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  • Le palmarès des Molières 2009

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    Présidée par Bernard Giraudeau et Frédéric Mitterrand, la 23ème Nuit des Molières,  hier soir, au Théâtre de Paris et en direct sur France 2, a dévoilé son palmarès.

    On notera les deux prix reçus par Zabou Breitman (Molière de l'Adaptateur et Molière du théâtre privé pour le Petit Montparnasse) pour son adaptation de Raymond Depardon "Des gens" (Zabou Breitman dont je vous recommande plus que vivement le dernier film, "Je l'aimais" qui sort en salles le 6 mai) ainsi que les Molières du meilleur comédien et de la meilleure comédienne, ayant déjà tous deux laissé des rôles inoubliables au cinéma, dans "Je ne suis pas là pour être aimé" de Stéphane Brizé pour Patrick Chesnais, dans "Le Goût des autres" pour Anne Alvaro.

    Molière du comédien : Patrick Chesnais dans «Cochons d'Inde»

    Molière de la comédienne : Anne Alvaro dans «Gertrude (le cri)»

    Molière du comédien dans un second rôle : Roland Bertin dans «Coriolan»

    Molière de la comédienne dans un second rôle : Monique Chaumette dans «Baby Doll»

    Molière du metteur en scène : Christian Schiaretti pour «Coriolan»

    Molière de la révélation théâtrale : Aude Briant dans «Le Journal à quatre mains»

    Molière de la révélation théâtrale masculine : David Lescot dans «La Commission centrale de l'enfance» 

    Molière de l'auteur francophone vivant : Jean-Claude Grumberg pour «Vers toi terre promise»

    Molière de l'adaptateur : Zabou Breitman pour «Des gens», d'après «Urgences» et «Faits divers»
    Molière du décorateur/scénographe : Catherine Bluwal pour «Le Diable rouge»

    Molière du créateur costumes : Claire Risterucci pour «Madame de Sade»

    Molière du créateur lumières : Marie-Hélène Pinon pour «Le Diable rouge»

    Molière du théâtre public : «Coriolan» au TNP de Villeurbanne
    Molière des compagnies : «L'oral et hardi», cie Faisan

    Molière du théâtre privé : «Des gens», au Petit Montparnasse

    Molière de la pièce comique : «Cochons d'Inde», de Sébastien Thiéry et Anne Bourgeois

    Molière du théâtre musical : «L'Opéra de Sarah», au théâtre de l'Œuvre.
  • Molières 2009: Les nominations de la 23ème nuit des Molières

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    La 23ème Nuit des Molières qui aura lieu le 26 avril 2009, au Théâtre de Paris et qui sera diffusée en direct sur France 2, à partir de 20H35, sera présidée par Bernard Giraudeau et présentée par Frédéric Mitterrand.
    Cliquez sur "lire la suite" pour voir la liste des nommés.

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  • Reprise des Master Class Jean-Laurent Cochet : le rendez-vous incontournable des amoureux du théâtre

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    Je vous ai déjà parlé un certain nombre de fois des Master Class de Jean-Laurent Cochet (voir les liens vers mes précédents articles à la fin de celui-ci), et cette fois-ci n’est certainement pas la dernière. De nouveau, hier soir, inexorablement aimantée par le théâtre de la Pépinière Opéra, je me suis en effet retrouvée à la Master Class Jean-Laurent Cochet  ayant à peine pris le temps d’y réfléchir.  Ces cours sont un peu comme des rendez-vous amoureux auxquels on se rend le cœur battant, exalté,  des rendez-vous d’amoureux du théâtre surtout… auxquels il est impossible de renoncer, de résister.

     A croire que tous les chemins mènent à la Pépinière Opéra, j’y ai croisé plusieurs connaissances…égarées de festivals divers. Mais dès que le bruissement de la salle se fait entendre, peut-être plus fébrile qu’ailleurs en raison de la particularité de l’exercice auquel Jean-Laurent Cochet et ses élèves se plient, seul ce qui se passe sur scène existe qui ne nous éloigne pas de l’existence mais au contraire, par l’étude, la sublimation des mots et des textes, la rend plus palpitante, fébrile elle aussi.

