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  • "Mon Festival du cinéma" sur France 5

    medium_bloguebis.jpgAprès un article dans Ouest-France il y a quelques jours, et après l'interview pour France Info en direct de Cannes, l'émission "Le journal du blogue" sur France 5 consacrera aujourd'hui un reportage à "Mon Festival du cinéma" et diffusera une interview réalisée au cinéma "le Saint Germain des Prés".

    L'émission passera sur France 5 à 12H25, ce dimanche 21 Mai. Elle est également disponible sur le site internet de l'émission pendant une semaine à compter d'aujourd'hui.

    Vous pouvez également retrouver un article consacré à "Mon Festival du cinéma" sur le site internet de l'émission à ce sujet : voir l'article de France 5 au sujet de mon Festival du cinéma .

    Sandra.M

    Lien permanent Imprimer Catégories : LE BLOG "IN THE MOOD FOR CINEMA" DANS LES MEDIAS Pin it! 1 commentaire
  • Cérémonie d'ouverture et premier jour de la compétition cannoise.

    « Ce qu’il faut éviter c’est le syndrome de la cage d’escalier. Dans les réunions de copropriété, certains veulent la repeindre en rouge, d’autres en bleu et finalement on repeint la cage d’escalier en beige, ce qui ne satisfait personne. Moi je ne veux pas qu’on récompense un film, mais celui qui aura les plus belles couleurs » a déclaré le toujours caustique réalisateur Patrice Leconte lors de la conférence de presse du jury dont il est membre.

     Si aux prémisses du festival, malgré les premières rumeurs qui commencent déjà à courir et à enfler, on ignore encore quelles seront les couleurs du choix du jury, en revanche cette première journée du festival aura déjà été intense, colorée, bigarrée. A Cannes, on adore ou on abhorre, tout est blanc ou noir mais rien n’est jamais terne ou en demi-teinte. Tout est toujours amplifié, exagéré, démesuré à l’image du marketing hégémonique qui a accompagné le film d’ouverture : le surmédiatisé Da Vinci Code de Ron Howard.

    A peine arrivée à la gare Cannes, me voilà déjà plongée dans l’ambiance avec les panneaux publicitaires rappelant l’arrivée de l’Eurostar modestement baptisé Da vinci Code puis  je découvre l'immense pyramide ornant  la plage (défigurant serait plus juste, oui Cannes est savamment défigurée pendant le festival) destinée à la soirée ayant coûté la tout aussi modeste somme de 1 millions d’euros . Devant les marches une religieuse prie en signe de protestation. Bienvenue dans l’étrangeté cannoise.

     

    Vient ensuite l’heure de la cérémonie d’ouverture plutôt monotone (on aurait tellement aimé voir surgir Vanessa Paradis et Jeanne Moreau entonnant Le tourbillon de la vie) pour la première fois présentée par un homme devenu selon ses propres termes « maîtresse de cérémonie », en l’occurrence le polyglotte Vincent Cassel. Si le palmarès du festival a souvent eu, à plus forte raison ces dernières années, des résonances politiques, en revanche les cérémonies d’ouverture aux accents politiques sont plus inhabituelles. Alors que ce même jour l’Assemblée Nationale votait le projet de loi Sarkozy sur l’immigration, Vincent Cassel a ainsi fait l’éloge de la France multiculturelle et de ce melting pot filmique qu’elle accueille et célèbre chaque année sur la Croisette. Puis, après la présentation du jury, et un air d’opéra italien, le festival fut déclaré ouvert par Sydney Poitier ovationné par les festivaliers.

