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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 425

  • Palmarès du Festival Pocket Films 2010

    LE PALMARÈS DE LA COMPÉTITION INTERNATIONALE
    LES PRIX DU JURY  

    Dans le cadre de sa compétition internationale de films tournés avec téléphone mobile, le festival a présenté une sélection de 17 films. Sous la présidence de Benoît Jacquot, le jury, composé de Paul Otchakovsky-Laurens, Valérie Mréjen, Jérôme Delormas et Pierre Haski, a décerné trois prix.  

    1er PRIX DU JURY
    Fear Thy Not de Sophie Sherman (France / expérimental 2010 coul. 2min20)
    Au son d’une comptine angoissante, une jeune fille s’approche d’un étrange tunnel…
    La lauréate a reçu 1 500 € et un téléphone mobile vidéo

     
    2e Prix du Jury
    Isratine, Palestël de Naruna Kaplan de Macedo (France / documentaire 2010 coul. 8min)
    Vision intime de l’absurdité d’une guerre permanente.
    La lauréate a reçu 1 000 € et un téléphone mobile vidéo  


    3e Prix du Jury
    Roku Jo No Kotoba de Tubomi Koukou (Japon / expérimental vostf coul. 30sec)
    Un feu vert est-il un signe du destin ?
    Le lauréat a reçu un téléphone mobile vidéo

    LE PRIX DU PUBLIC  

    18h12 de Julien Hérisson (France / fiction 2009 coul. 10min30)
    Chaque jour, à 18h12, Julien envoie une photo à son cousin. Une pétillante comédie pop !
    Le lauréat a reçu un téléphone mobile vidéo  

    CONCOURS SFR JEUNES TALENTS - VIDEO SLAM 

    Partenaire principal du festival, SFR apporte sa contribution à la découverte et à la création des films réalisés avec téléphone mobile en organisant le Prix SFR Jeunes Talents - Pocket Films, avec cette année les cinéastes

     

    Claire Burger et Marie Amachoukeli pour marraines (César 2010 du meilleur court métrage avec C’est gratuit pour les filles).  

    Prix du jury attribué à :
    Bambiland d’Aurélie Durand (France / fiction 2010 coul. 1min12) Un cri qui se transforme en images.
    La lauréate a reçu 1500 € et un téléphone mobile vidéo


    Coup de coeur du jury attribué à :
    Mon quart d’heure de Yohann Delozier (France / fiction 2010 coul. 1min02) Amour, gloire et beauté…et mort. Un destin hors du commun.
    Le lauréat a reçu 500 € et un téléphone mobile vidéo

     

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  • Bertrand Tavernier le 27 juin au Forum des Images

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    © Little Bear

    A l'occasion de cette rencontre intitulée "La Malle aux trésors", forum.jpgle réalisateur Bertrand Tavernier revient sur ces films mythiques qui, lors de sa quinzième année, ont suscité chez lui cet inconditionnel amour du cinéma.Une découverte passionnante de grands metteurs en scène grâce à des oeuvres cinématographiques telles que Les Trois Lanciers du Bengale de Henry Hathaway, Les Aventures du capitaine Wyatt de Raoul Walsh ou encore Aventure dans le Grand Nord de William A. Wellman. Il se  passionne également pour des séries B dont il a le secret : La Sorcière rouge d’Edward Ludwig (1948), La Mission du commandant Lex d’André De Toth (1952)… et deux films avec le cultissime Eddie Constantine : Cet homme est dangereux (1953) et Ça va barder ! (1955). 

    Cliquez ici pour réserver vos places.

    Cliquez pour lire ma critique de "La Princesse de Montpensier", le dernier film de Bertrand Tavernier
    en compétition du dernier Festival de Cannes.
     