     Dès son arrivée sur scène, c’est un jeu entre les spectateurs et « le maître » Cochet qui observe, joue du silence, son regard malicieux balayant la salle. On parle de la magie du cinéma. Il faudrait évoquer aussi celle du théâtre, ici tellement flagrante. Rien : pas un décor, pas une mise en scène, pas un projecteur pour guider notre attention, notre regard, notre pensée. Juste les comédiens et les mots. Et notre souffle suspendu. Et l’écoute, cette écoute si rare et si précieuse comme l’a déploré Jean-Laurent Cochet. Cette écoute qui là semble reprendre sens. Loin du tumulte de l’existence. Et exaltant aussi ce tumulte.

     Cela commence par un exercice improvisé sur « Ruy Blas » de Victor Hugo. Six élèves débutants enchaînent à l’appel de leur nom  par Jean-Laurent Cochet, disant une phrase complétée par un autre sur ordre du maître : un exercice de haute voltige. L’exercice est périlleux d’autant plus qu’improvisé et le résultat est d’autant plus magistral, fascinant, comme si ces six interprétations n’en faisaient qu’une, comme si ces six comédiens en herbe constituaient chacun une part indissociable du texte et du personnage lui donnant ainsi vie. Rien que cela aurait déjà mérité le déplacement. 

     Puis, Jean-Laurent Cochet parle, il parle beaucoup. Du livre « L’affaire Molière » de Denis Boissier (Ed.Cyrille Godefroy) qui va faire grand bruit selon lequel Molière serait plus un acteur qu’un auteur, du fait que Corneille aurait écrit beaucoup de ses textes. Et puis de Molière on parle de Meryl Streep, trouvant qu’une de ses élèves lui ressemble et nous prenant à témoin, et de Meryl Streep il en vient à évoquer « Mamma mia » dans lequel l’actrice est magistrale. Jean-Laurent Cochet n’est pas sectaire, juste vigoureusement passionnée, tout en fustigeant le sectarisme, le politiquement correct de ceux qui ont osé dire qu’ils aimaient « La fille de Monaco » et détestaient « Mamma mia ! », sans doute considéré comme moins noble, dans lequel oui, Meryl Streep est exceptionnel, quelle que soit la qualité du film (voir ici mon article consacré  à l’ouverture du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville pour laquelle ce film a été projeté). Il égratigne au passage certains cours qui pour raisons « politiques » se refusent à jouer certains auteurs comme Guitry. Guitry qu’il cite toujours à loisir comme Giraudoux sur un texte de qui un élève nous montrera à quel point c’est un métier avant d’être un art, à quel point chaque mot, chaque virgule, chaque intonation, chaque souffle importent et contribuent à faire vivre et exister un texte et un personnage, à quel point la langue française est multiple et précise, à quel point le comédien est funambule.

      L’élève qui  ressemble à Meryl Sreep joue un texte de Colette, dont on découvre l’étonnante poésie et diversité du style car comme souvent Jean-Laurent Cochet nous donne le nom de l’auteur après que le texte ait été joué. Et puis il nous parle de cinéma, des réalisateurs, cinq selon lui seulement méritant le nom de grands réalisateurs citant pour exemple Renoir et Grémillon. Il nous parle du théâtre évidemment, toujours avec autant de passion communicative,  de vigueur, de vivacité, de conviction : de ce théâtre qui est un métier avant tout, avant d’être un art, de ce théâtre qui est tout sauf de la démonstration, qui doit faire oublier que l’acteur joue, si ce n’est jouer à être. Et de tant de choses encore…

     Et puis arrive le second moment de grâce après celui du début. Un comédien avec lequel Jean-Laurent Cochet, toujours en phase avec l’actualité, trouve une ressemblance (du moins un emploi similaire) avec Paul Newman. Là encore, le texte est joué avant d’être nommé. Une histoire palpitante sur les ravages dévastateurs et criminels du temps, une histoire caustique, cruelle et tendre d’une étonnante modernité, que l’on croirait écrite hier…une nouvelle signée Maupassant que la modernité du jeu nous a fait croire contemporaine.  On a l’impression de voir les personnages tous exister sous nos yeux, de voir le décor, la scène, les lumières tantôt poétiques tantôt crues. Mais lorsque le comédien dit son dernier mot, un peu après même, le temps de reprendre notre souffle nous aussi, nous réalisons que tout cela n’existait que dans notre imagination guidée par le jeu du comédien si réel, vibrant : là.