    Ensuite, place à l’adaptation du best seller de Dan Brown précédée de la réputation de « comédie malgré elle » lors de la projection presse ayant devancé celle de l’ouverture. Peut-être est-ce la candeur du festivalier débarquant ravi de n’être qu’aux balbutiements de ce festival pourtant bientôt sexagénaire, peut-être ai-je été hypnotisée par cette publicité omniprésente, peut-être finalement ce Da Vinci code se laisse-il regarder, en tout cas il a réussi malgré tout à me tenir éveillée. J’ignore d’ailleurs encore pourquoi et comment. Ce n’est certes pas le jeu, inhabituellement affligeant de Jean Reno. Ce n’est certes pas la réalisation laborieuse de ce film aux allures de série B malgré un budget pharaonique. Ce n’est certes cette chasse au trésor mystique dont la conclusion a provoqué l’hilarité générale. Peut-être est-ce la fascination pour l'étrange Paul Bettani. Peut-être est-ce Audrey Tautou qui y met toute son énergie, finalement la seule à être convaincante et à être apparemment convaincue d’être la descendante de Jésus et Marie-Madeleine, voilà qui devrait ravir notre manifestante silencieuse du bas des marches.  Toujours est-il qu’à défaut d’être tenue haleine j’ai été tenue éveillée donc.

     

     Finalement la véritable quête qui m’a tenue en haleine n’a pas été celle du Graal mais celle des Irlandais du Vent se lève dont les velléités d’indépendance sont réprimées par les redoutables Black-and-Tan, troupes anglaises envoyées par bateaux entiers, premier film de la compétition qui nous rappelle l’engagement du réalisateur de Land and freedom, Ken Loach. Fidèle à son penchant pour les films de société ou politiques, Ken Loach retrace le combat de ces Irlandais oppressés dont certains deviendront eux-mêmes oppresseurs de ceux avec lesquels ils combattaient.  Dans ce film intelligemment âpre deux frères qui se battaient pour la même cause vont en effet pousser jusqu’à l’extrême le patriotisme, la soif de liberté, de victoire aussi, l’orgueil également, finalement. Ils vont symboliser l’absurdité de la guerre, pas seulement celle-là bien évidemment, celle-ci pouvant être tout autre, ces deux frères pouvant être deux nations d'hier ou d'aujourd’hui, d'Irlande ou d'ailleurs. Par sens du devoir et amour de son pays Damien abandonne ainsi sa jeune carrière de médecin et rejoint son frère Teddy dans le dangereux combat pour la liberté. Alors que la détermination des insurgés mène les Britanniques dans l’impasse, les deux parties conviennent d’un traité pour mettre fin aux effusions de sang. Mais cette apparente victoire divise les Irlandais qui luttaient jusque là côte à côte et déclenche une guerre civile : des familles se déchirent et des frères comme Teddy et Damien deviennent ennemis… En défendant leur humanité, leur identité, avec passion, ferveur presque, ces deux frères vont symboliser l’inhumanité que la guerre engendre. Ken Loach ne juge pas, ne prend parti pour aucun des deux camps. Un film profondément sombre, poignant, désespéré, mais aussi un appel à la raison que la guerre ne connaît pas, plus convaincant que n’importe quel discours pacifiste, qui évoque l’absurdité de la guerre en poussant jusqu’à l’extrême la folie qui s'empare de ceux qui la provoquent même initialement remplis de bonnes intentions.  Et c'est là que la démonstration est implacable, la victime pour laquelle le spectateur s'était pris de sympathie devient le bourreau sous nos yeux effarés. Un film dans la lignée des palmes d’or récentes qui mériterait sans nul doute de figurer au palmarès même si les acteurs semblent toujours un peu à distance du drame qui se joue sous nos et leurs yeux et auquel le spectateur lui ne peut être insensible. Peut-être étaient-ce là d’ailleurs les directives du réalisateur pour renforcer cette impression d’inhumanité jusqu’à la déchirante scène finale de celle qui n’a plus que ses yeux pour pleurer, impuissante comme ceux entrainés dans ce tourbillon de folie.