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    Filmographie de Bertrand Tavernier

    1964 : Les Baisers (film à sketches : réalisation du Baiser de Judas)

    1964 : La Chance et l'Amour (film à sketches : réalisation d’Une chance explosive)

    1974 : L'Horloger de Saint-Paul

    1975 : Que la fête commence

    1976 : Le Juge et l'Assassin

    1977 : Des enfants gâtés

    1980 : La Mort en direct (Deathwatch)

    1980 : Une semaine de vacances

    1981 : Coup de torchon

    1982 : Philippe Soupault et le Surréalisme (TV)

    1983 : Ciné citron (court métrage)

    1983 : La Huitième Génération (court métrage)

    1983 : Mississippi Blues (coréalisation avec Robert Parrish)

    1984 : Un dimanche à la campagne

    1986 : Autour de minuit (Round Midnight)

    1987 : La Passion Béatrice

    1988 : Lyon, le regard intérieur (TV)

    1989 : La Vie et rien d'autre

    1990 : Daddy nostalgie

    1991 : Contre l'oubli (coréalisation, Pour Aung San Suu Kyi, Myanmar)

    1992 : La Guerre sans nom (coréalisation avec Patrick Rotman)

    1992 : L.627

    1994 : La Fille de d'Artagnan

    1995 : L'Appât

    1996 : Capitaine Conan

    1997 : La Lettre (TV)

    1998 : De l'autre côté du périph (coréalisation avec Nils Tavernier - TV)

    1999 : Ça commence aujourd'hui

    2001 : Les Enfants de Thiès (TV)

    2001 : Histoires de vies brisées : les double-peine de Lyon (Coréalisation avec Nils Tavernier)

    2002 : Laissez-passer

    2004 : Holy Lola

    2009 : Dans la brume électrique (In the Electric Mist)

    2010 : La Princesse de Montpensier

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  • Avant-première - En attendant la critique de "Twilight - Chapitre 3 : Hésitation" ici le 30 juin...

    twilight.jpgComme j'aime bien ne pas me fier aux critiques qu'elles soient positives ou négatives, voire très négatives, et comme les excès des uns et des autres concernant "Twilight" ne m'avaient pas échappé, bien que n'ayant encore vu aucun des deux premiers volets, c'est donc avec curiosité que je suis allée voir le troisième volet cet après-midi en projection presse.

     Alors est- ce que ses détracteurs, virulents, avaient raison? Ou bien était-ce au contraire les fans enamourés ? Ai-je été agacée ou ai-je succombé à la folie "Twilight"?

     Il vous faudra attendre le 30 juin pour avoir les réponses à ces questions puisqu'un embargo m'empêche de vous parler du film avant cette date à laquelle vous pourrez lire la critique ici en avant-première... En attendant, quelques clichés du film et la bande-annonce:

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  • Critique de « Eyes of war » de Danis Tanovic avec Colin Farrell… : l’indélébile reflet de l’enfer

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    Huit ans après le succès (mérité) de “No man’s land” qui mêlait habilement humour noir et gravité (prix du scénario au Festival de Cannes et Oscar du meilleur film étranger en 2002), Danis Tanovic revient au sujet qui l’a fait connaître, la guerre, cette fois plus en Bosnie mais au Kurdistan où Mark (Colin Farrell) et David (Jamie Sives), photographes de guerre, sont envoyés en mission. Le premier recherche avec obsession et avidité le cliché qui le rendra célèbre; le second dont la femme, Diane (Kelly Reilly) est enceinte, est las de toute cette violence et souhaite que cette mission soit la dernière…

    Ayant débuté comme documentariste en Bosnie dont il est originaire, Danis Tanovic connaît ce dont il parle : cette soif insatiable et irrépressible d’images, plus forte que le dégoût inspiré par le désespoir et la violence. Cette trompeuse sensation que l’appareil photo protège de la périlleuse réalité. Et sans doute ce sentiment de culpabilité qui ronge et rend si âpre le retour à la vie « normale ».

