capricorne. »

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    C'est aussi sa scène de baiser entrecoupée entre Cary Grant et Ingrid Bergman qui a rendu le film célèbre, un baiser intelligemment découpé par de nombreux dialogues; pour contourner le code "Hays" (la censure de l'époque)  qui minutait la durée de toutes les scènes jugées osées. L'entrecouper de dialogues faisait redémarrer le compteur à zéro à chaque fois permettant de rallonger la durée du baiser.

    Au-delà de cette anecdote comme le disait si bien Truffaut, « Les Enchaînés » est en effet la quintessence du cinéma d'Hitchcock : perfection scénaristique saupoudrée d'humour, de trahison, de rédemption; mélange habile d'histoire d'amour contrarié et d'espionnage, astucieuse simplicité de l'intrigue, virtuosité de la mise en scène ( Ah, le travelling du lustre du salon jusqu'à main de Bergman contenant la clé !), photographie magnétique, couple de cinéma légendaire, intrigue trépidante, palpitante et jubilatoire... le tout formant un classique du cinéma que l'on ne se jamais  de voir et de revoir !

     *Pour Hitchcock, le but du cinéma était avant tout d'embarquer le spectateur, de le manipuler, quitte à faire quelques incohérences. A ceux qui lui reprochait le manque de vraisemblance, il racontait l'histoire suivante (comme il l'expliqua à Truffaut dans son livre d'entretiens !) : « Deux voyageurs se trouvent dans un train allant de Londres à Édimbourg. L'un dit à l'autre : « Excusez-moi, monsieur, mais qu'est-ce que ce paquet à l'aspect bizarre que vous avez placé dans le filet au-dessus de votre tête ? - Ah ça, c'est un MacGuffin. - Qu'est-ce que c'est un MacGuffin ? - Eh bien c'est un appareil pour attraper les lions dans les montagnes d'Écosse - Mais il n'y a pas de lions dans les montagnes d'Écosse. - Dans ce cas, ce n'est pas un MacGuffin » .

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  • "Largo Winch 2" de Jérôme Salle: extraits et interviews de Tomer Sisley, Julien Rappeneau, Jérôme Salle

    C'est demain que sort en salles "Largo Winch 2" de Jérôme Salle (vous pouvez retrouver ma critique de "Largo Winch 1" en cliquant ici). A cette occasion retrouvez ci-dessous extraits et interviews de membres éminents de l'équipe du film.


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  • Avant-première – Critique – « Les femmes du 6ème étage » de Philippe Le Guay avec Fabrice Luchini, Sandrine Kiberlain…

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    Présenté à la Berlinale 2011, c’est mercredi prochain que sortira en salles « Les femmes du 6ème étage » de Philippe Le Guay, qui, pour la troisième fois filme Fabrice Luchini qui lui-même joue ici pour la troisième avec Sandrine Kiberlain (qui, elle, en revanche n’avait jamais tourné avec Philippe Le Guay), mais tout cela n’est pas qu’affaire de chiffres ou si, juste un dernier : 60, les années pendant lesquelles se déroule l’intrigue.

    Jean-Louis Joubert (Fabrice Luchini), agent de change rigoureux (de père en fils) de 45 ans, mari de Suzanne Joubert (Sandrine Kiberlain)  et père de famille de deux enfants renvoie la femme de ménage, à leur service depuis des années, et en emploie une nouvelle, Maria (Natalia Verbeke), une jeune espagnole. A cette occasion, Jean-Louis découvre une joyeuse cohorte de bonnes espagnoles vivant au sixième étage de son immeuble bourgeois, un univers exubérant et folklorique à l’opposé des manières et de l’austérité de son milieu.

     Un film avec Fabrice Luchini est toujours une curiosité et surtout la manière dont un réalisateur tire profit de son exubérante personnalité (comme dans « Beaumarchais l’insolent ») ou la canalise, comme ici. C’est en effet (dans un premier temps) un personnage éteint, presque étriqué, austère qui, quatre étages au-dessus de chez lui, va découvrir un autre univers, vivant, coloré, joyeux. Ce n’est pas lui ici qui incarne l’exubérance mais les femmes espagnoles au contact desquelles il va s’illuminer, se réveiller, se libérer.