     

     Mais peut-être Wong Kar Wai, premier président chinois du jury cannois, sera-t-il plus sensible au film suivant de la compétition, celui de son compatriote Lou Ye Summer Palace qui nous embarque avec lui, en 1989, dans les tourments de l’Histoire, de la place Tien An Men au mur de Berlin mais aussi dans ceux du cœur de la jeune héroïne auxquels il font écho. D’Histoire et de passion il est donc aussi question. Celle de deux jeunes amoureux qui vivent une relation d’amour haine complexe dans un pays soumis aux troubles et à l’instabilité politique. Leur relation tourne au jeu dangereux alors qu’autour d’eux les autres étudiants commencent à manifester exigeant la liberté et la démocratie. Dommage que la musique omniprésente et que la pluralité de thèmes altèrent les qualités de ce film qui possède pourtant une troublante mélancolie. La fin nous fait ainsi oublier les longueurs certaines (un prégénérique de 20 minutes) portant à son paroxysme ces illusions mortelles qui entraînent les deux amoureux,( très loin moralement et physiquement d'ailleurs) sublimant le film comme elles ont sublimé la vie des protagonistes et nous faisant oublier les maladresses. Une fin qui vous poursuit longtemps et qui devrait plaire aux inconditionnels de Sur la route de Madison bien que ces deux films soient très différents, la relation  amoureuse était aussi suggérée dans l'un qu'elle est montrée dans l'autre! Lou Ye n’a pas non plus hésité à filmer des scènes d’amour de façon crue, du moins est-ce une rareté pour un film chinois, d’ailleurs la version cannoise est différente de celle soumise à la censure du pays. Des scènes qui symbolisent le désir, le désir de liberté surtout, la perte de repères que l’Histoire et la passion intimement liées engendrent. On se souvient alors des premières paroles du film de « l’amour qui surgit comme le vent qui se lève un soir d’été. » Après ses tourments la passion laisse place à une nostalgie poétique et cette fois c’est le spectateur qui succombe…. Hao Lei qui interprète l’héroine Yu Hong n’y est pas étrangère et pourrait prétendre à un prix d’interprétation féminine…

     

    Place enfin à un peu de légèreté, du moins aurait-on pu le croire, avec l’ouverture d’un Certain Regard avec un film au titre en forme de déclaration d’amour Paris je t’aime dont on nous présente ce soir la...81ème version après que le film ait bien failli ne jamais être projeté en raison d'un désaccord au sein de la production. La projection  est précèdée de la présentation de l’équipe du film sur scène en l’occurrence les équipes des 18 films (18 courts métrages se déroulant chacun dans un arrondissement de Paris) donnant lieu à un plateau prestigieux avec notamment Hypolyte Girardot, Gena Rowlands, Ludivine Sagnier, Gus Van Sant, Alexander Payne, Fanny Ardant, Gurinder Chada, Juliette Binoche, Bruno Podalydès…et tant d’autres qui ont rendu la grande scène du théâtre Debussy trop petite pour tous les contenir sans oublier évidemment le maire de Paris, mais également dans la salle un ancien Ministre de la Culture, candidat à la candidature pour la présidentielle dont certains croient qu’il l’est toujours , (confusion qui ne semble pas lui déplaire) et qui s'est d'ailleurs offert aujourd'hui un bain de foule sur la Croisette. Mais revenons à Paris, et nous voilà donc partis pour une promenade romantique dans ses rues somptueuses, dangereuses, amoureuses. Du moins est-ce ce que nous aurions pu croire mais la plupart des réalisateurs ont savamment évité les clichés de carte postale pour nous livrer une ville Lumière parfois sombre, violente, en tout cas vivante, pas si aseptisée, comme les amours dont elle est le cadre. Pas forcément un amour lisse donc  mais un amour aussi tragique, vampirique, satirique, ludique… Paris vit, vibre, bouscule, exalte, provoque l’amour. Au fil des quartiers de Paris l’amour est mimé, malmené, révélé, maternel, perdu... Une œuvre riche et inégale., peut-être un peu tiède au regard d'un thème qui aurait pu permettre aux réalisateurs de se prêter à de nombreuses excentricités poétiques. Quelques films sortent réellement du lot. Indéniablement, à l'applaudimètre le film désopilant des frères Coen avec Steve Buscemi aura recueilli le plus des suffrages des festivaliers, festivaliers qui parfois n’applaudissent pas du tout au dénouement de certains courts comme celui d'Olivier Assayas. Violence cannoise. Abhorrer ou adorer vous disais-je. Pas d’autre alternative. D’autres films étaient pourtant réussis comme celui  d'une belle ironie nostalgique, du tandem Auburtin/ Depardieu avec Gena Rowlands. Remarquable également le film mettant en scène  une actrice et un aveugle dans Faubourg Saint-Denis de Tom Tykwer ou encore l'amour de mimes si poétiques aux accents "Tim Burtoniens", désarmants et désarmés, avec Yolande Moreau…et l’amour pour Paris, le seul dans l’hilarant 14ème arrondissement d’Alexander Payne. Ou encore l’amour selon Oscar Wilde, sur sa tombe au Père Lachaise dans le film de Wes Craven. Dommage que Woody Allen qui avait si bien su filmer Paris dans Tout le monde dit I love you n’ait finalement pas fait partie de l’aventure ! Dommage aussi que les transitions n’aient pas été plus habiles , la fin nous donne une ébauche de ce qu’elles auraient pu être… Peut-être faudra-t-il attendre la 82ème version… Etrange que la ville dans laquelle se déroule le plus grand nombre de tournages n’ait pas été mieux et davantage filmée (dans la plupart des courts métrages Paris est quasiment absente!) surtout dans un film qui se proclame déclaration d'amour dans et à la capitale, comme si les réalisateurs avaient eu peur de s'y hasarder, de s'y confronter, comme si leur amour pour Paris les avait aveuglés, effrayés… Bref, un film qui ne tient pas toujours les promesses de sa déclaration initiale, un peu trop frileux,... mais qui vous permettra de faire une agréable et divertisssante promenade dans ses quartiers incitateurs à la rêverie et aux déclarations enflammées.

