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  • Un nouveau site web et un site mobile pour le Festival Paris Cinéma 2010

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    Comme vous le savez (ou pas), je ferai partie du jury blogueurs du Festival Paris Cinéma 2010. Ainsi, je vous informerai régulièrement de l'actualité du festival. J'ai ainsi appris hier que le film de Gilles Marchand "L'autre monde" y serait projeté en avant-première. 

    Je vous informe également que le Festival Paris Cinéma  a désormais un nouveau site web qui vous invite à parcourir les programmes et les événements de l'édition 2010. Partagez vos infos avec vos amis, sur Facebook, Twitter ou d'autres réseaux sociaux, ou abonnez-vous aux actus via un fil RSS. Le tout en version française et anglaise.

    Cette année le Festival propose également une version mobile de son site web : les dernières actus, les photos, les vidéos, les programmes, les infos pratiques et prochainement tous vos films et toutes vos séances au bout des doigts !

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  • Extrait de "Night and day" de James Mangold avec Cameron Diaz et Tom Cruise

    Avant de reprendre demain les critiques de films vus à Cannes, je vous propose un extrait de 4 minutes de "Night and day"  de James Mangold qui sortira le 28 juillet 2010, un film avec Cameron Diaz et Tom Cruise dont le pitch est le suivant:  Un agent secret sous couverture rencontre une jeune femme très malchanceuse dans ses relations avec les hommes...

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  • Avant-première – Critique de « Sex and the city 2 » de Michael Patrick King avec Sarah Jessica Parker…

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    Ayant vu tout au plus 4 épisodes de la série et n'ayant pas vu le premier opus cinématographique, après 12 jours de séjours cannois aussi agréables et légers que la sélection était empreinte de noirceur, j'ai donc répondu avec plaisir à l'invitation de la Warner pour voir ce film en avant-première en espérant qu'il serait aussi pétillant qu'une goutte de champagne sur une plage cannoise.

    Carrie (Sarah Jessica Parker), Samantha  (Kim Catrall) , Charlotte (Kristin Davis), Miranda (Cynthia Nixon)...sont quatre amies inséparables, toutes quatre amoureuses de la vie et new yorkaises glamour et sophistiquées unies par le désir de savourer tous les plaisirs de Big Apple. Après toutes ces années passées, elles attendent davantage de l'existence et commencent à s'interroger sur leurs choix, leur présent, leur avenir, leurs compagnons. Autant de questionnements qui nécessitent du recul pour être résolus et qui les incitent à partir pour quelques semaines à l'autre bout du monde...aux Emirats Arabes Unis.

    Mariage spectaculaire, soirée hollywoodienne, décor exotique (Abu Dhabi aux Emirats Arabes Unis mais en réalité le Maroc et Marrakech), hôtels et appartements de rêve, scène de karaoké endiablée, tenues chics et/ou extravagantes et/ou de mauvais goût, dénouement « tout est bien qui finit bien » : tout est réuni pour faire de ce film un pur moment d'évasion très loin de la crise et de ses atermoiements. Certains s'offusqueront sans doute de cette débauche de luxe et de moyens. J'avoue n'avoir pas vu passer les 2H15 que dure le film et malgré l'absence de réelle intrigue l'objectif était donc pleinement rempli. La construction est beaucoup plus proche de celle d'une série que d'un long-métrage de cinéma mais cela ne nous empêche pas de suivre avec plaisir leurs dialogues et saynètes rythmés.

    Pour ne pas totalement dépayser l'habitué de la série, la première partie se déroule donc à New York avant que les 4 amies n'embarquent pour les Emirats Arabes Unis avec leurs « soucis » dans leurs bagages : Miranda brimée par son patron vient de quitter son travail, Charlotte soupçonne son mari d'avoir une liaison avec son indispensable nounou, Samantha est tourmentée par ses hormones et la ménopause, Carrie se demande comment garder l'étincelle dans son couple...

    Si le film s'amuse (avec plus ou moins de bon goût) du décalage culturel entre nos 4 New-Yorkaises libérées et la société plus conservatrice d'Abu Dhabi, le politiquement correct est toujours de mise contrairement à un titre qui se veut plus subversif. Certes le personnage de Samantha n'a pas froid aux yeux ni ailleurs mais pour le reste la morale judéo-chrétienne et le modèle familial américain sont loués et respectés : la femme qui trompe son mari le lui avoue, celle qui croit que son mari la trompe se fait des idées et il est fort probable que Carrie ne résistera pas très longtemps au modèle couple avec enfants dans lequel la société souhaite l'inscrire.

