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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 412

  • Gagnez votre pass journalier ou vip pour le 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    code3.jpg Je vous ai déjà permis de remporter 80 pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville et un séjour vip à l'Hôtel du Golf ( et il n'est pas exclu que je vous propose d'autres pass prochainement donc restez connectés!).

    Si vous ne faîtes pas partie des heureux gagnants, vous pouvez encore tenter votre chance sur le site Orange Video Party ou sur le site SNCF intercités qui vous permet de gagner 500 pass vip journée et 15 pass vip week end.  Pour jouer, cliquez ici!  Il vous suffira alors de trouver le bon code. Vous avez droit à 7 essais par jour, jusqu'au 8 septenbre, et c'est plutôt ludique, donc aucune raison de vous en priver. Regardez aussi la vidéo personnalisée particulièrement réussie pour une publicité, judicieux et ironique patchwork et détournement des blockbusters américains. J'en profite enfin pour vous signaler que vous pouvez bénéficier d'un tarif Loisir Week-end, jusqu'à 35% de réduction sur le tarif Normal pour l'achat d'un aller-retour Paris-Deauville dans la journée du samedi, la journée du dimanche, ou comprenant la nuit du samedi au dimanche.


    Je vous rappelle que, comme chaque année, et cela dès jeudi, vous pourrez suivre le Festival en direct sur In the mood for cinema et In the mood for Deauville ainsi que sur mon compte twitter spécifiquement créé http://twitter.com/moodfdeauville .

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2010 Pin it! 0 commentaire
  • A gagner: 5 places pour "Miral" de Julian Schnabel et 1 roman de Rula Jebreal

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     Après "Le Scaphandre et Le Papillon"de Julian Schnabel, "Miral" adapté du roman de Rula Jebreal, retrace l’histoire de femmes dont les destinées se croisent sur trois générations, animées par une quête éperdue de justice, d’espoir et de réconciliation dans un monde assombri par les conflits, la fureur et la guerre.  Miral est aussi l’occasion de revoir dans le rôle principal Freida Pinto. Ce film est en compétition de la 67ème Mostra de Venise. Son réalisateur le définit comme "un poème" et un "appel à la paix".

      Je vous propose de remporter 5 places pour voir le film en salles et 1 roman. Soyez pour cela parmi les premiers à répondre aux deux questions suivantes et à m'envoyer vos coordonnées postales à inthemoodforcinema@gmail.com  avec, pour intitulé de l'email, "Concours Miral".

    1. Quel film a fait connaître Freida Pinto?

    2.Quel prix "Le Scaphandre et le papillon" a-t-il reçu au Festival de Cannes?

     

     

    Je vous rappelle que vous pouvez toujours gagnez des places pour "Benda Bilili" et des CD du "Staff Benda Bilili", en cliquant ici.

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  • Critique de « Johnny Guitar » de Nicholas Ray (1954) -actuellement sur TCM- : western atypique et flamboyant

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    Etonnamment, par un ignominieux oubli de ma part, aucun western ne figure encore dans la rubrique « Gros plan sur des classiques du septième art », bien que les westerns soient pourtant (avec les films policiers) à l’origine de ma passion pour le cinéma. J’ai donc décidé d’y remédier en commençant par un des chefs d’œuvre du genre : « Johnny Guitar », un western  de Nicholas Ray (« La fureur de vivre »…) datant de 1954.

    Tout commence dans une de ces vallées aussi majestueuses qu’hostiles. Un homme assiste à une attaque de diligence. Il n’intervient pas. Il porte en bandoulière une guitare d’où son surnom de « Johnny Guitar » (Sterling Hayden).  Il se rend dans un saloon (Que serait un western sans saloon et sans ses clients aux visages patibulaires affalés sur le bar derrière lequel se trouve toujours un barman –en général vieux, suspicieux et maugréant- ?) où il a été engagé pour jouer de la guitare. Là, pas de clients aux visages contrariés ni de barman antipathique. Un barman, certes, mais plutôt sympathique, et des croupiers. Et une femme dont le saloon porte le nom et qui en est la propriétaire : Vienna (Joan Crawford).  Le frère d’Emma, une riche propriétaire, (Mercedes McCambridge), a été tué dans l’attaque de la diligence. Emma et d’autres propriétaires terriens, viennent au saloon pour arrêter Vienna, accusant la bande du Dancing kid (Scott Brady), à laquelle Vienna est très liée, d’être à l’origine de l’attaque. Ils donnent 24h à Vienna et ses amis pour partir. Mais pour Vienna ce saloon représente toute sa vie et elle refuse de quitter les lieux. Johnny Guitar se révèle avoir été l’amant d’Emma cinq ans auparavant tandis que le Dancing kid est amoureux d’elle. La situation se complique encore quand la bande du Dancing kid attaque la banque. Vienna, suspectée d’en être la complice, devient alors le bouc-émissaire des fermiers en furie, menés par Emma qui voit là l’occasion rêvée d’abattre sa rivale…

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    Dans ce simple résumé, on peut déjà voir que « Johnny Guitar » s’affranchit des règles du western classique. Contrairement à ce que son titre pourrait indiquer, le véritable protagoniste n’est pas un homme et ce n’est pas ici l’éternel duel entre deux hommes liés par une haine farouche, immédiate ou séculaire, mais entre deux femmes : Vienna et Emma.

    Vienna, c’est donc Joan Crawford, d’une beauté étrange et irréelle, au seuil de son déclin,  dont les lignes du visage, non moins splendides, ressemblent à des lames tranchantes et fascinantes. Indomptable (en général dans les westerns les femmes sont des faire-valoir destinés à être « domptés »), déterminée, fière, forte, indépendante, aventurière, c’est Vienna la véritable héroïne du film que Joan Crawford incarne brillamment. Face à elle, Emma, aigrie, jalouse, enfermée dans ses principes.