     

    A suivre demain, mes critiques des films vus vendredi et samedi : la leçon d’actrice de la mythique Geena Rowlands (photo ci-contre) , Fast food nation, Volver déjà évoqué comme potentielle Palme d'or, Red road et  surtout mon deuxième coup de cœur après le film de Ken Loach dont j'ai hâte de vous parler : Selon Charlie de Nicole Garcia.

     

    Même si mes critiques sont publiées avec un léger décalage, comme prévu tous les films de la sélection officielle seront critiqués sur ce blog et  vous pourrez  bientôt  retrouver de nombreuses anecdotes sur le festival mais aussi des photos inédites!

     

    Aujourd'hui sur France 5, à 12h25 retrouvez mon festival du cinéma. Pour voir l'article de France 5 à ce sujet, cliquez ici.

     

    Sandra.M

     

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CANNES 2006 Pin it! 6 commentaires
  • Patience!

    Suite à quelques difficultés pour accéder à internet, le premier article concernant ce festival va prendre un peu de retard mais revenez très bientôt sur ces pages pour y retrouver, comme prévu, mes commentaires sur le film d'ouverture, le très médiatisé Da Vinci Code, ainsi que sur les deux premiers films de la compétition Le vent se lève de Ken Loach et Summer Palace de Lou Ye, mais aussi sur le film d'ouverture de la section Un Certain Regard Paris, je t'aime...et toutes les rumeurs qui parcourent déjà la Croisette!

    Pour patienter une première photo inédite, celle d'Alain Delon et de la maquette du décor d'Astérix  -dont le tournage commence très bientôt-  présentée par ce dernier (Alain Delon, pas Astérix) sur le plateau du Grand Journal de Canal Plus...

    En m'excusant pour ce léger contre temps. A très bientôt  (au plus tard demain soir) sur "Mon festival du cinéma" pour un compte-rendu digne de ce nom.

    En attendant les miens n'hésitez pas à laisser vos commentaires sur cette première journée festivalière!