    Nos quatre héroïnes sont finalement plus conventionnelles qu'il n'y paraît et tout est fait pour que l'identification fonctionne. Qui n'a jamais été brimé par un employeur ? Qui n'a jamais été partagé entre le désir de couple et le désir d'indépendance ? etcLe film a pourtant été jugé « politiquement incorrect » et  « antimusulman ». Si certaines remarques peuvent paraître condescendantes, il joue pourtant autant sur les clichés de la femme américaine que de la femme musulmane, et semble les assumer.

     Même si « Sex and the city 2 » ne fait pas toujours dans la subtilité, il reste un divertissement frais, léger et dépaysant idéal pour un début d'été... et un excellent spot publicitaire pour marques de luxe de cette marque qu'on « adoooorrre » à cette marque de montres que, selon un publicitaire français, il faut avoir avant cinquante ans pour avoir réussi sa vie...

    Sortie en salles : le 2 juin 2010         

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  • Avant-première- Critique de « L’Autre monde » de Gilles Marchand avec Louise Bourgoin, Grégoire Leprince-Ringuet, Melvil Poupaud

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    Alors que le virtuel prend de plus en plus le pas sur le réel ou en tout cas fait partie intégrante de nos existences, le cinéma s'empare de plus en plus du sujet, thème d'ailleurs récurrent de ce Festival de Cannes 2010. Gilles Marchand réalise là son deuxième long après « Qui a tué Bambi »  qui, comme « L'Autre monde » sélectionné hors compétition du Festival de Cannes 2010, figurait en sélection officielle du Festival de Cannes (2003). Gilles Marchand est avant tout scénariste, notamment des films de Dominik Moll dans lesquels une situation ordinaire dérapait déjà toujours vers une réalité déroutante. Déjà vers un autre monde.

    L'été dans le Sud de la France. Gaspard (Grégoire Leprince-Ringuet) vient de tomber amoureux de Marion (Pauline Etienne.) Il partage son temps entre cette dernière et ses deux meilleurs amis. Mais un jour, alors qu'il se trouve avec Marion, il va tomber par hasard sur un portable égaré, celui d'Audrey (Louise Bourgoin). Les jeunes amoureux vont alors aller à un rendez-vous donné sur le portable d'Audrey.  Gaspard ne peut s'empêcher d'être attiré par cette jeune femme belle, sombre et double. Gaspard découvre que sur un jeu en réseau « Black hole » Audrey est Sam. Gaspard se crée à son tour un avatar pour la rejoindre.  La vie de Gaspard va alors basculer. Dans L'Autre Monde...et dans celui-ci.

    L'écueil à éviter était de tomber dans le film pour jeunes ou uniquement destiné aux amateurs de jeux vidéos. Un écueil intelligemment contourné par un scénario qui mêle judicieusement l'univers réaliste et lumineux de la réalité par lequel le film commence, à celui inquiétant et sombre de l'univers virtuel dans lequel il nous plonge progressivement. Si les adultes ou du moins les personnes responsables sont peu présentes, (à l'exception du père de Marion, autoritaire et menaçant) chacun peut  néanmoins s'identifier à Grégoire Leprince Ringuet qui incarne un jeune homme normal et heureux qui perd progressivement le sens des réalités.

    Par un habile jeu de mise en abyme, le frère d'Audrey (Melvil Poupaud) est d'une certaine manière le double du scénariste/réalisateur et le spectateur celui de Gaspard puisque le film le plonge lui aussi dans un « autre monde » sur lequel il désire en savoir davantage et puisqu'il est lui aussi manipulé par le réalisateur/démiurge comme l'est Gaspard. Le film joue sur la tentation universelle de fuir la réalité que ce soit par le cinéma ou en s'immergeant dans un univers virtuel. Audrey/Sam symbolise à elle seule cet autre monde, celui du fantasme, et des tentations adolescentes de jouer avec son identité et avec la mort. Un monde de leurres, ici aussi troublant, fascinant que malsain. Un univers factice qui donne une illusion d'évasion et rejaillit sur la réalité. Un monde qui a pour seul loi les désirs, érotiques et/ou morbides. Que serait un monde sans morale et sans loi ? Black hole. Un trou noir.

     Sans être moraliste (et heureusement), le film met en garde contre ces univers virtuels dans lesquels mourir se fait d'un simple clic et où jouer avec la vie devient un jeu enfantin. Le sens, absurde, de cette réalité virtuelle se substitue alors au sens des réalités et la mort, mot qui perd alors tout sens, devient un jeu dans la vie réelle comme dans cette scène où les amis de Garspard se placent devant des voitures lancées à vive allure.

     « Black hole » c'est à la fois l'évasion et le paradis (heaven comme le tatouage que porte Audrey) mais Heaven symbolise aussi cet univers de perdition dans lequel Audrey est Sam. Un univers auquel les images d'animation procurent une beauté sombre et troublante.