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    Mais là n’est pas la seule originalité de « Johnny Guitar ». Derrière l’apparente opposition classique et manichéenne des westerns des bons contre les méchants se cache une subtile critique du Maccarthysme dont Nicholas Ray fut lui-même victime. Les fermiers en furie qui lynchent  aveuglément symbolisent la commission Mac Carthy souvent aveuglée par la haine et la suspicion. Sterling Hayden était lui-même passé devant la commission. Nicholas Ray aurait même délibérément  confié  à Ward Bond le rôle de chef des lyncheurs. Ce dernier était ainsi lui-même membre de "Motion Picture Alliance for the Preservation of American Ideals" qui avait activement participé à la « chasse aux sorcières ».

    Mais, même sans cela, « Johnny Guitar » serait un chef d’œuvre. Dès les premières minutes, la tension est palpable, renforcée par l’intensité du jeu et de la présence de Joan Crawford, et elle ne cessera de croître jusqu’au dénouement : classique duel final, mais non pas entre deux hommes donc mais entre les deux femmes. Les dialogues sont aussi des bijoux de finesse où s’exprime toute la nostalgie poignante d’un amour perdu qui ne demande qu’à renaitre de ses cendres. A côté de Vienna, Johnny Guitar représente une présence douce et forte, qui n’entrave pas sa liberté et non le macho cynique conventionnel des westerns.

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     Et que dire de ces plans, somptueux, ensorcelants, d’une beauté littéralement à couper le souffle : celui de Joan Crawford, dans sa robe blanche, virginale, jouant du piano, tel un animal sauvage et impérial réfugié dans son saloon assimilé à une grotte, face à la population vêtue de noir, des « vautours » prêts à fondre sur elle (une scène magistrale à la fois violemment et cruellement sublime) ; celui où elle apparaît pour la première fois en robe dans l’encadrement d’une fenêtre, soudainement à fleur de peau et fragile ; où de cette scène au clair de lune, réminiscence mélancolique de leur amour passé. Ou encore de ce brasier qui consume le saloon en même temps que leur amour tacitement se ravive. Des scènes d’une rare flamboyance (au propre comme au figuré)  pendant lesquelles les hommes et la nature se déchaînent avec des couleurs étonnantes (liées au procédé Trucolor qui fut ensuite abandonné).

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    Drame, splendide histoire d’amour, parabole politique, bien plus qu’un western, « Johnny Guitar » est un chef d’œuvre atypique, lyrique et baroque, sombre et flamboyant. D’ailleurs de Godard à Almodovar en passant par Truffaut, nombreux sont les cinéastes à l’avoir cité dans leurs films. Je vous laisse deviner lesquels… En attendant profitez de sa diffusion sur TCM pour le voir ou le revoir.

    Prochaines diffusions de « Johnny Guitar » sur TCM :

    Mardi 31 août à 18H45

    Vendredi 3 septembre à 11H35

    Dimanche 5 septembre à 20H40

    Mardi 7 septembre à 18H45

    Dimanche 12 septembre à 13H55

  • Terry Gilliam et Woody Allen pour l'ouverture et la clôture du Festival de Deauville 2010

     

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    Décidément, tout change pour cette 36ème édition du Festival puisque ce ne sera pas un film inédit en ouverture ( le vendredi 3 septembre à 19H30 au CID) mais la version director's cut de "Brazil" de Terry Gilliam (à l'occasion de l'hommage qui lui sera rendu, c'est également une première que de rendre un hommage le jour de l'ouverture), en revanche, c'est une habitude d'avoir un film de Woody Allen en clôture (néanmoins désormais le samedi -11 septembre, à 20h- et non le dimanche, le dimanche étant consacré aux reprises), en l'absence du cinéaste (autre habitude...) sauf changement de dernière minute.

    Cliquez ici pour lire mon article consacré à Woody Allen et ma critique de "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu"

    Cliquez ici pour lire mon article consacré à Terry Gilliam

    N'oubliez pas de vous abonner au compte twitter spécial Deauville des blogs inthemood pour tout savoir sur le festival.

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  • Le programme complet et détaillé du Festival de Deauville 2010

    Avant de vous donner mon avis sur le programme, je vous invite à découvrir la grille de programmation complète ci-dessous, et à donner votre opinion dans les commentaires. Vous pouvez également retrouver le programme complet sur le site officiel du festival en cliquant ici.

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  • "Deauville saison 1": téléchargez le programme complet

     

    En attendant d'avoir les horaires et jours de projections des longs-métrages je vous propose, ci-dessous, le programme complet de "Deauville saison 1", le nouveau rendez-vous du festival consacré aux séries.

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    Cliquez ici pour télécharger le programme complet de "Deauville saison 1"

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  • Bande-annonce de "L'homme qui voulait vivre sa vie" d'Eric Lartigau avec Romain Duris

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    Une petite bande-annonce (particulièrement réussie d'ailleurs) pour patienter avant d'autres critiques de films à l'affiche et de classiques ce week end, et un nouveau concours (je vous rappelle que trois concours sont en ligne actuellement avec des places à gagner pour "Des hommes et des dieux", pour "Benda Bilili" mais aussi des CD de "Benda Bilili" et des DVD de "Green zone").

    Synopsis: Paul Exben a tout pour être heureux: une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.

    www.lhommequivoulaitvivresavie-lefilm.com

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