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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 367

  • Première d' "Une journée ordinaire" avec Anouchka et Alain Delon au théâtre des Bouffes Parisiens : j-1

    journée2.jpgDemain soir, vous pourrez retrouver ici mon récit de la première d' "Une journée ordinaire" à laquelle je serai mais en attendant retrouvez tous mes articles du cycle Alain Delon ci-dessous. Et si vous vous demandez pourquoi il y a un cycle Alain Delon sur ce blog, ces articles devraient répondre à cette question.

    Dossier spécial "Le Guépard" de Luchino Visconti avec vidéos d'Alain Delon

    Ouverture du cycle Melville à la Cinémathèque et critique du film "Le cercle rouge"

      La Piscine (critique)

      Borsalino (critique)

      Monsieur Klein (critique)

     Le Professeur (critique)

      "Plein soleil" (critique)

    Critiques de pièces de théâtre avec Alain Delon:

    "Lovers letters" (critique)

    "Sur la route de Madison" (critique)

    Autre:

    Mireille Darc met en scène Alain Delon pour l'opération "plus de vie"

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  • Les semi-finalistes à l'Oscar 2011 du meilleur film étranger : l'éviction de "Des hommes et des dieux"

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    hors.jpgLes 9 films semi-finalistes à l'Oscar du meiller film étranger ont été annoncés aujourd'hui avec deux mauvaises nouvelles (l'éviction de "Des hommes et des dieux" alors que Xavier Beauvois vient d'obtenir le prix Lumière du meilleur film étranger -et alors que très probablement il sera le grand favori aux César 2011, réponse vendredi- et la présence de l'horrible "Canine" de Yorgos Lanthimos ) mais aussi de bonnes nouvelles: la présence d'"Incendies" de Denis Villeneuve (dont je vous reparle bientôt), de "Biutiful" d'Inarritu et de "Hors la loi" de Rachid Bouchareb (je croise les doigts pour qu'il figure en "finale", un juste retour des choses après l'absurde polémique cannoise) injustement malmené par la critique. Des films qui ont en commun leur âpreté. J'y reviendrai.

    Les 9 semi-finalistes à l'Oscar du meilleur film étranger 2011:

    Algeria, “Hors la Loi” (“Outside the Law”), Rachid Bouchareb

    Canada, “Incendies,” Denis Villeneuve

                      
    Denmark, “In a Better World,” Susanne Bier


    Greece, “Dogtooth,” Yorgos Lanthimos

    Japan, “Confessions,” Tetsuya Nakashima,

    Mexico, “Biutiful,” Alejandro Gonzalez Inarritu

                      
    South Africa, “Life, above All,” Oliver Schmitz,

    Spain, “Tambien la Lluvia” (“Even the Rain”)  Iciar Bollain

    Sweden, “Simple Simon,” Andreas Ohman

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  • La liste des nommés aux César 2011 ...

    ...sera révèlée vendredi et largement commentée sur ce blog (Ajout du 21 janvier: cliquez ici pour lire mon article sur les nominations aux César 2011). En attendant je vous invite à revoir mes vidéos filmées en salle presse des César 2010 et retrouvez mon compte rendu des César 2010 en cliquant ici.

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  • Vidéo des révèlations des César 2011 par Zoe Cassavetes

    Je vous parlais il y a quelques jours des sélectionnés pour le César du meilleur espoir 2011. Voici la vidéo des 32 présélectionnés réalisée par Zoe Cassavetes.

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  • Critique de "Away we go" de Sam Mendes ( ce soir sur Canal +)

    Ce soir ne manquez pas "Away we go" de Sam Mendès, à 20H50, sur Canal +.

    away we go.jpg

    Quel film peut-on bien réaliser après le chef d'œuvre "Les Noces Rebelles" (si vous ne l'avez pas encore vu, précipitez-vous sur le DVD,  et rendez-vous à la fin de cet article pour lire ma critique en espérant vous convaincre de voir ce qui est sans doute un des trois meilleurs films de cette année et qui frôle la perfection) ? Plutôt que de réaliser un film semblable qui aurait forcément souffert de la comparaison,  Sam Mendès a eu la bonne idée de réaliser un film qui est quasiment le contrepied du précèdent...

     Certes, Verona (Maya Rudolph) et Burt (John Krasinski), cherchent ici aussi un ailleurs, pas pour échapper à leur vie de couple étouffante, mais pour trouver l'endroit parfait pour fonder une famille. Ils viennent en effet d'apprendre qu'ils vont devenir parents et la seule raison pour laquelle ils vivaient dans la ville de province dans laquelle ils habitaient était la présence des parents de Burt qui ont brusquement décidé de déménager. Ils vont donc partir rendre visite à leurs familles et amis  pour trouver le bon endroit. Le bon modèle.