    « Eyes of war » n’est pourtant pas un documentaire mais bel et bien une fiction dont cette plongée dans les yeux de la guerre et de l’horreur ne constitue que la première demi-heure même si des flashbacks nous y ramèneront, la suite se déroulant dans la grisâtre ville de Dublin, comme un écho à l’état d’esprit tourmenté de Mark.  De la Bosnie où un médecin aux frontières de la folie est obligé de tuer pour sauver des vies après une sélection des survivants d’une cruauté innommable, à l’Afrique où Mark se retrouve confronté à des charniers humains en passant par le Liban où un enfant meurt en partie par sa faute et sous ses yeux, la guerre apparaît dans toute son horreur dramatiquement universelle. Une guerre qui ne quitte jamais tout à fait ceux qui l’ont eue devant les yeux, et qui ne s’arrête surtout pas à la porte de leur domicile.  Mark et le personnage de Joaquin Morales (Christopher Lee) incarnent deux visages de cette guerre, complexes et à jamais marqués, et dont les effets ne s’arrêtent pas  au temps et au terrain du déroulement des conflits.

    Ces yeux de la guerre, ce sont ceux de Colin Farrell, décharné, amaigri de 20 kgs, portant en lui les stigmates psychiques indélébiles des conflits auxquels il a assisté et que son regard reflète de manière saisissante.  Il porte le film sur ses épaules accablées et malgré certaines lourdeurs scénaristiques et malgré certains inutiles effets de mise en scène en contradiction avec la dureté du sujet (sans doute aussi là pour l’atténuer), par l’intensité de son jeu, il le rend terriblement touchant.

    Dommage que Danis Tanovic s’interroge sur les motivations de Mark sans vraiment y répondre, préférant s’attarder sur les conséquences et le poids de la culpabilité (comme Jim Sheridan dans l’excellent « Brothers » il y a quelques mois). Un hommage aux meurtris de la guerre à travers le portrait émouvant et lucide des reporters de guerre et de  celles qui partagent leurs vies (ici interprétées par Paz Vega et Kelly Reilly toutes deux très justes ) dont les faiblesses scénaristiques et de mise en scène sont occultées par l’interprétation magistrale de l’acteur principal qui dans son regard si expressif reflète toute l’horreur ineffable d’images ineffaçables.

    Lien permanent Imprimer Catégories : CRITIQUES DES FILMS A L'AFFICHE EN 2010 Pin it! 2 commentaires
  • Fête de la musique 2010

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    A l'occasion de la fête de la musique qui aura lieu demain (et déjà aujourd'hui dans certaines villes) et dont vous pouvez retrouver le programme en cliquant ici, voici des vidéos inédites du concert privé  de Charlie Winston au dernier Festival de Cannes et d'autres vidéos de ce Festival de Cannes 2010 décidément très musical... et enfin un lien vers toutes les chroniques musicales d'inthemoodforcinema.
    Concert privé de Charlie Winston au vip room de Cannes:
    Mick Jagger à Cannes (présentation de "Stones in exile"):
    Gossip girl à Cannes: (coulisses du Grand Journal):
    A lire également sur inthemoodforcinema :

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  • "Ridicule" de Patrice Leconte, ma dernière sélection au ciné club des Cinoches demain soir

    Après 8 semaines c'est demain que s'achèvera ma sélection des projections au ciné club des Cinoches avec "Ridicule" de Patrice Leconte. Je continuerai néanmoins bien entendu à vous informer de la programmation du ciné club. Retrouvez ci-dessous ma critique de "Ridicule", toutes mes critiques des films projetés aux Cinoches dans le cadre de cette sélection et toutes les informations pratiques pour venir aux Cinoches. (Retrouvez également mon article consacré au restaurant, ici) Et n'oubliez pas de spécifier que vous venez de la part d'inthemoodforcinema...