     Et puis les fables de La Fontaine dont raffole toujours autant Jean-Laurent Cochet. Le dernier élève apparaît. Jean-Laurent Cochet le qualifie de génie et d’être d’exception. Il n’en dit pas davantage. Il ne dira plus un mot. Une démonstration de cette qualité du silence dont il fait l’éloge.  La dernière note d’un moment d’exception.

     Si le théâtre n’était pas tout à fait plein hier soir, il l’a souvent été. Sans nul doute, cela vaut plus que  15 euros (11 pour les étudiants) : un moment inestimable de poésie, où surgit la grâce là et quand on ne l’attend pas, qui suspend le vol du temps bien sûr mais surtout la volatilité de l’attention, un moment de passion, qui réunit des passionnés, un moment unique où tout peut arriver, surtout la flamme incandescente de la vie sublimée par le théâtre et les mots qui transfigurent ceux qui les jouent.

     « Les œuvres d’art qui ont cherché la vérité profonde et nous la présentent comme une force vivante s’emparent de nous et s’imposent  à nous ». Cette phrase d’Alexandre Soljenitsyne (Discours non prononcé pour le Prix Nobel de 1970) figure sur le programme de la soirée et l’illustre magnifiquement. Ces œuvres d’art dont on nous joue des bribes, cette force vivante nous accompagne longtemps après avoir franchi le seuil du théâtre et fera certainement que la prochaine fois de nouveau je serai inexorablement attirée par le théâtre de la Pépinière Opéra. Un rendez-vous amoureux vous disais-je, même avec la peur délicieuse au ventre, la peur pour ceux qui jouent là et qui jouent finalement tellement plus qu’un texte.  (ce qui d’ailleurs est déjà beaucoup…)

     Site internet : http://www.jeanlaurentcochet.com

    Prochaines Master Class : 20 octobre, 3 et 10 novembre. Théâtre de la Pépinière Opéra. 7 rue Louis Le Grand 75002 Paris- Location : 0142614416 –Tarif normal : 15€ , Tarif étudiant : 11€

    Mes autres articles consacrés au cours Cochet:

    -Article du 21 novembre 2005 : http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2005/11/21/cours-publics-d’interpretation-de-jean-laurent-cochet-quand.html

    -Article du 11 Avril 2006 : http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2006/04/11/prolongations-des-cours-publics-d’interpretation-de-jean-lau.html

    -Article du 21 septembre 2006 : http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2006/09/21/reprise-des-cours-publics-jean-laurent-cochet.html

    -Article du 13 décembre 2006 : http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2006/12/13/reprise-des-cours-publics-jean-laurent-cochet-en-2007.html

     J’en profite pour dire que je recherche un cours de théâtre pour débutants (ou presque) amateurs, avec préférence pour un cours « classique » (apprentissage de grands textes classiques plutôt qu’improvisation)… Merci d’avance pour l’info !

     Sandra.M

  • In the mood for news 28

    Les films de la semaine du 30 Avril à l’affiche

    La critique de la semaine  « In the mood for cinema »:

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    "Le Grand Alibi" de Pascal Bonitzer, avec Miou-miou, Lambert Wilson, Valeria Bruni-Tedeschi, Pierre Arditi

    (France)-Genre : Drame - Durée : 1H33 mn

    CLIQUEZ ICI POUR LIRE MA CRITIQUE DU GRAND ALIBI A L’OCCASION DE L’AVANT-PREMIERE AU CINEMA LE BALZAC A PARIS

    Les autres films de la semaine à l'affiche 

    "Iron Man" de Jon Favreau avec Robert Downey Jr. et Gwyneth Paltrow

    Titre original : IRON MAN (Etats-Unis)-Genre : Science-Fiction, Action

    Pitch: Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire est kidnappé en Afghanistan. Forcé par ses ravisseurs à fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure hi-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents.

    «  Mèche Blanche, Les Aventures Du Petit Castor »  de Philippe Caldéron(France)

    Durée : 1H30 mn

    Pitch : Il était une fois, dans le Grand Nord canadien, un jeune castor espiègle et insouciant, Mèche Blanche, qui vivait avec Mère Castor et Petite Sœur, entouré de ses amis Petit Lynx et Petit Ours. Mais un jour, le barrage qui sert de refuge à Mèche Blanche et à sa petite famille s’écroule. Mèche Blanche est alors emporté par le courant loin des siens.