    Aux antipodes du glamour hollywoodien, Sam Mendes a choisi deux acteurs non auréolés de tout le mythe qui entourait ceux de son précèdent film (Kate Winslet et Leonardo Di Caprio), un couple ordinaire  auquel chacun est censé pouvoir s'identifier. Une autre histoire de couple. Un couple d'amoureux qui se suffisent l'un à l'autre et pour qui trouver le bon endroit est le moyen de se retrouver et non d'échapper à son alter ego. D'ailleurs, la protagoniste féminine du couple s'appelle Verona. La ville des amoureux immortalisée par Shakespeare. Tout un symbole... même si ici pas de Capulet et Montaigu pour mettre à mal leur amour. Simplement des questionnements, un cheminement vers l'âge adulte. A travers les rencontres qu'ils vont effectuer, les lieux qu'ils vont visiter, ils vont grandir, prendre la mesure de la responsabilité qui va bientôt leur incomber.

    Leur parcours est divisé en saynètes sur un schéma assez semblable. Ces saynètes sont séparées par des panneaux indiquant le nom de l'endroit où ils arrivent et la vérité (du couple qui les accueille et de leur attitude avec leurs enfants) apparaît le plus souvent lors de scènes de repas, là aussi propices à créer l'identification, aussi excentriques soient les réalités auxquelles ils sont alors confrontés : du couple qui se moque de ses propres enfants au couple hippie aux principes éducatifs improbables où l'enfant trône comme un roi en bout de table mais est finalement nié. Ils vont alors être confrontés à tous les modèles pour trouver le leur : de la mère qui s'en va à celle qui adopte parce qu'elle ne peut pas avoir d'enfants.

    Mais ne vous y trompez pas, il s'agit aussi et avant tout d'une comédie. Parfois décalée, et surtout rafraîchissante comme peut l'être un premier film qui ne démériterait pas dans la compétition des films indépendants du Festival du Cinéma Américain de Deauville. Les deux acteurs principaux, à la fois ordinaires et originaux et surtout talentueux, y sont aussi pour beaucoup. Ce long-métrage qui est le cinquième de Sam Mendes  a pourtant la fraîcheur d'un premier film !

    Derrière ce road movie rafraîchissant, plus grave qu'il n'y paraît, Sam Mendes débusque à nouveau les faux-semblants et met de nouveau en scène ses thèmes de prédilection : l'hypocrisie sociale du couple et ce qu'il dissimule derrière une apparence de respectabilité (et cela commence avec les parents de Burt, dans une scène irrésistible dans laquelle ils témoignent de leur redoutable égoïsme), la sensation d'étouffement (à l'intérieur du couple ou d'un lieu, ici) et l'envie d'y échapper.

    A l'image du film, ses personnages principaux sont attachants par leur simplicité, fauchés mais amoureux et heureux. Ce road movie va être leur parcours initiatique.

    Sam Mendes filme  au plus près des visages pour aller au-delà des apparences.  La musique d'Alexi Murdoch baigne l'ensemble dans une mélodie envoûtante et le scénario original de Dave Eggers et Vendela Vida, s'il ne nous époustoufle pas, nous charme incontestablement, par sa tendresse et son humour.

    Ailleurs nous irons, signifie le titre. Ailleurs Sam Mendes nous a emmenés. Tout en nous rappelant que le bonheur c'est souvent non pas d'échapper à son destin mais de s'y confronter. Et que, le  plus souvent, il ne se situe pas ailleurs, mais bel et bien là, juste à côté de nous.

     Je ne vous surprendrai pas en vous disant que j'ai, et de loin, préféré la complexité, la noirceur, la subtilité, la beauté cruelle des « Noces Rebelles » mais je vous recommande également ce « Away we go » qui, en vous emmenant ailleurs avec un mélange d'apparente et séduisante légèreté et de touchante gravité, vous parlera sans doute aussi, d'ici et de vous. Alors... sur mes recommandations, avec Sam Mendès, ailleurs vous irez !

    Sortie en salles: le 4 novembre 2009

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  • Avant-première- « 127 heures » ou l’insupportable contre-sens et faute de goût de Danny Boyle