    Critique de "Ridicule" de Patrice Leconte

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    1780. Le Marquis Grégoire Ponceludon de Malavoy (Charles Berling),  issu d'une famille d'ancienne noblesse provinciale, ingénieur de formation, cherche désespérément à assécher son marécageux pays des Dombes, ravagé par une épidémie. En dernier recours, il décide de gagner Versailles pour solliciter l'aide de Louis XVI. Muni d'une lettre de recommandation, il se rend tout d'abord chez Madame de Blayac (Fanny Ardant) mais son mari qu'il était venu voir vient de décéder. Agressé sur la route non loin de Versailles, il est secouru et recueilli par le Marquis de Bellegarde (Jean Rochefort).  Ce dernier cherche d'abord à le dissuader d'aller à la cour, si frivole et impitoyable, avant de céder devant son insistance.  Là, il retrouve Madame de Blayac et fait la connaissance des courtisans et notamment de l'Abbé de Vilecourt (Bernard Giraudeau).  Dans le même temps, il rencontre Mathilde (Judith Godrèche) la savante fille du Marquis de Bellegarde qui doit épouser un vieux et riche noble...

    En sélectionnant ce film pour l'ouverture du Festival de Cannes 1996, Gilles Jacob a fait preuve d'un redoutable cynisme, certainement involontaire, tant les personnages de « Ridicule » sont d'une troublante modernité, et pourraient appartenir à des univers beaucoup plus contemporains que celui de la cour de Louis XVI, qu'ils soient médiatiques, politiques ou cinématographiques. Jusqu'où aller pour réaliser ses objectifs aussi nobles (dans les deux sens du terme) soient-ils ? Jusqu'où aller sans compromettre ses principes ni se compromettre ?

    Pour les courtisans de « Ridicule », les joutes verbales sont les cruelles, sauvages et violentes armes d'une guerre dont le ridicule est le terrible signe de reddition. L'autre n'est alors qu'un faire-valoir et qu'importe si pour briller, sauver la face, il faut l'anéantir en le ridiculisant. Pour Jean Rochefort «  C'est un western dons lequel on a remplacé les colts par des mots d'esprit ». La vive mise en scène de Patrice Leconte souligne ainsi ces échanges verbaux assénés comme des coups mortels, dégainés  sans la moindre vergogne avec pour seul souci de leurs auteurs de rester dans les bonnes grâces de la cour et du roi. Le bel esprit est alors un poison violent et vénéneux qui contamine et condamne quiconque souhaite s'en approcher. Menace constante et fatale qui plane au-dessus de chaque courtisan : le ridicule. Le langage devient l'arme de l'ambition et du paraître car « le bel esprit ouvre des portes » mais « la droiture et le bel esprit sont rarement réunis ».

    Derrière l'éclat de Versailles, derrière la blancheur à la fois virginale et cadavérique dont s'enduisent les corps et les visages se cache une cruelle noirceur, un narquois sursaut de vie,  derrière le raffinement une vulgarité indicible, un mal qui les ronge de l'intérieur comme la cour est progressivement rongée par son pathétique bel esprit, bientôt par les Lumières, une cour qui se prévaut du bel esprit de Voltaire tout en rejetant l'Esprit des Lumières qui lui sera fatal. C'est le crépuscule d'une époque annonciatrice de la Révolution. La cour parade et brille de toute sa paradoxale noirceur mais le désenchantement et le déclin la guettent. Epoque de contradictions entre les Lumières et ses découvertes scientifiques et un monde qui périclite. Portrait d'un monde qui se sait déclinant et refuse pourtant de mourir. A tout prix. Madame de Blayac incarne la conscience de ce déclin qu'elle tente de masquer par une cruauté désenchantée consciente de ses vanités et de sa vanité.

    Les savoureux et cruels dialogues, ces jeux dangereux voire mortels font penser au cynisme des « Liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos ou aux bons mots de Guitry. Le scénario est ainsi signé Rémi Waterhouse et inspiré des écrits de la Comtesse de Boigne.