     « Ciao Stefano » de Gianni Zanasi, avec Giuseppe Battiston, Anita Caprioli

    Titre original : NON PENSARCI (Italie)-Genre : Drame - Durée : 1H44 mn

    Pitch : Petite star du rock punk indépendant, Stefano Nardini a trente-six ans et dresse le bilan : il y a bien longtemps qu’il ne fait plus les couvertures des magazines, sa fiancée le trompe et il n’a plus de lit où dormir ; il lui reste sa guitare et une voiture aux portières bloquées... En somme, le moment est venu de prendre le temps de réfléchir, de chercher un refuge, de retourner vers sa famille qu’il n’a pas vue depuis des années.

    «  L'Amour De L'Or »  d'Andy Tennant avec Matthew Mcconaughey, Kate Hudson, Alexis Dziena...

    Titre original : FOOL'S GOLD (Etats-Unis)-Genre : Comédie Romantique

    Pitch :Ben Finnigan est un ancien surfer qui consacre désormais l’essentiel de son temps à la chasse aux trésors sous-marins. Depuis huit ans, ce flegmatique aventurier rêve de découvrir la légendaire «Dote Royale» – 40 coffres renfermant d’inestimables trésors qui coulèrent en 1715 au large des Caraïbes.

    «  L'Un Contre L'Autre »  de Jan Bonny avec Matthias Brandt, Victoria Trauttmansdorff, Wotan Wilke Möhring

    Titre original : GEGENüBER (Allemagne)-Genre : Drame, Policier - Durée : 1H36 mn

    Pitch : Toujours calme et réfléchi, Georg est un policier apprécié par tous ses collègues. Son partenaire Michael, plus jeune que lui, admire aussi Georg pour l’harmonie qui règne apparemment dans le couple qu’il forme avec Anne, une séduisante institutrice. Mais alors que Georg monte en grade, le voilà qui perd toujours davantage le contrôle sur la façade soigneusement entretenue de sa vie de famille «intacte». 

    « Deux Jours A Tuer »  de Jean Becker avec Albert Dupontel, Marie-Josée Croze, Pierre Vaneck...

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     (Bientôt la critique de "Deux jours à tuer" sur « In the mood for cinema »)

    Genre : Comédie Dramatique - Durée : 1H25 mn

    Pitch : Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis. Que s'est-il passé chez cet homme pour qu'il change si étrangement de comportement ?

     « Il Va Pleuvoir Sur Conakry » de Cheick Fantamady Camara

    (Guinée)-Genre : Drame - Durée : 1H30 mn

    Pitch : Bangali alias BB est un journaliste caricaturiste moderne et progressiste. Son père Karamo ainsi que son frère aîné Amine sont plutôt rompus à la pratique religieuse et au respect des traditions ancestrales. BB est amoureux de Kesso, mais ne peut la présenter à son père, parce que celle-ci est une informaticienne née d’une famille de classe moyenne, et ne correspond pas au genre de femme qu’il est supposé lui souhaiter comme épouse. Depuis plusieurs semaines, la sécheresse sévit à Conakry, capitale de la République de Guinée.

     "Les Hauts Murs"  de Christian Faure avec Carole Bouquet, Catherine Jacob

    (France)- Genre : Drame - Durée : 1H35 mn

    Pitch : Pour Yves Tréguier, quatorze ans, la France des années 30 est celle des maisons de correction, qui ont tout du bagne pour mineurs : son statut d’orphelin a suffi à le faire placer dans une « Maison d’éducation surveillée », bâtisse austère entourée de hauts murs.  Du jour où il y met les pieds, Yves n’a plus qu’une idée en tête : échapper à la violence s’enfuir, et rejoindre un port où il embarquera pour New York...

     " Des Temps et Des Vents"  de Reha Erdem, avec Ozkan Ozen, Ali Bey Kayali, Elit Iscan et Selma Ergec

    Titre original : BES VAKIT (Turquie)-Genre : Drame - Durée : 1H47 mn

    Pitch : Un petit village pauvre, adossé aux rochers, au loin la mer Égée. Les habitants sont des gens simples et laborieux. Ils vivent au rythme de l'air, de l'eau, des chèvres, de la nuit, des jours et des saisons. L'appel du muezzin ponctue les journées. Les parents élèvent les enfants comme ils l'ont été.