    Cinématographiquement vôtre.

    Sandra.M

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CANNES 2006 Pin it! 7 commentaires
  • "Mon festival du cinéma" en direct de Cannes, J-1!

    Alors que la Croisette déroule son tapis rouge et s'enorgueillit déjà depuis plusieurs jours de ses allures de centre du monde (du monde cinématographique, elle le sera en tout cas du 17 au 28 Mai), je vous invite à revenir sur ce blog le 17 Mai, date à partir de laquelle y sera publié un compte-rendu quotidien avec des critiques des films en Sélection Officielle mais aussi des sections parallèles.

    Vous pourrez également me lire notamment sur Idea Entertainment sur lequel vous trouverez de surcroît de nombreux autres regards sur ce festival, mais aussi sur Agoravox ou Pro Festivals.

    Vous pourrez par ailleurs retrouver "Mon festival du cinéma" dans l'émission Le Journal du blogue, sur France 5, le dimanche 21 Mai à 12H30.

    Pour d'autres regards sur ce festival de Cannes,  sa vie diurne...et nocturne, je vous invite également à consulter les liens situés dans la colonne de gauche.

    Pour toutes les informations officielles, je vous renvoie au site officiel du festival de Cannes.

    En attendant retrouvez toute la sélection du festival et mon compte-rendu du festival de Cannes 2005.

    Sandra.M

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  • Derniers échos avant le tumulte cannois

    Voici les dernières informations concernant le festival de Cannes 2006. Pour connaître le reste de la programmation vous pouvez consulter la rubrique "Festival de Cannes 2006 " de ce blog. 

     Composition du Jury Un Certain Regard

     Président : Monte HELLMAN (Réalisateur et Producteur - Etats-Unis)

    Marjane SATRAPI (Auteur / dessinateur - Iran) Laura WINTERS (Journaliste - Etats-Unis) Maurizio CABONA (Journaliste - Italie) Jean-Pierre LAVOIGNAT (Journaliste - France) Lars-Olav BEIER (Journaliste - Allemagne)

    Ce jury devra décerner, lors de la séance de clôture, samedi 27 mai, le Prix Un Certain Regard - Fondation Gan, attribué au meilleur film ainsi que deux autres prix parmi les films de la sélection 2006 du Certain Regard.

     L'année dernière, le prix Un Certain regard a été attribué au film de Cristi Puiu, La Mort de Monsieur Lazarescu.

    Composition du Jury Caméra d'Or

     Présidents : Jean-Pierre et Luc DARDENNE (Réalisateurs - Belgique)

    Jean-Paul SALOME (Réalisateur - France) Luiz Carlos MERTEN (Critique, Brésil) Frédéric MAIRE (Festival de Locarno - Suisse) Jean-Louis VIALARD (Directeur de la photographie AFC - France) Alain RIOU (Critique - France) Natacha LAURENT (Cinémathèque de Toulouse - France) Jean-Pierre NEYRAC (Technicien - France)

    La Caméra d'Or, fondée en 1978 par Gilles Jacob, est attribuée au meilleur premier film présenté en Sélection officielle, à la Semaine de la Critique ou à la Quinzaine des réalisateurs. En 2006, le nombre de premiers films, entre la Sélection officielle et les sections parallèles, se révèle plus important que les années précédentes, témoignant de la forte présence de la jeune création.

    En 2005, la Caméra d'Or a été décernée conjointement à Sulanga Enu Pinisa (La Terre Abandonnée) de Vimukthi Jayasundara (Un Certain Regard) et Me and You and Everyone we Know (Toi, Moi et tous les Autres) de Miranda July (Semaine de la Critique), un film que je vous recommande et dont vous pouvez retrouver la critique dans la rubrique "Festival du film américain de Deauville 2005" de ce blog.

     En Sélection officielle hors compétition, le Festival accueillera une projection spéciale de Clerks 2 de Kevin Smith, le vendredi 26 mai à 0.30 en salle Debussy.

    Sandra.M

     

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