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  • Avant-première – Critique de « Night and day » de James Mangold avec Cameron Diaz et Tom Cruise : un couple irrésistible

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    Après le très décevant « L’Agence tous risques », je redoutais le pire pour cette nouvelle comédie d’action. Réalisée par James Mangold (« Une vie volée », « Walk the line », « 3H10 pour Yuma »…), elle met  en scène une jeune femme, June (Cameron Diaz) qui, à l’aéroport, rencontre « par hasard » un homme mystérieux Roy (Tom Cruise) par lequel elle est immédiatement séduite. Elle découvre rapidement qu’il est en fait un espion en fuite détenant  une batterie d’une force énergétique inégalée. Pour sauver sa peau, elle n’a alors d’autre choix que de le suivre, embarquée dans de rocambolesques aventures avec aux trousses : le FBI, la CIA et des trafiquants hispaniques… Rien que ça. Mais peut-elle vraiment lui faire confiance ?

    Initialement intitulé « Wichita » et finalement « Knight and day » dans la version américaine (un titre d’ailleurs beaucoup plus significatif, on se demande pourquoi il n’a pas été conservé dans la version française), après que le scénario soit passé entre de nombreuses mains c’est sous le titre « night and day » que le film sortira en France le 28 juillet 2010.

    Dès les premières minutes, de ce couple de cinéma se dégage un charme indéniable, insaisissable, sensuel et irrésistible qui fait qu’ils peuvent nous éblouir avec les pires invraisemblances, nous embarquer dans les aventures les plus improbables sans que nous y trouvions à redire. Le film, grâce en très grande partie à ses deux interprètes principaux et leur alchimie, nous charme comme Roy charme June. Peu nous importe alors que June n’ait rien de la garagiste jamais sortie de son trou perdu qu’elle est censée incarner ou qu’elle s’adapte à toutes les situations avec maestria ou que Roy sache aussi bien piloter un avion de ligne que se sortir avec un sourire et une décontraction imperturbables des situations les plus désespérées ; ils instaurent d’emblée une complicité avec le spectateur. Notre cœur s’emballe alors pour leurs rocambolesques aventures comme celui de June pour Roy.  Tout comme le sien, il  a alors ses raisons que la raison ne connaît pas et peu importe qu’elle nous souffle que tout cela est totalement invraisemblable. Nous faire croire à l’invraisemblable,  nous rendre volontairement et joyeusement crédules, c’est aussi un des plaisirs inestimables du cinéma.

    Cameron Diaz retrouve ici Tom Cruise après « Vanilla sky » en 2001. Ils sont incroyablement complémentaires et forment un couple particulièrement séduisant. Tom Cruise mêle action et second degré avec beaucoup de classe, un charisme inédit et sans jamais tomber dans le ridicule dans lequel ce genre de rôle peut rapidement faire tomber un acteur. Et Cameron Diaz est irrésistiblement lumineuse, drôle et énergique. A noter en prime la présence de Paul Dano ("Little miss sunshine", "The good heart"...)  en surdoué des formules mathématiques.

      Les dialogues sont percutants, la réalisation nerveuse ne nous laissant  le temps ni de réfléchir ni de nous appesantir sur les invraisemblances et cela fait parfois un bien fou quand c’est fait avec autant de légèreté (apparente, et certainement le résultat d’un long travail de réécriture au regard du nombre de scénaristes qui se sont succédés).

