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télévision - Page 20

  • "Valse avec Bachir" d'Ari Folman: ce soir, 20H45, sur Canal+

    Ce soir, sur Canal+, à 20H45, ne manquez pas "Valse avec Bachir" d'Ari Folman.

    Retrouvez ma critique, ci-dessous, publiée lors de la sortie du film.

    Un documentaire d'animation d'une effroyable beauté

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    Alors qu’il y a quelques jours encore j’évoquais mon peu  d’appétence pour le cinéma d’animation, c’est en toute logique  que je vais vous faire part aujourd’hui de mon enthousiasme et de mon émotion pour…un film d’animation. Un film d’animation d’un genre très particulier néanmoins. En compétition lors du dernier festival de Cannes où il a fait figure de favori, il est reparti sans un prix mais avec un écho médiatique retentissant. C’est donc avec impatience que j’attendais sa sortie en salles l’ayant manqué à Cannes.

    18939633.jpgCela commence par la course d’une meute de chiens face caméra. L’image nous heurte de plein fouet : féroce, effrayante, belle et terrifiante. Une meute de chiens par laquelle, dans ses cauchemars, un ami d’Ari est poursuivi. 26 chiens exactement. Le nombre de chiens qu’il a tués durant la guerre du Liban, au début des années 1980, ce poste lui ayant été attribué parce qu’il était incapable de tuer des humains. Il raconte ce cauchemar récurrent à Ari mais ce dernier avoue n’avoir aucun souvenir de cette période, ne faire aucun cauchemar. Le lendemain, pour la première fois, 20 ans après,  un souvenir de cette période niée par sa mémoire surgit dans la conscience (ou l’inconscient) d’Ari : lui-même alors jeune soldat se baignant devant Beyrouth avec deux autres jeunes soldats sous un ciel lunaire en feu d’une beauté terrifiante. Il lui devient alors vital de connaître ce passé enfoui, ces pages d’Histoire et de son histoire englouties par sa mémoire. A cette fin,  il va aller à la rencontre de ses anciens compagnons d’armes, neuf personnes interrogées au total (dont deux ont refusé d’apparaître à l’écran sous leur véritable identité.) A l’issue de ces témoignages il va reconstituer le fil de son histoire et de l’Histoire et l’effroyable réalité que sa mémoire a préféré gommer…

    Un film d’animation d’un genre très particulier donc. D’abord parce qu’il est autobiographique : cette histoire, le troisième long-métrage du réalisateur (après « Sainte Clara » en 1996 et « Made in Israël » en 2001) est en effet celle du réalisateur israélien Ari Folman pour qui ce film a tenu lieu de thérapie. Ensuite parce que ce sont de vrais témoignages, poignants, et les voix de ces témoins donnent un aspect très documentaire à ce film hybride et atypique : d’abord tourné en vidéo, monté comme un film de 90 minutes, puis un story board en 2300 dessins ensuite animés, c’est un mélange d’animation Flash, d’animation classique et de 3D.  Ce mode filmique si particulier n’est nullement un gadget mais un parti pris artistique au service du propos auquel il apporte sa force et sa portée universelle. Un documentaire d’animation sur la guerre du Liban : oui, il fallait oser. Ari Folman s’affranchit des règles qui séparent  habituellement documentaire et fiction et dans ce sens, et aussi parce que ce film se déroule également au Liban, néanmoins à une autre époque, il m’a fait penser à l’un de mes coups de cœur du Festival de Cannes 2008 : « Je veux voir » de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige  que je vous recommande d’ores et déjà, sans la moindre réserve. ("Je veux voir" sera projeté au festival Paris Cinéma, le 8 juillet, voir ici)

    Dès ces premiers plans de chiens en furie, nous sommes donc happés, happés par la violence sublime des images, ces couleurs noirs et ocre diaboliquement envoûtantes, oniriques et cauchemardesques,  happés par une bande originale d’une force saisissante (signée Max Richter), happés par l’envie et la crainte de savoir, de comprendre, nous aussi, en empathie avec la quête identitaire d’Ari. C’est d’abord la beauté formelle et la poésie cruelle qui en émane qui accroche notre regard, notre attention. Cette beauté ensorcelante rend supportable l’insupportable, rend visible l’insoutenable, créant à la fois une distance salutaire avec la violence de ces témoignages et événements réels mais nous aidant aussi à nous immerger dans cette histoire. Si la violence est atténuée, l’émotion ne l’est pas. Ari Folman n’a pas non plus voulu rendre la guerre lyrique mais son lyrisme visuel exacerbe encore l’absurdité de cette guerre, de ces hommes égarés que la peur fait tirer, sans savoir sur qui, et sans savoir vraiment pourquoi.