    «  15 Ans Et Demi »  de Thomas Sorriaux et François Desagnat, avec Daniel Auteuil

    (France)-Genre : Comédie - Durée : 1H37 mn

    Pitch : Philippe Le Tallec, brillant scientifique vivant aux Etats-Unis depuis 15 ans, décide de rentrer en France s'occuper de sa fille Eglantine. Il espère profiter de cette occasion pour tisser des liens avec cette jeune fille et rattraper le temps perdu, mais elle a bien d'autres préoccupations que de passer du temps avec son père... Le séjour s’annonce très différent de ce qu’il avait imaginé, et Philippe est totalement dépassé. Il va se résoudre à faire un improbable stage de rééducation pour pères en difficulté, animé par Jean-Maxence, un célèbre auteur de méthodes en tous genres…

     « Marié(s) Ou Presque «  de Franck Llopis, avec Bernard Le Coq, David Brécourt...

    (France)-Genre : Comédie Romantique - Durée : 1H20 mn

    Pitch :Coustaud et Milka doivent organiser une fête mémorable pour enterrer la vie de garçon de leur pote Tom. Ils entrent dans leur café habituel, où tous les clients, ce soir là, apportent leur regard sur le mariage, ses déboires et ses désagréments.

    «  Joshua »  de George Ratliff avec Sam Rockwell, Vera Farmiga, ...

    Titre original : JOSHUA (Etats-Unis)-Genre : Drame

    Pitch : Dans leur superbe appartement de l’Upper East Side, Brad et Abby Cairn célèbrent la naissance de leur deuxième enfant, Lily. Joshua, le grand frère, ne voit pas l’arrivée de sa sœur d’un bon œil. D’une intelligence et d’une précocité rares, sa politesse et son calme apparent contrastent fortement avec son âge et masquent à peine la jalousie viscérale qu’il éprouve envers sa petite sœur. La vie de famille va peu à peu se fissurer. 

    Le Palmarès des Molière 2008

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    436442494.jpgC’est John Malkovich qui a reçu le Molière de la meilleure mise en scène pour « Good Canary ». Je vous avais longuement parlé de cette pièce qui a également reçu le Molière du Décorateur-scénographe attribué à Pierre-François Limbosch. Rien d’étonnant : la mise en scène ( et la prestation de Christiana Réali qui s’est vue « ravir » le Molière de la comédienne par Myriam Boyer pour « La vie devant soi") était l’indéniable atout de cette pièce.

     CLIQUEZ ICI POUR LIRE MA CRITIQUE DE "GOOD CANARY".

    Molière du Théâtre public: Juste la fin du monde, de Jean-Luc Lagarce, mis en scène par Michel Raskine
    Molière des Compagnies: La Petite Catherine de Heilbronn de Kleist, mis en scène par André Engel (Compagnie Le Vengeur masqué)
    Molière du Théâtre privé:
    La Vie devant soi, de Gary-Ajar, mis en scène par Didier Long
    Molière du Théâtre musical: Le Roi Lion, mis en scène par Julie Taymor
    Molière du meilleur adaptateur: Xavier Jaillard pour La Vie devant soi
    Molière du Metteur en scène: John Malkovich pour Good Canary
    Molière de la Révélation théâtrale: Raphaëline Goupilleau dans Une souris verte
    Molière du Décorateur-scénographe: Pierre-Francois Limbosch pour Good Canary
    Molière du Créateur costumes: Julie Taymor pour Le Roi Lion
    Molière du Créateur lumières: Donald Holder pour Le Roi Lion
    Molière du Spectacle seul(e) en scène: Eric Métayer dans Un monde fou
    Molière du Comédien: Michel Galabru dans Les Chaussettes - opus 124
    Molière de la Comédienne: Myriam Boyer dans La Vie devant soi
    Molière du Comédien second rôle: Gilles Privat dans L'Hôtel du libre-échange
    Molière de la Comédienne second rôle: Valérie Bonneton dans Le Dieu du carnage
     Molière de l’Auteur: Roland Dubillard, Les Diablogues
    Molière du Jeune public: L'hiver 4 chiens mordent mes pieds et mes mains, Philippe Dorin, mis en scène par Sylviane Fortuny

    L’actualité festivalière de la semaine

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