    Par ailleurs, le film a l’intelligence de ne pas prétendre à être autre chose qu’un divertissement, à ne pas essayer de se justifier par un discours moralisateur sur la faim dans le monde, l’écologie ou que sais-je encore…

    On laisse avec regret Roy et June avec l’envie de retrouver ces deux personnages si charmeurs, charmants et attachants. Comme souvent dans les films américains, la fin est d’ailleurs suffisamment ouverte pour pouvoir donner lieu à une suite ou même faire de Roy et June des personnages récurrents.  Alors, si vous voulez voir un vrai divertissement qui a la modestie et l’intelligence de ne pas aspirer à être autre chose et dont les deux acteurs vous  séduiront, vous hypnotiseront et vous embarqueront  dans d’époustouflantes et improbables péripéties des Etats-Unis jusqu’en Autriche, dans l’envoûtante ville de Salzbourg, et même en Espagne pour une corrida d’un nouveau genre, rendez-vous dans les salles le 28 juillet prochain.

    Retrouvez un extrait du film en cliquant ici.

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  • « Fatal » de Michaël Youn : lucide et opportuniste

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    C’est promis, ce soir, je reviens à Paris et donc à une offre (et donc des critiques) cinématographique(s) plus diversifiée(s), c’est-à-dire pas seulement des comédies ou des blockbusters, comme ce que se cantonnent malheureusement à projeter certains cinémas de province quelque peu frileux. Je ne recule devant rien puisque, après le désolant « Les meilleurs amis du monde », hier c’est « Fatal » de Michaël Youn que j’ai dû me résoudre à aller voir, à vrai dire intriguée entre, d’un côté, les critiques à la limite du panégyrique et, de l’autre, la bande-annonce qui annonçait un film ne me semblant pas mériter tous ces éloges. Comme je n’aime ni me fier aux critiques, ni m’arrêter à mes préjugés, j’ai décidé d’aller juger sur pièce.

    Fatal c’est donc Fatal Bazooka incarné par Michaël Youn, un personnage de sketch créé par ce dernier puis développé dans un album musical dont il a tout de même vendu 500000 exemplaires. Le film invente donc une vie à ce rappeur fictif qui dans le film a vendu 15 millions d’albums, a des millions de fans, a développé tout un merchandising autour de son nom, y compris un magazine, et projette même d’ouvrir son propre parc d’attraction : Fataland. Dans son domaine, il est le n°1 incontesté jusqu’à ce qu’arrive un concurrent, Chris Prolls, (Stéphane Rousseau) et jusqu’à ce que le public découvre que Fatal Bazooka est en réalité un savoyard nommé Robert LaFondue...

    Il faut l’avouer : les premières minutes, le déploiement de moyens fait illusion, la surenchère satirique sur le milieu de la télévision et de la musique électro-pop surprend plutôt agréablement. La photographie aussi bling bling que le héros du film également. Tout est là pour nous (dé)montrer que nous sommes au cinéma et non dans un sketch télévisé. Les choses se gâtent avec le personnage de Michaël Youn, de cinq ans d’âge mental. Le ton est alors davantage celui d’une bande dessinée que d’un film de cinéma : surjeu, décors champêtres acidulés, personnages régressifs…