    Peu à peu, au fil des témoignages, les pièces du puzzle de la mémoire disloquée d’Ari vont s’assembler jusqu’à l’atrocité ultime, celle qui a sans doute provoqué ce trou noir, celle volonté inconsciente d’oublier, de faire taire ses souvenirs de ces jours de 1982 : le massacre de Palestiniens par les Phalangistes chrétiens, les alliés d’Israël, suite à l’assassinat du président de la République libanaise Bashir Gemayel, dans les camps de Sabra et Shatila, deux camps de Beyrouth-ouest, dont il a été le témoin impuissant (il ne nie pas pour autant la responsabilité d’Israël, du moins son inaction coupable). Au dénouement de ce poème tragique, Ari Folman a alors choisi de substituer des images réelles aux images d’animation pour rappeler, sans doute, la réalité de la guerre, sa violence, son universelle absurdité, sa brutalité. Des images d’une violence nécessaire. Qui nous glacent le sang après tant de beauté d’une noirceur néanmoins sublime.

    18939624_w434_h_q80.jpg Plus qu’un film d’animation c’est à la fois un documentaire et une fiction sur la mémoire et ses méandres psychanalytiques et labyrinthiques, sur l’ironie tragique et les échos cyniques de l’Histoire, l’amnésie tragique de l’Histoire-collective- et de l’histoire-individuelle- (si Ari a effacé cette période de sa mémoire c’est aussi parce qu’elle est un écho pétrifiant à l’histoire tragique de sa famille, victime des camps nazis, ceux  d’une autre époque, un autre lieu mais avec la même violence et horreur absurdes, presque les mêmes images des décennies après, et horreur ultime : les protagonistes ayant  changé de rôle), sur l’absurdité de la guerre que ce film dénonce avec plus d’efficacité que n’importe quel discours. La poésie au lieu de nier ou d’édulcorer complètement la violence en augmente encore l’atrocité : comme ce chant d’une ironie dévastatrice sur le Liban pendant qu’un char écrase des maisons, des voitures, lentement, presque innocemment. Comme cette couleur rouge qui se mue d’un objet anodin en sang qui coule. Ou comme cette valse avec Bashir, celle d’un tireur qui danse avec les balles qu’il tire devant le portrait de Bashir Gemayel sur fond de Chopin, qui joue avec le feu, qui danse avec la mort  dans une valse d’une sensualité violente: cette scène résume toute la beauté effroyable de ce film magnifique. Tragique et magnifique. Cette valse est aussi à l’image de la forme de ce film : entraînante, captivante comme si une caméra dansante nous immergeait dans les méandres virevoltants de la mémoire d’Ari.

    Une œuvre atypique qui allie intelligemment forme et force du propos, où la forme, sublime, est au service du fond, brutal. Une valse étourdissante d’un esthétisme d’une effroyable beauté. Une valse fascinante, inventive. Entrez dans la danse, sans attendre une seconde. Elle vous entraînera dans cette histoire, dans l’Histoire, avec une force renversante, saisissante, poignante.

    Alors, oui sans doute le grand oublié du palmarès de ce 61ème Festival de Cannes (qui me satisfait néanmoins pleinement), tout simplement peut-être parce que cette œuvre tellement atypique qui invente même un nouveau genre cinématographique (dont elle sera d’ailleurs certainement le prototype et l’unique exemplaire tant une copie lui ferait certainement perdre sa force) ne correspondait à aucune des catégories du palmarès  à moins que le jury n’ait pas osé, n’ait pas eu la même audace que celle dont Ari Folman a fait preuve dans son film, une œuvre qui répondait d’ailleurs aux exigences du président Sean Penn  témoignant de la conscience du monde dans lequel son réalisateur vit, un monde si souvent absurde et amnésique, enfouissant son Histoire dans les tréfonds de sa mémoire tragiquement et criminellement sélective.