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    Je suis la première à m’offusquer lorsque des critiques cinéma (vous savez ces gens qui sont payés pour voir des films et se plaignent tout le temps et parlent souvent de ceux grâce à qui ils vivent avec dédain, d’accord c’est un cliché que j’ai néanmoins souvent constaté même si j’ai aussi rencontré de -plus rares- vrais passionnés, mais après tout après avoir vu un film qui justement les aligne, les clichés, je peux bien y recourir moi aussi) n’arrivent pas à l’heure aux projections presse et s’en enorgueilliraient presque (ce n’est pas une légende, record à la dernière avec un journaliste arrivé au bout d’une demi-heure, je me demande bien quel sera son article) sans parler de ceux qui partent avant la fin mais je n’étais pas à une projection presse, je ne suis pas journaliste et ne me considère pas comme telle et puis surtout pour que je parte avant la fin d’un film, ce qui m’arrive très rarement, il faut vraiment que cela me devienne physiquement insupportable (comme ce fut le cas en l’espèce) car même si je trouve ça très mauvais, je me dis toujours que la fin explicitera ce que j’ai trouvé de si mauvais. Ainsi, même un excellent film comme « Black swan » de Darren Aronofsky, pour l’instant selon moi le meilleur film de l’année, ne pourrait être considéré comme tel sans ses dix dernières minutes. Bref, ce qui est ci-dessous n’est pas une critique, juste les impressions que m’a laissées le film dont j’avoue humblement n’avoir pu voir le dernier quart d’heure.

    127 heures, c’est donc nouveau film de Danny Boyle après le multi-oscarisé « Slumdog millionaire ».  127 heures c’est l’adaptation du roman intitulé « Plus fort qu’un rock » l’histoire (vraie) d’un alpiniste expérimenté, Aron Ralston (James Franco), parti pour une randonnée en solitaire dans les gorges de l’Utah qui se retrouve bloqué au fond d’un canyon isolé le bras bloqué par un rocher.

    127 heures, c’est un peu l’anti « Gerry » de Gus Van Sant qui faisait confiance à l’imaginaire, à la curiosité, à l’intellect du spectateur. 127 heures, c’est aussi tout ce que je déteste au cinéma : la poudre aux yeux qui débute dès le générique avec un split screen et une musique insupportable. Le spectateur est pris par la main, ébloui, hypnotisé dès le générique. Surtout qu’il ne s’ennuie pas, que ses regards et ses pensées et ses impressions lui soient dictés. Quels paradoxe et faute de goût pour nous raconter le calvaire d’un homme qui justement  a dû l’éprouver, physiquement et moralement, cet écoulement du temps. Elément essentiel d’ailleurs que cet écoulement du temps puisqu’il se retrouve dans le titre et que le slogan du film est « chaque seconde compte ». Crainte obsessionnelle de l’ennui ? Symptôme d’une époque qui se soucie plus d’immédiateté et de communication que de réflexion ?

     En tout cas, pour que le spectateur ne s’ennuie pas Danny Boyle n’économise pas les artifices et  moyens : il varie les plans, les cadrages, les caméras, use et abuse du flash-back (l’enfance, l’amour, les regrets en quelques secondes comme un  twitt, exagéré, simpliste et caricatural), d’un aspect clippesque insupportable là aussi en contradiction totale avec le sujet puisque cet homme se retrouve face à l’essentiel alors que la forme n’est qu’artifice.

    Heureusement il y a ces paysages idylliques qui s’avèreront diaboliques et la très courte apparition de Clémence Poésy qui illumine l’écran.

    Le jeu de James Franco est outrancier et donne constamment l’impression d’agir en fonction du spectateur (même lorsqu’il éteint sa caméra), un comble pour un homme face à la solitude.

     Ne parlons pas de la bo sans doute très réussie pour une soirée au Baron mais beaucoup moins pour accompagner un homme face à lui-même.

    Si je ne suis pas restée jusqu’à la fin, c’est parce que cela m’était physiquement insupportable. Au moins ne suis-je pas totalement anesthésiée, insensible à la violence. Sans doute me direz-vous que c’est une réussite que d’avoir donné cette impression de claustrophobie mais la vraie réussite aurait quand même été que malgré cela, je reste jusqu’à la fin, ce qui fut le cas dans « Buried » par exemple (auquel je reprochais d’autres défauts mais qui, au moins,  faisait confiance au spectateur et à son sujet).

    127 hours (à l’exception de son dernier ¼ d’heure alors peut-être puisque je ne peux en juger mais j’en doute ?), dans sa forme, est une faute de goût, un contresens, un film bourré d’artifices et d’effets inutiles et même hors sujet qui vise l’efficacité et non le sens alors que justement  son (anti)héros en est en quête. Une hallucination  vaine, un effet de style prétentieux, épuisant et agaçant. Vous voilà prévenus. Sortie en salles le 23 février.

    Lien permanent Imprimer Catégories : AVANT-PREMIERES, CRITIQUES DES FILMS A L'AFFICHE EN 2011/2012 Pin it! 3 commentaires
  • 18èmes trophées du Film Français: les nommés et récompensés

      

     Le film français rassemblera les professionnels et artistes de la télévision et du cinéma français lors d'une soirée au cours de laquelle seront remis les 18èmes Trophées du Film français .  Depuis sa création en 1944, Le film français occupe la place de premier hebdomadaire des professionnels du cinéma et de l'audiovisuel en France.