    Par une réalisation fluide, Gilles Marchand nous embarque nous aussi dans un autre monde, un monde de contrastes entre luminosité et noirceur, entre film réaliste et archétypes du film noir (avec sa femme fatale et ses rues sombres de rigueur), un monde dangereusement fascinant, sombre et sensuel comme cette plage noire, purgatoire où se retrouvent les morts de « Black hole ».

    Louise Bourgoin est parfaite en fragile femme fatale, sensuelle et mystérieuse face à un Grégoire Leprince-Ringuet dont la douceur et la normalité semblent à tout instant pouvoir basculer, un être lumineux dont « Black hole » va révéler les zones d'ombre. Pauline Etienne est elle aussi parfaite en jeune fille enjouée et fraîche qui connaît ses premiers émois amoureux.

     « L'Autre monde » est une brillante mise en abyme,  un film  sur le voyeurisme, la manipulation, la frontière de plus en plus étroite entre réel et virtuel qui  plonge le spectateur dans un  ailleurs aussi inquiétant que fascinant, un film haletant, savamment « addictif » comme « Black hole », qui nous déroute et détourne habilement de la réalité. Un film que je vous recommande vivement !

    En introduction à la projection, Gilles Marchand a ainsi précisé que le rapport du joueur au jeu, à l'écran l'avait toujours intrigué : « Les choses qui se passent dans le monde virtuel me paraissent particulières à notre époque et universelles. Ce qui m'intéressait c'était d'avoir une narration fluide et un montage parallèle entre ces deux mondes. Second life a fait partie de l'inspiration. Le fait qu'il n'y ait pas de but précis dans le jeu m'intéressait. On était entre le réseau social et le jeu. Ce qui m'intéressait aussi c'était le parcours de Gaspard, son hésitation entre deux femmes, deux archétypes de femmes ».

    Je vous signale également que vous pouvez devenir coproducteurs de ce film sur touscoprod.com .

    Sortie en salles : le 14 juillet

  • Demain, ne manquez pas "Quelques jours avec moi " de Claude Sautet avec Daniel Auteuil, Sandrine Bonnaire, à 20H35, sur France 2

    Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de Claude Sautet (notamment ici à l'occasion de la projection de "César et Rosalie" aux Cinoches) alors si demain soir vous n'allez pas aux Cinoches voir "Plein soleil" de René Clément comme je vous le recommandais ici, vous n'avez plus aucune excuse pour ne pas regarder "Quelques jours avec moi", à 20H35, sur France 2. Sans doute le film de Claude Sautet le moins connu. Le plus surprenant aussi. Le plus irrévérencieux. Un film particulièrement jubilatoire. Cet extrait vous en donnera un aperçu. Vous pourrez bien entendu retrouver la critique du film sur inthemoodforcinema.

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  • "Plein soleil" de René Clément avec Alain Delon et Maurice Ronet demain au ciné club du restaurant "Les Cinoches"

    Je continue à choisir la programmation du ciné club du restaurant "Les Cinoches" avec, demain soir, à 21H, le chef d'oeuvre de René Clément  de 1960: "Plein Soleil". Pour les informations pratiques rendez-vous sur http://www.lescinoches.com . Critique du film ci-dessous.

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    Après les critiques de « La Piscine », « Borsalino », « Le Guépard », « Monsieur Klein »,  « Le Cercle rouge », "Le Professeur", je poursuis donc aujourd'hui le cycle consacré à Alain Delon sur inthemoodforcinema.com avec « Plein soleil » de René Clément, l'un des films que j'ai choisis dans le cadre de la programmation du ciné club du restaurant Les Cinoches.

    Dans ce film de 1960, Alain Delon est Tom Ripley, qui, moyennant  5000 dollars, dit être chargé par un milliardaire américain, M.Greenleaf, de ramener son fils Philippe (Maurice Ronet) à San Francisco, trouvant que ce dernier passe de trop longues vacances en Italie auprès de sa maîtresse Marge (Marie Laforêt). Tom est constamment avec eux, Philippe le traite comme son homme à tout faire, tout en le faisant participer à toutes ses aventures sans cesser de le mépriser. Mais Tom n'est pas vraiment l'ami d'enfance de Philippe qu'il dit être et surtout il met au point un plan aussi malin que machiavélique pour usurper l'identité de Philippe.

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    « Plein soleil » est une adaptation d'un roman de Patricia Highsmith (écrite par Paul Gégauff et René Clément) et si cette dernière a été très souvent adaptée (et notamment   le roman le « Talentueux  Monsieur Ripley » titre originel du roman de Patricia Highsmith qui a fait l'objet de très nombreuses adaptations et ainsi en 1999 par Anthony Minghella avec Matt Damon dans le rôle de Tom Ripley), le film de René Clément était selon elle le meilleur film tiré d'un de ses livres.