     Ces femmes forment ici une joyeuse communauté malgré (ou à cause de) la pauvreté et la dictature à cause desquelles elles ont quitté leur pays, Carmen Maura en tête mais pas seulement. Ces cinq femmes  ne constituent pas une caricature de casting almodovarien mais une communauté éclectique avec la syndicaliste, celle qui cherche à se marier, celle qui est battue par son mari… mais de toutes se dégage une humanité et une joie de vivre communicatives.

    Il aurait été aisé de tomber dans les clichés ou la condescendance, ce que Philippe Le Guay évite toujours soigneusement. Même le personnage de l’épouse, irrésistible Sandrine Kiberlain constamment « é-pui-sée » alors que ses journées laborieuses se partagent en réalité entre coiffeur, manucure, bridge et thé avec ses amies est à la fois superficielle, légère, mais aussi fragile et finira elle aussi par évoluer.

    Avec ses « femmes du 6ème étage »  Philippe Le Guay ne révolutionnera certes pas le cinéma (mais ce n’est par ailleurs probablement pas ce à quoi il aspire ni le spectateur en allant voir ce genre de film) et signe  une comédie sociale romantique plus maligne qu’elle n’en a l’air (l’inconnu-e- si proche, intemporel-le-), pleine de gaieté communicative et réjouissante. Une fable sans doute utopique mais non moins touchante, pétillante et pleine de charme grâce à « Maria pleine de grâce » et ses joyeuses  acolytes espagnoles auxquelles Philippe Le Guay rend un bel hommage, sans oublier Fabrice Luchini et Sandrine Kiberlain dont chaque apparition est un régal pour le spectateur. Vous auriez tort de vous priver  de cette rayonnante escapade au 6ème étage!

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  • Concours - Gagnez votre exemplaire de Studio Ciné Live avec "Pirate des Caraïbes" en couverture

    st.jpgComme ce mois-ci le concours est mis en ligne plus tardivement, exceptionnellement pour remporter votre exemplaire, il vous suffira de m'envoyer un email à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé "Concours magazine" en n'oubliant pas de joindre vos coordonnées postales.

    Voici le sommaire:

    Studio Ciné Live propose un dossier spécial de 13 pages sur une des suites les plus attendues de 2011 : Pirates des Caraïbes, La fontaine de jouvence :

    Pour Studio Ciné Live, Astrid Berges- Frisbey a tenu le journal de bord de son aventure dans Pirates des Caraïbes : du casting au dernier jour de tournage, rendez-vous page 50.

    INFOS/INTOX : Studio Ciné Live nous livre le vrai du faux sur la saga et les personnages. Le succès de la saga Pirates des Caraïbes a réveillé le cinéma d’aventure : Studio Ciné Live revient sur le genre né à Hollywood.

    DOSSIER SPÉCIAL OSCARS ET CÉSAR 2011

    À l’approche de la cérémonie des César, la rédaction a voté pour ses chouchous et a fait ses pronostics pour les grands gagnants.

    Oscars et César: comment faire pour en gagner un? Voici les 10 secrets de Studio Ciné Live pour obtenir la récompense suprême. À lire, page 97.

     Et aussi dans Studio Ciné Live, ce mois-ci :  Portfolio, la relève Hollywoodienne : Ils ont entre 14 et 27 ans, ce sont les prochains James Dean, Lindsay Lohan ou Dustin Hoffman…

    Panoramique sur les stars hollywoodiennes de demain.

    Flash-back 1987, Dirty Dancing : Dirty Dancing reste une énigme par son triomphe public. Décryptage de ce succès par Studio Ciné Live.