    La cérémonie aura lieu cette année le 3 février 2011 au Palais de Tokyo

    Seront remis les prix suivants:

    Trophée de la personnalité de l'année 2010 élue par les lecteurs et internautes du Film français

    Les nommés sont…

    - Jacques Bled, cofondateur et patron du studio Mac Guff Ligne (Moi, moche et méchant)

    - Guillaume Canet, acteur et réalisateur (Les petits mouchoirs)

    - Yaël Fogiel et Laëtitia Gonzalez, productrices des Films du Poisson (Tournée, L'arbre)

    Trophée du public TF1 élu par les internautes des sites du groupe TF1

    Les nommés sont les 15 films français ayant réalisé plus de 500 000 entrées France en 2010 :

    - Les petits mouchoirs (Guillaume Canet)

    - Camping 2 (Fabien Onteniente

    - L'arnacoeur (Pascal Chaumeil)

    - Des hommes et des dieux (Xavier Beauvois)

    - Océans (Jacques Perrin et Jacques Cluzaud)

    - La rafle (Rose Bosch)

    - Potiche (François Ozon)

    - Les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc Sec (Luc Besson)

    - Tout ce qui brille (Géraldine Nakache et Hervé Mimran)

    - Le voyage extraordinaire de Samy (Ben Stassen)

    - La tête en friche (Jean Becker)

    - Fatal (Mickaël Youn)

    - Arthur 3, la guerre des deux mondes (Luc Besson)

    - Le Mac (Pascal Bourdiaux)

    - L'homme qui voulait vivre sa vie (Éric Lartigau)

    Le film français décerne également des prix sur les entrées en salle et les audiences TV françaises enregistrées en 2010:

    Trophée des Trophées

    Harry Potter et les reliques de la mort – 1re partie de David Yates (Warner Bros.)

    Trophée du film français

    Les petits mouchoirs de Guillaume Canet (EuropaCorp Distribution)

    Trophée de la première oeuvre

    L'arnacoeur de Pascal Chaumeil (Universal Pictures International France)

    Trophée du film européen

    Le voyage extraordinaire de Samy de Ben Stassen (StudioCanal)

    Trophée de la fiction unitaire (film ayant réalisé la meilleure audience)

    Clem de Joyce Buñuel (Merlin Productions)

    Enfin, Le film français décerne des prix avec la participation de deux jurys:

    Trophée de l'exploitant

    Les nommés sont...

    - Marc Bony et Ronan Frémondière, Comoedia Lyon

    - Antoine Cabot, UGC Ciné Cité Les Halles

    - Sylvain Pichon, Le Méliès Saint-Étienne

    Le jury exploitants, qui s'est réuni le 21 décembre 2010, est composé de :

    Françoise Dauvergne, Gaumont

    Isabelle Dubar, Happiness Distribution

    Thierry Laurentin, Mars Distribution

    Anne-Cécile Rolland, Pretty Pictures

    Anne Smadja, Warner Bros. Pictures France

    Trophées duos réalisateur-producteur

    Duo cinéma

    Les nommés sont...

    - Xavier Beauvois / Pascal Caucheteux et Grégoire Sorlat (Why Not) pour Des hommes et des dieux.

    - Roman Polanski / Robert Benmussa et Alain Sarde (R.P. Productions) pour The Ghost Writer.

    - Mathieu Amalric / Yaël Fogiel et Laëtitia Gonzalez (Les Films du Poisson) pour Tournée.

    Duo révélation

    Les nommés sont...

    - Pascal Chaumeil / Nicolas Duval Adassovsky, Yann Zenou et Laurent Zeitoun (Quad) pour L'Arnacoeur.

    - Michel Leclerc / Antoine Rein et Fabrice Goldstein (Karé Productions) pour Le nom des gens.

    - Katell Quillévéré / Justin Taurand (Les Films du Bélier) pour Un poison violent.

    Duo fiction TV

    Les nommés sont...

    - Olivier Assayas / Daniel Leconte et Jens Meurer (Film en Stock) pour Carlos, diffusé sur Canal+.

    - Arnaud Bédouet / Mathilde Muffang (La Boîte à Images) pour Clandestin, diffusé sur France 2.

    - Gilles Amado / Thomas Bornot, Alain-Michel Blanc et Christophe Nick

    (Yami 2) pour Jusqu'où va la télé ?, diffusé sur France 2.

    Le jury duo, qui s'est réuni le 6 janvier 2011, est composé de :

    Patrice Duhamel, journaliste

    Bénédicte Lesage, productrice (Mascaret Films)

    Elizabeth Tanner, agent (Artmedia)

    Anne-Dominique Toussaint, productrice (Les Films des Tournelles)

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