    Il faut dire que le film de René Clément, remarquable à bien des égards, est bien plus qu'un thriller. Par l'évocation de la jeunesse désinvolte, oisive, désœuvrée, égoïste, en Italie, il fait même penser à la « Dolce vita » de Fellini.

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     Cette réussite doit beaucoup à la complexité du personnage de Tom Ripley et à celui qui l'incarne. Sa beauté ravageuse, son identité trouble et troublante, son jeu polysémique en font un être insondable et fascinant dont les actes et les intentions peuvent prêter à plusieurs interprétations. Alain Delon excelle dans ce rôle ambigu, narcissique, où un tic nerveux, un regard soudain moins assuré révèlent l'état d'esprit changeant du personnage. Un jeu double, dual comme l'est Tom Ripley et quand il imite Philippe (Ronet) face au miroir avec une ressemblance à s'y méprendre, embrassant son propre reflet, la scène est d'une ambivalente beauté. Si « Plein soleil » est le cinquième film d'Alain Delon, c'est aussi son premier grand rôle suite auquel Visconti le choisit pour « Rocco et ses frères ». Sa carrière aurait-elle était la même s'il avait joué le rôle de Greenleaf qui lui avait été initialement dévolu et s'il n'avait insisté pour interpréter celui de Tom Ripley ? En tout cas, avec « Plein soleil » un mythe était né et Delon depuis considère toujours Clément comme son « maître absolu ». Ils se retrouveront d'ailleurs peu après pour les tournages de « Quelle joie de vivre » (1960), « Les Félins » (1964) et enfin « Paris brûle-t-il ? » en 1966.

     Face à lui, Ronet est cynique et futile à souhait. Le rapport entre les deux personnages incarnés par  Delon et Ronet est d'ailleurs similaire à celui qu'ils auront dans « La Piscine » de Jacques Deray 9 ans plus tard, le mépris de l'un conduisant pareillement au meurtre de l'autre. Entre les deux, Marge se laisse éblouir par l'un puis par l'autre, victime de ce jeu dangereux mais si savoureux pour le spectateur qui ne peut s'empêcher de prendre fait et cause pour l'immoral Tom Ripley.

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    L'écriture et la réalisation de Clément procurent un caractère intemporel à ce film de 1960 qui apparaît alors presque moins daté et plus actuel que celui de Minghella qui date pourtant de 1999 sans compter la modernité du jeu des trois acteurs principaux qui contribue également à ce sentiment de contemporanéité. « Plein soleil » c'est aussi "la confrontation entre l'éternité et l'éphémère, la beauté éternelle et la mortalité"*, la futilité pour feindre d'oublier la finitude de l'existence et la fugacité de cette existence. Les couleurs vives avec lesquelles sont filmés les extérieurs renforcent cette impression de paradoxe, les éléments étant d'une beauté criminelle et trompeuse à l'image de Tom Ripley. La lumière du soleil, de ce plein soleil, est à la fois élément de désir, de convoitise et  le reflet de ce trouble et de ce mystère. Une lumière si bien mise en valeur par le célèbre chef opérateur Henri Decaë. L'éblouissement est celui exercé par le personnage de Tom Ripley  qui est lui-même fasciné par celui dont il usurpe l'identité et endosse la personnalité. Comme le soleil qui à la fois éblouit et brûle, ils sont  l'un et l'autre aussi fascinants que dangereux.

    Acte de naissance d'un mythe, thriller palpitant, personnage délicieusement ambigu, lumière d'été trompeusement belle aux faux accents d'éternité, « Plein soleil » est un chef d'œuvre du genre dans lequel la forme coïncide comme rarement avec le fond, les éléments étant la métaphore parfaite du personnage principal. « Plein soleil », un film trompeusement radieux par lequel je vous conseille vivement de vous laisser éblouir !

    *Phrase extraite de l'ouvrage de de D. Bantcheva, René Clément, de même que les citations d'Alain Delon extraites de l'interview publiée dans le livre en question.

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  • Bande-annonce et extrait de "L'autre monde " de Gilles Marchand avec Louise Bourgoin, Melvil Poupaud, Grégoire Leprince-Ringuet

    autremonde7.jpgEn attendant de vous faire part de ma critique du film que je verrai demain (un film également sélectionné en séance spéciale à Cannes) et en attendant sa sortie officielle le 14 juillet, je vous propose donc un extrait et la bande annonce et vous rappelle également que vous pouvez participer à sa coproduction sur touscoprod.com .

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