    De twitter et ses phrases lapidaires avec lesquelles certains se réjouissent de faire preuve d'un pseudo bel esprit a fortiori si c'est au détriment d'autrui, des critiques cinématographiques (qui ont d'ailleurs tellement et injustement malmené Patrice Leconte) qui cherchent à briller en noircissant des pages blanches de leur fiel, des couloirs de chaînes de télévision dont l'audience justifie toute concession à la morale et parfois la dignité, de la Roche de Solutré hier à la Lanterne de Versailles aujourd'hui, de ces comiques ravis de ternir une réputation d'un mot cruel, prêts à tuer pour et avec un bon mot pour voir une lueur d'intérêt dans les yeux de leur public roi, que ne ferait-on pas pour briller dans le regard  du pouvoir ou d'un public, fut-ce en portant une estocade lâche, vile et parfois fatale. L'attrait du pouvoir et des lumières (médiatiques, rien à voir avec celles du XVIIIème) est toujours aussi intense, l'esprit de cour bel et bien là, bien que celle de Versailles ait été officiellement déchu il y a plus de deux siècles.

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    Le choix des comédiens principaux est aussi pour beaucoup dans cette réussite de Jean Rochefort, partagé entre ces deux mondes, à Charles Berling dont c'est ici le premier grand rôle qui y apporte son prompt et fougueux esprit, à Bernard Giraudeau, baroque et pathétique au nom si parlant d'abbé Vilecourt, en passant par Fanny Ardant cruelle, lucide et donc malgré tout touchante sans oublier Judith Godrèche d'une attendrissante candeur et obstination.

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    Pour son premier film en costumes, à partir d'un excellent scénario, Patrice Leconte a réalisé un film d'une réjouissante modernité, à la mise en scène duale et aussi élégante que les courtisans qui traversent son film sont inélégants, un film mordant aussi cruel que raffiné qui  s'achève en faisant tomber les masques de la cour et triompher les Lumières. Alors laissez-vous aller au plaisir coupable des bout rimés,  bons mots, saillies drôlatiques et autres signes du bel esprit de cette cour de Versailles, tellement intemporelle et universelle.

    De Patrice Leconte, je vous recommande aussi :  « Monsieur Hire », « La fille sur le pont », « Dogora ».

    « Ridicule » de Patrice Leconte sera projeté au ciné club du restaurant Les Cinoches le dimanche 20 juin, à 21H.

    Mes autres critiques des films projetés aux Cinoches issus de ma sélection:

    "Les Enchaînés" d'Alfred Hitchcock (1946)

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    INFORMATIONS PRATIQUES:
    Les Cinoches
    1 rue de Condé
    75006 Paris
    Métro: Odéon
    Tél: 0143541821
    Ouvert tous les jours de 9h à 2h
    Pour en savoir plus sur la programmation du ciné club: cliquez ici (avec au programme, avant la programmation "made in in the mood for cinema", "Inside man" de Spike Lee, demain, 25 avril)
    Ciné club, chaque dimanche soir, à partir de 21h
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  • Festival pocket films 2010 au Forum des Images

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    C'est cette année la 6ème édition du Festival Pocket Films basé sur la création à partir de téléphones mobiles (films, concerts, tournages). Ce festival se déroule au Forum des images jusqu'à demain soir; l'entrée est libre.

     A l'heure à laquelle cette nouvelle capacité donnée à chacun de filmer n'importe où, n'importe quand, et souvent n'importe comment soulève de nouvelles questions éthiques, il est intéressant de voir que ce nouvel outil filmique peut aussi devenir un moyen d'expression artistique, et même un nouveau mode d'écriture du cinéma.

     Le jury de cette 6ème édition est composé de Benoît Jacquot, Pierre Haski, Paul Otchakovsky-Laurens, Valérie Mréjen, Jérôme Delormas.

     Je vous recommande tout particulièrement la soirée de clôture demain à 18H30 suivie à 20H d'un remix géant du festival par Romuald Beugnon.

    Je vous laisse découvrir le programme très riche sur le site officiel du Festival Pocket Films 2010.

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