    Il y a au moins une chose qu’on ne peut nier à Michael Youn, c’est qu’il est  d’une incontestable lucidité sur le milieu qui l’entoure et particulièrement malin. Derrière les blagues potaches, derrière l’humour vulgaire, derrière son personnage simple d’esprit se cache un sens du marketing particulièrement aigu. En feignant de dénoncer  le cynisme et le mercantilisme d’un certain milieu musical (un aspect d’ailleurs plutôt réussi entre les causes humanitaires défendues par les « artistes » là  avant tout pour servir la leur, et les musiques insipides d’une efficacité redoutable car savamment habillées de marketing et de sons assourdissants et ingénieusement répétitifs ), il en tire profit avec beaucoup d’habileté. Ou comment exploiter ce qu’on feint de dénoncer : le merchandising (Michaël Youn incarne un personnage pseudo parodique qui vit du merchandising mais sans doute le film d’une manière ou d’une autre (re)lancera-t-il les ventes d’albums avec la BO du film et les musiques qui circulent déjà sur youtube), la misogynie (Fatal est montré comme misogyne, ce que Michaël Youn prétend dénoncer, seulement les personnages féminins du film sont eux-mêmes d’une bêtise affligeante -car cupide notez bien concernant Athéna-Paris Novotel-Hilton- ), le mépris du public ( Fatal méprise le public mais le film n’en donne guère une image plus glorieuse puisqu’il le montre versatile,  et prêt à se laisser éblouir par n’importe quel produit formaté ou à glorifier n’importe quelle bimbo ou n’importe quel illuminé ), le narcissisme (Fatal pratique le culte de la personnalité mais Michaël Youn ne laisse pas plus de place aux seconds rôles que Fatal à ses acolytes, dommage d’ailleurs Stéphane Rousseau est assez irrésistible en Jean-Claude Vandamne de la musique accro au bio et Catherine Allégret s’en sort avec les honneurs échappant presque aux caricatures féminines évoquées plus haut).  Sous son apparence de dénonciation d’un système et d’autodérision, Fatal représente donc l’utilisation paroxystique de ce système et finalement une ingénieuse publicité hors de prix pour ses produits dérivés.  Ce n’est finalement pas le film qui me dérange ou déplait, d’une certaine manière plutôt réussie dans son genre, mais la bonne conscience de laquelle se pare son auteur et qui n’est finalement qu’un astucieux argument de vente…

    En digne ancien étudiant en commerce, Michaël Youn a bien compris et assimilé les recettes d’une publicité rentable mais aussi celles du cinéma. On ne peut ainsi non plus nier la présence d’un scénario là aussi efficace : le héros déchu qui renait de ses cendres après  un retour aux racines, une introspection et une remise en cause et qui revient pour faire sa leçon de morale.

    Si le film est assurément rythmé à en être vertigineux et s’il atteint parfois sa cible dans sa satire grinçante du milieu du show business qui malheureusement finit toujours par verser dans la vulgarité, il tombe littéralement à plat en tirant profit de ce qu’il feint de dénoncer. L’autodérision n’est finalement qu’un argument commercial dissimulé. Le comble de la société de consommation et du cynisme. Un film guidé par une lucidité aussi brillante que désolante et surtout opportuniste.

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  • Les festivals de l'été à ne pas manquer

    Bien évidemment, je ne vais pas vous parler ici de tous les types de festivals mais uniquement des festivals cinématographiques dont l'offre est moins foisonnante que celle des festivals de musique mais qui vous réservent tout de même de belles surprises en cette période estivale.

    Paris Cinéma: du 3 au 13 juillet

    Évidemment, il y aura Paris Cinéma (cliquez sur le lien pour lire tous mes articles à ce sujet) du 3 au 13 juillet que vous pourrez suivre en intégralité et au jour le jour sur ce blog mais vous le savez déjà! Je passe donc rapidement mais j'y reviendrai évidemment très prochainement.

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    Festival International du Film de La Rochelle : du 2 au 11 juillet
    Si l'air de Paris vous fait suffoquer (non, non, je n'insinue pas du tout que l'air parisien est pollué) et que vous préférez celui de la mer, à la même période se déroule le Festival International du Film de La Rochelle (d'ailleurs rien ne vous empêche de faire ces deux festivals). Là, pas de jury, pas de compétition, pas de prix mais de nombreuses rétrospectives (Rohmer, Garbo, Kazan).  Pierre Etaix, Sergey Dvortsevoy, Peter Liechti, Ghassan Salhab, Lucian Pintilie  ou encore le jeune cinéma indien seront également à l’honneur.
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    Un réalisateur dans la ville à Nîmes  : du 26 au 30 juillet
    Cette manifestation est parrainnée par Carole Bouquet, Gérard Depardieu et Jean-Claude Carrière. Cette année c'est le réalisateur Jean Becker qui sera à l'honneur avec au programme une mini-rétrospective de ses films dans les Jardins de la Fontaine tous les soirs à 21H30. L'entrée est gratuite. En clôture, après la projection au Kinépolis de "Deux jours à tuer", le cinéaste donnera une leçon de cinéma.
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    Le Festival du Cinéma Américain de Deauville: du 3 au 12 septembre
    Comme chaque année, vous pourrez évidemment suivre ce festival sur "In the mood for Deauville'. Nous savons pour le moment seulement qu'Emmanuelle Béart présidera le jury. Je vous rappelle que vous pouvez désormais suivre Inthemoodfordeauville sur twitter: @moodfdeauville et retrouvez toutes les infos du festival sur la page facebook que j'ai créée.
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    Cinéma en plein air à La Villette: du 17 juillet au 22 août
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    "Avoir 20 ans" : tel est le thème de cette 20ème édition dont Sandrine Bonnaire sera la marraine.