    En tournage, Polisse : Studio Ciné Live part sur le tournage du nouveau film de Maïwenn, Polisse, avec Joeystarr, Marina Foïs …

    Et tous ceux qui font l’actu ciné du mois : Keira Knightley, Anthony Hopkins, Danny Boyle, Vanessa Paradis, Lima Neeson, Leïla Bekhti…

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  • Concours express: gagnez votre place pour la projection privée en avant-première de "Paul" de Greg Mottola

    paul.jpgUn imprévu de dernière minute m'empêche d'aller à la projection privée du club 300 d'Allociné de "Paul" de Greg Mottola qui aura lieu demain soir, à 19H30, au Forum des images. 

     Pour remporter cette place, soyez le plus rapide à m'envoyer un email à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé "Concours Paul" et dîtes-moi en une phrase pourquoi vous souhaitez voir ce film.

    Synopsis: Depuis 60 ans, Paul, un extraterrestre, vit sur terre et collabore avec le gouvernement américain. Il se cache à l'abri des regards dans une base militaire ultra secrète... Paul est à l'origine de tout ce qu’on a pu imaginer sur les extraterrestres, du merchandising aux scénarios de Rencontres du troisième type , E.T. ou encore X Files. Hélas pour lui, maintenant que le gouvernement américain lui a soutiré toutes les informations intéressantes sur la vie extraterrestre, il décide de se débarrasser de lui. Paul réussit alors à s'échapper et tombe nez à nez avec deux adolescents attardés fans de science-fiction qui sillonnent les États-Unis en camping car. Paul les convainc de l'emmener avec eux et de l'aider à quitter la terre. La tâche s’avère d'autant plus difficile pour nos deux "héros du dimanche" qu'ils sont poursuivis par un flic implacable assisté de deux pieds nickelés du FBI...

     

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  • Palmarès des BAFTA 2011 : le triomphe du "Discours d'un roi"

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    Le palmarès des BAFTA (l'équivalent britannique de nos César dont je vous rappelle que je vous les ferai vivre enn direct de la salle presse). "Le discours d'un roi" (dont meilleur acteur pour Colin Firth) arrive largement en tête avec 7 récompenses devant "Inception"  et "The social network". Sans surprise Natalie Portman a reçu le BAFTA de la meilleure actrice pour "Black swan", préfigurant sans doute un Oscar.

    Réalisateur : David Fincher (The Social Network)

    Scénario original : David Seidler (The King's Speech)

    Adaptation : Aaron Sorkin (The Social Network)

    Film en langue étrangère : Millenium

    Film d'animation : Toy Story 3 de Lee Unkrich

    Acteur : Colin Firth (The King's Speech)

    Actrice : Natalie Portman (Black Swan)

    Acteur dans un rôle de soutien : Geoffrey Rush (The King's Speech)

    Actrice dans un rôle de soutien : Helena Bonham Carter (The King's Speech)

    Musique originale : Alexandre Desplat (The King's Speech)

    Photographie : Roger Deakins (True Grit)

    Montage : Angus Wall & Kirk Baxter (The Social Network)

    Décors : Guy Hendrix Dyas, Larry Dias et Doug Mowat (Inception)

    Costumes : Colleen Atwood (Alice in Wonderland)

    Son : Richard King, Lora Hirschberg, Gary A Rizzo & Ed Novick (Inception)

    Effets spéciaux : Chris Corbould, Paul Franklin, Andrew Lockley & Peter Bebb (Inception)

    Maquillage et coiffure : Valli O'Reilly & Paul Gooch (Alice in Wonderland)

    Court métrage d'animation : The Eagleman Stag de Michael Please

    Court métrage : Until the River Runs Red de Paul Wright & Poss Kondeatis

    Révèlation Orange du public: Tom Hardy

    Débuts exceptionnels d'un scénariste, réalisateur ou producteur britannique : Christopher Morris (Four Lions)

    BAFTA d'honneur: Christopher Lee

    BAFTA de la meilleure contribution au cinéma anglais: Harry Potter

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