    Lien: site officiel du film

    Sandra.M

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  • "Apocalypse", les épisodes 3 et 4 ce soir sur France 2

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    En attendant de vous livrer de nouveaux articles sur le 35ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, je vous rappelle que, ce soir, sur France 2, à 20H35, seront diffusés les épisodes 3 et 4 du documentaire "Apocalypse" réalisé par Isabelle Clarke et Daniel Costelle.

     Ces deux épisodes s'intitulent "Le choc" et "L'embrasement". Je vous les recommande vivement au même titre que les deux premiers qui n'ont malheureusement attiré "que" 5,7 millions de téléspectateurs, ce qui est finalement peu au regard de la qualité de ce documentaire et de son intérêt pédagogique et historique.

    Cliquez ici pour lire ma critique d'"Apocalypse" d'Isabelle Clarke et Daniel Costelle

  • Demain, ne manquez surtout pas "Apocalypse" sur France 2: ma critique en avant-première

    Demain, à 20H35, ne manquez surtout pas les deux premiers épisodes d'Apocalypse sur France 2.

    Cliquez ici pour lire en avant-première ma critique du premier épisode d' "Apocalypse"!

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  • Avant-première – France 2 : Critique d' « Apocalypse », un documentaire de Daniel Costelle et Isabelle Clarke

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    acropole-couv-finale.jpgHier, France 2 projetait dans ses locaux, en avant-première et en présence de toute l'équipe du film, le premier épisode d' « Apocalypse », la série documentaire en six épisodes  sur la deuxième guerre mondiale réalisée par Daniel Costelle et Isabelle Clarke et diffusée sur France 2 les mardis 8, 15 et 22 septembre, à partir de 20H35.

    Quand un pseudo homme politique français qualifie la shoah de détail sans que plus personne ou presque ne s'en émeuve ; quand un pseudo comique donne la parole aux négationnistes ; quand des informations télévisées interviewent un ancien nazi disant ne rien regretter, ne comprenant même pas ce qu'il devrait « regretter », et vivant paisiblement à l'étranger, se pavanant avec un cynisme abjecte ; quand les partis politiques extrémistes, notamment en Autriche, connaissent des scores aussi élevés qu'incompréhensibles ; quand chaque jour les informations témoignent d'une terrifiante réminiscence et amnésie historiques, et de notre incapacité à tirer les leçons du passé, comment ne pas se dire que le devoir de mémoire est plus que jamais nécessaire, et même vital ?

     Aussi impensable que cela puisse sans doute paraître à ceux qui ont vécu cette tragédie innommable, un peu plus de  60 ans après, 60 ans après  seulement on oublie, on oublie l'indicible, on oublie l'impensable... On oublie de se souvenir. On oublie de tirer les leçons d'un passé si proche. Pour notre génération encore, des hommes, des visages, des traces vivantes, tangibles et palpables nous relient encore à cette tragédie, un lien fragile et ténu mais si précieux. Pour moi, c'est, au collège, le souvenir de déportés venus nous parler de leur calvaire, témoins poignants et dignes dont le souvenir est à jamais resté gravé dans ma mémoire, comme ce numéro inscrit sur leurs bras, marque à jamais indélébile et preuve irréfutable de la folie humaine. C'est le souvenir, aussi, de mon grand-père résistant et de toutes ces questions que je n'ai pu lui poser. Un regret brûlant qui, sans doute, n'a fait qu'accroître le mélange d'intérêt, de perplexité et de terreur que m'a toujours inspiré cette période. Et puis c'est ce vertige incontrôlable, à Colleville-sur-Mer, devant toutes ces croix blanches et la conscience brusque et violente de toutes ces jeunes vies sans visages, sans noms, brisées et sacrifiées.

    Mais qu'en sera-t-il quand ce lien si ténu aura disparu, quand ne restera plus aucun témoin, seulement des croix blanches et des tombes ? Alors... resteront les images. Souvent des images surannées, figées dans le temps, nous paraissant alors d'une époque lointaine, à jamais révolue. Le noir et blanc, l'absence de son parfois créent une distance, finalement confortable. Et c'est avant tout cela qui contribue à faire d' « Apocalypse » un document nécessaire, exceptionnel, poignant, terrifiant, passionnant. C'est d'abord cette reconstitution des couleurs (ici on ne parle plus de colorisation tant chaque couleur a fait l'objet d'une étude minutieuse) qui donne vie et contemporanéité à ces images vieilles de plus de 60 ans. Des images pour la moitié inédites. Hitler, Staline, Mussolini, Goering, Himmler... : la folie a soudain un visage en couleurs plus proche de nous et d'autant plus inquiétant, la traitrise aussi avec Darnand.