    C'est aux cinéastes européens : François Truffaut, Jean-Luc Godard, Ken Loach, Maurice Pialat, Leos Carax, Abdellatif Kechiche, Cristian Mungiu ; américains : Woody Allen, Sofia Coppola, Jim Jarmusch ; asiatiques, Liu Jie, Hong Sang- Soo... et puis d'autres encore, qu'il reviendra de souffler les 20 bougies du rendez-vous préféré des cinéphiles de l'été parisien.

    Et pour les amoureux des mots:
    Festival de la Correspondance à Grignan: du 7 au 11 juillet
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    Certes, il ne s'agit pas d'un festival de cinéma me direz-vous mais cela fait longtemps que je souhaite me rendre à ce festival, ce qui ne sera pas encore possible cette année puisque celui-ci se déroule pendant Paris Cinéma, du 7 au 11 juillet. Le festival aura cette année "Le théâtre" pour thème. C'est Michel Bouquet qui fera l'ouverture. Je vous laisse découvrir le programme sur le site officiel.
     
    Si vous connaissez d'autres festivals cinématographiques se déroulant cet été, envoyez-moi un email à inthemoodforcinema@gmail.com et j'en parlerai sur ce blog.
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  • Critique de « L’Agence tous risques » de Joe Carnahan

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    "L'Agence tous risques" sort en salles aujourd'hui. Cliquez ici pour lire ma critique du film.

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  • Bande-annonce de "Somewhere", le prochain film de de Sofia Coppola

    somewhere.jpgVoici la bande-annonce de "Somewhere" le quatrième long-métrage de Sofia Coppola avec Elle Fanning et Stephen Dorff.

    Stephen Dorff est ici une star de cinéma installée à Chateau-Marmont, luxueux hôtel de Los Angeles. Alors que son mode de vie l'a totalement déconnecté de la réalité, il voit arriver sa fille de 11 ans, Cléo (Elle Fanning).

    Remarque : Dans la bande-annonce vous pourrez  notamment entendre « Love like a sunset pt.2 » de Phoenix et « I'll try anything once », une version demo de « You only live once », une chanson des Strokes (groupe déjà présent sur la bande originale de Marie-Antoinette).

    La date de sortie de « Somewhere » n’est pas encore connue.

     Et juste pour le plaisir, voici les BA des précédents films de Sofia Coopola:

     

     

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  • « Les meilleurs amis du monde » de Julien Rambaldi : l’éloge de la médiocrité

     

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    J'avais quelque peu déserté les salles obscures depuis Cannes comme vous l'aurez peut-être remarqué. Comme là où je me trouve actuellement l'offre cinématographique est plutôt restreinte, c'est vers « Les meilleurs amis du monde » que mon choix par défaut s'est porté.

    Mathilde (Léa Drucker) et Jean-Claude (Pierre-François Martin-Laval) et leur fils sont invités à passer le week end dans la nouvelle maison de leurs meilleurs amis Lucie (Pascale Arbillot) et Max (Marc Lavoine) et leur fils. Suite à une erreur de manipulation de téléphone, Mathilde et Jean-Claude découvrent ce que leurs amis pensent réellement d'eux et vont leur faire payer.