    Mais ce ne sont pas seulement eux que nous montre ce documentaire unique c'est aussi tous ces anonymes grâce aux paroles et visages desquels nous sommes immergés dans le quotidien d'alors. Avec la couleur, leurs visages, leurs paroles dîtes par Mathieu Kassovitz, la distance est abolie et l'horreur, l'atrocité de la guerre n'en sont que plus palpables, à la fois compréhensibles et inconcevables.

    Le bruit des bottes résonne, nous entoure, plus terrifiant, plus proche encore. Un bruit saisissant grâce au travail remarquable de Gilbert Courtois dont le perfectionnisme pour reconstituer chaque bruit ( de coup de fusil, d'avion etc) est aussi pour beaucoup dans cette réussite et ce réalisme. La musique de Kenji Kawai souligne judicieusement la force tragique sans l'exacerber, ce qui l'aurait alors amenuisée, décrédibilisée. Peut-être la voix de Daniel Costelle aurait-elle eu plus de poids, de résonance, de conviction que celle de Mathieu Kassovitz mais sans doute le nom et la jeunesse de ce dernier étaient-ils aussi destinés à convaincre les plus jeunes.

     « Apocalypse » multiplie d'ailleurs les prouesses et singularités. C'est aussi le premier documentaire français sur la seconde guerre mondiale vendue en Allemagne, d'ailleurs diffusé dans 150 pays (dont également le Japon et les Etats-Unis). Cela reflète un autre grand intérêt de ce documentaire : celui de montrer le caractère mondial du conflit, que l'horreur n'a pas eu de frontières. Daniel Costelle et Isabelle Clarke ont d'ailleurs eu la judicieuse idée de faire commencer leur documentaire en montrant Berlin saccagée, détruite, meurtrie, elle aussi. Puis un flash back nous fait remonter dans le temps, au temps de l'insouciance puis à la crise économique qui a fait accéder Hitler au pouvoir, en 1933. On redécouvre en images l'emprise qu'il exerçait sur son peuple, le pacte germano-soviétique, l'invasion des Sudètes, les évènements qui ont précédé le 3 septembre 1939 et la déclaration de guerre...

    Alors bien sûr nous connaissons ces évènements historiques (mais le document nous apprendra aussi des évènements moins connus et d'autant plus révélateurs) mais jusqu'alors ces visages et ces évènements ne nous avaient jamais été montrés avec autant de réalisme, correspondant souvent à des dates abstraites sur des manuels d'Histoire; et s'y ajoutent des scènes du quotidien et des « anecdotes » qui font prendre toute la mesure de cette démesure meurtrière que ce chiffre de 50 millions de morts ne parviendra jamais à nous faire envisager tant il est lui aussi monstrueusement inconcevable.

     Le froid redoutable. Les regards  vides de ces hommes qui partent à la guerre et qui, pour certains, ont déjà vécu la précédente. Les gestes brusques, le pouvoir de manipulation d'un dictateur fou, le mystère insondable d'un peuple aveuglé. Des masques à gaz qui emprisonnent des visages angéliques. Et puis ces bruits qui vous glacent le sang et que redoutent encore ceux qui ont vécu la guerre. Tout cela nous heurte, nous réveille, nous révèle finalement tout ce que nous savions sans l'envisager vraiment.

    « Apocalypse », en nous immergeant dans l'atrocité de la seconde guerre mondiale est un plaidoyer vibrant pour la paix, un appel à la vigilance et la conscience des générations actuelles et futures, un témoignage irréfutable sur l'absurdité de la guerre, un cri de désespoir et de révolte face aux oublis et réminiscences de l'Histoire, un document nécessaire pour notre génération et celles à venir, une leçon d'Histoire qui a un visage et un corps en couleurs, une voix rententissante: une âme.

    Je regarderai les 5 autres épisodes et vous encourage fortement à regarder cette série documentaire unique, nécessaire, un travail remarquable (650 heures de rush pour 6 heures de film, 30 mois de travail, 100% d'images d'archives, 50% d'images inédites, 800 plans différents par épisode...),  une pierre indispensable  dans l'édifice colossal qu'est le devoir de mémoire, aussi indispensable que le « Shoah » de Claude  Lanzmann.

    Je vous recommande également le site internet du documentaire extrêmement bien fait avec de nombreux documents inédits et le making off  très instructif.

    Merci à Hautetfort pour l'invitation...

     Je manque un peu de temps pour parler de ce documentaire autant que je le souhaiterais, départ pour Deauville oblige, mais je vous en reparlerai...bientôt...

  • Inthemoodfordeauville.com à l'honneur sur France 3

    Merci à France 3.fr pour le coup de projecteur donné à Inthemoodfordeauville.com et sa rédactrice:-) sur son site officiel et sur sa page consacrée à ce 35ème Festival du Cinéma Américain de Deauville. (remarque: le reportage diffusé date de l'an passé dans l'émission "Grand Angle" sur France 3 Normandie).

    Cliquez ici pour accéder à la page de France 3.Fr

     


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    La belle histoire d'une passionnée de cinéma qui suit depuis 15 ans le festival de Deauville. Rien n'échappe à cette scénariste ! Sa passion dévorante pour le cinéma  s'exprime aussi sur un blog si pro, que parfois confondu avec le site officiel ...  > visiter son blog



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    Il visionne
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    Rencontre avec  Bruno Barde le directeur du Festival du cinéma américain de Deauville.  Comment regarder les films, les revoir et enfin  les sélectionner...


    HOMMAGE
    Un homme et une place...    
    En marge du festival, entretien avec Claude Lelouch. A Deauville, c'est l''homme qui incarne  le cinéma. Celui qui  a été le premier à montrer les  planches sur les écrans américains, a depuis 2006  une place à son nom. 


    PORTRAIT
    Photographe de stars
    Sur le festival de Deauville, Guy Isaac est partout chez lui ! 15 ans de présence et 15 ans de complicité avec toutes les stars, "des gens commes les autres  à condition d'être cool et pas agressif."



    PALACE
    Une institution    
    C'est l'hôtel où descendent toutes les célébrités américaines invitées au festival de Deauville. Visite guidée  de cet établissement de luxe où se côtoient 40 métiers différents ! Un reportage de Nathalie Valin.

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  • "Apocalypse" en avant-première, dans les locaux de France 2

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    france2a.jpgAujourd'hui, je suis à l'avant-première d' "Apocalypse" (une série documentaire bientôt sur France 2, dont le sujet s'annonce passionnant) qui a lieu dans les locaux de France 2, en présence de toute l'équipe du film.

    En attendant de retrouver mes commentaires, demain, rendez-vous sur le site officiel de la série, en cliquant ici.

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  • Inthemoodfordeauville.com dans Télématin

    télématin2.jpgInthemoodfordeauville.com a été cité ce matin dans la rubrique web de l'émission Télématin, sur France 2 (juste après la chronique cinéma sur Inglourious Basterds" de Quentin Tarantino dont vous pouvez d'ailleurs retrouver ma critique en cliquant ici)!

    Pour ceux qui veulent la preuve par l'image, c'est à la 48ème minute de la vidéo de ce vendredi 14 août que vous pouvez revoir sur la page de Télématin sur France2.fr et en cliquant ici.

     Le plus drôle est que mon blog sur le Festival du Cinéma Américain de Deauville  cité comme "venant d'être mis en ligne" ( alors qu'il l'est depuis 3 ans!) et comme " vraiment très bien fait" a été cité comme... le site officiel du festival... même si le vrai site officiel est celui-ci!

     Je souhaite en tout cas la bienvenue à ceux qui découvriraient mes blogs à cette occasion (apparemment très nombreux à voir l'explosion du nombre de visiteurs sur inthemoodfordeauville.com ) et remercie France 2 pour cette réjouissante méprise.

    Pour ceux qui découvriraient ces blogs à cette occasion, je vous invite également à découvrir mon blog consacré au Festival de Cannes "In the mood for Cannes". Et pour en savoir plus sur les origines et objectifs de ces blogs et de leur auteur, rendez-vous dans la rubrique "A propos" de ce blog...

    Vous trouverez également, sur "In the mood for cinema" et sur "In the mood for Deauville", toutes les informations concernant ce 35ème Festival du Cinéma Américain de Deauville que vous pourrez suivre ici en direct du 2 au 14 septembre 2009 : archives, programme, infos pratiques, critiques de films, conférences de presse, avant-premières, hommages...