    « Les meilleurs amis du monde » est le premier long métrage de Julien Rambaldi, adapté d'une pièce de théâtre « J'aime beaucoup ce que vous faites » écrite par Carole Greep.  Etrange sujet pour un premier film que cette variation cynique (et pour moi sinistre) sur l'amitié. Les personnages sont soit imbuvables,  méprisants et méprisables, soit lâches et on ne comprend pas très bien comment une amitié a pu se nouer auparavant entre ces deux couples que tout sépare.

    Sans doute était-ce censé être drôle mais je n'ai pas ri une seule fois tant les personnages sont caricaturaux et stupides, les situations surjouées, les lieux communs accumulés, le tout assaisonné d'une psychologie de comptoir : si Max se montre aussi sûr de lui et odieux c'est pour cacher ses faiblesses et ses doutes...

    C'est finalement quand il prend le chemin du burlesque ou de la cruauté que le film devient plus intéressant mais il ne semble assumer ni l'un ni l'autre et se termine tel une série d'AB production en célébrant tout ce que tout le film s'est acharné à détruite : l'amitié . Le film s'achève en nous laissant le goût amer de son étrange morale : l'éloge de la médiocrité.  Quant à mêler rire et larmes il faut s'appeler Chaplin pour savoir jouer  de cette délicate partition et nous en sommes ici très loin...

     Marc Lavoine se voit affligé d'une moustache à la Hercule Poirot, Pascale Arbillot d'une perruque de Playmobil, pourtant aucun des acteurs ne démérite ni n'économise ses efforts, nous sauvant de l'ennui. Léa Drucker est toujours aussi incroyablement juste.

     Une scène de dîner qui se veut incisive est complètement ratée tant elle était attendue et prévisible. Revoyez plutôt le film ci-dessous dont les auteurs (Jaoui, Bacri, Klapisch) savent toujours rendre touchantes les faiblesses de leurs personnages.

     

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  • La fête du cinéma 2010 : du 26 juin au 2 juillet

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    Notez-le d'ores et déjà dans vos agendas: la fête du cinéma 2010 dont ce sera cette année la 26ème édition aura lieudu 26 juin au 2 juillet 2010. Désormais étendue à 7 jours et à cheval sur 2 semaines cinématographiques, elle permet ainsi de faire le plein de cinéma, partout en France!

    Le principe reste le même: pour l'achat d'une place au tarif en vigueur de la séance, une carte Fête du Cinéma est remise au spectateur. Grâce à celle-ci il peut accéder à toutes les séances suivantes au tarif de 3 euros la séance.

    Comme chaque année, la fête du cinéma permet d'engranger un grand nombre d'entrées en raison de la présence à l'affiche de blockbusters américains comme cette année :" Sex and the City 2" (2 juin), "L'Agence tous risques" (16 juin), "Kiss & Kill" (23 juin), "Top Cops" (23 juin), "Trop belle" (23 juin) ou encore "Shrek 4, il était une fin" (30 juin).

    Le cinéma français essaiera quant à lui de se défendre avec toujours "Les Meilleurs amis du monde" (9 juin), "Les Mains en l'air" de Romain Goupil (9 juin) mais aussi "Bébés" (16 juin), "Fatal" (16 juin), "L'Illusionniste" (16 juin) (sur un scénario de Tati) et "Tournée "de Mathieu Amalric (30 juin), Prix de la mise en scène au dernier Festival de  Cannes que je vous recommande vivement.

    Egalement à l'affiche: " Année bissextile" (16 juin) de Michael Rowe, "Baaria" de Giuseppe Tornatore (16 juin), "Eyes of War" de Danis Tanovic (16 juin) ainsi que "Dog Pound" de Kim Chapiron (23 juin).

    Pour en savoir plus: le site officiel de la fête du cinéma

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